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Sophie, agence immobilière… – Chapitre 2

Sophie, agence immobilière... - Chapitre 2



Après sa douche, comme il n’y avait pas de serviettes dans l’appartement vide, nous sommes restés un long moment à discuter de tout et de rien en attendant que sa peau ait suffisamment séché pour pouvoir enfiler ses vêtements. Cette femme a la faculté extraordinaire de pouvoir parler sans discontinuer de n’importe quel sujet en ayant l’air de s’y connaître. De toute façon elle est nue devant moi, inutile de préciser donc que je ne me préoccupe absolument pas de ce qu’elle raconte.

Une fois sèche et rhabillée on quitte l’appartement, bien entendu on prends l’escalier pour descendre (dommage, j’aurai eu une bonne excuse pour la serrer dans mes bras…) et on enfourche son scooter direction l’appartement suivant. En chemin j’en profite un peu pour laisser balader mes pensées et mes mains entre ses cuisses.

? Eh ! fais attention, si tu me déconcentre on va se prendre une gamelle ! ?

Tant pis, je me contente de me coller dans son dos, et laisse sagement mes mains sur ses anches (tiens, ça me rappelle une vieille chanson !)

? C’est ton portable que je sens dans mon dos ? ?

? non, non ! ?

La sage et professionnelle quadragénaire que j’avais rencontré ce matin semble avoir définitivement laissé sa place à une femme beaucoup plus à l’aise, et ce n’est pas pour me déplaire.

L’appartement suivant est tout près, la séance de pelotage est donc vite interrompue. Nous nous garons devant un immeuble style années 70 mais rénové récemment, et j’entends vaguement Sophie me débiter son laïus professionnel sur l’appartement et le quartier pendant que nous montons au troisième étage par l’escalier bien sûr. Cela dit cette fois ci j’ai outrepassé les règles de politesse et je laisse ma guide monter devant moi, je profite donc pleinement du spectacle de son derrière ferme et de ses longues jambes musclées.

? ça va, tu te rince l’oeil… ?

? Argh… je plaide coupable, tu m’as pris la main dans le sac ?

? Je préfèrerai que tes mains soient ailleurs que dans un sac ! Tu pourrais au moins me les mettre au panier, ça fait bien 5 minutes que tu reluque mes fesses et tu n’y a même pas touché. Je vais finir par croire qu’elles ne te plaisent pas ! ?

Cet appel n’est bien évidemment pas tombée dans l’oreille d’un sourd. Je plaque mes mains sur ses fesses, trop ravi d’y avoir été invité, mais elle se dégage et fait semblant de se vexer.

? non, non, c’est trop tard, tu as laissé passer ta chance. En plus tu ne sais pas ce que tu manques, parce que mes fesses sont particulièrement sensibles, c’est une des zones les plus érogènes chez moi. Le simple fait de voyager en scooter, avec les vibrations, et de sentir ton membre collé contre moi m’a beaucoup excitée. Si tu m’avais peloté les fesses dans cet escalier je ne sais pas si j’aurai pu me retenir jusqu’à l’appartement, je me serai probablement jetée sur toi sur ce palier ! ?

Alors là je n’en reviens pas ! Elle est carrément délurée, c’est presque un appel au viol ! Je l’attrape par la main, la colle à moi et je l’embrasse fougueusement tout en lui malaxant les fesses à travers sa jupe. Au milieu du baiser elle me souffle

? Ah ben quand même ! J’ai failli attendre ?

Elle passe ses mains sous mon T-shirt, puis commence à ouvrir mon pantalon. De mon côté j’ai déjà remonté sa jupe, et c’est à ce moment là que je me rends compte qu’elle n’a pas remis sa culotte.

? Oups, j’ai du oublier quelque chose dans l’appartement précédent. Il faudra que je pense à y retourner avant que quelqu’un d’autre ne le visite ?

? Je t’accompagnerai volontiers ?

Je l’embrasse dans le cou pendant qu’elle s’est emparée de mon sexe bien dressé qu’elle caresse affectueusement. Profitant de la liberté de mouvement que lui laisse sa jupe retroussée elle lève une jambe le long de ma anche pour me permettre de fouiller son intimité avec mes doigts longs. Elle mouille maintenant abondamment, et mes doigts dans son sexe font un bruit obscène. Je la sens s’abandonner complètement entre mes bras, elle se rapproche de l’orgasme. Elle a lâché mon sexe pour se concentrer égoïstement à ses propres sensations, les yeux fermés, la tête en arrière.

Au moment ou elle allait atteindre l’orgasme le couloir s ?allume et la porte de l’escalier s’ouvre à l’étage au dessus, et deux gamins se précipitent dans l’escalier en criant joyeusement. Je lâche Sophie précipitamment et tente de me réajuster, je remonte ma braguette juste à temps. Les deux gamins passent devant nous, puis le plus grands des deux s’arrête brusquement en regardant Sophie, la bouche ouverte. Il doit avoir une dizaine d’années. C’est alors que je me rends compte que Sophie, contrairement à moi, n’a pas prit la peine de se rhabiller. Elle est là, devant les deux gamins, appuyée contre le mur, le chemisier ouvert exposant sont soutient-gorge, la jupe remontée, le sexe à l’air, un filet humide coule le long de sa cuisse. Mais ce qui me choque surtout c’est le regard méchant qu’elle lance à ceux qui ont osé l’interrompre si près du but.

? Qu’est-ce que vous foutez là les mômes, y a pas école aujourd’hui ! Vous avez rien d’autre à faire que d’emmerder le gens en gueulant dans les escalier ! Vous pouvez pas prendre l’ascenseur comme tout le monde ! ?

Les deux gamins restent figés, à moitié parce qu’ils se sont fait engueuler, à moitié à cause du spectacle. Sophie baisse sa jupe violemment et m’attrape par le bras, m’entraînant vers le pallier.

? C’est le deuxième appartement à gauche ?

Sa colère se devine dans sa voix, et je n’ose rien dire, presque autant interloqué que les gamins. Elle ouvre la porte, rentre dans le studio et claque la porte, manquant de peu de me l’envoyer dans la figure.

? Je hais les mômes ! Tout juste bons a faire chier le monde ! ?

Voyant qu’elle reboutonne son chemisier j’en conclue que cette interruption a définitivement coupé le mouvement. Tant pis, comme disait Coluche je vais me la mettre derrière l’oreille, je la fumerai plus tard. Vu la tête que fait Sophie il faudrait être suicidaire pour l’approcher en ce moment. Je me tiens bien droit dans un coin et l’écoute religieusement pendant qu’elle balance don speech sur les caractéristiques de l’appartement.

? Il te plait ? ?

? Pas tellement. Pour être honnête c’est surtout le voisinage qui m’a l’air bruyant, et je n’aimerai pas être dérangé à chaque fois… ?

Elle éclate de rire, ce rire cristallin qui me fait tant craquer.

? Excuses moi, tu as raison, on ne va quand même pas se laisser arrêter par ces cons de gamins ?

Elle sourit à nouveau, ce qui me détend enfin.

? On en était où ? ?

Elle s’adosse à un mur, ouvre son chemisier et remonte sa jupe.

? A peu près par là non ? ?

et avec son doigt replié elle m’ordonne de la rejoindre, ce que je fais avec plaisir. Son genou remonte le long de la anche, et sa main cherche mon sexe pendant que les miennes retrouvent ses fesses, puis son sexe. Je ne sais pas si ses fesses sont tellement érogènes ou bien si c’est les gamins qui l’on énervée, mais elle jouit presque immédiatement, brutalement, dans un cri aigu qui ressemblait à un défi au voisinage : non, vous ne m’empêcherez pas de prendre mon pied ! Toute cette énergie m’a énervé moi aussi, je lui arrache presque le chemisier, puis je la soulève du sol en passant mes bras sous ses genoux, et la plaque au mur, sans prendre le temps de me déshabiller, seule ma queue sort de mon pantalon. Je pénètre d’un coup dans son sexe trempé, et j’attaque de suite un va et viens acharné, animal. Elle pousse des cris à chaque mouvement, elle s’agrippe à mon dos, puis me mord le cou comme un vampire. Encore deux coups de butoir et je jouit en elle en poussant un long râle. Nous nous écroulons tous les deux au sol, je suis épuisé mais pas elle apparemment : elle me chevauche en me tournant le dos, ses fesses sur mon torse, et entreprends une branlette mémorable.

Une fois arrivée à ses fins elle se lève, ouvre la fenêtre et s’accoude sur le rebord, me présentant sa croupe accueillante. Au moment ou je la rejoint j’aperçois les deux garnements qui nous ont dérangé dans l’escalier : ils sont dans la cour de l’immeuble avec plusieurs autres ados, ils jouent au foot. Sophie leur fait même un geste de la main. Oubliant toute pudeur, emporté par l’énergie sexuelle que dégage Sophie, je me met en position et la pénètre lentement, par derrière, jusqu’à ce que ses fesses soient collées à mon ventre. Une fois bien planté en elle je m’arrête et lui caresse le dos et les fesses, puis ma main droite part à la recherche de son clitoris pendant que je lui caresse un sein de l’autre main. Au bout d’un court moment elle prend l’initiative elle même de remuer le bassin, visiblement la tendresse ce n’est pas son fort. Je l’agrippe donc par les anches et me met à la limer dans les règles de l’art. Le mouvement deviens vite si violent qu’elle est obligée de se tenir à la rambarde avec les deux mains, et elle recommence a pousser ses cris aigus à chaque coup de piston. Je me rends compte au bout de quelques minutes que les ados dans le parc profitent tous du spectacle, et ce ne sont pas les seuls : plusieurs silhouettes se dessinent aux fenêtres en face et sur l’immeuble mitoyen ! Je ne me connaissait pas de penchant exhibitionniste, mais étrangement la situation me redonne de la vigueur, je la pistonne de plus belle. Etant donné son petit gabarit elle est sur la pointe des pieds, accrochée à la rambarde par les mains. Mes coups de butoir sont de plus en plus forts, je sens que je vais jouir, et au moment ou je ne peux plus me retenir j’enfonce brutalement mon pouce dans le cul de Sophie, ce qui a pour effet de la faire jouir elle aussi immédiatement. Je m’écroule sur son dos, puis nous glissons tous deux au sol. Elle reste blottie dans mes bras, j’en déduis qu’elle en a enfin eu pour son compte.

Au bout de quelques minutes elle me dit en souriant

? ne t’inquiète pas, je prends la pilule ?

Merde ! ça ne m’avais même pas traversé l’esprit ! Moi qui suis d’habitude très prudent je viens d’avoir plusieurs rapports non protégés avec une parfaite inconnue, et qui plus est j’ai éjaculé en elle ! Cette femme m’a vraiment rendu fou !

Après avoir repris nos esprits et mis un peu d’ordre dans nos vêtements nous sommes sortis de l’appartement. Les quelques voisins croisés dans le couloir et sur le pas de la porte d’entrée de l’immeuble m’ont convaincus de ne pas choisir d’habiter là (certains le regretterons probablement, ce n’est pas tous les jours qu’on a un spectacle pareil dans la cour de l’immeuble). Une grand mère nous insulte même quand on passe sous sa fenêtre en scooter, mais peut-être qu’elle en fait autant à tous ceux qui passe devant chez elle. Sophie me parle déjà de l’appartement suivant, mais maintenant que je sais qu’elle a oublié sa culotte dans le premier appartement, et son soutient-gorge dans le second, j’espère que le trajet en scooter sera long !

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