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Sympa maman – Chapitre 1

Sympa maman - Chapitre 1



’Playstation’

    Je m’appelle Michel j’ai 19 ans et vis toujours avec mes parents. Maryse, ma mère 55 ans et Bob mon père 58 ans.

Nous habitons un pavillon dans un lotissement d’une banlieue de ville de province.

En ce samedi matin, je ne travaille pas. Personne, (ni mon voisin, ni tante Angèle) ne m’a sollicité pour obtenir un service ou une aide quelquonque. J’ai de bons talents de bricoleur.

Bref, je me suis installé dans le salon et me suis mis à jouer à ’Rallye’ sur ma ’playstation’.

Mon père est parti à la pêche, ma mère faire quelques courses.

Vers 11 heures, ma mère rentre.

Elle est vêtue, d’un t-shirt blanc, soutien-gorge blanc, on le distingue sous le t-shirt ; et d’un jupe en ’Jean’ qui arrive à mi-mollets, fendue sur le devant et assez haut.

maman :

— Ca va Michel ? Pas de sortie ce matin ?

  moi :

— Non M’man. J’avais rien de prévu. Je vais t’aider.

  Les courses se trouvent dans la malle arrière.

Ma mère se penche en avant pour saisir les sacs, et doit lever une jambe pour atteindre ce qu’elle cherche. Je suis derrière elle. La fente de la jupe s’ouvre et laisse apparaître ses cuisses, et sa culotte. je me mets un peu de côté pour mieux voir.

Je ne rate pas l’occasion de me rincer l’oeil.

    maman :

— Je vais me changer avant de ranger tout ça. Je ne veux pas me tâcher.

  moi :

— Oui, je vais commencer le rangement.

  Je ne peux m’empêcher de la suivre à l’étage, pour la regarder se changer, dans sa chambre.

Discrétement, je mate.

Elle dézippe la jupe qui tombe à ses pieds.

Je la vois de dos depuis l’embrasure de la porte où je suis, mais le miroir de l’armoire me reflète le reste.

Elle porte une culotte blanche, classique, sans fioriture.

Elle enlève le t-shirt, ses gros nichons débordent en haut des bonnets de son soutien-gorge. Elle passe un t-shirt, blanc encore, mais cette fois qui descend à mi-cuisses.

Je redescends rapidement et range les victuailles dans le frigo.

  maman :

— Laisse Michel, je m’en occupe.

  Je me remets devant le jeu vidéo.

Je ne prête plus attention à ma mère.

Quelques instants plus tard, passant dans le salon :

  maman :

— Ca a l’air bien ce jeu Michel. Tu me montres ?

moi :

— Bien sûr, viens, on va s’asseoir dans le canapé.

    Assise à mes côtés elle écarte les jambes et tient la commande de jeu entre ses cuisses, t-shirt remonté. J’ai la confirmation qu’elle a changé de culotte, maintenant elle est noire.

Le jeu commence et maman se mélange les pinceaux dans les différents boutons de la manette.

Elle garde les mains appuyées sur le haut des cuisses.

Je lui explique le fonctionnement des boutons. En lui tenant la main, je positionne ses doigts, pour freiner, virer etc…

La vue de ses cuisses écartées, de sa culotte sous le t-shirt remonté m’excite.

Je saisis la manette pour faire ma démonstration, je m’arrange pour effleurer son entrecuisse, je parviens à toucher un peu sa culotte.

Maman écoute les explications et ne dit rien, pensant à un geste anodin involontaire.

  moi :

— Avant de commencer, je vais aux toilettes, M’man.

Je passe devant la salle de bains, fouille le bac à linge sale et découvre la culotte blanche que ma mère portait tout à l’heure. Je fais mon pipi et en même temps je renifle cette culotte. Elle a du aller pisser et la changer, car elle est humide dans l’entrejambe. Je lèche à l’endroit de la fente. Je m’entoure la bite avec et me caresse, je la passe sur mes couilles, c’est très doux.

Je la mets dans la poche de mon pantalon de ’survet’ et retourne au jeu.

La partie bat son plein, je fais volontairement des sorties de route pour faire gagner ma mère.

Puis entre lépreuve de Finlande et de l’Australie, la culotte tombe de ma poche, sur le divan.

  maman :

— Bin, qu’est-ce que tu fous avec ça ?

moi :

— Heu….

  maman :

— Dis-moi Michel, je t’écoute. Tu fais quoi avec mes culottes ?

  moi :

— Bin…. heu……. j’aime bien sentir, quoi.

  maman :

— Tiens, donc, c’est une nouvelle folie ? Tu veux que j’en parle à ton père ?

moi :

— Surtout pas maman.

  maman :

— Et…. tu fais quoi encore ? Je peux savoir ?

moi :

— J’aime bien les lécher, me caresser avec, tout ça.

  maman :

— Et ça t’excite tout ça ?

moi :

— Oh la oui, rien que d’en parler, ça y est.

  maman :

— Et tu rêves de quoi aussi, à part ça, mon petit Michel ?

  moi :

— J’peux pas te dire m’man.

maman :

— Hé bien tu vas me le dire, sinon j’informe ton père.

moi :

— Je rêve de toi m’man.

  maman :

— Très intéressant tout ça.

Si je me prêtais au jeu, qu’en pense-tu ?

moi :

— Heuuuuuuu tu veux dire……

  maman :

— Tu ferais quoi là, maintenant, dans tes rêves, mon grand ?

  Je ne réponds pas. Assis à côté de ma mère je la prends par le cou, approche mon visage du sien et colle mes lèvres sur les siennes. Elle ouvre la bouche et me donne sa langue à sucer.

De ma main libre je lui caresse la fente à travers la culotte. Je sens un peu d’humidité. Maman écarte les cuisses un peu plus fortement.

J’écarte la culotte et enfonce un doigt dans sa fente.

Elle gémit, avance le bassin sur mon doigt. Je suis excité, je trique. Je relâche mon étriente.

  moi :

— M’man, je veux te déshabiller, je veux te foutre à poil devant moi.

  maman :

— Oui mon chéri, fais-le.

  Nous nous sommes levés, je saisis son t-shirt par le bas et le remonte. Nous nous faisons face.

En lui roulant un patin, je dégafe son soutien-gorge.

Ses gros nichons touchent mon torse. C’est une douce sensation.

Je les pelote, les caresse, je joue avec les têtons.

Ils durcissent.

Je caresse également son entrejambe sur la culotte.

  moi :

— Tu mouilles m’man, t’aimes ça.

Je vais retirer ta culotte maintenant.

Tu te rends compte m’man, ton petit Michel va baisser ton slip. Tu vas lui montrer ton beau barbu touffu.

  maman :

— Ouiii Michel, enlève ma culotte, tu le sais que je suis fournie, tu me mates hein ?

  moi :

— Je me branle souvent en te matant m’man.

Tu m’excites.

Regarde-moi baisser ta culotte, hummmm quelle touffe !

Quel cul !

  Je regarde ma mère dans les yeux en la déculottant.

Ma bite va exploser. Je me déshabille complétement aussi.

  moi :

— Maman, tu es ma chérie maintenant.

Couche-toi sur le dos sur le divan. Passe une jambe par dessus le dossier, écarte-toi.

Humm quelle belle chatte, quelle belle touffe.

Caresse-toi pour moi m’man.

  Maman, excitée aussi pas la scène, se soumet docilement.

Elle commence par poser une main sur ses nichons qu’elle masse. Titille ensuite les têtons.

De l’autre main elle se caresse le minou, passe les doigts dans les poils drus, puis enfonce son médius dans sa chatte.

  maman :

— Hummmm c’est bon mon petit chéri, maman se branle pour toi.

  moi :

— Enfonce bien les doigts m’man, mouille dessus, pendant que je me branle.

  Je me place au-dessus de son visage et m’astique, mes couilles touchent les lèvres de maman.

Elle me donne des coups de langue dessus.

  maman :

— Quelles couilles et quelle belle bite, mon chéri.

Tu t’astiques pour ta maman, mon petit chéri, c’est bien.

  Je ne peux plus me retenir, l’éjaculation est proche.

  moi :

— Ahhhhhh, ouvre la bouche salope ! Tiens ! Tiens !

je te gicle dedans. Ohhhh ouiiiiiiii maman !!!!!!!

  Maman a ouvert grande la bouche, j’y ai enfoncé mon gland et je lui ai mis quelques giclées de foutre épais.

Ca lui coule sur le menton, le cou.

Je plaque mes lèvres sur les siennes, je mets ma langue dans sa bouche, goûte mon jus.

Maman me rend mon baiser en prenant ma tête dans les deux mains.

  maman :

— Hummm mon petit Michel, je t’adore, tu as joui dans la bouche de maman. C’est merveilleux, j’ai avalé ton jus mon chéri.

  moi :

— Ah ! Que c’était bon maman. Excuse-moi, je crois que je t’ai traitée de salope.

maman :

— Ca n’est pas grave petit chéri, c’est dans l’action.

Tu as d’autres rêves mon biquet ?

  moi :

— Regarde m’man, je suis tellement excité, c’est tellement bon que je rebande. Tu me fais un effet fou.

  maman :

— Oui mais, tu n’as pas répondu à ma question.

moi :

— Bin… oui, je voudrais te voir pisser.

maman :

— De mieux en mieux Michel, et puis encore ?

moi :

— Faisons d’abord ça m’man.

  maman :

— D’abord, on va prendre un verre, on a le temps, il n’est que midi, ton père rentrera vers 16h.

Tu sais, il a une bite moins grosse que la tienne.

moi :

— Oh je sais, depuis le temps que je vous mate.

  maman :

— Et…. tu as vu quoi entre papa et moi ?

  moi :

— Heu… quand tu le suces, quand il te prend dans beaucoup de positions.

J’aime bien quand tu jouis m’man, tu gueules.

  maman :

— Ah ça c’est vrai, j’ai l’orgasme bruyant.

  Après avoir consommé plusieurs verres maman m’invite à la suivre aux toilettes.

Je ramasse la culotte noire qu’elle portait.

  maman :

— M’man tu peux la remettre stp, je voudrais que tu pisses dedans.

Elle s’exécute mais au lieu d’aller dans les wc, elle entre dans la salle de bains.

  maman :

— On sera mieux là, c’est plus spacieux.

Maman va pisser pour toi.

Elle entre dans la baignoire, appuie le dos contre le mur, et en restant debout, écarte les cuisses en avançant le bassin. Elle regarde son bas-ventre.

L’urine coule, Ce n’est pas un jet puissant mais une coulée s’étalant sur la culotte, glissant le long des cuisses jusqu’aux pieds. La pisse coule comme un petit torrent.

Je me branle en admiration devant maman qui pisse, elle réalise l’un de mes fantasmes. Je rentre alors dans la baignoire, et lui enlève sa culotte trempée. Je m’essuie le visage avec ce slip plein de la pisse de ma mère.

Je le lèche, le prend en bouche et le mastique un peu.

Je me branle avec.

  moi :

— Ecarte maman, je vais te bouffer la chatte !

  maman :

— Ouiii viens mon chéri, mange moi.

    Je m’agenouille, écarte encore un peu les cuisses de ma mère et plonge la langue dans sa touffe puis dans sa fente.

Elle a le goût de pisse. Je lui nettoie toute sa chatte consciencieusement, maman gémit de plaisir, dès que ma langue effleure son clito.

Elle est bonne et sait être salope.

  maman :

— Allez mon chéri, on va se rincer maintenant.

  Maman procède à notre rinçage sans oublier de me masser les couilles en passant.

Nous sortons de la baignoire et nous nous essuyons.

Je regarde ma mère et je bande toujours, elle le sait mais feint de l’ignorer.

Je nettoie la baignoire en y passant le jet. Je m’appuie d’une main sur le rebord, de l’autre je tiens le pommeau.

Maman en profite pour passer une main dans mon entrejambe.

Elle soupèse mes couilles, me tate la bite, penchée sur mon dos, je perçois la caresse de ses tetons durs.

    maman :

— Quel joli paquet, mon fils.

moi :

— Tu as les mains douces maman.

    En me caressant ainsi, elle me fait bander et comme à me branler.

Sa langue parcourt ma raie de haut en bas, s’attarde sur mon petit trou. Maman m’enfile maintenant sa langue dans mon cul.

Mon anus se dilate, je me penche un peu plus en avant.

Je coupe l’eau et me cambre au maximum, lui offrant mon fessier.

  moi :

— Ahhhh maman c’est bon, tu me bouffes le cul.

maman :

— Oui mon chéri, tiens ! Sens ! Je t’enfile un doigt.

Maman va te doigter le cul, petit chéri.

    Maman m’astique le bite en passant son bras entre mes jambes et me pénétre le cul avec sa langue.

Je sens bien cette pénétration humide et douce.

Puis son doigt entre et sort et me ramone le cul en douceur.

Ma mère sait y faire, c’est sans douleur.

  moi :

— Ahhhhhhhh ouiiiiiiii je viens, je gicle maman !!!!!!!!!

Tiens dans tes mains tout mon jus.

  Il y a du foutre partout. J’ai giclé sur le mur, ma bite en est couverte, ca coule sur mes cuisses, maman recueille ce qu’elle peut avec les mains. Elle plonge la tête dedans puis me la tend. Je lèche ses mains également, recueillant mon foutre chaud et gluant.

Maman s’est relevée, on se roule des patins de jus.

  maman :

— Tu m’as encore fait jouir maman.

maman :

— Oui mon chéri, je t’aime, tu es délicieux.

  Nous enfilons chacun un peignoir et passons à la cuisine pour nous rafraîchir. Je prends un verre avec maman.

Il est maintenant 13h30, on n’a même pas mangé.

Vite fait on casse une petite croûte.

Ma mère va étendre le linge dans le jardin, après s’être vêtue d’un t-shirt long. Je la regarde par la fenêtre de la cuisine. Elle se baisse pour prendre le linge dans la corbeille au sol, elle a remis une culotte jaune pâle, mais pas de soutien-gorge.

J’ai gardé quant à moi ma sortie de bain.

J’ai récupéré la culotte noire qu’elle a souillée, tout à l’heure, j’ai le nez dedans.

— Alors ? on rêve ?

  Merde  ! C’est mon père qui rentre de la pêche, plus tôt que prévu.

  papa :

— Elle est propre ou odorante ? (désigant la culotte que j’ai en main) moi :

— Heu..

  papa :

— Allez, ça va, je sais ce que c’est. Où est ta mère ?

  moi :

— Elle étende le linge, Pa.

  papa :

— T’es pas encore habillé à cette heure – ci ?

  moi :

— J’ai fait la grasse matinée.

  papa :

— J’ai rien pris aujourd’hui, j’en avais marre je suis rentré. Je vais me doucher.

    Ma mère rentre, voit la voiture dans l’entrée de la propriété, Pa est rentré.

J’ai repris ma partie de ’Rally’ one player.

maman :

— Il est à la douche ?

moi :

— Tout juste.

  Ma mère se dirige vers la salle d’eau et y entre.

Trop curieux, je ne peux m’empêcher d’aller voir.

J’entr’ouvre la porte.

Ils sont tous les deux dans la baignoire.

Mon père debout, pisse sur le visage de ma mère, à genoux face à lui. Elle ouvre grande la bouche, un jet d’urine y pénétre, puis le jet est dirigé sur ses gros seins qu’elle se masse en se pourléchant. Mon père ayant fini, s’asseoit et c’est ma mère qui debout, écarte les lèvres de sa chatte lui pisse dessus. Mon père en prend plein la bouche lui aussi. Maman se place à califourchon sur le visage de papa et s’y frotte en avançant le bassin.

Je trique de nouveau et me caresse.

Le visage de mon père est enfoui dans la touffe très dense de ma mère, je ne distingue même pas sa langue, qu’il lui fourre dans la fente.

J’entends frapper à la porte, c’est Phil, mon copain.

  A suivre ……….

Eusèbe.

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