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Soumission naturelle – Chapitre 4

Soumission naturelle - Chapitre 4



Salut c’est votre folle de lycra.

Voilà maintenant un an et demi que j’étais devenue la femelle de mon chef, ce dernier se prénommant Thierry. Naturellement mes cheveux commençaient à devenir assez longs pour le plus grand plaisir de mon supérieur hiérarchique, maintenant au boulot je devais avoir une queue de cheval et il exigeait que je sois toujours rasée​ de près le matin. Tous les matins nous nous retrouvions dans un coin très peu fréquenté de la société, souvent les archives; la pièce se trouvait au 2e sous-sol et surtout cette dernière était fermée à clé, clé qui était en possession entre autre de mon chef. Depuis un an je possédais un double, ce qui me permettait lors de nos rendez-vous à cet endroit de l’attendre en toute discrétion. En plus au fond de son local archives qui était très long, l’éclairage était encore plus faible et au fond personne ne s’y rendait car il n’y avait rien à y faire; du coup profitant de cette opportunité mon chef m’avait fait installer tout au fond de cette salle un lit avec un matelas confortable et des draps satinés. C’est ainsi que ici mon chef me convoquait régulièrement quand il avait besoin de s’occuper de moi, nous y avions pris nos habitudes à tel point que il y avait même une malle avec de quoi me préparer pour me faire désirable à ses yeux.

Le local archives faisait facilement 5 mètres de large sur au moins 25 mètres de long, mon chef avait fait attention à retirer les néons sur le fond du local. Rien ne donnait envie d’aller au-delà de la partie éclairée excepté le désir de se faire prendre par son chef ou celui d’aller baiser sa chérie travestie. C’est ainsi que depuis près d’un an mon chef me donnait rendez-vous aux archives je devais m’y rendre, me faire belle et l’attendre ainsi vêtue. Je devais descendre choisir ma tenue dans la malle: robe, bas, porte-jarretelle et escarpins..; c’était le minimum. Quand Thierry arrivait je devais m’asseoir sur une chaise ou sur le lit, lui libérer son sexe et lui faire une fellation pour commencer. Au début je n’étais pas rassurée puis au fur et à mesure j’ai pris confiance, j’y ai pris goût et maintenant c’est pratiquement devenu une drogue; si je ne fais pas ma petite pipe à Thierry quotidiennement je suis malheureuse. À chaque fois pendant que je libérais son sexe pour pouvoir le prendre en bouche il me mettait un large collier de cuir, j’aimais l’odeur de son sexe que j’avais quitté la veille. En fonction du temps qui nous était accordé ou je lui faisais une fellation ou une fellation avec pénétration…; De toute façon il s’est vidé les burettes au moins une fois lors de sa descente dans le local archives. J’adorais qu’il me tienne la tête pendant que je le suçais, ainsi il me donnait le rythme même si quelquefois il allait un peu loin. J’adorais aussi quand il me pinçait les tétons pendant que je le suçais, quand il me caressait les cheveux délicatement en me traitant de tous les noms mais avec délicatesse. Il y a des fois où il me faisait mettre à quatre pattes sur le lit et il se glissait derrière moi avec une petite mois de salive pour lubrifier le tout, mon petit cul était désormais fait pour lui donner du plaisir. Depuis plus d’un an maintenant il m’était imposée de toujours avoir les fesses rasée​s de près, j’adorerais sentir sa colonne de chair rentrer progressivement dans mon intimité, un coup il s’agrippait à mes hanches mais depuis peu, maintenant il s’accrochait à mes cheveux il va de soi qu’il me traitait de tous les noms en même temps Histoire de m’exciter un peu plus. Ce que j’aimais le plus quand il venait me saillir à la cave c’est quand il me faisait mettre les mains contre le mur et qu’il me prenait bestialement; le plus excitant et risqué surtout c’est quand il m’allongeait sur la table de travail des Archives et qu’il me prenait jambes écartées pendant qu’il m’embrassait. J’étais sa femelle, j’étais sa chienne, j’étais sa soumise mais je sentais qu’il y avait des sentiments aussi; en fait je me sentais sa femme.

En plus du local d’archives, j’avais le droit de m’offrir à Thierry dans l’ascenseur dans les toilettes dans son bureau ou dans le mien. En an et demi j’avais pu constater que qu’il avait une sexualité débridée et surtout très exigeante quotidiennement. Quand il m’a embauché il a tout de suite vu qu’il pourrait exploiter mon côté soumis et obéissant. J’avais oublié de vous dire que pour marquer ma première année de soumission à lui il m’avait fait une surprise particulière à savoir me faire tatouer juste au-dessus de mon sexe "chienne soumise et offerte à son maître". Pour arriver à ses fins il avait embauché un tatoueur expérimenté qu’il avait fait venir chez lui où il m’avait attachée à son lit les yeux bandés par une cagoule en lycra, mais évidemment parée d’une douce robe et de bas. Allez savoir pourquoi à la fin de son travail, le tatoueur s’était quand même retrouvé avec une énorme gaule; Thierry très fair-play lui avait autorisé à profiter de la marchandise que j’étais à ce moment-là. Le tatoueur ne s’est pas fait prier en quelques instants il s’était défait de son pantalon et de son caleçon Thierry avait préparé mon petit cul, après m’avoir marqué d’une façon inaltérable le tatoueur est venu à l’entrée de mon petit trou puis à délicatement forcé puis s’est introduit en moi, lentement mais sûrement. Je n’ai pas vu son sexe mais d’après ce que j’ai senti rentrer en moins il devait avoir le même diamètre que celui de Thierry mais sans doute un peu plus long. Pendant qu’il me pénétrait Thierry et lui me caressaient le bas-ventre, me caressaient les tétons, me caressaient les flancs et c’était vraiment très agréable. Ce n’est qu’après m’être fait saillir et le départ du tatoueur que j’ai pu voir le résultat de ce qui avait été fait à mon insu. J’étais un peu catastrophique car je savais que cela ne partirai plus, Thierry m’a rassurée en me disant que cela ne se verrait pas si je portais un tanga un slip ou une culotte ou un caleçon. Pour employer un terme originale je dirais que mon chef était en train de me customiser, de plus depuis un an et demi j’avais quand même constaté que je prenais de la poitrine même si j’étais un amateur de pompes et d’exercices physiques en tout genre je trouvais qu’elle se développait quelques peu.

Un soir alors que je dîner chez lui j’ai abordé le sujet de mes lignes qui était quand même un peu en train de se modifier et là il m’a expliqué que depuis presque un an il me faisait prendre sans me le dire des oestrogenes. Ceci expliquait ma prise de poitrine et la déformation de mes hanches. J’ai fortement bout de péter j’ai haussé le ton car ce genre de chose, on ne pouvait pas revenir dessus; je n’ai eu droit comme réponse de sa part qu’à 2 grandes claques pour me faire taire. Il m’a expliqué "tu es devenue ma femelle, tu es devenue ma chienne, tu m’es obéissante et soumise, je fais ce que je veux de toi". Furieuse est en colère, je suis parti de chez lui en claquant la porte pour rentrer chez moi et pleurer. Une fois à la maison je me suis déshabillée mais c’était plus fort que moi, c’est en femme que je me suis couchée. Ce weekend là je l’ai passé dans mon coin sans voir ni donner de nouvelles à mon homme. Le lundi quand je suis Revenu bosser mon chef m’a immédiatement convoqué dans le local archives, il va de soi que j’ai immédiatement obtempéré même si le cur n’y était pas. Une fois arrivée dans notre nid douillet bien qu’étant vêtue de dessous féminin à même le corps je n’avais pas envie de me travestir complètement aujourd’hui, quand thierry est arrivé j’ai tout de suite vu que cela ne lui plaisait pas. J’ai eu le droit à trois énormes claques, il m’a dit: "tu t’habilles ou je t’en remets".

Du coup j’ai fini par me déshabiller pour me vêtir comme il le désirait d’habitude, mais là je me suis fait surprendre il a pris mes vêtements de tous les jours et il est parti avec. Un quart d’heure après il est revenu les mains vides. Il m’a expliqué que pour m’être rebellée j’allais passer la journée ici au risque de me faire prendre par n’importe quel collègue dans tous les sens du terme… Pour pimenter le tout, il m’a mis des bracelets de cuir aux mains, aux poignets puis m’a attachée​ aux barreau du lit et pour pimenter le tout j’ai eu droit à ma fameuse cagoule en lycra avec juste un trou au niveau de la bouche. Mine de rien au 2e sous-sol de ma société il ne faisait pas chaud, 2h ou 3h se sont passées sans qu’un seul bruit ne trouble le silence de ce sous-sol. Puis j’ai entendu la porte s’ouvrir quelqu’un est entré et j’ai entendu des pas traverser cette longue salle et j’ai compris que les pas venaient vers moi. J’ai senti la personne proche de moi puis je l’ai entendu défaire sa ceinture baisser son pantalon puis je l’ai senti soulever ma robe. C’est inconnu m’a caressé le sexe et en quelques secondes ce dernier était raide, en même temps il est venu me donner son sexe à sucer et je me suis exécutée sans protester. Il n’y a pas à dire ce n’était pas le sexe de mon chef ce sexe sentait fort mais il me faisait envie. Il s’est retiré de ma bouche puis il a glissé un oreiller sous mes fesses et je l’ai senti venir positionner son sexe à l’entrée de mon petit trou, il s’est mis à exercer une pression forte et régulière ce qui rapidement fait céder mon petit anneau. Il s’est mis à me ramener de plus en plus fort je sentais son sexe aller de plus en plus loin, pendant qu’il me baiser il faut filer sa langue dans le petit trou de ma cagoule ainsi nous pouvions nous rouler des pelles. Il avait passé ses mains sous mes épaules pour s’accrocher au-dessus, il me mordait le coup je trouvais ça très érotique. Il a sorti son pieux de mon intimité pour me mordre les flancs, pour me mordre les seins, pour me mordre l’intérieur des cuisses bref toutes les parties hypersensibles hyper érogènes de mon corps. La façon dont tu il s’y prenait me laisser supposer que mon sexe devait être aussi gros que le sien, quant à ma grande surprise je l’ai senti coller son sexe sur le mien pour qu’il masturbe les deux en même temps. Thierry ne me l’avait pas fait souvent mais je trouvais ça très agréable. Au bout de 10 minutes de ce traitement il est reparti dans mon petit cul et y est​ reparti de plus belle à me ramoner, ce coup-ci cela n’a pas été très long il est parti en moi et m’a laissé une énorme quantité de semence dans mon boyaux. Il m’a dit que j’étais très bonne il m’a dit que j’étais obéissante discrète et soumise. Il est resté plusieurs minutes au fond de moi pour m’en laisser le plus possible dans mes entrailles, ensuite il est venu me donner son sexe à nettoyer, chose que je fis sans me faire prier. Il est descendu du lit je l’ai entendu se rhabiller je l’ai entendu s’éloigner sortir du local puis refermer à clé. Je ne sais pas combien d’heures sont passés avant que Thierry revienne me voir, j’ai su que c’était lui car en entrant et en refermant un clé derrière lui il m’a appelé "sa petite femelle" et j’ai reconnu savoir. Il m’a détaché des bras et les jambes m’a fait asseoir sur le lit et je me suis immédiatement jeté sur son pantalon pour en libérer son sexe. Je l’ai saisi je lui ai fait plusieurs bisous avant de le mettre en bouche, il n’y a pas à dire j’aimais la bite et surtout la sienne. Une fois que son bar était bien rigide il m’a fait mettre à quatre pattes à même le sol, heureusement qu’il y avait un tapis, il m’a forcée à mettre la tête à même le sol sous le lit puis me défoncer bestialement j’ai eu le droit à de multiples claques sur les fesses.

Avec la quantité de liqueur que m’avait mis l’inconnu dans mon petit trou le sexe de thierry coulis c’est sans problème dans mon entrejambe. Le traitement qu’il m’a infligé m’excite énormément et nous avons réussi à prendre notre pied en même temps, sa liqueur est venue se mélanger à celle de l’inconnu tandis que la mienne est tombée sur la robe. Il m’a gardée dans cette position quelques minutes avant de à nouveau m’allonger sur le lit. Il est venu s’allonger à mes côtés après s’être déshabillé. Je suis venue me coller contre lui et me suis excusée pour mettre rebellée. Il m’a expliqué que c’est lui qui avait découvert mon côté féminin mon côté salope mon côté chienne soumise et que désormais tout en moi lui appartenait. Cela me faisait drôle à entendre mais j’étais résignée maintenant, voilà bientôt 2 ans que je le connaissais et maintenant je savais que je ne serai plus baisée que par des hommes, occasionnellement j’aurais le droit de me faire une femme de son choix, quand il le voudra….

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