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Soirée à quatre – Chapitre 1

Soirée à quatre - Chapitre 1



Première approche

Cela fait trois jours que nous sommes arrivés dans ce mobil home. Trois jours qui nous ont permis, à Patricia et moi, de décompresser et d’oublier le boulot.

Nous décidons de profiter de cette nouvelle journée ensoleillée pour visiter les environs. Pendant que je prépare les affaires, Patricia prend sa douche. Elle en sort simplement vêtue d’un paréo et décide de se sécher au soleil. Elle peut se le permettre, notre terrasse nous protégeant des regards indiscrets. Elle s’allonge donc sur le transat et se débarrasse du fin tissu qui la recouvre. Une fois de plus, je m’émerveille à la vue de son corps nu.

Laissez-moi vous la décrire : Patricia a trente ans. Pas très grande, elle est remarquablement proportionnée. Sa poitrine, un très agréable 95C, est très ferme et très sensible. Une paire de fesses bien rondes et deux jambes bien galbées font se retourner pas mal d’hommes sur son passage. Nous sommes mariés depuis cinq ans et nous aimons comme au premier jour. Je suis tenté de lui faire un câlin mais, devinant mes intentions, elle me sourit et me dit de filer me préparer. Je la laisse donc à regret et prends à mon tour possession de la douche.

Lorsque je ressors, Pat s’est habillée. J’en fais autant et nous voici bientôt en route. Dans la voiture, la robe de ma chérie découvre ses cuisses que je ne me lasse pas d’admirer. Ma main se pose sur la jambe gauche et je la caresse doucement.

— ’?a va ma puce ?

— Mmm? oui? en vacances, il fait beau et je suis avec l’homme que j’aime. Et toi ?

— Te savoir heureuse me comble, donc tout va pour le mieux.’

Cela fait bientôt une heure que nous roulons. Nous traversons un petit village pittoresque. Pat me dit que si on trouve un restaurant sympa, on y déjeunera. Nous nous arrêtons donc sur la place et partons à la recherche d’une table sympathique. En cette fin de mois de juin, la foule des touristes n’a pas encore débarqué et ce village garde encore sa tranquillité. Nous trouvons très vite notre bonheur et nous installons à la terrasse. Une jeune fille vient nous apporter la carte. Je commande deux apéritifs légers et nous faisons notre choix. Pendant que nous dégustons notre verre, une voiture s’arrête à côté de la notre. Un couple d’à peu près notre âge en sort et se dirige vers le restaurant. Il s’installe non loin de nous et nous salue au passage.

— ’Tu as vu, Pascal, ils sont immatriculés chez nous ?

— Tiens, c’est vrai, je n’avais pas fais attention.

— Décidément, le monde est petit.

— On leur demande d’où ils sont ?

— Pourquoi pas ? ils ont l’air sympas.’

Je me tourne vers nos voisins et leur demande où ils habitent, leur expliquant que nous venons du même département.

— ’Nous sommes de X.

— Ah oui ! nous habitons, nous, à Y.

— Le monde est vraiment petit. Retrouver des voisins à plus de 600 kilomètres de chez soi?

— Nous pourrions peut-être déjeuner ensemble, si cela ne vous dérange pas ?

— Non, au contraire.’

Ils viennent s’installer à notre table et nous faisons connaissance. Pierre et Sophie ont comme nous la trentaine et sont en vacances depuis presque une semaine. Hasard de plus, leur camping est à quelques centaines de mètres du nôtre. Le repas est des plus agréables et nos nouveaux amis de merveilleux convives. Après le café, ils nous disent qu’ils vont faire un tour dans une petite crique, non loin d’ici et nous demandent si nous désirons les y accompagner. J’interroge Patricia et c’est avec un grand sourire qu’elle accepte l’invitation. Nous les suivons donc.

Quelques minutes plus tard, nous surplombons une petite crique. Nous descendons par un petit chemin assez raide. Je tiens ma chérie par la main. Pierre devant se retourne pour voir si la descente se passe bien. Son regard s’attarde sur les jambes de Pat, sa position, en dessous de nous, doit lui permettre de voir assez loin sous la robe. Nous voici sur le sable. Nous déballons les serviettes et nous y installons. Nos amis, eux, se mettent en maillot. Sophie nous regarde et nous demande pourquoi nous restons habillés. Pat lui répond que nous n’avons pas emmené d’affaires de bain.

— ’Si vous voulez, on peut se mettre tous nus. Il n’y a personne ici.

— Mais? et vous ?

— Ne vous en faites pas, répond Pierre. On est naturistes. On a juste laissé nos maillots pour ne pas vous mettre mal à l’aise mais on peut les enlever aussi.

— Dans ce cas? répond Pat.’

Elle se lève et ôte robe et sous-vêtements. J’en fais de même ainsi que nos amis. Nous voici tous les quatre à poil et je ne peux m’empêcher de jeter un ?il sur le corps bronzé de Sophie. Sa poitrine est un peu plus petite que celle de ma femme. Ses fesses sont bien rondes et son sexe est entièrement rasé. Une très belle femme ! Nous nous asseyons, chaque couple se faisant face, et la discussion reprend. Quelques minutes plus tard, je vois la main de Sophie se poser sur la jambe de Pierre et la caresser avant de se diriger lentement vers son entrejambe. Ce dernier nous jette un coup d’?il. Je me tourne vers Pat. Elle regarde cette main, maintenant posée sur le sexe de Pierre, le caresser. Je souris à ce dernier, ce qui semble le rassurer. Sophie nous dit alors :

— ’Pierre et moi adorons nous caresser. ?a nous aide à digérer, ajoute t-elle en souriant. On ne vous choque pas ?

— Pas du tout, répond ma puce. Je dirais même que c’est assez troublant de vous regarder.

— Si vous voulez en faire autant, ne vous gênez pas pour nous.

— Je préfère d’abord regarder? on verra après.’

Comme rassurée par nos propos, Sophie caresse maintenant plus franchement son mari dont le sexe ne tarde pas à se retrouver à la verticale. Sa verge est un peu plus longue que la mienne, mais un peu moins épaisse.

Le spectacle me trouble aussi et je suis bientôt en érection. Je pose une main sur la cuisse de Pat et la caresse. Sa respiration s’est accélérée et son regard ne perd pas une miette des gestes de Sophie. Un doigt sur sa fente me confirme son excitation.

Les soupirs de Pierre indiquent son plaisir proche. Sophie se penche alors et le prend entre ses lèvres. Après quelques va-et-vient, notre ami ferme les yeux et on devine qu’il se répand dans la bouche de son épouse. Elle avale la semence avec, semble t-il, beaucoup de plaisir puis libère le membre encore raide et embrasse son mari. La main de Pierre descend vers la fourche de sa femme et lui procure les mêmes caresses. Sophie s’allonge et écarte les jambes nous permettant d’admirer son sexe glabre dont les lèvres entrouvertes trahissent le plaisir. Pierre lui offre maintenant un cunnilingus et Sophie ne tarde pas à se pâmer, jouissant sous les coups de langue.

Après quelques minutes de récupération. Sophie nous demande si nous avons aimé les regarder.

— ’Vous étiez très beaux tous les deux, répond ma chérie.

— Merci. Vous voulez en faire de même ?

— Hum? pourquoi pas ?’

La main de Pat se pose sur ma tige et me caresse lentement. Puis son autre main vient palper mes bourses, caresse dont elle sait que je raffole. Elle se penche enfin et ses lèvres m’avalent. Le spectacle que nous ont offert nos amis, les caresses de ma femme et aucune envie de me retenir me font venir très vite et je sens bientôt mon plaisir arriver. Pat me frôle le scrotum et cette dernière caresse me fait jouir. Je me vide dans sa bouche et elle m’avale jusqu’à la dernière goutte. Elle se couche à son tour sur la serviette et lève les jambes, dans uns posture totalement impudique. Je ne résiste pas et plonge le visage vers sa grotte. Je titille son bouton d’un pouce tandis que ma langue s’enfonce dans son vagin trempé. Je descends ensuite entre ses fesses et lèche son ?illet. Pierre et Sophie sont assis à côté de Pat. Sophie pose une main sur le ventre de ma femme et le caresse tout doucement. Puis elle remonte vers la poitrine et s’empare d’un téton qu’elle fait rouler entre ses doigts. Les soupirs de ma chérie nous indiquent qu’elle apprécie nos caresses et Pierre, à son tour, lui caresse l’autre sein. Voir ma femme ainsi caressée par deux inconnus me procure beaucoup d’excitation. Je m’applique à lui procurer le maximum de plaisir et je sens son plaisir approcher. En effet, son ventre se tend et elle jouit dans un râle, inondant ma bouche de sa liqueur.

Nous la laissons reprendre ses esprits puis Pierre nous dit :

— ’Vous aussi, vous étiez superbes !

— C’est la première fois que je vois Patricia se faire caresser par d’autres?

— Et, me coupe Sophie

— Et bien? je dois dire que c’est très excitant.

— ?a se voit, me répond-elle en regardant mon sexe de nouveau dressé.

— Et toi, Patricia, demande Pierre, nos caresses t’ont plu ?

— Hum? je dois avouer que c’était très agréable toutes ces mains sur moi. Vous avez l’habitude de?

— De faire l’amour à plusieurs ?

— Oui.

— ?a nous est arrivé deux ou trois fois.

— Pas vous? Demande Sophie.

— Non, jamais. Je sais que, comme beaucoup d’hommes, Pascal aimerait essayer mais?

— Tu n’as jamais voulu ?

— Ce n’est pas vraiment ça. Disons que l’occasion ne s’est jamais présentée.

— Et si elle se présentait, tu aimerais ?

— Vu ce qui s’est passé tout à l’heure, j’aurais du mal à dire que je suis tout à fait contre.

— Ce n’était que quelques caresses, presque innocentes, répond Sophie en souriant.

— C’est vrai. Mais je crois que si elles avaient étaient moins? innocentes, je n’aurais pas dit non.’

L’après-midi s’achevant, nous nous rhabillons et retournons vers nos voitures. Avant de se séparer, Pat demande à nos amis si cela leur dit de dîner ce soir avec nous. Ils acceptent avec un grand sourire et on se donne rendez-vous à l’entrée du camping à vingt heures. Nous démarrons, je regarde ma chérie :

— ’L’occasion s’est-elle présentée ?

— Va savoir?’

J’ai la très agréable impression que la journée nous réserve plein de nouvelles surprises?

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