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Service clients – Chapitre 17

Service clients - Chapitre 17



Désolé pour cette longue attente, voici la suite de ce week-end si instructif pour Gaëlle et moi….

Aux alentours de 19h00, la table est mise, et même agrémentée de quelques bougies et galets, lapéritif est prêt dans le salon, je suis habillé décontracté et jécoute de la musique classique qui sort dune enceinte un peu spéciale, étonnante de puissance et de qualité sonore, qui ressemble à une simple colonne mais qui intègre toute une électronique capable de lire le contenu du petit appareil posé sur son socle, tout en haut, et qui se révèle être un simple Ipod.

Gaëlle est à mes côtés, debout, prenant la pose. Elle est habillée de manière quelque peu caricaturale, puisquelle arbore un chemisier blanc dun coton très fin et presque translucide, laissant apercevoir sa peau nue. Il est déboutonné largement et donne une bonne vision de son décolleté, et surtout de labsence de port de soutien-gorge. Plus bas, elle arbore une jupe froissée (volontairement) bien au-dessus du genou et des bas noirs qui gainent ses jambes. Ses pieds sont chaussés descarpins noirs très pointus, modernes, et comportant un talon fin de plusieurs centimètres. Ne seraient-ce les chaussures, on pourrait la prendre pour une employée de maison. Je lui ai fourni lensemble de ses vêtements, peu après 18h00, avec une partie du maquillage, et des instructions précises. Un rouge vif orne ses lèvres, un blush accentue le rose de ses joues, ses cils sont maquillés sans être trop chargés, de même pour le fard à paupières, assez léger. Le but est de faire ressortir davantage sa beauté, non de la faire ressembler à une prostituée de bas étage. Ses cheveux sont impeccablement coiffés, et tombent en cascade sur ses épaules.

La voir à mes côtés, debout, en position dattente, me paraît presque un rêve. Pour me convaincre que cest bien la réalité, je passe de temps en temps la main sur ses bas et je remonte vers le haut de ses cuisses. Ma main sinsinue sous sa jupe et caresse sa peau nue, près de ses fesses. Bien entendu elle ne porte pas de culotte, et je me régale de flatter son sexe légèrement ouvert et humide. De temps en temps jactionne la télécommande à cadran posée sur laccoudoir du fauteuil, et jai à chaque fois le plaisir de la voir se contracter en poussant un petit bruit de surprise, des fois un cri étouffé, des fois un gémissement, dautres fois elle arrive presque à rester silencieuse mais ne peut se retenir de se plier légèrement en avant. Luf à picots qui se trouve dans son vagin sactive à chaque fois sur un mode différent, lent, staccato, vibrations aléatoires, elle ne sait pas sur quelle touche jappuie. Et je nabuse pas de lappareil, le réservant pour plus tard. Néanmoins, son corps semble apprécier puisque le doigt que jai plongé en forme de sonde dans son puits damour en est ressorti tout mouillé. Je lui ai aussitôt ordonné de se mettre à genoux et de le sucer jusquà ce quil ne reste plus dodeur de son plaisir.

Aux alentours de 19h30, quelques coups sont frappés à la porte dentrée. Jordonne à Gaëlle de rester sur place tandis que je me lève pour aller ouvrir à mon invitée. Au lieu de la faire entrer de suite, je sors dans la cour. Elle est surprise que je ne la fasse pas pénétrer dans la demeure, car la soirée est fraîche. Heureusement il ne pleut pas.

« Bonsoir Karine. Pardonne-moi de te retenir ici quelques instants, mais je voulais te prévenir avant que tu entres que jai une autre invitée, afin que tu ne sois pas surprise »

« Pourquoi le serais-je ? Cest toi le maître des lieux ! » Elle la dit sous forme de boutade mais je ne peux me retenir de sourire devant le double sens de ses propos, sans quelle ne le sache

« Bien sûr mais tu la connais »

« Ah bon ? Qui cest ? »

« Quelquun qui avait très envie de mieux te connaître, et qui vaut la peine dêtre mieux connue »

« Tu mintrigues, là ! Tu la connais, je la connais et elle veut mieux me connaître ? On dirait quon est revenu aux années collège ! »

« Non, pas vraiment, mais à défaut de collègeon passe du temps ensemble tous les jours »

Elle écarquille les yeux « Nooon ! Ce ne serait pas »

Je ne la laisse pas terminer sa phrase et lui ouvre la porte afin quelle me suive. Jai mis un doigt sur ma bouche pour lui intimer lordre de ne pas prononcer dautres paroles. Je la conduis dans le salon. Le feu crépite dans lâtre. La lumière est tamisée. Gaëlle se trouve toujours debout, à côté du fauteuil, dans sa pose de soumise, son chemisier entrouvert, ses jambes légèrement écartées. Lorsquelle voit qui entre avec moi, elle ne peut sempêcher douvrir la bouche en grand, mais aucun son nen sort.

« Hé bien, Gaëlle, on naccueille pas notre invitée ? Tu pourrais au moins lui dire bonjour, et prendre sa parka ! »

Gaëlle se reprend rapidement « Oui, MMonsieur. Bonsoir Karine, comment allez-vous ? » Jai rappelé à Gaëlle quune de mes premières instructions exigeait quelle ne mappelle Maître que lorsque nous étions seuls. Le reste du temps elle devait sadresser à moi en mappelant Monsieur.

Karine a également la bouche grande ouverte, mais elle lui répond « Bien. Javoue que je mattendais pas à te trouver ici » elle finit sa phrase en me regardant dun air interrogateur, et je pourrais interpréter cela par « Hé ben mon salaud tu ne tembêtes pas ! » ou « cest quoi cette embrouille ? »

Je souris en madressant à Karine, tandis que Gaëlle la débarrasse et va déposer ses affaires sur un cintre dans un placard « Comme tu le vois, jai accepté daider Gaëlle à travailler sur plusieurs matières car elle souhaite réaliser un parcours professionnel pour devenir cadre. Nous sommes donc en séminaire détudes, ce week-end. En retour, elle a bien voulu accepter de nous servir dhôtesse pour notre soirée. Nest-ce pas, Gaëlle ? »

« Tout à fait, Monsieur ! Je serai ravie de vous servir..dhôtesse ! »

Karine jette un regard soupçonneux sur moi. Vraisemblablement elle ne croit pas un mot de ce que je viens de raconter et se demande où je veux bien en venir avec cette mise en scène. Est-ce pour la tenter ? Si cest simplement une aventure entre moi et ma jeune employée, pourquoi lavoir faite venir ? Elle ne comprend pas bien le jeu auquel je joue.

« Prenons lapéritif dans le salon. Installe-toi donc dans ce fauteuil, près du feu. Gaëlle va soccuper de tout. »

Karine senfonce dans le fauteuil moelleux à la place que je lui ai indiqué, toujours sur ses gardes, javance mon fauteuil pour réduire la distance entre nous deux. Gaëlle à peine disparue dans la cuisine, Karine se penche vers moi « Quest-ce qui se passe ici ? Tu aurais pu me prévenir que toi et elle Et cest quoi cette histoire dhôtesse ? »

Je lui réponds avec un sourire innocent « Quest-ce quil y a ? Ca te dérange si Gaëlle est là ? Tu veux que je lui dise de nous laisser seuls ? Javais cru comprendre que tu lappréciais ? »

« Ce nest pas ce que jai voulu dire » se défend-elle. « Mais quest-ce quil y a entre vous ? Je ne crois pas une seconde que tu laies engagée pour faire un extra ! »

Je me moque gentiment delle : « Mais quest-ce que tu es soupçonneuse ! Ecoute, il me semble que si quelquun doit avoir des problèmes éventuels, cest bien moi. Alors keep cool et apprécie linstant présent, tu veux ? Si ça te rassure, je nai rien programmé pour te nuire dune quelconque manière. Je pensais juste que tu serais contente quelle soit là, cest tout. Encore une fois, si tu ne souhaites plus la voir, tu nas quà le dire, et elle disparaîtra. Alors ? »

Elle réfléchit quelques instants, laissant Gaëlle entrer en portant un plateau comportant deux verres, une bouteille de Redbreast (un excellent whiskey qui se prête très bien à lapéritif) et quelques amuse-gueules. Karine est tellement concentrée sur ses pensées quelle ne remarque même pas quil manque un verre pour nous trois. Finalement elle lâche en me regardant « Non, cest OK » sans en dire davantage. Je lui souris en servant le whiskey sans glace dans les verres tulipe et lui tend le sien. Cest alors quelle remarque que Gaëlle naura pas de verre mais également quelle se tient debout, à mes côtés, légèrement en retrait, les bras derrière le dos. Elle ne fait pas de commentaire, après tout si elle est là pour nous servir dhôtesse, elle nest pas censée participer aux libations. Je me sers également et nous trinquons « A lamitié ! ». Nos verres sentrechoquent à peine et je déguste la première gorgée après avoir humé lodeur de fruits rouges caractéristique de ce breuvage. Je sais que Karine lapprécie également pour lui avoir fait goûter précédemment.

Nous commençons une discussion plus légère et latmosphère se détend un peu. Quelques gorgées et bouchées y contribuent. A un moment, sentant linstant propice, je me tourne un peu vers Gaëlle et lui propose « Tu veux goûter ? » en lui tendant un peu le verre. Elle savance vers la table basse et fait mine de prendre le récipient de mes mains. Je le recule un peu et la gronde « Non ! Approche-toi de moi et mets-toi à genoux ! ». Elle rougit aussitôt mais sattendait un peu à ça. Elle se met devant laccoudoir droit du fauteuil, de trois-quart, toujours les bras dans le dos, les coudes pliés, et sagenouille. Du coin de lil, je constate que Karine est interloquée devant cette scène, mais nen perd pas une miette. Japproche le verre des lèvres de Gaëlle, quelle entrouvre pour absorber une petite gorgée. Nayant pas vraiment lhabitude de boire de cette manière, elle laisse échapper un mince filet le long de son menton. Je lessuie doucement du pouce de ma main libre.

« Ca te plaît ? » lui demandès-je devant une Karine qui regardait toujours avec intensité

« Oui, Monsieur. Il est très doux. »

« Exact. Cest un whiskey, donc irlandais, qui est parfait pour lapéritif et qui plaît même aux femmes, qui napprécient pas toujours les alcools forts, grâce notamment à son odeur et son goût de fruits rouges. »

Gaëlle reprend sa place peu après et nous reprenons notre conversation avec Karine. A certains moments, jindique à Gaëlle dun mouvement de la main de proposer des amuse-gueules à Karine, ce quelle fait en se penchant devant elle, et je mamuse de constater que Karine ne peut sempêcher de reluquer la poitrine offerte derrière le décolleté plongeant. A ce moment, je ne peux mempêcher dappuyer sur la télécommande. Gaëlle sursaute et manque de renverser le plateau. Heureusement elle le rattrape et Karine regarde la scène alarmée, pensant quelle est sujette à une brusque douleur. Elle ne peut sempêcher de lui demander : « Ca va ? ». Celle-ci répond « Oui, oui. Ce nest rien. Ca va passer ». Je souris intérieurement devant ce dialogue.

« Je te propose de passer à table. Gaëlle, tu toccupes de servir lentrée ? »

« Oui, Monsieur » répond-elle avec une déférence très domestique.

Nous sommes attablés face à face avec Karine, et je profite que nous soyons à nouveau seuls pour la titiller : « Alors, elle ne se débrouille pas trop mal, non ? »

Elle me répond avec un rire un peu nerveux « Oui..ouiet sur quels sujets as-tu travaillé avec elle aujourdhui ? »

Je lui répond innocemment « Hé bien, dabord nous avons fait du sport ce matin. Ensuite, je lai interrogée sur plusieurs sujets que je lui avais demandé de réviser : histoire, géographie, économie, géopolitique, etc Enfin jai travaillé avec elle lexpression orale et la maîtrise de soi dans les situations difficiles »

Elle siffle entre ses dents, appréciative « Tout ça en une journée ? Ben dis donc elle doit être crevée ! »

« Je pense quelle a eu effectivement une journée riche, mais lendurance fait aussi partie de son entraînement. Et puis un responsable doit aussi savoir se mettre au service des autres. Du moins cest ainsi que je vois la fonction. Non ? »

« Si, si. Je ne pensais pas quelle avait un tel potentiel, et une telle volonté de réussir »

« Elle possède les deux, croies-moi ! Simplement, de temps en temps, il faut la recadrer et la remettre sur le droit chemin. Mais rien que le fait quelle ait accepté de venir ce week-end prouve quelle veut réussir, non ? »

« Oui, certes. Mais, bon..Ce nest pas très orthodoxe, ta méthode, et ça pourrait faire jaser si ça se savait »

« Et qui le dirait ? Toi ? »

« NOOON ! Attends, tu sais très bien ce que je te dois. Tu peux avoir confiance en moi, comme jai confiance en toi. Mais elle ? »

« Ne tinquiète pas : elle na aucun intérêt à sen vanter. Dailleurs, même sa famille nest pas au courant. »

« Ah bon ? Pourquoi ? »

« Pour éviter justement les problèmes de mentalité que tu évoquais. Et toi, comment tu la trouves ? »

« Intellectuellement ? »

« Oui, mais aussi physiquement ? »

« Intellectuellement, je ne pensais pas quelle avait un tel potentiel. Quant au physique Pourquoi me poses-tu cette question ? »

« Parce quil mavait semblé que tu nétais pas insensible à ses charmes »

« Tu as vue comment elle est habillée ? Cest un appel au viol ! Je ne sais pas comment tu fais pour te retenir .. »

« Ca se maîtrise .mais ma question était : est-elle à ton goût ? »

« Je tai déjà répondu, il me semble. Mais je tai aussi dit que je ne maventurerais pas à frayer avec une collaboratrice. Il me semblait que toi aussi tu évitais absolument ce genre de rapport ? »

« Exact. Supposons.supposons seulement .que tu aies la possibilité de lui faire faire ce que tu veux, sans aucune conséquence derrière. En profiterais-tu ? »

« Comment ça sans aucune conséquence ? Que »

Je lui intime lordre de se taire, car Gaëlle revient, en portant les entrées, servies à lassiette. Il sagit dun tartare de saumon mariné, que jaccompagne dun Quincy. Je sers moi-même le vin, et nous commençons le repas. Nous sommes assis à lextrémité de la table rectangulaire, et Gaëlle se tient en bout de table, entre nous deux, debout en position. Ce qui rend Karine mal à laise, et lempêche de commencer une nouvelle discussion. Je men rends compte et renvoie notre hôtesse aux cuisines.

Une fois partie, Karine se penche vers moi « Il y a quand même quelque chose de bizarre : lorsque tu las faite boire tout à lheure, ce nétait pas vraiment un rapport entre employeur et employée. »

« Cest exact » je lui réponds du tac au tac. « Mais ça faisait partie de son entraînement. Jexige delle une soumission totale. En échange je la fais progresser rapidement dans plusieurs domaines »

« Une soumission totale ? » Elle me regarde lair éberluée « Quest-ce que tu veux dire par là ? »

« Simplement ce que ça veut dire : elle mobéit en tout »

« Quoi ? Tu las droguée ou quoi ? »

Je la regarde, offusqué « Pour qui tu me prends ? Cest son choix, elle a accepté les termes de notre marché. Pour que je puisse la façonner rapidement, javais besoin de cette soumission totale, sinon ça aurait été trop long »

« Excuse-moi. Mais je suis quand même très surprise.Et .Jusquoù sétend cette soumission ? » Lil de Karine est devenu intéressé, voire égrillard. Elle se comporte vraiment comme un mec. Cest bien pour ça quil y a tant de complicité entre nous, depuis un bon moment.

« Tu veux voir ? » Je hausse le ton « Gaëlle, nous avons besoin de toi ! »

Gaëlle entre immédiatement dans la pièce et sadresse à moi : « Oui, Monsieur. Que puis-je faire pour vous être agréable ? »

« Karine me disait quelle commençait à avoir un peu chaud. Pourrais-tu la débarrasser de son gilet ? »

Karine me regarde, intriguée, mais ne nie pas. Après un « Oui, Monsieur » obéissant, Gaëlle se dirige vers elle et lui demande « Si vous voulez bien me le confier, je vais le ranger ». Je la reprends aussitôt « Non, non, enlève-lui ! ». Elles me regardent toutes les deux, comme si elles navaient pas bien compris. Gaëlle est la première à se ressaisir, commençant à être habituée, et se rappelant mes instructions. Elle commence donc à prendre le gilet par larrière et à enlever une manche après lautre à une Karine médusée, qui se laisse néanmoins faire.

« Pose le sur le fauteuil, puis reviens. »

« Oui Monsieur » Elle sexécute aussitôt et revient se positionner entre nous deux.

« Je pense quil serait plus agréable, pendant que nous mangeons lentrée, que tu lui masses les épaules. »

Gaëlle rougit à nouveau, mais se positionne derrière Karine et commence à poser ses mains sur ses épaules pour les masser doucement. Karine me regarde avec des yeux comme des billes. Je lui réponds dun demi-sourire « Voici une partie de ta réponse ! Mange donc, ça te plaît ? »

« Ooui, cest très bon ! » Elle répond en partie pour lentrée, et en partie pour les mains douces de Gaëlle qui saffairent sur ses épaules.

Jessaie dentretenir la conversation sur des sujets anodins dans les minutes qui suivent, et Karine répond essentiellement par des phrases courtes, perturbée à la fois par le massage qui lui est administré, et qui la gêne quelquefois pour utiliser correctement ses couverts, et par ce que je lui ai annoncé à propos de la soumission de Gaëlle. Je la regarde amusé se débattre dans son conflit intérieur, ne sachant pas où se terminerait cette soirée décidément pleine de surprises.

Nous finissons lentrée. Jordonne à Gaëlle de débarrasser et de préparer le plat de résistance enfin, de le réchauffer -.

A peine a-t-elle quitté la pièce que Karine se penche vers moi : « Mais comment as-tu fait ? Et quest-ce que tu comptes faire delle maintenant ? »

« Hé bien, continuer son apprentissage, tout simplement. Ce soir, cest aussi un test pour elle, et tu en as la primeure »

« Un test pour être employée de maison ? » me demande-t-elle sur un ton sarcastique

Je lui réponds de manière énigmatique « Tu verras plus tard ». Jappuie discrètement sur un bouton de la télécommande, et jactionne un mode de vibration qui devrait faire des effets à ma soumise. Quelques secondes après, elle apparaît avec le plat de résistance. Sa démarche est un peu saccadée, Karine sen aperçoit mais ne fait pas de commentaires.

« Sers-nous, je te prie »

En se penchant vers Karine, puis vers moi, Gaëlle nous fait profiter du spectacle de son chemisier entrebâillé, et nous nen perdons pas une miette. Jai arrêté luf pour éviter quelle ne fasse un faux mouvement et quelle renverse quelque chose durant le service. Puis elle se remet en retrait, attendant les ordres, en position adéquate.

« Merci Gaëlle. As-tu faim ? »

« Oui, Monsieur » Elle na pas mangé depuis le repas « léger » de midi et na pas du pouvoir toucher à lentrée il y en avait juste assez pour deux

« Viens près de moi » Elle sapproche et je me tourne vers elle. « Nous allons vérifier si ton corps a besoin dêtre nourri. Déboutonne ton chemisier ». Elle me regarde, alarmée. Se déshabiller, elle en a pris lhabitude avec moi, mais devant Karine.

Jélève un peu le ton : « Quest-ce que tu attends ? Que nous ayons fini de manger ? Dépêche-toi, veux-tu ?! » je gronde entre mes dents ce dernier ordre. Karine na pas commencé à manger et regarde cet échange toujours aussi étonnée. Elle reste bouche bée une fois de plus lorsque Gaëlle, le rouge aux lèvres, finit de déboutonner son chemisier déjà largement entrouvert, puis baisse la tête, en position dattente. Jécarte les pans pour louvrir largement et je passe ma main sur son ventre. Elle est mince et son ventre est assez plat, notamment pour une femme qui a connu deux grossesses, mais elle nest pas très musclée et je pince la peau pour mettre en évidence une petite couche de « moelleux » fort agréable au demeurant, mais que je compte exploiter contre elle avec une mauvaise foi volontaire.

« Regarde cette couche de graisse ! Tu as bien besoin de muscler tout ça, et tu peux perdre quelques kilos. Nous nous en occuperons ultérieurement. En attendant, je crois que tu peux sauter un repas sans que ça te soit préjudiciable. Bon, mangeons tant que cest chaud ! »

La pauvre Gaëlle nous regard déguster le poisson cuisiné quelle nous a apporté, avec sa garniture, sans pouvoir y toucher et, de surcroît, dans une posture humiliante, debout, à côté de la table, le chemisier largement ouvert, les bras derrière le dos. Pour ne pas quelle sennuie trop, jactionne à plusieurs reprises la télécommande sur des modes différents. Elle parvient à ne pas réagir à certains, mais ne peut sempêcher de pousser des petits gémissements lorsque dautres se déclenchent, provoquant un regard interrogateur de Karine dans sa direction puis dans la mienne, auquel je réponds dun demi-sourire sans pour autant lui expliquer. Nous parlons un peu travail, elle et moi, comme si nous étions seuls, en évitant daborder les sujets sensibles sur les personnes qui travaillent avec nous. Puis la discussion dérive sur les loisirs, la musique, puis enfin le sport. Je lui indique que la maison possède une cave aménagée en salle de gymnastique et que je pourrai lui montrer si ça lintéresse.

Je commande à Gaëlle de débarrasser une nouvelle fois mais cette fois je laccompagne en cuisine, car je dois préparer le dessert. Jai prévu une simple coupe de sorbet avec des fruits exotiques en sirop, mais je préfère y mettre ma touche personnelle au niveau de la présentation. Une fois seul avec Gaëlle, je la complimente « Cest très bien, je suis content de toi. Tu vois, ce nest pas si difficile »

Elle baisse les yeux et avoue dans un souffle « Jai honte dêtre à moitié nue devant Karine »

Je lui prends le menton entre le pouce et lindex de ma main droite et lui soulève un peu le visage pour quelle me regarde « Tu nas pas à avoir honte. Tu es très belle, et encore plus ainsi exposée. Dis-toi que cest pour moi que tu le fais, et que je suis fier de toi ! »

Elle esquisse un petit sourire puis immédiatement remplacé par une mine boudeuse « Pourtant vous avez dit que jétais trop grosse ! »

« Non, jai dit que ton ventre méritait dêtre un peu plus musclé. Je taiderai là aussi. Mais un petit ventre moelleux, cest agréable aussi » dis-je en lui caressant de la paume de ma main gauche. Son air de petite fille contrite me fait craquer et ma main droite passe derrière son cou pour attirer son visage vers le mien. Nos lèvres sécartent à la rencontre les unes des autres et ma langue envahit sa bouche pour la goûter. Nous nous embrassons tendrement durant plusieurs dizaines de secondes, ma main gauche jouant avec son ventre, son dos puis ses seins. Elle gémit un peu devant la chaleur qui se diffuse en elle et qui sajoute à celle déjà dégagée par les vibrations provoquées peu avant dans son vagin. Je finis de lui enlever son chemisier et le laisse tomber au sol. Puis je mécarte un peu delle. Elle fait mine de se baisser pour le ramasser

« Non ! Laisse-le là où il est ! Aide-moi plutôt à préparer les coupes glacées »

Elle ne répond pas, hésite une seconde puis va prendre les coupes qui serviront à accueillir le dessert. Après les avoir confectionnées, je la laisse fignoler la présentation et je retourne à table pour ne pas laisser Karine seule trop longtemps. Cette dernière me voit revenir et se penche vers moi avant même que je sois assis.

« Malgré ce que tu lui as dit, elle est bien fichue, la garce ! Elle compte rester la fin de la soirée comme ça ? »

« Non, tu vas voir, ça devrait te plaire. Tiens, justement, elle arrive »

Lentrée de Gaëlle entièrement nue à partir de la taille fit frissonner Karine, et elle ne la quitta pas du regard, tel un fauve qui va se jeter sur sa proie. La jeune femme marchait tête baissée, comme si elle évitait ainsi quon remarque son indécence, puis elle posa les coupes devant nous.

« Viens tasseoir ! » je madresse à Gaëlle en lui montrant mes genoux, après avoir reculé ma chaise. Elle pose ses fesses sur ma jambe gauche, la chevauchant en amazone, ses jambes perpendiculaires aux miennes, son corps tourné de trois quart. Elle nose regarder Karine et fixe obstinément la coupe glacée.

« Jaime particulièrement ce genre de dessert car cest rafraîchissant et en plus assez léger. Mais ce que japprécie le plus, cest quon peut lutiliser comme accompagnement dun met encore plus délicat. » Karine mécoute attentivement, Gaëlle a tendu loreille « Gaëlle, penche-toi en avant » je prends la coupe entre mes mains et lapproche de son sein droit. Elle ne comprend pas de suite là où je veux en venir, et pousse un petit cri de surprise lorsque, exécutant mon ordre, elle ressent le froid glacé sur son sein, après que jai remonté la coupe et lai posée comme un bonnet de poitrine. Elle recule instinctivement mais jai anticipé son mouvement et la tient fermement par une main dans son dos. Au bout de trois secondes je retire la coupe en évitant de la renverser puis la pose sur la table. Le sein de Gaëlle est recouvert de sorbet fondu qui dégouline un peu. Japproche rapidement mon visage et prend le sein tout entier dans ma bouche, le léchant, le suçant, le mordillant, irritant le téton, jusquà ce que quil ny ait plus de trace sucrée et fruitée. Pendant ce temps Gaëlle sest laissée faire en penchant sa tête en arrière et en gémissant. Ayant fini, je regarde Karine qui na pas touché à sa propre coupe, et qui na pas du pouvoir détacher son regard de la scène qui se déroulait à un mètre delle.

Je la regarde en souriant « Mmmh cest vraiment meilleur comme ça. Tu veux goûter ? »

A ces mots, je sens Gaëlle se raidir. Karine me regarde, puis la regarde avec un sourire carnassier « Pourquoi pas ? »

« Non ! » Gaëlle essaie de se lever mais je tiens fermement ses poignets derrière elle dans ma main gauche, et mon bras droit est passé autour de sa taille.

Je gronde dune voix sourde : « Gaëlle, quest-ce que jai dit tout à lheure ? »

Elle me répond, un peu paniquée : « Je ne veux pas quelle . »

« Tu ne VEUX pas ? Parce que tu exprimes une quelconque volonté maintenant ? Va-t-il falloir tout reprendre à zéro à chaque cap difficile à franchir ? » je tire sur ses poignets en lui tordant un peu les bras, lui arrachant des gémissements de douleur

« Je ne suis pas je nai jamais été touchée par une femme ! »

« Et alors ? Justement, tu ne sais même pas ce que cest ! Bon, est-ce que tu vas te tenir tranquille ou est-ce que je dois tattacher ? »

« Non ! Oui aïe, vous me faites mal ! » Néanmoins, elle continuait de se débattre et ne semblait visiblement pas disposée à se laisser toucher par Karine.

« Très bien, tu lauras voulu. Karine, ne tinquiète pas, ça va sarranger. Je vais régler mon petit différend et nous revenons »

« Pas de problème, je vous attend » me répond-elle dun air cynique.

Je me lève et traîne à moitié Gaëlle à reculons vers la cuisine. Là, je massied sur une chaise et couche Gaëlle le bassin sur mes jambes, en travers, et avec ma main droite je tire sur sa jupe pour la faire glisser le long de ses bas. Sa croupe nue apparaît. Je nattend pas longtemps et abat ma main droite sur son fessier, lui arrachant des cris de douleur, dautant que je frappe fort dès le début. Jabats ma main sur son postérieur, encore et encore, durant plusieurs minutes, jusquà ce quil soit rouge vif. Elle se débat et pleure, crie, agite ses jambes, mais rien ny fait : je poursuis ma tâche correctrice. Jarrête car ma main me fait mal aussi !

Je me penche vers elle et lui grogne « Alors, tu vas être un peu plus docile ou dois-je continuer ? »

Elle sécrie « Non ! Non ! Vous avez gagné, je ferai ce que vous voulez. mais arrêtez ! »

Je reprends plus calmement « Bon, et bien lèves-toi dans ce cas »

Je lâche ses poignets afin quelle prenne appui sur mes jambes pour se relever. Elle commence à remonter sa jupe qui est tombée aux genoux. Je donne une tape sur ses mains « Laisse ça ! Tant pis pour toi, tu reviendras cul nu, comme ça Karine pourra voir que tu tes prise une bonne fessée pour avoir osé désobéir à ton maître ! ». Je tire sur la jupe pour finir de la faire glisser à ses pieds. Vaincue, elle lève un pied puis lautre pour se dégager de létoffe à terre.

« Allez, avance ! » je lui donne une petite claque sur les fesses, et elle ne se fait pas prier, après un dernier petit cri, pour se diriger vers la salle attenante. Je marche juste derrière elle pour prévenir toute tentative de fuite. Je vois donc Karine et son air ébahi une fois de plus. Ses yeux sont vissés sur le corps nu de Gaëlle, seulement gainé de ses bas noirs, de son porte-jarretelles et de ses escarpins pointus. Je pousse un peu Gaëlle vers le bout de la table, à lextrémité opposée où nous mangions Karine et moi, et lui ordonne de se coucher en arrière, en appuyant sur son buste pour ly contraindre. Elle bascule, le dos et les fesses contre la table, ses jambes pendant dans le vide.

« Ne bouge plus maintenant sinon il ten cuira ! »

Je fais signe à Karine de se positionner de lautre côté de la table.

« Fais comme moi » Je massied et prends la coupe de fruits encore fraîche mais où le sorbet a fondu et pose un morceau dégoulinant sur le sein de Gaëlle à ma portée. Karine mimite. Puis, tenant le bras de Gaëlle, me penche sur son sein pour engloutir le morceau et lécher en même temps le mamelon. Je le suce, le mordille, agace le téton, trace des lignes avec ma langue. Je relève mes yeux et constate que Karine fait de même et se régale de dévorer lautre sein de notre victime étendue sur la table. Je recommence le jeu avec un autre morceau de fruit, puis un autre, et encore un autre. Avec ma main propre, jactionne plusieurs programmes de la télécommande, et Gaëlle commence à être très excitée par ce qui se passe à la fois dans son sexe et sur sa poitrine. Le sirop glacé dégouline sur sa gorge, ses aisselles, son ventre. Inlassablement nous le traquons jusque dans ses moindres recoins. Karine est visiblement très ardente elle aussi, et jentends ses bruits de succion parcourir le corps offert avec délectation. Ses mains ne sont pas en reste et elle caresse le ventre, les flancs, les épaules et bientôt, après mavoir jeté un regard pour chercher mon approbation et lavoir trouvée descendre sur la peau glabre du pubis. Notre « plateau à dessert » gémit, mais cette fois cest de plaisir, de sentir ces deux bouches et ces quatre mains semparer de son corps, et toute retenue et toute honte se sont envolées. Elle savoure sa situation et notre empressement à lamener à la jouissance, quelle na pas pu obtenir depuis ce matin. Une fois de plus, elle va rester sur sa faim.

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