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Surnaturel – Chapitre 3

Surnaturel - Chapitre 3



L’ensemble des habitants de l’île de Martinicius sont invités à écouter le roi Artonium. Ce dernier pense avoir fait une découverte incroyable. Il demande aux soldats de faire sortir de prison Joanius.

Il prend maintenant la parole. Après avoir visionné les premières inséminations, la plupart des gnoninums ont pu féconder leurs partenaires. S’en suit une valse d’applaudissement de la part des habitants. Et un seul, n’a pu effectuer cet objectif, il s’agit de Joanius qui était parti seul à la recherche de sa proie.

Le roi racle sa gorge afin d’être le plus clair possible, puis annonce que les gnoninums ne peuvent procréer que lorsqu’ils font l’amour ensemble ou alors à proximité. Pour preuves, les autres l’ont fait en présence d’un autre. Il effectue alors une proposition qui sera suivie d’un vote.

Il propose à l’assemblée de libérer Joanius afin de lui donner une deuxième chance, et donc de lui permettre de se reproduire en fonction de la nouvelle donnée qui a été constatée par le roi. La plupart des habitants ont levé la main.

Il sort officiellement de prison, et est envoyé à Tokyo là où une population assez réduite a su résister à la guerre. Il y a environ cinquante mille habitants, c’est dire par rapport à ce qu’il en était encore en deux mille vingt. Mais le sort ne s’est pas acharné et les gens ont continué de vivre le plus paisiblement possible.

Joanius et Trétus sont à présent dans la capitale japonaise, le calme est assez surprenant. Puis les deux gnoninums se mettent à la recherche de deux filles. Ils fréquentent les bars de la ville, les transports. Mais rien de bien extraordinaire. Ils prennent la décision d’aller dans un supermarché afin de déguster des produits locaux et effectuer une pause déjeuner.

Ils traînent dans les rayons, mais ne comprennent pas grand-chose. À un moment donné, ils sont sortis de leur recherche par deux trentenaires bilingues. Elles parlent aussi l’anglais, ce qui facilite le contact. Les gnoninums connaissent l’anglais, l’espagnol, mais pas le japonais.

Les deux femmes leur proposent même de les invités à leur domicile afin de leur faire un repas typiquement local. Joanius et Trétus se regardent et approuvent cette invitation. Ils suivent Katsu et Aïko, arrivent au pied d’un gratte-ciel, puis montent au vingtième étage.

Ils entrent dans un appartement spacieux, et très chic. L’accueil est très cordial. Les deux gnoninums sont invités à s’asseoir sur un canapé. Katsu leur sert une bière locale, et quelques chips à base de crevettes. Le quatuor discute de tout et de rien, puis très rapidement des odeurs alléchantes envahissent la pièce de l’appartement. Ils déjeunent tous ensemble, puis se reposent quelques instants.

C’est à ce moment-là que les extraterrestres envoient les phéromones. En guise de digestif, Aïko propose au groupe de boire un saké. Tout le monde accepte, et la tradition de la personne nue au fond du verre prête à rire. Katsu s’échappe dans la cuisine afin de faire la vaisselle. Elle est vêtue avec un tailleur, elle est assez sexy. Elle a une jolie poitrine, mais des fesses assez plates. Trétus en profite pour la rejoindre et lui proposer son aide.

La trentenaire refuse dans un premier temps, car dans la tradition l’homme ne fait pas les tâches ménagères au Japon. Trouvant cette spécificité ridicule, le gnoninum aide malgré tout la femme. Cette dernière apprécie le geste. Il essuie les couverts, les assiettes, puis à la fin, il s’amuse comme un enfant en aspergeant d’eau Kastu. Un peu coincée, cette dernière se prête au jeu. Elle enlève sa veste de tailleur, puis redouble dans son amusement.

Les deux partenaires sont légèrement mouillés. Sauf, que la chemise blanche de la trentenaire devient transparente. Le Gnoninum s’aperçoit de la chose et voit clairement deux auréoles sombres apparaître. Son regard reste fixer sur la poitrine de la femme qui finit par y poser ses mains afin de cacher ses seins. Elle semble gêner par la situation.

L’extraterrestre qui a pris l’apparence d’un être humain depuis le début de la rencontre, s’approche de la femme. Il lui enlève les deux mains afin de voir de plus près les tétons de cette dernière. Et lui dit simplement que c’est dangereux les jeux avec l’eau. Elle ne peut que confirmer les propos de ce partenaire audacieux.

Trétus continue de charmer la trentenaire. Dans le salon, Joanius demande avec une certaine malice si ce qu’il y a dans le verre est une réalité. Aïko ne comprend pas le fond de la question, puis ce dernier lui montre la pilosité de la personne nue qu’il y a au fond du verre.

La femme répond d’une façon banale qu’au Japon, il y a certainement des gens sans poil et d’autres avec. Joanius se retrouve dans une situation désagréable car il ne trouve pas d’alternative, puis soudain une idée lui vient à l’esprit.

Et demande à Aïko si elle effectue des massages. Petit plaisir traditionnel du Japon. Elle répond par l’affirmative. Le gnoninum en profite pour lui demander si c’est possible de bénéficier de ce bien fait.

Aïko un peu hésitante accepte. L’homme se met en caleçon, et la trentenaire effectue le massage. Il envoie bien entendu des phéromones et le plaisir qu’il ressent décuple cette création. Au bout d’une demi-heure, la japonise signale à l’extraterrestre que l’activité est terminée.

Il lui explique alors qu’il masse lui aussi. Il propose à la femme de se mettre en sous-vêtement. Ayant confiance à cet individu, elle ne refuse pas. Elle s’allonge sur le ventre, et le gnoninum commence son activité. Il varie les plaisirs en massant, mais aussi en caressant le dos de sa partenaire.

Étant gêné par le soutien-gorge de cette dernière, Joanius lui demande s’il peut le dégrafer. Aïko accepte. Ses gestes sont désormais beaucoup plus sensuels. Il passe sur le côté du corps, ce qui provoque des frissons à la trentenaire. Il effectue quelques caresses sur ses cuisses, sur ses mollets puis remonte vers les fesses qu’il effleure à peine.

Dans la cuisine, Trétus propose à Katsu de défaire la chemise. Elle ne refuse pas, il enlève un à un les boutons, puis voit apparaître cette poitrine tant convoitée. Il ne se prive pas de lui aspirer les tétons lorsque ces derniers apparaissent. Il malaxe, et lèche avec passion les seins de la Japonaise. Celle-ci a la tête qui part en arrière. Le plaisir qu’elle ressent est savoureux. Le gnoninum continue son effeuillage en glissant une main sous la jupe de cette dernière qu’il soulève afin de regarder le string de sa partenaire.

Il le fait glisser à ses chevilles, puis plonge sa tête en direction de la vulve de la trentenaire. Il découvre un sexe avec un ticket de métro. Mais, ça ne l’empêche pas de goûter à la liqueur de ce vagin qui brille d’excitation. Trétus fait glisser sa langue dans le puits d’amour, puis la remue à l’intérieur. Il joue avec le clitoris, et dans le même temps titille le point G.

Katsu est complètement conquise par ces préliminaires. Elle se met à genou, enlève le pantalon de Trétus et aspire son gland avec une détermination incroyable. Comme tous les habitants de Martinicius, le goût du liquide séminal est sucré. La femme savoure alors avec plaisir ce jus. Le gnoninum relève sa partenaire, la positionne à plat ventre sur la table et la prend en levrette. N’ayant pas l’habitude de recevoir en elle un sexe aussi volumineux, elle effectue une petite grimace et très rapidement un sourire de plaisir apparaît sur son visage. De l’autre côté, dans le salon, Aïko profite des mains délicieuses de Joanius.

Le massage qu’il effectue depuis vingt bonnes minutes, devient de plus en plus érotique, puisque les mains de ce dernier s’aventurent de plus en plus entre les cuisses de la femme ou sur les côtés de sa poitrine. Sensation qui l’invite à l’interdit.

Soudain, à un moment donné, le bas du corps du gnoninum s’approche du visage d’Aïko, lorsque ce dernier lui caresse la nuque. La trentenaire n’hésite pas une seconde lorsqu’elle saisit le paquet surprise à travers le pantalon de Joanius. Afin de l’aider, ce dernier enlève la fermeture éclair et fait apparaître sa verge devant les lèvres de sa partenaire.

Celle-ci le prend en bouche et savoure le jus sucré. Dans le même temps, Joanius lui caresse la poitrine, puis laisse sa main s’aventurer en direction des fesses de la trentenaire. Il écarte le sous-vêtement et glisse deux doigts dans sa fente humide.

D’ailleurs, il ne tarde pas à glisser sa tête entre les globes afin d’offrir un cunnilingus à sa partenaire. Il fouille la totalité de son vagin, et de son anus. Il monte à présent sur le canapé, se positionne derrière sa partenaire, présente son sexe tendu à l’entrée de la grotte puis d’un coup de reins prend possession de Aïko. Il la besogne sauvagement, elle pousse des cris de plaisirs qui résonnent avec ceux de Katsu.

Cette dernière est en compagnie de Trétus, elle n’est plus en levrette, puisque ce dernier la posée sur la table, les jambes écartées outrageusement. Il pilonne sa partenaire avec beaucoup d’envie. Katsu est en extase totale, elle expulse une quantité de cyprine incroyable. Elle n’avait jamais joui ainsi.

Le gnoninum est heureux de voir que son activité procure du plaisir à sa partenaire. Au bout de dix minutes de missionnaire et de léchage de seins, il se répand dans le vagin de Katsu.

Dans le salon, Joanius est beaucoup plus tendre avec sa partenaire, il la prend en cuillère, fait claquer les fesses de cette dernière avec le bas de son ventre. Aïko est encore plus conquise, lorsque ce dernier glisse un doigt dans son anus. La double sensation lui provoque un orgasme. Elle éjecte de la cyprine sur le membre de son partenaire. Celui-ci en profite, pour la sodomiser, puis n’oublie pas les fondamentaux de la fécondation en retournant dans le vagin de la trentenaire. Il la prend en missionnaire pendant un quart d’heure et gicle une quantité de sperme incroyable dans les entrailles de cette dernière.

Les deux femmes plongent dans un sommeil profond, et les deux gnoninums sont téléportés dans l’île de Martinicius. Le roi Artonium les accueille, il diffuse les images concernant la fécondation, et la joie expressive de Joanius s’exprime lorsqu’il voit ses spermatozoïdes envahir les ovaires d’Aïko.

Cette réussite prouve que les gnoninums doivent être deux ou plus dans un même lieu à proximité afin d’atteindre leurs objectifs.

Le roi propose à ses collaborateurs quelque temps de repos afin de voir si le pouvoir se met en place.

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