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Rouerie de femme infidèle – Chapitre 1

Rouerie de femme infidèle - Chapitre 1



Rouerie dune nymphomane

Marie toujours nue me demande de raccompagner jusquà la porte un Sylvain déconfit, qui vient dentendre le verdict. Pour avoir tenté de mendormir et de la droguer dans le but évident dabuser delle lors du bal de samedi, il est condamné à ne plus jamais la revoir Il faut dire quil a vu lessentiel de ce que peut montrer une femme, et beaucoup trop selon moi. Marie déambulait en tenue dÈve sous ses yeux, au moment de le libérer, pour défaire les liens. Accroupie elle a tourné autour de la chaise où elle lavait immobilisé avec son accord, pieds rapprochés mais genoux ouverts. Cétait déjà offrir une vue particulière à un étranger. Malheureusement elle a heurté un obstacle et de la position accroupie elle est tombée sur le dos, battant des pieds et des jambes avant que je ne laide à se relever, juste en face de Sylvain placé aux premières loges pour contempler le sexe convoité quelle venait de lui interdire et en fixer en mémoire le dessin et lodeur fauve. Aurait-elle pu faire mieux pour le rendre fou de désir, si elle en avait eu lintention? Je suppose quelle est délibérément partie en arrière afin de punir linsolent en lui exposant lobjet de sa chasse de façon impudique destinée à lui donner des regrets. Mais jétais si heureux de la conclusion de cette affaire que je me moquais de savoir quil sétait rincé lil en observant les seins, les fesses ou le sexe ainsi étalés de mon épouse. Elle avait proclamé que jétais son amour, le seul depuis quatorze ans. Il ne mest même pas passé par lesprit que ce pouvait être un cadeau ou une promesse de jours meilleurs. A lheure où je rédige cette histoire, je suis persuadé que cette chute, le battement des jambes en lair et lexposition crue de son intimité avaient une signification spéciale, était une invitation à ne pas désespérer.

Mon cauchemar est fini. Je la retrouve au salon. A moi, elle na rien à cacher et puisque nous avons commencé à fêter, nous mettons à profit la débandade du séducteur insatisfait et le retour à une intimité retrouvée. A mon tour de me mettre en tenue dAdam. Marie a ouvert le cadeau de circonstance, trouve que jai fait une folie mais va vite shabiller du collier et sautille, imprimant à sa croupe et à sa poitrine le même sautillement quau bijou. Jai droit à un baiser de remerciement à la hauteur de la valeur de lornement apprécié, et dans la paume de sa main mes bijoux de famille se gonflent dorgueil. Marie sassied sur mes genoux, son postérieur chaud conforte mon envie de lui faire lamour dans le climat serein rétabli. Elle me tend une coupe de champagne, lève la sienne à lavenir de notre couple uni. La coupe vidée, elle me tire avec impatience sur notre lit. Sylvain a vu tout à lheure, moi jembrasse la vulve parfumée, je pénètre le vagin terriblement huilé, je possède le corps chaud. Je mets en scène les divagations érotiques qui mont torturé pendant la séance de cinéma. Les émotions ont été rudes, je me détends en faisant monter le plaisir de Marie. Elle maime, elle scrute amoureusement mon regard, son sourire affectueux me comble de bonheur. Une étincelle passe dans ses yeux, méblouit, je ressens une grosse fatigue, mes paupières se ferment, je lutte contre le sommeil qui gâcherait nos retrouvailles.

Le réveil matin sonne, il me fait mal au crâne. Mes paupières sont lourdes, jémerge difficilement dun sommeil de plomb sans rêve. Je reçois un baiser savoureux de Marie. Elle a mal dormi, et moi? Elle me remercie: Je me suis surpassé; que ferait-elle dun amant, son mari est un satyre à pieds et à sexe de bouc, inépuisable ou presque. Je lui ai raboté le vagin comme jamais, elle a connu des délires. Je suis son héros. Elle était en pleine ascension vers un nième orgasme fulgurant, jai été victime dun petit malaise sur elle, encore palpitant en elle. Cest, pense-t-elle, le résultat probable de mon énervement des derniers jours à cause de cet imbécile de Sylvain. Notre fête de lamour sest éteinte quand, comblée et au bord de lépuisement, elle a constaté que mes excès mavaient endormi. Le plus important nest-il pas que je sois en bonne santé. Je devrais prendre du repos et ne pas abuser des bonnes choses.

Ce jeudi matin, le salon est parfaitement rangé, les traces du repas et des libations de la veille se sont envolées comme par enchantement. Devant ma stupéfaction Marie explique:

-Contrairement à toi, jai eu du mal à mendormir. Jai essayé de me fatiguer en terminant seule louvrage que tu avais mis en route, je me suis chatouillée, masturbée, je me suis donné un orgasme assez faible, sans comparaison avec ceux que tu venais de me procurer. Mes doigts mont déçue. Jai donc mis mon insomnie à profit pour faire du rangement.

Je suis chagrin de navoir gardé aucun souvenir de mes exploits nocturnes. Mon sexe na gardé aucune trace, pas dirritation ou de rougeur imputable à des abus. Je nai rien entendu, ni bruits de vaisselle, ni ronronnement de laspirateur, cest étonnant. Plus étonnant encore, mon érection matinale est impressionnante.

-Marie, tu ne peux pas me laisser partir au travail dans cet état. Apporte-moi ton aide.

-Mais tu es atteint de priapisme. Après tes exploits de la nuit, cest ahurissant. Viens que je te prenne en mains; je vais te faire cracher ton trop plein, ça tévitera de violer une collègue ou une contribuable.

-Tu as peur de me prendre en bouche? Je sors de la douche, mon zizi est propre, pompe-moi.

La brave épouse saccroupit devant moi, comme elle lavait fait pour détacher Sylvain. En baissant les yeux, je vois comme lui a pu la contempler, la toison brune entre les cuisses écartées. Oh! Elle na pas de culotte, elle irait travailler dans cette tenue? Les contribuables qui viendront la consulter, avec un peu de sens de lobservation, vont découvrir sous la table un minou troublant tassé sur fond de chaise. Avec malice je fais un pas en avant. Comme hier Marie part en arrière, fait la culbute, se retrouve sur le dos, les quatre fers en lair, bat des jambes pour se redresser et fait remonter lourlet de sa minijupe. La vue de son frifri fait courir dans ma colonne vertébrale une décharge électrique, je me jette sur ce ventre découvert, provocant, mes genoux entre ses genoux et ma queue durcie par les caresses de Marie va buter contre la vulve fraîche de ma sans culotte.

-Mais quest-ce qui te prend? Tu deviens fou, tu ne vas pas me sauter comme un sauvage. Tu vas me dépeigner et nous allons être en retard au travail. Paul, non.

Elle gigote pour me désarçonner. Trop tard, jai ouvert la crevasse et je me projette violemment dans ce con ouvert aux courants dair. Elle mollit, me reçoit, son postérieur quitte la laine épaisse du tapis, son ventre se tend vers moi. Je me fais des souvenirs pour remplacer ceux que mon endormissement ma volés. Marie ne tarde pas à gémir, se met à trembler et part de façon aussi inattendue que rapide dans des exclamations, des appels puis se laisse retomber inerte. Habituellement il lui faut des préliminaires, elle sait patienter. Veut-elle se débarrasser de moi en simulant? Je prolonge mes efforts, nentends pas son rappel de lheure. Je ramène ses pieds sur mes épaules, je me pousse en avant. Dans cette position mon pilon frappe verticalement la cavité, jemballe la cadence, cogne mon pubis contre la vulve enflée et écartelée par la position, je me sens grossir dans la grotte. Marie entonne son hymne au plaisir. Cette fois elle chante plus juste. Je la mènerai au sommet, les contractions de son vagin ne me trompent pas. Je jubile, notre quatorzième anniversaire de mariage lui laissera un souvenir impérissable: il y a bien longtemps que je ne métais pas jeté sur elle pour la baiser sur le tapis du salon. Le tapis reçoit le sperme qui déborde du sexe béni. Il faudra le nettoyer à la vapeur.

-Vraiment, mon chéri, tu nas pas fini de métonner. Merci, la surprise a été merveilleuse.

-Quand jai vu ton cul nu, je nai pas pu résister.

-Oh! Comment ai-je fait pour oublier ma culotte? Tu mas tellement malmenée hier soir. Vite, je vais réparer cet oubli. Si un autre réagit comme toi, je risque de me faire violer à longueur de journée.

Marie est heureuse, elle me gratifie dun baiser de femme amoureuse.

Vers neuf heures trente, une jeune femme frappe à la porte de mon bureau. Cest une très jeune collègue, déjà croisée et que jai vue lune ou lautre fois en conversation avec Marie. Elle me signale que mon épouse vient de partir pour notre maison, victime dune forte migraine. Son chef la voyant en pleurs la renvoyée. Il serait bon que je men inquiète, dit Margot.

-Si vous le voulez, je peux vous accompagner à votre domicile. Vous pourriez avoir besoin daide pour appeler un médecin, pour aller à la pharmacie. Je pourrais aussi la veiller si vous deviez vous absenter de la maison. Jaime beaucoup Marie et je minquiète pour elle.

Le temps de ranger mes affaires, de poser une permission et de régulariser la situation de Margot, nous roulons vers ma maison. Je suis trop préoccupé pour mintéresser à la jeune femme. Elle est assise à côté de moi, ombre neutre, discrète, silencieuse. Sa sollicitude pour ma femme, le souci quelle a montré pour me seconder, sont touchants. Souvent les rivalités et les jalousies rendent égoïste. Voilà une fille soucieuse de la santé des autres.

Les deux places de stationnement dans mon jardin sont occupées. Ah! ? Par force je marrête derrière la haie de thuyas. Une petite voiture rouge occupe ma place. Un médecin serait présent? Non, il ny a pas de caducée sur le pare-brise. Marie utilise la clé de la porte avant, je passe par la buanderie comme toujours. De lentrée nous arrivons au salon. Le bel ordonnancement du matin a disparu. Quatre chaussures dont une paire de 43 ou 44 de pointure, blouse, soutien-gorge, jupe ont été négligemment éparpillés sur le sol en une ligne irrégulière dirigée vers notre chambre, comme dans un jeu de piste. Que fait là près du string en boule ce jeans? Je nen porte pas souvent et je ne laisse pas traîner mes affaires au salon. Cette voiture, ce jean: lexplication ne tarde pas. Marie est au lit, je lentends gémir. Son mal est plus grave que je ne le pensais.

-Oh! Heu Ho, heu; Ho! Ho! Haaaaa! Ouiiihi.

Je retiens par la main Margot prête à voler au secours de la malade. Je connais ce chant, je lai entendu ce matin, je connais la différence entre des cris de douleur et les exclamations de volupté de Marie. Elle pousse la chansonnette, elle gravit les pentes du plaisir. Ses onomatopées sont de plus en plus bruyantes, toujours plus expressives, précipitées et haletantes, longues plaintes secouées de tremblements, trémolos et inspirations profondes, mêlées dinjonctions:

-Oh! Sylvain, vas-y, frappe plus fort, prends moi, baise-moi. Encore, ooooh! Je nen peux plus. Viens avec moi. Han, han,hhehe.

Cette expression de son plaisir, aussi étrange que soit la situation, me fait frissonner, je sens ma verge en mouvement, malgré ma rage.

-Ça vient mon amour, je pars, heu. Prends ça, cest cadeau. Je taime, han..!

Je tire mon accompagnatrice vers la chambre mitoyenne, un index sur la bouche pour réclamer le silence. Les amants tout à leur passion ne peuvent pas nous entendre, alors que leurs envolées me brisent les oreilles et le cur. Je nai pas besoin dun dessin pour comprendre ce qui se passe de lautre côté de la mince paroi.

-O, mon chéri, jai cru que tu allais me tuer. Quelle entrée en matière, quelle fougue et quelle vigueur sensationnelle. Tu es un étalon, donne moi ta bouche. Je demande une suspension. Laisse-moi respirer quelques minutes. Hier, avant le retour de Paul tu mavais éblouie par ton ardeur et ton savoir faire. Là, tu tes conduit comme un sauvage Tu mas épuiséeTu nas pas pris le temps de mettre un préservatif. Il faut que je fasse un peu de toilette.

Va, je te suis, jadore regarder tes fesses animées quand tu te déplaces. Ce mouvement alterné dune fesse qui gonfle quand lautre se dérobe. Tu as un cul magique, il me fascine. Avance

-Non, arrête, tu me chatouilles.

-Ton cul est bien susceptible. Un doigt sur la raie ne doit pas te faire bondir comme une chèvre en chaleur. Tu as aimé mon doigt dans le cul au moment de jouir, je men doutais. Quand je tenculerai tu jouiras encore mieux. Tu verras, il ny a rien de meilleur, une bite dans le cul, un doigt sur le clitoris et deux ou trois autres dans la cramouille. Je te promets des expériences inédites et formidablement explosives, des révélations révolutionnaires dont tu ne pourras plus te passer.

Marie protège son sexe dune main, elle ne veut pas perdre en route le sperme qui lhabite. Elle avance à petits pas pressés en direction de la salle de bain. De la main droite elle repousse les mains baladeuses de Sylvain qui essaie de pincer le gras des fesses. Elle rit en même temps quelle proteste pour la forme. Je pousse la porte, ils pourraient nous voir au retour en marchant en direction des chambres. Porte fermée les échos de leur chahut arrivent à nous. Margot est dans mon dos. Elle se mord les doigts, des larmes glissent sur ses joues rouges de confusion.

-Excusez-moi. Je ne savais pas Jai vraiment cru quelle était malade. Je naurais pas dû vous attirer ici. Vous?

-Marie est malade, mais elle a trouvé le remède qui la guérit.

-Vous laissez faire? Ce matin elle me racontait quelle avait organisé une belle fête pour votre anniversaire de mariage. Elle semblait si amoureuse de vous.

-Effectivement, hier elle sest fait plaisir. Vous avez entendu, ils avaient déjà fait lamour avant mon retour et avant le repas. Ensuite pour donner le change, elle a chassé son amant, motifs à lappui. Et jai cru quelle maimait. Chut, ils reviennent.

Margot a mis une main dans la mienne, je lui fais pitié. Le chahut renaît sur le lit Ils font du bruit, Marie rit sous les chatouilles et agaceries, amuse Sylvain.

-Non, pas de suçons ni de bleus, Paul les verrait. Plutôt deux doigts, fouille ma zézette, hum, oui vite, oh! Embrasse-moi.

-Tu ne mas pas dit comment vous avez terminé hier soir, demande lamant.

-Vite en réalité. Pendant que Paul te mettait à la porte, fier de tavoir vaincu, je lui ai préparée une coupe de champagne au somnifère dissous, je me suis posée sur ses genoux, jai joué du popotin nu et nous avons trinqué. Il ne sest douté de rien. Jai des cachets pour mon usage personnel dans ma pharmacie: jai doublé la dose pour un effet rapide et durable. A lavenir je les utiliserai quand je naurai pas envie de lui. Pour conclure je lai mené au lit. Comme tu es partisan du partage, il a reçu des caresses, nous avons fait lamour, jallais jouir quand il sest endormi sur moi. Sa queue a mis quelques minutes à se rétracter et à sortir de mon vagin. Jai couru dans la rue dans lespoir que tu ne serais pas parti. Si tu avais attendu nous aurions pu nous aimer toute la nuit.

-Ce nest pas grave, je suis là et jai encore une heure pour te serrer dans mes bras. Tu veux venir placer ta vulve au-dessus de ma bouche, je veux te lécher, puis tu iras tasseoir sur mon piquet et tu me referas la danse autour de mon totem, comme tu las si bien exécutée hier.

Margot me secoue.

-Vous nallez pas les séparer et casser la figure à ce salaud? Il mérite une sacrée correction.

-Lui est dans son rôle de séducteur, il est célibataire. Cest Marie la coupable, ladultère est de son fait, elle oublie ses engagements. Elle sest bien moquée de moi. Jen suis malade. Il faut que je réfléchisse à la conduite à tenir. Je devrais

Quoi au fait?

-Jentends grincer le sommier. Nous sommes rassurés sur sa santé, nous allons partir.

Marie arrête sa cavalcade, toujours plantée sur la hampe du garçon. Un coup dil à la porte ma permis de voir ses reins se creuser et sa croupe sélever autour de la queue prise dans lécrin large de la vulve béante, distendue par la position des cuisses à cheval sur celles de mon rival et la courbure forcée de la bite malmenée. Donc, retombée vulve contre poils du pubis de Sylvain, reprenant son souffle avant de se démener de plus belle, Marie fait des plans:

-Chéri, nous ne pourrons pas toujours nous voir ici, en raison des horaires de travail de Paul. Je ne peux pas mabsenter du boulot chaque jour pour raison de santé. Samedi je ferai des courses. On pourrait se retrouver à lhôtel de la forêt. Ça te va? Je prendrai une chambre et je tattendrai à lentrée. Tâche dêtre là à quatorze heures.

-Comme quatorze ans de mariage? Tu aimes les symboles, prends la chambre quatorze si elle est libre.

Mais on peut aussi saimer dans la nature ou dans ta voiture: ça me plairait assez de varier, de te faire voir les feuilles à lenvers, de te voir assise sur un levier de vitesse ou une poignée de frein, de te prendre allongée sur le capot de ta voiture.

-Je préfère le confort, disposer dun bidet et dune douche. Paul ne doit pas savoir que jai transpiré avec toi. Je me méfie, il a un odorat assez fin. Une fois jai failli me faire prendre. Oh! Jaime sentir ta jeune bite dans mon con.

–Tu as failli te faire attraper? Quand, avec un autre? Tu me trompes?

-Hé doucement, tu prétends aimer les partages, tu nas pas le droit dêtre jaloux. Et puis cest de lhistoire ancienne.

-Tu as eu dautres amants? Quand, combien, tu en as encore?

— Cesse de jouer au jaloux. Jai toujours eu un amant, avant le mariage et depuis. Combien? Il faudra que je les compte un jour. Mais je ne pourrais pas me contenter de la monogamie. Il me faut du sexe pour être épanouie.

-Et Paul ne la jamais remarqué?

-Je ne pense pas. Il maime aveuglément. Cest pour ça que je lapprécie, cest le mari idéal. Il est si gentil. Des fois jai des remords. Il baise bien, aussi bien et mieux que toi. Jai le diable dans le sexe, je veux de la nouveauté, du changement Quand tu seras fatigué de moi, je chercherai un consolateur. Mais Paul sera toujours là, cest mon fil rouge. Il mest aussi indispensable que lair. Dommage quil ne veuille pas me partager.

-Je taimerai toujours!

-Cest-ce quon dit au début. Pour nos rendez-vous, je vais trouver un endroit à labri des regards. Une jeune collègue habite un petit appartement dans les environs. Je la crois amoureuse de moi. Je vais lentreprendre. Des bisous, un broute minou, un soixante-neuf, des chattes en contact, du parfum, je sais comment lembobiner. Tu devras me partager avec elle. Elle ne voudra pas être privée de bisous, de caresses et de jeux lesbiens. Et nous pourrons appliquer avec elle ta théorie du partage, tu pourras te la faire devant moi et avec moi. Ça te chante, voyou de mon cur? Elle pourra nous donner ses clés pour des rencontres.

-Tu aimes les femmes en plus? Je devrai te partager avec une lesbienne! Bof, si tu crois que ça peut marcher, daccord, mais jassisterai à vos coucheries. Il faut sinstruire. Et si on samusait encore un peu? Tes mains me font bander

-Daccord, tiens mes hanches, ta queue va aimer ma danse autour du manche. Après je retournerai bosser, guérie par une matinée de repos. Rien de meilleur pour guérir les migraines quune goulée visqueuse pompée à la source. Ah! Aujourdhui je veux goûter ton sperme. Chacun a sa saveur. Je reconnaîtrais nimporte lequel de mes amants en buvant son jus. Fouette cocher. Noublie pas, tu éjacules dans ma bouche. Quand tu sens le bouillonnement du sperme retire-toi et présente ta lance, je tachèverai dans ma bouche. Ce sera plus facile si tu es au-dessus. Jai soif de toi, mon mignon.

Aux premiers miaulements, jemmène Margot. Pour midi je linvite au restaurant. Me montrer avec elle à la cantine ferait jaser. Ma femme serait mise au courant avant le soir. Notre conversation est orientée par lévénement. Je ne sais pas ce que je ferai. En gros, si. Jaimerais connaître la jeune fille amoureuse de ma femme. Si Margot pouvait trouver une piste.

-Ne cherchez pas, Marie ma demandé lundi si je pourrais lui prêter mon lit pour une aventure. Elle ma flattée puis embrassée. Jai aimé ses caresses sur mes joues et sur mon pull. Ça me faisait plaisir, parce que je vis seule. Jai souffert dune rupture. La confiance de Marie ma réjouie. Je pensais quelle comptait se lier à moi. Mais maintenant elle me dégoûte. Elle vous trompe, elle vous a toujours trompé, elle veut mutiliser et abuser de ma naïveté pour le faire sans risque. Ce sera non. Jai reconnu la voix de son amant. Il a essayé de me draguer autrefois. Cest un voyou, un bon à rien.

-Vous faites erreur, il est instituteur.

-Pas plus instituteur que moi. Cest un chômeur professionnel qui vit au crochet de ses parents. Vous me faites mal au cur. Elle est pitoyable. Ce nest pas juste. Cest vrai que vous navez jamais rien su?

-Depuis le bal de samedi, jai eu des soupçons. Cest la première fois. Jétais toujours convaincu par ses déclarations damour. Margot, je vous demande un service. Si Marie réitère sa demande, acceptez, mais posez vos conditions et avertissez-moi. Vous pourriez faire ça pour moi?

-Oh! Oui, avec plaisir. Mais pourquoi? Ce soir je sortirai du travail avec un quart dheure de retard. Vous pourriez me prendre dans votre voiture et je vous montrerais mon appartement.

Marché conclu. Margot, hôtesse dun soir, moffre un café. Tout à coup la jeune femme prend ma main, me regarde droit dans les yeux:

-Si votre femme vous quittait, je serais heureuse de la remplacer. Jadmire votre calme et votre sang froid. Si vous voulez de moi, je vous jure de vous aimer et dêtre fidèle. Sinon, je pourrais être votre femme de ménage, je laverais votre linge, je ferais la cuisine, les courses, je me contenterais de la chambre damis, comme une gouvernante. Vous verrez je saurai vous consoler.

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