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Sauna familial – Chapitre 1

Sauna familial - Chapitre 1



Je m’appelle Michel, j’ai 22 ans, célibataire et sans petite amie en ce moment. Il y a quelques semaines, lors d’un weekend prolongé chez mes parents, j’ai découvert l’usage particulièrement agréable qui pouvait être fait de leur nouvelle acquisition : une cabine de sauna. Avec l’âge, mes parents ont enfin appris à se faire plaisir et à prendre la vie du bon côté ; je m’en étais rendu compte, mais j’ignorais à quel point. Je n’ai pas été déçu de la

découverte.

Après le dîner, nous bavardions de choses et d’autres, quand ma mère proposa de continuer la conversation dans le sauna. Elle avait envie de se délasser, nous dit-elle.

? Tu n’as pas vraiment l’habitude de nous voir nus, ajouta-t-elle, mais je ne pense pas que cela te pose un problème, Michel ? ?

J’approuvais, un peu surpris toutefois. Et vaguement inquiet, parce que je savais que la chaleur moite provoque en général chez moi d’assez fortes excitations sexuelles. J’espérais que le contexte familial me permettrait de garder le contrôle de mes réactions.

Quelques minutes plus tard, nu comme un ver, j’entrais dans l’étroite cabine, où était déjà arrivé mon père. Je venais de m’asseoir à ses côtés, quand ma mère entra à son tour. Malgré mes résolutions, je n’ai pas pu m’empêcher de détailler ce corps que je découvrais pour la première fois aussi totalement dénudé. À 48 ans, ma mère avait un corps épanoui, charnu sans être gros, avec des seins lourds et ronds, aux aréoles très brunes et aux pointes épaisses, des fesses larges mais

fermes, et surtout, ce qui attirait immanquablement le regard : une épaisse toison pubienne, d’un noir d’autant plus profond que les poils étaient abondants. Très naturellement, après avoir fermé la porte du sauna, elle s’activa autour du mécanisme de chauffage, des serviettes, de quelques flacons de lotion qui reposaient dans un coin. Apparemment sans se douter que le mouvement de ses seins, ou le spectacle de son de ses fesses et de son entrejambe lorsqu’elle se penchait ou

s’accroupissait, me plongeait dans une excitation complète. Lorsqu’enfin elle s’assit sur la deuxième banquette, face à moi, j’arborais une érection plus que respectable, mon sexe assez long et fin pointant fièrement vers le plafond de la cabine. Et ce n’était pas fini !… À peine assise, les yeux fermés, ma mère s’étira longuement, faisant ressortir sa poitrine, et appuyant ses pieds sur la banquette où mon père et moi étions assis. J’étais tétanisé, son corps

comme offert devant moi, avec ses orteils posés à quelques centimètres seulement de mon sexe dressé.

? C’est malin, Nathalie, de nous mettre dans cet état-là, maugréa mon père, dont je remarquais du coin de l’oeil qu’il n’était pas non plus indifférent au numéro maternel. Regarde Michel ! On dirait qu’il va exploser. ?

Ma mère ouvrit les yeux, et fixa alternativement nos virilités triomphantes en souriant, comme fière de l’effet qu’elle produisait. Et c’est alors que je la vis se laisser glisser de la banquette, se retrouvant à genoux devant nous, à même pas un mètre. Elle n’avait pas détaché ses yeux de nos sexes, les comparant manifestement l’un et l’autre.

? Tu as raison, répondit-elle. Il ne faut pas vous laisser comme ça. Je vais réparer moi-même ce que j’ai causé. Ne vous occupez de rien. Mais je constate que tu as du retard, René ; il faut me rattraper Michel vite fait. ?

Je n’en croyais pas mes oreilles, ni mes yeux. Devant moi, qui n’aurais eu qu’à avancer la main pour toucher ses seins ou pour fourrager dans son épaisse toison, ma mère venait d’emprisonner entre ses doigts le sexe paternel. En effet, plus habitué que je ne pouvais l’être à la vue de son corps, il avait une érection bien plus modeste que la mienne. Tout en jetant de temps en temps un coup d’oeil à mon propre sexe, ma mère branlait lentement celui de mon père, l’

amenant à des proportions plus satisfaisantes. Machinalement, j’avais posé la main sur mes bourses et les caressais.

? Michel, vilain garçon, veux-tu arrêter ? J’ai dit que je m’occupais de tout ?, gronda-t-elle en souriant. Et aussitôt, je sentis sa main m’empoigner et commencer son va-et-vient. Je me laissais aller, les yeux fermés, tout entier concentré sur la douceur de cette caresse : j’étais en train de me faire masturber par ma propre mère !… Pour m’occuper l’esprit, et tâcher de ne pas mettre fin trop tôt à cet intermède, j’ai tendu la main vers son sein le plus proche,

et commençais à jouer avec son téton durci. Elle se redressa sur ses genoux écartés et se cambra, tout en continuant sa double masturbation. Mon père avait pris l’autre sein dans sa main et le pétrissait, le regard fixé sur la main maternelle qui me caressait. Soudain il se leva, et pesant sur la nuque de sa femme il présenta son sexe devant la bouche qui s’ouvrait déjà. À quelques centimètres de mes yeux, je voyais ma mère sucer le membre raide de mon père, qui allait et venait dans sa bouche

comme dans un sexe. Elle avait arrêté de me masturber, mais me tenait toujours solidement emprisonné. Quelques instants plus tard, mon père laissa échapper des grognements de plaisir, tandis qu’il explosait dans la bouche de sa femme. Elle continua un long moment à le caresser et à le nettoyer avec sa langue. Puis elle se tourna vers moi, avec un grand sourire.

? À toi, maintenant. Laisse-toi totalement faire, tu ne le regretteras pas. ?

J’obéis, bien sûr. Comme dans un état second, je la sentis écarter largement mes jambes, et se rapprocher de moi. Ses seins s’écrasaient contre mon corps, tandis que sa langue descendait lentement de mes tétons à mon nombril, puis à mes bourses gonflées à éclater. Enfin, le chaud fourreau de sa bouche se referma sur mon sexe, qui ne fut pas long à se déverser à son tour en longues giclées. Ma mère avala tout. Mais, à ma grande surprise, elle n’arrêta pas sa fellation, empêchant mon sexe de

débander. Mon père s’était rapproché, et lui caressait à nouveau la poitrine, faisant rouler les pointes dures entre ses doigts, comme s’il voulait les allonger. Lentement, la bouche maternelle quitta mon sexe toujours raide et remonta, s’attardant à nouveau sur mes tétons, avant de plonger dans un long baiser. Puis ma mère se redressa entièrement, les jambes largement écartées de part et d’autre de mes cuisses, les seins à la hauteur de mon visage.

? Tête-moi, mon chéri, souffla-t-elle. Fais-leur du bien. ?

Je ne me fis pas prier ; pendant un long moment, ma bouche passa d’un sein à l’autre. Je léchais, aspirais, mordillais cette poitrine généreusement offerte. Maman avait enfoui son visage dans mon cou, les bras noués dans mon dos. C’est alors que je réalisais qu’une main me masturbait lentement, tandis que le corps de ma mère semblait lentement s’affaisser sur moi. Le contact de son sexe brûlant et mouillé sur mon gland me fit réaliser que mon père, le plus naturellement du

monde, me guidait vers une pénétration en bonne et due forme de sa femme, ma mère. Et en effet, lentement, en gémissant doucement, elle s’empala sur ma verge dressée. Nous avons longuement fait l’amour ainsi, elle sur moi, mon père attentif à ce que je la reprenne bien lorsque son va-et-vient m’avait fait sortir d’elle. Elle m’avait tellement bien vidé avec sa bouche, que je fus long avant de pouvoir jouir à nouveau. Lorsqu’enfin j’explosais au plus profond d’

elle, elle avait déjà joui trois fois, le visage toujours blotti dans mon cou.

J’étais profondément endormi, terrassé de plaisir, lorsqu’elle se releva et que tous deux me laissèrent seuls dans le sauna. La nuit était bien avancée lorsque je me suis réveillé, me persuadant difficilement que tout cela n’avait pas été qu’un rêve.

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