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Service clients – Chapitre 2

Service clients - Chapitre 2



Jour 2

Le lendemain matin, je la vois arriver avec satisfaction habillée comme je lui avais demandé : une mini-jupe comme je les affectionne, les jambes gainées de noir et mises en valeur par des escarpins modernes aux talons assez hauts, un chemisier blanc entrouvert sur son décolleté, qui laisse deviner la naissance de ses seins, et les cheveux impeccablement coiffés. En faisant le tour du plateau, je la salue en lui serrant la main, comme à l’accoutumée, et elle me répond respectueusement "bonjour Monsieur" en se penchant légèrement, ce qui me permet d’entrevoir un peu plus que tout à l’heure et constater qu’elle a mis un soutien-gorge blanc très sage en dentelle.

Dans la journée, je la laisse travailler normalement et en profite pour installer quelques petits aménagements dans mon bureau; puis je vaque à mes occupations professionnelles : moi aussi il faut que je travaille !

Le soir venu, une fois que tout le monde est parti, je constate qu’elle est toujours là : parfait !

Je la contacte sur sa ligne directe et lui demande de venir dans mon bureau. Je la vois se lever au bout de quelques secondes, arranger ses cheveux un peu en désordre de la journée et lisser sa jupe, puis marcher d’un pas décidé dans ma direction. Elle toque à la porte deux coups. "Entrez !" dis-je d’une voix égale. Elle tourne la poignée et s’avance vers mon bureau. Je la regarde fixement sans rien dire et j’attends, savourant le spectacle. Bon point pour elle : elle a une bonne mémoire. En effet, elle s’est positionnée devant mon bureau, jambes légèrement écartées, mains jointes derrière son dos, regard baissé, buste bien droit et m’a demandé "Que puis-je pour vous, Maître ?".

Encore quelques secondes de silence, pour bien la laisser dans l’expectative, puis je lui réponds "c’était pas mal, mais il manque le sourire !" d’un ton d’encouragement. Aussitôt, elle relève la tête et me regarde en se forçant à sourire. "T’ais-je demandé de me regarder ?" lui dis-je d’un ton de reproche. Elle baisse les yeux rapidement et je vois qu’elle se force pour conserver un faible demi-sourire. "Tss, tss, il y a encore du travail; mais bon, Rome ne s’est pas faite en un jour". "Je constate que tu as suivi mes instructions vestimentaires à la lettre, c’est bien…enfin, quoique…". Elle se met à se dandiner légèrement, elle aimerait m’interroger du regard mais sait que je la réprimanderais si elle le faisait. Je reprends "oui, je peux voir que tu t’es habillée comme je le demandais, mais qu’en est-il des bas ? Comment savoir si tu n’as pas mis des collants ?"

Je vois son visage rosir s’empourprer lorsqu’elle comprend ce que signifient mes paroles. Néanmoins elle ne bouge pas.

"Tu m’as trompé !" Dis-je avec force en frappant le bureau du plat de ma main.

Elle ne peut s’empêcher de lâcher un "NON…Maître ! j’ai bien des bas, je vous le jure !"

Je me lève brusquement et m’emporte "Qui t’as donné la permission de parler ?! Tu n’as donc même pas retenu les règles de base ? Qu’est-ce que tu crois ? Que j’ai du temps à perdre avec une jeune écervelée qui n’est pas capable de se souvenir d’instructions simples ? Et comment pourrais-tu dans ce cas envisager d’être cadre un jour, si tu ne sais même pas remplir les conditions basiques ?"

Elle déglutit avec peine, une boule est en train de se former dans sa gorge, mais elle ne répond pas. Elle reste là, les bras derrière elle, un peu tremblante, sans comprendre où je veux en venir.

"Bon, on ne va pas y passer la soirée : ou tu me prouves que tu as bien TOUTE la tenue vestimentaire adéquate, soit tu peux repartir chez toi et nous arrêtons ta formation" lui dis-je d’un ton énervé.

Elle comprend alors et je sens son conflit intérieur poindre à nouveau. Finalement, la volonté de continuer l’emporte, et, le visage écarlate, elle remonte peu à peu sa mini-jupe.

"Continue…" et j’appuie discrètement sur un bouton dissimulé sous mon bureau.

Elle relève autant qu’elle peut sa mini-jupe, laissant apparaître des Dim Up mais également une culotte en dentelle blanche, assez sage et assortie avec son soutien-gorge.

"Reste comme ça" ce disant je continue d’appuyer à plusieurs reprises sur le bouton caché, déclenchant à son insu des rafales de photos provenant de mon appareil numérique posé en hauteur et masqué par des classeurs, que j’ai équipé d’une télécommande sans fil. L’avantage des numériques, c’est qu’ils peuvent être totalement silencieux et aujourd’hui on trouve des objectifs assez lumineux pour capter sans flash en intérieur. Si j’ai bien cadré, les photos devraient être assez réussies !

"Je constate que tu ne m’as pas complètement obéi. Qu’as tu à dire pour ta défense ?"

"Je ne comprends pas, Maître, j’ai suivi vos instructions" répond-elle d’une voix un peu plaintive

"Parce que ce que tu portes, ça s’appelle des bas ?"

"Heu… oui, Maître !"

"Non, jeune fille ! Ce n’est pas ce que j’entends pas "bas", ça c’est un succédané moderne. Des bas s’attachent à un porte-jarretelles, et ne tiennent pas tout seuls !" je lui fais la leçon comme à une gamine qui serait prise la main dans le pot de bonbons.

"Je suis désolé, Maître, je ne savais pas…."

"Tu dois savoir, un cadre est capable de se renseigner précisément sur ce qu’on lui demande, même s’il ne connaît pas bien le sujet, et de se présenter devant son responsable avec une réponse parfaite. Est-ce ce que tu as fait ?"

"Non, Maître, je croyais…."

"Je croyais, je ne savais pas ….tu n’es encore qu’au tout début de ta formation, donc je t’excuse pour cette fois mais arrête de chercher des excuses ! Assume tes fautes et les punitions qui s’en suivront !"

"Je vais être punie ?" Demande-t-elle brusquement puis se mord la langue, se rendant compte de son erreur

"Et plutôt deux fois qu’une ! Non seulement tu n’as pas parfaitement suivi mes instructions vestimentaires à la lettre, mais tu viens d’enfreindre deux règles de base : parler sans y être invitée, et ne pas m’appeler Maître !!"

Elle ne répond rien et garde la tête baissée.

"Bon, nous allons commencer par quelque chose de facile : mets tes mains sur tes hanches, voilà, comme ça, non, conserve ta jupe relevée, lève la tête et fais-moi ton plus beau sourire. Mieux que ça ! Oui, c’est bien ! avance légèrement ta jambe droite, voilà, comme ça, tout en continuant de sourire, oui c’est pas mal" Elle ne comprend pas la nature de sa "punition" et moi j’en profite pour la mitrailler.

"Bon, tu peux baisser ta jupe, maintenant prends le dossier qui est sur mon bureau tel que je te l’ai enseigné et en continuant de sourire. Bien !" Elle se penche largement sur mon bureau, dévoilant son soutien-gorge et la moitié de ses seins emprisonnés à l’intérieur, tout en continuant de montrer ses dents bien blanches. J’espère que j’ai bien cadré mon appareil !

"Bon, ça suffit. Redresses-toi. La suite de ta punition sera la suivante : tu vas prendre tes affaires …. et rentrer à pied chez toi !" Je m’amuse de voir qu’elle sursaute à l’énoncé de la sentence et qu’elle veut parler, mais qu’elle n’ose pas. Du coup elle ne bouge pas non plus

"Tu veux dire quelque chose"

Elle soupire presque de soulagement de pouvoir parler "Mais Maître, j’habite à 10 kms et il fait nuit. Et puis que va dire mon mari s’il me voit rentrer à pied à cette heure-ci ? Et sans que je le prévienne"

"Tu n’auras qu’à lui dire que tu n’as pas pu démarrer, et que ton portable n’avait plus de batterie, et qu’il n’y avait plus personne pour te raccompagner" lui lancès-je d’un ton désinvolte.

Ses épaules s’affaissent un peu lorsqu’elle comprend qu’il n’y a pas d’alternative et attend que je lui donne congé avant de sortir de mon bureau, de rassembler ses affaires et mettre son manteau. Je la vois traverser le plateau et sortir. Aussitôt, je récupère la carte de mon appareil photo et m’habille à mon tour. J’attends qu’elle ait pris l’ascenseur pour prendre le suivant. Au rez-de-chaussée, je sors de l’immeuble imposant et prend la sortie principale. Je la repère au bout de quelques minutes dans la rue, car je sais quelle direction elle a prise. Je la suis de loin, sans me faire repérer. Elle marche assez vite car il fait nuit, et il n’y a pas grand monde dans les rues. Je sens bien qu’elle n’est pas rassurée. Je remonte les pans de mon manteau sur mon visage et réduit un peu la distance qui me sépare d’elle. A un moment, nous sommes seuls dans une rue avec de larges trottoirs, et j’en profite pour me rapprocher encore un peu. C’est alors qu’elle prend conscience que quelqu’un la suit. Elle accélère le pas, entendant mes talons claquer sur le sol. Elle n’ose pas se retourner. Je reste dans l’ombre pour ne pas me faire reconnaître. Nous continuons ainsi sur quelques centaines de mètres. Finalement, n’y tenant plus, elle se retourne. J’ai à peine le temps de me cacher derrière un porche. "Qui est là ?" dit-elle d’une voix apeurée. Je ne réponds pas, bien entendu. Elle tente de scruter l’obscurité mais ne pouvant rien discerner reprend sa marche rapide. Je lui emboite le pas à nouveau, et elle l’entend. Elle se met à marcher le plus rapidement qu’elle peut, puis à trottiner. Seulement ce n’est pas facile avec des escarpins à talons. Elle manque de se tordre la cheville et tombe à genoux. Je me cache alors aussitôt dans une ruelle transversale. Elle se retourne, l’air paniquée, enlève ses escarpins, se relève et part cette fois-ci en courant aussi vite qu’elle peut. Je la laisse filer, amusé, et me demande tout en souriant comment elle pourra expliquer à son mari l’état dans lequel elle rentrera et pourquoi, lorsque celui-ci viendra inéluctablement récupérer sa voiture, cette dernière démarrera au quart de tour. Au mieux elle se fera passer un savon, au pire il la prendra pour une imbécile. Dans les deux cas, elle sera humiliée, et c’était bien le résultat auquel je souhaitais parvenir. Je profite de l’air frais de cette nuit pour rentrer tranquillement à pied récupérer ma voiture, sagement garée dans le sous-sol de l’immeuble de mon entreprise, et en cogitant sur ma journée de demain.

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