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Soulevé comme une plume et dominé par la grande et forte Stéphanie – Chapitre 5

Soulevé comme une plume et dominé par la grande et forte Stéphanie - Chapitre 5



Un réveil torride

    Le réveil sonna et nous nous réveillâmes sans avoir changé de position. Jétais toujours fermement calé contre les gros seins de Stéphanie pendant que sa large main couvrait presque tout mon bassin. Comme à chaque réveil, je bandais comme un fou. La douce sensation de ses gros tétons dans mon dos, ainsi que sa main sur mon sexe najoutais quà mon excitation matinale. Stéphanie sentit mon petit sexe se dresser sous sa main et me dit alors :Je vois que lon est en forme à nouveau, mais je dois vérifier quelque chose avant…. De son autre main, elle explora la raie de mes fesses pour tâter mon anus. Je ne mattendais pas à ça et un frisson me parcourut le dos. Stéphanie me rassura:Ne t’inquiète pas ma chéri, cest juste pour vérifier. On dirait que tout est rentré dans lordre. Elle sassit alors sur le bord du lit pour ouvrir le tiroir de table de nuit et en sortit un préservatif. Elle ouvrit le sachet et entreprit de poser la protection de latex sur mon sexe du bout de ses gros doigts à coté desquels mon pénis même en pleine érection semblait minuscule . Elle avait choisi un modèle de petite taille et il mallait très bien. Stéphanie sassit alors à califourchon sur moi et laissa son vagin avaler ma petite bite. Je voyais mon corps tout fin au milieux de ses grosses et puissantes cuisses. Elle commença à sagiter sur moi. Ses seins se balançaient majestueusement. Elle saisit mes avant bras dans ses grandes paluches et me força à mettre mes mains sur ses tétons, que je caressai avec désir. Alors que des vagues de plaisir commençaient à envahir son bas ventre, elle saisit ma petit tête dans ses mains de géante et la coinça entre ses deux énormes melons. Je devins aveugle et sourd, emprisonné entre ses mamelles gigantesques. Je disposais juste dun filet dair pour ne pas m’étouffer. Stéphanie accéléra la cadence grisée par le plaisir. Tout mon petit corps allait et venait au rythme quimprimait les muscles puissants de son bassin. Mes bras tentaient vainement d’enserrer cette cage thoracique large et puissante. Nous jouirent ensemble. Je sentis dans la vibration de son corps immense toute la puissance de cette montagne de muscle. Mon corps navait quà subir. Piloté par le plaisir intense, ses mains comprimaient si fort mon crâne entre ses seins fermes que cette fois je navais plus dair. Je neus mon salut quà son désir frénétique de boire ma semence. Relâchant mon buste qui sécrasa sur le lit, elle me libéra de la prison constituée par ses larges cuisses pour me retirer délicatement le préservatif quelle sempressa de vider dans sa bouche. Elle se délecta alors du liquide visqueux et chaud. A genoux sur le lit et pas encore rassasiée, elle saisit par derrière mes cuisses daraignée dans ses mains démesurées, et me souleva ainsi pour porter mes parties génitales dans sa bouche. Je me retrouvais alors la tête en bas pendant que la géante avide de ma substance léchait consciencieusement mon pénis de sa grosse langue musclée. Ses bras agitaient mon corps léger au gré de ses envies comme si je ne pesais rien. Quand plus une seule goutte de mon sperme ne lui avait échappé, elle râla de plaisir, tout en levant au dessus de sa tête ses mains qui me tenaient encore fermement. Ma bouche se trouva alors au niveau de son opulente poitrine que je ne pus mempêcher de sucer et de pétrir à nouveau. Stéphanie prit alors conscience que nous allions être en retard à la fac et décida de memmener la tête en bas à la salle de bain où elle me posa délicatement sur la table à langer. Nous primes à nouveau notre douche ensemble et nous nous lavèrent réciproquement. Je ne me lassai pas de laisser courir mes petites mains sur son corps à la fois si puissant et si féminin. Elle ne semblait pas se lasser non plus de saisir mes membre fins et ma taille de guêpe dans ses grosses mains. Une fois rincé, elle me souleva en saisissant tout mon bassin pour me poser à nouveau sur la table à langer et me sécher. Une fois sec, elle me posa sur sa hanche pour memmener à la chambre où se trouvait mes vêtements.

Humilié jusquau bout

  Arrivés dans la chambre de ses parents, elle me posa au sol et mordonna de mhabiller rapidement. Elle alla dans sa chambre pour se préparer également. Je mhabillai aussi vite que possible et allai attendre Stéphanie dans le hall dentrée. Elle vint rapidement, vêtue dune façon ultra féminine. Elle portait un chemisier très décolleté qui mettait encore plus en valeur sa large poitrine. Il était suffisamment transparent pour que lon puisse voir la dentelle blanche de son sous soutien gorge. Une idée me traversa la tête :Mes fesses auraient pu tenir largement dans chacun des bonnets. Jaurais pu men faire une balançoire. Elle avait mis une robe qui lui arrivait à mi-cuisse. Jadmirai à nouveau ses quadriceps puissants et ses mollets énormes. Stéphanie me sortit de ma rêverie : Je sais que mon corps damazone te fascine, mais il va falloir y aller si on ne veut pas rater le bus ! Sur ce, elle ouvrit la porte, et nous partîmes vers larrêt qui se trouvait à environ 500m. Stéphanie marchait vite et javais du mal à la suivre. Je trottais derrière elle. A mi chemin, nous entendîmes le bus arrivé au loin. Stéphanie, voyant bien que je narrivais pas à suivre que jétais essoufflé se tourna vers moi. Elle sinclina pour mettre son épaule contre mon ventre. Plaçant une main sous mes fesses, elle me souleva ainsi pour me porter jusquà larrêt. Elle se mit alors à courir comme si elle ne portait rien ! Je pouvais voir ses fesses bouger et ses mollets sur-puissants rouler sous sa peau. Cette fille était vraiment une force de la nature. Elle arriva à larrêt, toujours en me portant sur son épaule, en même temps que le bus. La chauffeur ouvrit la porte et Stéphanie sy engouffra. Tout le monde nous regardait. Ce nétait pas courant de voir une amazone porter avec facilité un homme pour monter dans un bus. Elle me posa délicatement sur un siège coté fenêtre en mettant une main sous mes genoux et lautre dans mon dos. Elle sassit alors à coté de moi. Jétais rouge de honte..mais terriblement excité aussi ! Les gens chuchotaient et se demandaient qui était ce couple aussi dépareillé. Arrivés à notre arrêt, Stéphanie se leva et sans que jai eu le temps de réagir, elle me saisit sous les aisselles et me posa sur sa hanche. Nous descendîmes ainsi sous les yeux des autres passagers, ébahis par la force de ma maîtresse. Un fois en dehors du bus, elle me posa par terre et membrassa sur le front. Nous navions pas les mêmes cours ce matin là et elle devait me laisser. Elle me dit: Soit sage mon petit cul, sinon, tu sais ce que je peux te faire…! Je déglutis. Elle se tourna et séloigna. Je regardai hébété sa grande et musculeuse silhouette séloigner. Jamais je ne métais senti aussi petit et faible, mais finalement, je ne métais jamais senti aussi bien.

Elle mavait filmé !

    Javais été incapable de me concentrer sur quoi que ce soit ce jour là. Les images de la journée de la veille me revenait sans cesse en mémoire. Je rentrai chez mes parents tout aussi désorienté. Il fallait que je dorme pour y voir plus clair. Arrivé chez moi, ma mère maccueillit en me disant: Jai eu la maman de Stéphanie au téléphone, elle ma dit que vous vous étiez bien amusés avec ses amis. Elles doivent partir avec leur équipe le week-end prochain. Elles voudraient que tu les accompagne. Je frémis en entendant ces mots. Le traitement infligé par ces 3 brutes avait déjà été lourd à supporter, je ne savais pas si jallais survivre à celui de toutes léquipe. Je souris et dis à ma mère que jallais y réfléchir. Jallai ensuite dans ma chambre pour me reposer et consulter mes mails. Jen avais un seul et qui venait de Stéphanie. Il était intitulé Tu as été parfaite ma petite pute. Une énorme pièce jointe y était attachée et je louvris immédiatement. Cétait une vidéo ! Du moment où Stéphanie mavait laissé à la merci de Catherine, elle avait tout filmé. Je me voyais empalé sur le pieux de cette brute entrain de gémir de plaisir. Elle agitait mon corps de haut en bas comme si jétais une simple poupée gonflable. Je paraissais si petit dans les bras de cette grosse brute ! Zoomant sur mon anus, je vis son énorme vérin aller et venir dans ma petit rondelle. Ses grosses mains pétrissaient mes délicates petites fesses. La géante Ingrid apparut alors dans le champ. Elle était vraiment immense. Je la vis saisir le haut de mes bras qui disparurent dans ses mains plus que larges. Ma tête également nétait plus visible une fois entre ses cuisses. Mon corps secoué par Catherine bougeait au rythme des puissants coups de reins de cette brute. Mon petit sexe dressé crachait régulièrement. Quand Catherine éjacula en moi, Stéphanie se focalisa à nouveau su mon anus dont jaillit une quantité impressionnante de sperme sous pression. La vidéo sarrêtait là. Jétais sous le choc. Je compris immédiatement quil valait mieux que jaccompagne cette équipe damazone, comme lavait suggéré Stéphanie, si je ne voulais pas que cette vidéo soit diffusée. Ma mère entra alors dans la chambre en me demandant : Je ne trouve pas ton maillot de bain. Tu las laissé chez Stéphanie ?. Le souvenir de ce qui était arrivé à ce pauvre slip de bain me rappela quel plaisir javais pris. Jétais finalement extrêmement excité de devenir pour un week-end la soumise et lesclave de cette bande de valkyries…

Fin

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