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Rencontre à la plage – Chapitre 1

Rencontre à la plage - Chapitre 1



Je m’appelle Antoine, cette année j’ai trouvé un job d’été dans une station balnéaire de la côte Atlantique. Je vais vendre des vêtements de plage, des lunettes de soleil et des objets souvenirs de la ville. Les horaires sont larges, je commence le matin de neuf heure jusqu’à midi et ensuite je reprends à dix huit heure jusqu’à vingt trois heure. L’activité me plaît beaucoup, le couple qui m’emploie est très sympathique. Les temps de pauses sont difficiles à meubler, je vais à la plage, je nage, je bronze et ensuite je retourne à la boutique, rien de très motivant. Aujourd’hui, je décide de quitter la plage centrale surpeuplée pour aller dans un secteur plus calme et plus sauvage. Il y a beaucoup moins de monde, quelques familles en quête de quiétude, des hommes et des femmes seuls. Peut être un endroit plus propice pour faire des rencontres. En ce jour, l’océan est mouvementé, les vagues sont plus violentes que d’habitude, j’adore être porter par l’eau c’est vraiment agréable même si quelques fois je bois la tasse. A mes côtés, un mari avec sa fille surveille son épouse. La peur de la noyade certainement. Quand l’eau est plus tumultueuse, je reviens sur la plage, je suis seul, je ne veux pas prendre de risque. J’en profite pour discuter avec Bernard le mari de cette dame qui visiblement à besoin de sensations fortes. Le couple vit dans le centre ville de la station balnéaire, ils connaissent donc très bien les lieux à fréquenter pour un jeune de mon âge. Je retourne à ma serviette pour regarder l’heure. Il est dix sept heure, je reprends le travail dans peu de temps. Je retourne dans la boutique, prends une douche qui se situe dans l’appartement que l’on me prête pour la saison et m’habille. J’arrive un peu en avance, il y a un peu de monde. Je surveille le magasin, vend quelques habits et autres souvenirs de vacances. Quand soudain, je vois Bernard avec sa femme et ses enfants. Les petits veulent acheter deux paires de lunettes à la mode, j’apprends par la même occasion que Brigitte comme l’appelle son mari souhaite prendre un nouveau maillot de bain. Je propose dans un premier temps des lunettes pour les enfants qui choisissent très vite le modèle qu’ils veulent. J’emmène la femme de Bernard, dans le fond de la boutique ou se trouve les maillots de bain féminin. Je lui laisse choisir les modèles qu’elle veut essayer. Elle fait son choix sur un deux pièces classique de couleur blanche. Je lui indique que par précaution, il peut devenir transparent avec l’eau. Et d’un regard de félin, elle me dit que ça ne la gène pas du tout. Tandis que Bernard surveille ses enfants à l’extérieur de la boutique, Brigitte m’appelle pour me demander mon avis sur sa nouvelle tenue de plage. J’entre-ouvre le rideau et je lui dis qu’elle est magnifique dans cette tenue. C’est une femme d’une quarantaine d’année, bien conservée, des petits seins en forme de poire, des fesses un peu arrondi et j’en parle encore, un regard de félin. J’attache beaucoup d’importance à ce détail qui permet de découvrir quelques secrets sur le secret d’une personne. Elle finit par venir à la caisse. Elle paye son maillot de bain et du coin de la bouche me dit à demain au même endroit que cet après-midi. Agréablement surpris je lui rends un sourire. La soirée se déroule normalement, les touristes achètent beaucoup de souvenirs ou autres. C’est un marché très rentable. Aux alentours des vingt trois heure, le responsable de la boutique et sa femme me rejoignent. J’aide l’homme a rangé les rayons tandis que sa femme compte l’argent de la caisse. Visiblement heureuse d’y voir un chiffre d’affaire intéressant. Le couple me félicite pour ma motivation et mon dévouement. Il est maintenant l’heure de profiter d’un sommeil réparateur. Je ne sais pas pourquoi, mais je me masturbe en pensant à Brigitte. Je rêve d’une femme mariée de quarante ans alors que j’en ai que vingt. Le lendemain se passe de la même manière, travail, plage sauvage avec des longues discutions avec Bernard. Aujourd’hui, sa femme est vêtue avec le maillot de bain blanc. Et en effet, je ne me suis pas trompé, il est un peu transparent au niveau du haut, ce qui permet de voir deux belles auréoles avec deux tétons pointus certainement dû à la fraîcheur de l’eau. Régulièrement à chaque vague un peu forte un sein sort de sa cachette, à chaque fois que cela se produit, elle se retourne et me fait un large sourire. Je finis par me prêter au jeu de la séduction qui m’amuse beaucoup. La fin de journée est traditionnelle, travail en boutique, et repos réparateur. Les jours se ressemblent à peu près tous. Sauf en ce lundi douze août. Aujourd’hui, Béatrice n’est pas en compagnie de Bernard, il est parti à Bordeaux rejoindre des amis à lui qui organisent une journée, chose qui n’est pas du goût de sa femme visiblement. Du coup, nous mettons nos serviettes côte à côte. Nous nous baignons, nous nous tenons même par la main à cause du déchaînement des vagues, parfois je la rattrape même par la taille pour éviter qu’elle tombe dans l’eau ce qui me procure une sensation de bonheur comme si j’étais en couple avec elle. Nous retournons rapidement au calme sur les serviettes. Nos mains ne se lâchent plus. C’est très agréable. Je me laisse envahir par le besoin de l’embrasser, ce que je fais aussitôt. Un peu hésitante, elle me retourne un baiser d’une intensité remarquable. Elle me propose d’aller dans un coin calme derrière une dune dans les pinèdes. Elle ne veut pas être vu en compagnie d’un autre homme que son époux. Elle vit dans la station depuis presque dix ans et elle ne souhaite pas entendre des rumeurs qui pourraient sébruiter. Je la suis en direction des pins, nous trouvons un endroit discret derrière une sorte de buisson qui nous protège des regards indiscrets. Nous posons les draps de bain à terre, nous nous couchons côte à côte. Très vite nous nous tenons les mains, nous nous embrassons, nous nous caressons les endroits sensibles. Elle me dit par la même occasion que le choix du maillot blanc avait pour but de créer l’étincelle dans mes yeux et le désir. Je lui indique dans le même temps que je la trouve désirable. Pour moi c’est une première avec une femme plus âgé, d’habitude se sont des étudiantes ou des filles de mon âge. Je m’attends à quelque chose de beaucoup plus raffiné. Je me colle un peu contre elle, l’embrasse dans le cou, laisse mes mains découvrir son corps, elle se cambre de plaisir. Je lui enlève le haut de son maillot, ses seins sont magnifiques en forme de poire, je promène ma langue sur le bout de ses tétons. Je les avale, les mordille, les aspire ce qui ne manque pas de la faire réagir. Elle pousse des soupirs, je suis dans le chemin qu’elle désire, un peu de tendresse et de brutalité à la fois. Petit à petit, je glisse ma main entre ses jambes qu’elle n’hésite pas à écarter sans pudeur. J’en profite pour descendre le bas du maillot. Je vois un abricot complètement épilé. Je décalotte son clitoris pour le masser avec ardeur, ce qui lui procure plusieurs spasmes au point d’en avoir les doigts complètements humide de son jus de plaisir. Elle finit par réagir, met sa main dans mon short de bain, saisit mon membre qu’elle commence à prendre en main. Elle m’enlève la prison de tissus qui a du mal à résister tellement je bande fort. Elle me caresse, saisit mon membre, fait des allers-retour plus ou moins rapide. Étant en pleine forme, elle avance sa bouche, écarte ses lèvres pour avaler mon sexe. Les vas et vient sont plus ou moins rapide, je ressens des spasmes dans tout le corps et comme un puceau je crache mon jus dans sa bouche. Elle ne manque pas d’avaler mon sperme. Je ne faiblis pas, je me présente face à elle, le membre brillant, elle écarte les jambes et je la pénètre avec délicatesse dans un premier temps. Puis ma fougue de jeune homme reprend du service, mes vas et vient sont de plus en plus intense. Au bout de quelques temps, elle se met à quatre pattes, la vision de ses fesses est merveilleuse. Je la prend en levrette, elle essaye de camoufler ses cris mais rapidement son souffle s’accélère. Je reçois sur mon sexe plusieurs jets de mouille. Dans le même temps, j’explose en elle. Le liquide blanc et visqueux coule sur ses cuisses. Elle se retourne face à moi et me remercie pour se plaisir partager. Durant toutes l’été, nous nous retrouvons régulièrement au même endroit pour nous donner du plaisir. C’est un souvenir qui restera graver dans ma mémoire.

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