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Rencontre improbable – Chapitre 2

Rencontre improbable - Chapitre 2



J’avais décidé pour ce week-end de rester sur place afin de visiter un peu la région et peut-être faire une incursion en Italie pour y vérifier mon niveau en italien, entre autres. Mais suite à son appel, j’étais trop excité à l’idée de ce qui pourrait se passer avec cette dame. Je me décidais donc à l’appeler pour l’en informer.

Allo !

Bonjour Madame, c’est Sylvain.

Qui t’a autorisé à m’appeler ?

Mais vous m’aviez dit de vous avertir de mo…

Ta gueule ! Tu m’envoies un SMS.

Et elle raccroche, j’envoie le message. Son comportement me rendait de plus en plus accroc à elle. Je ne pouvais pas résister à l’envie de lui appartenir.

Arrivé chez moi, je décidais de faire les courses pour être complètement disponible le week-end. Samedi comme à mon habitude, je me travestis, mais sans maquillage afin d’être disponible le plus rapidement possible quand elle m’appellerait. J’ai attendu tout le week-end avec anxiété en vain, elle ne m’a jamais appelé.

Après un week-end de frustration intense, lundi, je pars au boulot pour une journée bureau. J’embrasse Barbara, je sors deux trois blagues (pas terribles comme d’habitude) je prends des nouvelles de son week-end et j’invente le mien. Je salue mon directeur qui n’est au bureau que la matinée et parfois le soir assez tard. Nous parlons du travail et je commence à bosser, devis, courriers, appels téléphoniques, etc.:. Malgré un cerveau à moitié disponible.

Enfin, l’heure du déjeuner arrive, notre chef nous invite, Barbara et moi, comme il le fait assez souvent. J’avais une peur bleue d’y rencontrer la dame de mes pensées, mais Dieu merci elle n’y était pas, ouf ! Le chef part vers quinze heures à ses occupations nous laissant tous les deux seuls comme à l’accoutumée. Bref, un après-midi de routine sauf dans ma tête.

La journée se termine, je m’apprête à partir quand de la fenêtre de mon bureau, je vois se garer une voiture qui ne m’est pas inconnue, mon cur s’accélère, c’est elle. Je me rassois et j’attends, paralysé. La porte de mon bureau étant toujours ouverte j’entends:

Bonjour surette, dit-elle d’un ton jovial.

Surette ??? Je tombais des nues.

Coucou !

Puis elles échangent quelques banalités.

Bon, il est où l’autre ?

Attends, je vais le chercher.

C’est la porte ouverte ?

Oui.

Donc il nous a entendus.

Certainement.

Tu veux peut-être que je vienne te chercher ? Me demanda-t-elle en haussant le ton.

Non non, j’arrive. Limite panique et péteux à l’idée que Barbara assiste à ça.

Tu m’as bien entendue entrer (menaçante)

Oui mais… (bafouillant)

Mais quoi ? (en me tapant sur l’épaule à la façon d’un gars qui cherche la bagarre me faisant reculer).

Puis s’adressant à sa sur :

Tu as vu avec qui tu travailles. Je parie que tu ne connais pas son prénom.

Me regardant avec un sourire menaçant, vas-y dis-lui.

(Très hésitant) Sylvie.

Paf ! Première gifle de la journée.

Mais dis donc toi, tu t’es vu ? Puis en regardant sa sur:

Mais elle se prend pour une fille.

Mais c’est vous qui m’avez dit…

(La main menaçante) Tais-toi ! M’attrapant d’une main par le colback et de l’autre, elle me saisit tout le paquet en me plaquant sur la mur et me forçant à me maintenir sur la pointe des pieds. Mets-toi bien ça dans le crâne, tu es trop con en fille. Tu n’es qu’une tafiole ou une fiote ou une tarlouze, une tapette, compris ?

Je lui répondis par un oui inarticulé.

Je vais te faire une fleur, tu peux choisir. Alors ?

Je je je… Tafiole.

Parfait, tu vas te présenter à Barbara. Mais avant, à genoux ! Embrasse mes petits petons avec le respect que tu leur dois. Puis elle m’emmène près de Barbara à quatre pattes en se servant de ma cravate comme de la laisse.

Redresse-toi, les mains derrière le dos. Vas-y !

Je m’app…

Maîtresse Barbara !

Maîtresse Barbara je m’appelle tafiole.

Il y a longtemps que je le sais, mais j’aurais préféré tapette.

Alors… Tu te nommes…

Je me nomme ta…

Une gifle de la part de Barbara, je ne l’en aurais jamais cru capable.

Pardon maîtresse Barbara. Je me nomme tapette.

Elle allume une cigarette et tout en m’envoyant la fumée dans la figure, ce qui produit chez moi une quinte de toux difficile à contrôler.

Il y a longtemps que je le sais ma chère peti-te ta- pet-te.

Et arrête de tousser quand une maîtresse te parle.

Toutes les deux assises en face de moi toujours à genoux, l’une relève mon menton pour mieux m’envoyer la fumée, l’autre me caresse la joue avec douceur. Japprécie cette main délicate, mais m’attends à recevoir une gifle qui, par chance, ne viendra pas.

(En regardant sa sur) si on lui faisait baisser son pantalon ?

Mais oui ! Pourquoi pas. Allez exécution hop hop.

Bien sûr, j’étais en érection et cette dernière humiliation m’a fait éjaculer fortement sur Barbara qui, ce jour-là, avait des nus pieds. Elles étaient outrées, comment avais-je osé ? J’ai pris immédiatement une volée de gifles et d’insultes. Comme j’essayais de me protéger en mettant mes bras en protection, elles m’ont attaché les mains et ont continué. Ça me semblait interminable. Puis Sabine elle s’appelait, Sabine m’a obligé en me tenant par la tête, à lécher ma semence sur le sol et sur les pieds de Barbara, c’était dégoûtant. Enfin, elles se sont calmées et Sabine prit la parole.

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