Jai toujours été vicieux et imaginatif pour le plus grand bien des sujets féminins et du mien.
Je devais avoir juste 18 ans lorsque jai assisté à la première exhibition. Cétait dans un ciné porno, une grande salle, une femme accompagnée dun homme a retiré ses collants et slip.
Ils étaient juste en bordure dallée, moi de lautre côté. Lhomme a ouvert sa robe et la caressée, avec sa lampe de poche il me la montrait et éclairait mon sexe que je masturbais en essayant de retenir. La femme sest penchée vers son voisin, lui la troussée pour me montrer ses fesses, il les écartait, jétais fasciné par létoile et la fente sans poil quil exposait, jai joui trop vite et jai quitté le ciné.
Depuis je suis dingue dexhib et de voyeurisme.
Jai emmené sur des lieux dexhib des femmes de tous âges. Je les rencontrais toujours au cours dexhibition.
Parmi celles-ci je me souviens entre autres dune femme de 57 ans, blonde (teinte), qui ma été prêtée très souvent par son mari encore plus vicieux que moi. La première fois quil ma demandé de sortir sa femme, il me la présentée en guêpière noire seins nus. Elle avait une forte poitrine avec des tétons allongés et déjà raides, pas de slip, tout le sexe épilé, des bas résilles noirs avec une couture rouge, des hauts talons. Cétait en hiver, sur cette tenue elle ne portait quune veste longue en fourrure. Javoue que jétais hésitant de sortir en ville avec cette nana vêtue ainsi.
Je lai emmenée au cinéma porno (à lépoque ils avaient la grandeur des autres cinés).Louvreuse (que je connaissais, ça cest une autre histoire) nous a guidés au fond de la salle, à lavant dernier rang. A peine assis un type est venu sasseoir à côté delle. Jai ouvert la veste et son corps est apparu, les mains et bouche du voisin se sont précipitées sur elle. Elle a écarté les jambes et sest à moitié couchée sur le siège, je lui avais retiré la veste. Des types sont venus devant et derrière elle. Le spectacle était superbe : elle nous branlait, se laissait branler par son voisin et moi, le type derrière lui étirait les tétons et malaxait ses seins. Deux autres devant se branlaient en matant cette orgie. Lorsque le premier a joui il est parti, deux autres lui ont succédé. Elle jouissait comme une dingue en se trémoussant, jai eu bien du mal de me retenir, finalement elle ma avoué être rassasiée et je me suis laissé aller dans sa bouche. Nous sommes sortis et rentrés chez elle, elle a dû raconter devant moi son aventure à son mari : évidemment nous avons joui tous les trois après avoir visité et inondé les orifices de madame. Nous sommes restés en contact plusieurs années, un changement de région nous a séparés.
