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RESTONS EN FAMILLE – Chapitre 1

RESTONS EN FAMILLE - Chapitre 1



RESTONS EN FAMILLE

Il sagissait de mon cousin. Il avait environ 18 ans, moi deux de moins.

Voilà comment les choses se sont passées.

Orphelin de guerre, je me suis retrouvé être élevé chez un oncle.

Sa femme et lui étaient bien plus âgé que mes défunts parents. Je nétais pas malheureux chez eux. Leurs enfants étaient grands, la fille vingt huit ans, mariée, le fils encore célibataire avec une copine de temps en temps. Ma tante travaillait à Paris, mon oncle conducteur de métro avait des horaires très irréguliers.

En général jétais seul la journée du jeudi, congé scolaire à lépoque. Laprès midi je restais à la maison faire mes devoirs.

Parfois mon cousin venait avec une de ses copines. Ils sisolaient dans sa chambre et jentendais des rires, des soupirs, des gémissements. Bien que nayant jamais rien vu je savais ce quils faisaient. Cela me perturbait un peu car chez moi la sexualité séveillait. Cest lépoque où jai commencé à me masturber régulièrement, à fantasmer sur les filles. Ces jours là jétais en encore plus excité en pensant à tout ce quil pouvaient faire ensemble.

Dans ces années là, le sexe était tabou dans la plupart des familles. Personne nen parlait, sauf à lécole avec les copains. Et encore cela se résumait à des échanges de cochonneries ou des gloussements idiots. Tous les garçons cherchaient à voir la culotte des filles. Les plus hardis, ou les plus menteurs, affirmaient avoir vu les poils de leur sur ou de leur mère et même leur fente. Moi je navais jamais rien vu en vrai, ni un poil, ni une fente.

Un jour, un jeudi après midi, je tombais sur le catalogue de ma tante laissé sur la table de la cuisine. Cétait le Chasseur Français, un catalogue de vente par correspondance, très connu à lépoque. Je tournais les pages avec ennui quand soudain mes yeux sagrandirent. Je venais de voir des femmes pratiquement nues. En réalité il ne sagissait que des mannequins présentant la lingerie féminine. Malgré cela, ce nétait pas tous les jours que je pouvais voir des femmes en culotte et soutien gorge. Cela suffit à me mettre dans tous mes états.

Même si on ne les voyait pas complètement, on devinait les tétons qui pointaient et on distinguait bien le galbe des nichons. Par contre les culottes étaient si bien ajustées que rien ne dépassait, pas un poil. La fente ne se dessinait même pas. Seules quelques filles avaient le mont de vénus plus proéminent que dautres.

Néanmoins ces images mexcitaient. Fébrilement je sortis ma bite. Je bandais en quelques secondes. Et comme un débile après une dizaine de va et vient seulement je jutais. Malheureusement pour moi, les gouttes tombèrent en plein milieu de la page. Jessuyais rageusement mais ne réussis qu’a bien étaler mon forfait. Résultat le jus collant imbibait la moitié de la page.

Cest à ce moment précis quentra mon cousin.

Jétais pris sur le fait, la bite à lair bavant encore quelques gouttes fileuses, en train dessayer vainement de faire disparaître la tache honteuse. Je me rajustais en vitesse et fermais la revue, mais il était trop tard évidemment.

— quest-ce que cest que ça ? Ne cherches pas à te cacher, jai tout vu. Tu es un drôle de petit vicieux. Quand ta tante verra son catalogue plein de jute je pense quelle le dira à ton oncle et alors là ça va chauffer pour toi. Dailleurs le mieux à faire cest que je lui dise moi-même. On gagnera du temps. Il faut bien rigoler un peu.

— oh non! Henri, ne fais pas ça !

— et pourquoi petit Pierre ? Tu étais bien en train de juter sur les filles du catalogue ,non ?

— jai pas fait exprès, je te jure. Je regardais seulement les photos et cest parti tout seul.

— cest ça, avec la bite à la main ! et en plus il ne sait même pas se retenir !. Tu fais un drôle de branleur.

— alors tu ne diras rien?

— je ne sais pas encore. Donne le bouquin je vais enlever la page proprement. En plus tu es con, en le refermant il y a deux pages dengluées maintenant.

Henri arracha délicatement les deux pages tachées. Je le vis avec étonnement les plier soigneusement et les glisser dans sa poche.

— je les conserve comme pièces à conviction. Au cas ou tu ne serais pas gentil je dirais tout.

— oh merci Henri, ne tinquiète pas je ne recommencerai plus.

— je ne minquiète pas pour ça. Je pense simplement que tu as besoin de quelques conseils. Je me propose de faire ton éducation, il est plus que temps. Viens dans ma chambre, on va en parler et jai des choses à te montrer.

Jétais un peu étonné de la tournure des évènements mais heureux que les choses soient ainsi arrangées. Mon cousin ne semblait plus men vouloir. Au contraire même, pour la première fois il se proposait de maider, de me donner des conseils. Évidemment jétais loin de me douter de ce quil avait en tête.

Jétais rarement entré dans la chambre dHenri. En général elle était fermée à clef. Cétait une pièce plus grande que la mienne avec deux fenêtres mansardées. Je remarquais quil avait conservé dans un coin des vieux jouets datant de son enfance. Il y avait des livres sur des étagères courant le long dun des murs. Puis un grand bureau en désordre. Dans un angle son lit, un deux places. Couvertures et draps étaient froissés, le lit non fait. Un moment je limaginais avec sa copine Lulu toute nue.

— alors mon petit cousin est intéressé par les femmes nues.

Surpris par cette phrase je devins écarlate, les joues en feu. Henri semblait amusé par ma confusion. Je le vis fouiller dans un tiroir de son bureau. Il en sortit une grande enveloppe fermée par des élastiques. Elle était pleine de photos.

— regarde ça petit puceau, cest mieux que les nanas du catalogue de ma mère. Il nest pas sympa ton grand cousin?

Tout en disant cela il répandit les photos sur son lit. Je nosais pas mapprocher, mais dou jétais de voyais pêle-mêle des seins, des culs, des fentes avec et sans poils.

— alors reste pas la comme une momie. Viens voir, de plus près. Elles sont belles nest-ce pas ? Regarde ces miches, ces gros tétons, tu vois certaines peuvent même se les lécher. Ils te plaisent ces gros nichons ? Et là, les chattes. Tu en as déjà vu des cramouilles comme celles-ci ?

— ah non alors! À lécole les grands en apportent parfois, mais on voit pas bien. Les photos sont vielles, usées et toutes sales.

— et jai aussi autre chose, si tu veux. Des filles qui se tripotent entre elles, qui se lèchent, qui se font baiser par des hommes, qui sucent des queues, qui avalent du foutre. Ta bite quest-ce quelle en pense ? Ça la fait bander ?

Soit pas idiot, ça te fait bander oui ou non ?

— oui, répondis-je faiblement le rouge aux joues.

— alors fais-moi voir.

— euh. non, je veux pas, cest pas bien.

— tu préfères que je montre les pages collées avec ton jus à ta tante ? Je ne vais pas te la manger ta quéquette. Aller vite, fais voir, montre que tu bandes comme un grand.

— jose pas, jai honte.

— oh, quel idiot! à mon âge jai déjà vu plus dune bite tu sais, en plus tu oublies que jen ai une aussi. Ne sois pas timide, si tu veux je te montre la mienne en même temps.

Je compris quil fallait que je mexécute. Jamais je navais montré mon sexe à quelquun. Cétait déjà toute une histoire quand je devais voir le médecin. Doucement je baissais mon pantalon, puis mon slip. Avec tout ce stress jétais de nouveau tout mou. Henri avait retiré son survêtement, il était en slip, déformé par une grosse bosse.

— et bien alors ! Soit disant tu bandais. Enlève tout cela et viens sur le lit à coté de moi. On va regarder les photos ensemble. Tu as une belle petite queue, mais tu manques encore de poils.

Avant que lon sinstalle il apporta une autre pochette. Cétait des photos vraiment pornos. Des hommes et des femmes en pleine action. Des sexes ouverts, baveux, avec des doigts, des langues ou des bites à lintérieur. Jétais un peu écuré. Comment pouvait-on lécher ou entrer sa langue dans une fente gluante. Et puis il y avait aussi des hommes entre eux qui se masturbaient ou se suçaient. Tout ce que je voyais me laissait pantois. Cétait dégoûtant, je nen croyais pas mes yeux. Pourtant jétais excité et je me sentais durcir à nouveau.

Cest à ce moment que je sentis la main de mon cousin se glisser entre mes cuisses et caresser mes petites couilles.

— oh non, faut pas faire ça, dis-je sans grande conviction et sans tenter de retirer sa main.

Il ne répondit pas, continuant de me malaxer lentement les burnes. Pendant ce temps il me passait les photos avec des commentaires de plus en plus cochons. Joubliais presque que cétait mon cousin, que cétait un homme et quil me tripotait. Et il ne sarrêta pas la. Quelques instant plus tard cest ma bite quil avait dans la main.

Mine de rien, comme si cétait naturel entre nous, il me masturbait lentement. Tout au fond de moi javais envie de me révolter. Seulement je navais plus aucune volonté pour le faire. Tout cela à cause du plaisir que me donnait ses caresses. Cétait tellement mieux que lorsque je me branlais à toute vitesse et jutais en un rien de temps.

Je risquais un il sur le coté et vis que son morceau sortait presque entièrement du slip. Je naurais jamais cru quune bite puisse devenir si grosse, si longue. Il remarqua que je le regardais et délaissant les photos entrepris de se branler. A chaque mouvement, dune lenteur calculée, la peau glissait découvrant un gland rose et brillant. Quand il remontait la petite fente laissait filtrer une goutte claire et brillante. Jétais fasciné.

Je ne sais pas si cest cette vision qui déclencha mon plaisir. Mais ce fut une jouissance comme je nen avais encore jamais connu. Jai crié et lâché mon premier jet. Alors Henri ma secoué à toute vitesse et jai juté encore trois ou quatre fois en jouissant de nouveau. Jai arrêté sa main, plaisir ou douleur, je ne savais plus, mais en tout cas cétait trop fort pour que je continue à le supporter.

Il avait conservé en main ma queue qui rapidement redevint petite et molle. Je nosais pas le regarder. Javais honte. Honte de mêtre laissé faire. Mais aussi honte davoir joui devant lui, davoir juté.

— tu as bien joui mon cochon, cétait bon hein ? Tu tes déjà fait branler par tes copains ?

Toujours aussi rouge je fis non de la tête. Il rigola en se moquant de moi.

— je men doutais. Tu es une vraie petite pucelle. Moi, a ton âge je men donnais à cur joie avec mes potes de la pension. Tous les soirs cétait la fête, quéquette partie à gogo. Comme on ne changeait nos draps que toutes les deux semaines, les derniers jours au milieu du lit cétait jaune et durci par le foutre.

Parfois on faisait des concours à qui juterait le plus loin. On se mettait dans lallée centrale, trois ou quatre de front et lon sastiquait. Une fois le surveillant est passé seulement quelques minutes après. Il a glissé sur notre sperme et sest cassé la figure.

On était tous mort de rire. Il a puni toute la chambrée.

    Suite à ce jour mémorable mon cousin et moi faisions régulièrement des cochonneries ensemble quand il nétait pas avec sa copine. De temps en temps je lui demandais de me branler si je me sentais trop excité. Je le touchais aussi il mavait appris à le caresser. Jaimais bien le faire juter.

Et puis un jour il a sucé mon gland, je crois que jai failli mourir la première fois tellement cétait bon. Quand je jouissais il avalait mon sperme, prétendant quil avait bon goût. Jai aussi appris à le sucer évidemment. Jaimais bien ça en vérité. Par contre, je nai jamais réussi à avaler son jus, je recrachais toujours.

Et puis lannée suivante il épousa une jolie jeune femme et ce fut la fin de nos petits jeux. Jaurais du en être soulagé, mais en vérité jen fus triste

FIN..

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