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S'envoyer en l'air – Chapitre 1

S'envoyer en l'air - Chapitre 1



Bonsoir. J’envole un baiser vers vous. L’attraperiez-vous? Mike, 38 ans M’envoyer en l’air !

Quarante ans ! Je venais d’avoir quarante ans ! C’était mon anniversaire ! Et par la même occasion mon vingtième anniversaire de dépucelage… oui j’ai fait l’amour pour la première fois le soir de mes vingt ans. Il s’appelait Stéphane, grand, charmant, sans être beau mais d’une sensualité envoûtante. Quand je ferme les yeux, je ne me rappelle que du toucher ferme de ses fesses que je pétrissais quand son dard charnu me pénétra moi et mon hymen… Souvent je referme les yeux, seule dans mon lit pour y repenser et quand je visualise cette scène, son cul bombé, c’est là que s’enfonce mon gode en moi d’un coup sec à m’en refaire saigner cet hymen qui n’est plus que virtuel. Les tétons pointés vers le ciel, je m’envole, essoufflée et cambrée.

Tout a été bien fait : soirée surprise, amis, amant etc… Et cadeaux évidemment. Et là encore l’envol… Non pas celui auquel vous pensez petites lubriques et vilains coquins… Quoi que…

Ils ont décidé de m’offrir entre autres un baptême de parachute. Les beaux jours arrivant, je décide de m’inscrire et de brave ma hantise du vide?

Dans la salle de briefing, j’écoute sérieusement et laisse quelqu’un d’autre que moi demander s’il y a un risque que le parachute ne s’ouvre pas. Je ne passerai pas pour une idiote, bien que je le sois.

Le monsieur avec les auréoles estivales sous les bras nous explique que l’on ne va pas sauter seul, mais en binôme avec un instructeur… pas lui, pas ce Jean Claude Duss qui va m’asphyxier par ses aisselles, non pas lui s’il vous plaît.

Divine surprise.

Stéphane (oui c’est fou!), sera mon instructeur. Heureusement qu’il est charmant, car la peur du vide me faisait hésiter à rentrer dans l’avion. Mais là je ne peux plus refuser… La quarantaine sûrement naissante, ses premières rides sur son corps de jeune homme lui donnent un peu de profondeur. Son sourire maîtrisé aurait tendance à me faire craquer… Je vais me sentir en sécurité entouré de sa carrure musculeuse.

On s’attache l’un à l’autre, moi lui faisant dos. C’est un peu gênant mais il est sympa et je me sens détendue.

3..2…1… et nous plongeons dans le vide, ventre vers le sol. Je vole, je me sens légère. Je n’ai plus peur. C’est beau !

Mais dans ce paradis non terrestre, quelque chose me turlupine. Je sens le harnais le long de mes fesses. C’est bizarre. Ça ne me dérangeait pas au début. Ou alors… ou alors il bande ? La proximité de sa verge est de mes fesses ne formeraient donc plus qu’un ? Mais oui il bande ! Pour une surprise Je ferme les yeux et me laisse aller à ces étranges sensations… Je suis en apesanteur, attachée à un homme inconnu qui a la queue raidie, la force du vent me fait vibrer de partout (oui de partout), et je me laisse tomber. Je frissonne. Je fais frotter mes cuisses comme je peux pour sentir mon entrejambes qui s’ouvre à cette nouvelle aventure. Je gémis doucement de plaisir. Je ne sais rien de son vit : petit, gros… ? En tout cas je sais qu’il est dur.

Je me laisse planer… oui je plane…

Mais avant que je jouisse le parachute s’ouvre. Trop tôt. Et je le sens débander. Je ne saurai jamais s’il a juste repris ses esprits ou s’il s’est ramolli après avoir vous savez quoi…

Il se remet à me parler l’air de rien. Mais tu t’es fait plaisir ducon ! Fais-le-moi savoir. Je ne t’accuse pas de frottage… je suis juste bandante et tu étais collé à moi de fait. Ah oui je ne vous ai pas dit, je suis bandante ! Assez petite et fort mince, j’ai un fessier adorable. Ni anguleux ni gras, ni plat ni celluliteux, musclé même. Ma peau mate de métisse originale (Thaïlandaise par ma mère et Brésilienne par mon père, je ne sais pas où ils ont bien pu se rencontrer ceux-là) est d’une douceur sucrée. Mes yeux en amande ajoutent une coquetterie un peu allumeuse. Mes seins ? Bon passons ; et puis ça m’évite de me faire trop tripoter comme une vache à mamelles. Ma bouche ? Je vous y attends… Mon sexe ? Chaud, luisant, fin, accueillant, et profond…Mon anus ? On se calme… sauf si tu sais insister un peu… Mes cheveux ? Noirs bien sûr, et courts pour mettre mon minois en valeur. Mes jambes ? Petites et fines. Mes mains ? Baladeuses et curieuses ? Ça y tu me vois ? Oui c’est à toi que je parle parachutiste lubrique…

Le sol approche…fini le rêve aérien…

« Alors ? » Me dis-tu. Mais quoi alors, « alors toi? » plutôt…Qui a pris son pied ? Ok tous les deux. Il a les yeux brillants… il a joui j’en suis certaine à présent.

Mais comment te revoir maintenant ? Quel prétexte ?

« Je donne aussi de deltaplane si vous n’avez pas eu trop peur ! Voici ma carte avec mon portable. Je m’appelle Jed. » Voilà plus besoin de prétexte. Je m’en retourne chez moi.

Une douche vite. Propre je me jette sur mon lit à peine séchée. Je ne veux pas me rhabiller. Je veux repenser à ce moment en lévitation. Mon traversin à la place de mon harnais se colle à moi. Hum… ce frottement … Je me cambre et débute quelques va et viens. Ce n’est plus du tissu, c’est un corps entier auquel je me frotte. Mon clitoris bande. La taie de traversin devient humide. Je suis belle dans ce lit. Impudique seins contre lit, fesses contre plafond. J’ai besoin d’une bite. J’ai pas de gode. Ma petite lampe torche fera l’affaire. Je veux me voir excitée et excitante, et me fait face au miroir. Je me caresse les seins ; mes tétons se font durs tandis que mon vagin est pénétré en douceur. Je t’imagine sur moi Jed. Je râle, prononce des « hum », des « ahrrhh », des… Le plaisir devient exponentiel. Je goûte mes doigts trempés, c’est sa sale je me dis, mais c’est d’autant meilleur. Mon souffle est court. Je vais jouir de mon clitoris que je masse énergiquement. Ma lampe m’amène au ciel… il y-aurait-il un génie à l’intérieur. Je crie maintenant, je viens, je viens… Dans un dernier souffle je m’effondre exténuée de cette journée.

Je veux dormir mais n’y arrive pas. Je pense à toi mon cochon.

00h00 ; il n’est pas trop tard pour t’envoyer un SMS ? Oui sûrement mais je le fais.

« Merci pour cette journée. C’était très agréable pour moi… Pour toi aussi j’espère. Lucille ».

Mais diantre, il n’y a pas que mes yeux qui sont allumeurs.

« Pour moi c’est mon métier » me répond ce connard.

« Je crois que tu es allé bien plus loin que ton métier… »

« C’était très bon » avoue-t-il enfin.

« Ah oui très très bon et à recommencer…. » j’ajoute. « C’était bon de s’envoyer en l’air quand même ». Je ne suis plus une allumeuse là… plutôt une salope. « Tu veux recommencer ? » me propose-t-il.

Il n’est pas si timide l’éjaculateur aérien.

Je feins de comprendre… « Tu as un avion si tard à me proposer… »

« Non un lit. »

Cinquante minutes trop longues plus tard il était chez moi.

Je n’avais pas fermé la porte. Il est rentré à tâtons. Il m’a trouvée dans le salon face à lui, assise nue sur une chaise, une cravate à peine nouée autour du cou, une jambe ua sol, l’autre pliée sur la chaise… Oui comme Pretty Woman attendant Richard Gere.

Il s’est approché de moi en enlevant son t-shirt. A ouvert sa ceinture. J’ai déboutonné son pantalon et ai fait glisser sa braguette le long de sa verge (il avait prévu de ne pas mettre de caleçon). Elle n’était ni grande ni petite, mais fièrement dressée. Mes lèvres vinrent l’enserrer sous son râle de plaisir. Mes mains accrochées à ses fesses accompagnaient ma bouche qui le gobait. Ses couilles étaient lourdes malgré qu’elles se soient vidées ce matin. Douces et rasées, elles étaient bonnes à mordiller.

Il me tira par le bout de ma cravate m’amenant à me coucher ventre sur le lit. Il s’est agenouillé puis a baladé ses mains sur tout mon corps, puis s’est fait plus précis en s’engouffrant dans ma féminité la plus humide. Ce que ses mains étaient fermes et savaient où m’emmener, Je ne pouvais contrôler de petits cris sauvages. Sa bouche est venue se déposer sur mes fesses. Sa langue sortie m’explora l’anus qui se détendait. Il sortit une capote… le moment tant attendu allait arriver… Sa verge se rapprocha de ma chatte, mais je le l’arrêta et lui susurra « Encule-moi »… ces deux mots sont d’une vulgarité extrême mais susurrés, devienennt d’un vertige ahurissant. J’avais les bras en croix quand il me déchira l’entrée obscure. Ses bras recouvraient les miens. Nous avions ainsi la même position que lors du saut en parachute. Il bandait très fort. Je jouissais en permanence. Il éclata en moi de jets violents.

C’est bon de s’envoyer en l’air.

Encore m’envoyer en l’air.

Encore un matin difficile. Le même train-train. On se lève comme un zombie. Douche, café et embouteillages à gogo.

Mais bon, il faut sourire et prendre du plaisir à ce que l’on fait.

Je suis arrivé à la fin du briefing. Juste à temps pour entendre le con du matin demander s’il y avait un risque que le parachute ne s’ouvre pas. En général on parie pour savoir quel blaireau posera la question. A tous les coups il va être pour moi celui-ci. Et bim, je regarde le tableau weleda,et voilà, je vais devoir me le farcir. Non, je ne vais pas le faire… non… ah ben si je suis en train de le faire. J’efface son nom et mets celui d’en dessous à la place. Petit tour de passe-passe et me voilà à faire le G.O. avec Lucille.

« Bonjour Lucille. Moi c’est Stéphane ».

Bon soyons clair, la première chose que je me dis en la voyant c’est : « waouahhhhou ».

Elle est jolie de partout. Ses yeux, la vache ses yeux… ils m’ont transpercé. Mais qu’elle arrête de sourire je ne vais pas tenir. Non Stéphane ne baisse pas les yeux, non ne fais pas ça… Trop tard ! Quel corps. Elle est toute petite, mais pour rester poli, je vais dire qu’elle est super bien proportionnée.

Elle m’intimide. Je crois que c’est son regard qui ne me laisse pas de répit. Elle me scrute, m’observe et m’épie. Soir je lui plais soit elle est flippée de monter dans l’avion.Mais en général elles sont plutôt flippées de sauter de là-haut, rêve pas grand imaginatif !

Je lui attache son harnais, le faisant passer sous ses cuisses. Elles sont si fines. Accroupi j’ai l’impression que je vais lui faire un cunni. Promis je ne suis pas un pervers, mais tout en elle incite à la chose. Elle respire la sensualité et réveille en vous quelque chose d’animal. Et je ne parle pas d’envie de cul, je parle d’envie de l’étreindre, de jouir avec elle, en elle.

J’aime son parfum et sa nuque longue.

Elle se retourne et m’offre un délice de fesses rebondies.

Je me concentre pour ne pas fixer mes yeux sur elle et du coup le reste de mon attention se relâche ; c’est alors que ma verge se tend. J’arrive à me contrôler et diminuer mon excitation.

On va devoir s’harnacher l’un à l’autre.

Elle me jette un dernier regard avant que la porte de l’avion ne s’ouvre.

1…2…3… et on se jette dans les airs.

Face à ses fesses je kiffe. Mais je me remets à trop kiffer. Heureusement que le harnais nous sépare et qu’elle ne me sent pas durcir. Alors pourquoi me contrôler. C’est la première fois que je bande en sautant. C’est divin. Je sens son cul mouler mon gland qui se gonfle. Je voudrais la toucher, lui mettre un doigt dans la bouche, palper ses petits seins, mais je dois juste (c’est déjà pas mal) sentir ma bite lui frotter le cul.

J’entends des petits cris de sa part. Elle semble avoir un peu peur.

On est quand même près du sol, et je me vois obligé d’ouvrir le parachute qui d’un coup nous stoppe dans notre chute. Et bizarrement, c’est à ce moment-là que j’ai éjaculé dans son dos sans qu’elle ne se rende compte de quoi que ce soit.

Mon boxer semble trempé quand nous atterrissons.. On se désamarre l’un de l’autre. Je lui souris en riant dans ma barbe. Dommage que nous nous arrêtions là. Je lui laisse quand même ma carte de visite sous prétexte que je travaille ailleurs, si elle veut connaître d’autres sensations. Mais c’est plutôt moi qui aurais voulu avoir sa carte. Elle ne ma rappellera jamais.

Je rentre chez moi. Direction la douche. J’enlève mon boxer qui me colle de partout et qui sent le foutre à plein nez. Elle n’a pas dû sentir que je bandais, mais j’espère que son odorat n’était pas trop développé. Je me repaluche sous la douche machinalement en fermant les yeux. Je pense à elle et je jouis rapidement sur la vitre de ma douche. Je vais me coucher directement. Fin de journée.

Un SMS me réveille.

« Merci pour cette journée. C’était très agréable pour moi… Pour toi aussi j’espère. Lucille ».

Je vais être poli et lui répondre.

« Pour moi c’est mon métier ».

« Je crois que tu es allé bien plus loin que ton métier… » Pourquoi elle me dit ça ? Elle m’a grillé ? Je lui réponds quoi maintenant ? J’ai cru jouir comme un porc en toute discrétion. Elle va me faire virer ? De toute façon ridicule pour ridicule autant la jouer franc jeu.

« C’était très bon »

« Ah oui très très bon et à recommencer…. C’était bon de s’envoyer en l’air quand même ». Je relis quatre fois son message, ahuri et ravi. Et j’enlève mes dernières réserves

« Tu as un avion si tard à me proposer… »

« Non un lit. » Tout était dit.

C’est comme ça que je me suis retrouvé chez elle dans l’heure.

J’arrive devant une porte entrouverte… C’est donc bien le lieu de l’invitation. Je passe une porte, puis deux et à trois mètres de moi, elle se trouve lascive et quasi nue (à l’exception d’une cravate autour du cou) assise sur une chaise, les jambes légèrement ouvertes montrant sa chatte aux lèvres un brin écartées.

Elle est superbe. Je m’avance vers elle, en retirant mon t-shirt. Me voilà à un mètre du bonheur, dégrafant ma ceinture. Je suis face à elle et elle termine le travail en déboutonnant mon jean. En faisant glisser le zip de mon pantalon, elle a la surprise qui semble la faire sourire, qu’aucun dessous n’enserre ma verge. Je suis à quelques centimètres de son visage quand ma braguette est toute descendue. D’un coup sec ma verge claque son visage. Elle commence à me sucer, tout en s’attardant sur mes bourses dénuées de tout poil. Elle s’agrippe à mes fesses en me les malaxant.

Je l’emmène vers le lit face sur le matelas.

Je me retrouve à nouveau dans son dos. Mes mains baladeuses se plaisent à la déchiffrer. Je deviens plus pressant me rapprochant de son con que je taquine. Ma langue s’aventure sur ses fesses puis vers son minuscule trou interdit. Elle semblait apprécier. Je me caresse la verge, avec l’envie de la voir fin prête à la pénétrer. Je me relève et prends la même position que nous avions en parachute, ma queue sur ses fesses. Je sens l’humidité de sa chatte que je vais pénétrer quant à ma surprise et à ma joie, elle me murmure : » encule-moi ». C’est ce que je fis sur son anus lubrifié par ma langue.

Ma queue déchargea rapidement de plusieurs jets qui me troublèrent la conscience.

C’est bon de s’envoyer ne l’air.

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