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Tania – Chapitre 1

Tania - Chapitre 1



Tania

Elle était sur le pas de la porte et hésitait à frapper, il y avait bien dix minutes quelle était la dans le noir.

Comment en était-elle arrivée là ?

Les souvenirs revenaient à sa mémoire, sont enfance heureuse, sa mère qui la gâtait trop, son père qui lui passait tous ses caprices et ce quelle avait fait, elle, jusquau jour où elle sétait enfuie de la maison.

La vie infernale quelle avait menée à son père, allant jusqu’à venir nue dans sa chambre quand sa mère nétait pas là et lui qui lavait toujours repoussée.

Elle qui pour se venger de son père qui ne voulait pas coucher avec elle, sétait donnée au premier venu et sétait enfuie avec lui en auto.

Elle qui deux mois plus tard se retrouvait arpentant les rues de Pigalle à la recherche du client, elle qui avait accouché voilà six mois de ce bébé quelle avait dans les bras.

Elle ne savait même pas qui en était le père mais cétait son fils, elle avait trouvé le courage de senfuir et de revenir chez ses parents deux ans après son départ mais elle navait pas le courage de frapper à la porte.

Elle allait faire demi-tour quand celle-ci souvrit et quune voix dhomme lui dit.

— Entre, tu vas finir par attraper froid !

— Tu savais que jétais là ?

— Jai entendu la porte du jardin souvrir et jai regardé par la fenêtre de la cuisine !

Il la fit entrer et la débarrassa de sa valise, pour lemmener à sa chambre, il en ouvrit la porte, sa chambre navait pas changée, elle était telle que quand elle lavait quittée voilà 2 ans, le ménage devait y être fait tous les jours car il ny avait pas un gramme de poussière.

Tout était à sa place même sa poupée qui trônait sur son lit.

Il posa la valise et sortit de la chambre en refermant la porte sur lui.

Elle ne pouvait que pleurer et cest ce quelle fit, son père venait en simplement trois mots, de laccueillir et de lui dire ici tu es chez toi et malgré tout tu restes ma fille.

Cet homme rustre, qui avait fait fortune dans le négoce du vin, cet Italien de souche qui ne parlait pas un mot de français quand il était arrivé en France avec sa femme et sa fille, pour faire les saisons et qui finalement y avait fait sa vie, venait de lui montrer encore une fois quil laimait plus que tout mais à sa manière à lui, pas à la sienne.

Elle voulait que son père lui fasse lamour et lui ne voulait que laimer comme un père doit aimer sa fille. Il venait en deux minutes deffacer 2 ans de malheurs.

Elle coucha son fils après lui avoir donné le sein.

Il était là, assis sur sa chaise préférée dans la cuisine à la place qui avait toujours était la sienne, il ne la regarda pas et lui dit simplement en se levant, il y a à manger dans le frigo, puis sortit de la pièce.

— Papa attend, parle-moi, dit moi quelque chose, où est maman ?

— Elle est partie trois mois après toi, elle pensait que si tu étais partie cétait ma faute, que javais dû vouloir te violer ou un truc comme ça, les gendarmes sont même venus.

— Mais non, cest horrible, que sest-il passé ?

— Ils mont mis en prison et comme ils ne trouvaient rien ils men ont fait sortir trois mois après, ta mère est partit le jour où je suis revenu. Je ne sais pas où elle est, je crois quelle est retournée en Italie dans sa famille, si un jour tu veux de ses nouvelles je te donnerais ladresse.

— Pardon, pardon papa si tu savais comme je regrette.

Il ne répondit pas, il tourna les talons, une grosse larme coulait sur sa joue et il alla se coucher.

Il y avait trois mois que Tania était revenue et son père ne lui avait plus jamais adressé la parole, il lui laissait de largent sur la table de la cuisine pour les courses et sa carte bleue pour les grosses dépenses. Il navait jamais regardé son petit-fils et ny apportait aucune attention.

Il partait le matin à son bureau et revenait le soir tard, il mangeait seul et regagnait sa chambre sans un mot.

Un soir Tania alla le rejoindre dans sa chambre.

— Papa il faut quon parle, tu ne peux pas vivre ainsi, dis moi ce que tu veux, dis moi ce que tu penses de moi mais dis quelque chose, je taime papa et tu sais que je voudrais te rejoindre dans ton lit, fais de moi ta femme !

— Je ne tai pas voulu vierge, je ne te veux pas plus pute, tu restes ici parce que cest chez toi mais ne men demande pas plus. Je prendrais soin de toi et de ton fils même sil na pas de père, ce nest pas sa faute, pour linstant il na pas besoin de moi, quand il aura besoin je serais là.

Quelques mois plus tard il acheta une maison dans le midi à sa fille et linstalla, elle ne le revit que le jour des 18 ans de son fils, il passa à la maison dire bonjour donna une enveloppe à son petit-fils des clefs de voiture et partit sans un regard pour sa fille, il avait soixante ans il mourut six mois plus tard dun cancer généralisé.

Tania était inconsolable, elle avait fait le malheur de sa famille et venait de perdre le seul amour de sa vie, son père par son refus de lui faire lamour lavait poussée à fuir sa maison mais était-il coupable ou elle, était-elle une fille indigne ?

Elle essaya encore une fois de contacter sa mère et partit en Italie pour la voir, lui raconta son histoire, la vielle femme était effondrée de navoir pas cru son mari mais il était trop tard.

Le fils de Tania venait de rentrer à luniversité quand ils reçurent une lettre du notaire, son père avait légué toute sa fortune et son entreprise à sa fille et à son petit-fils.

Il y avait une lettre pour Tania, sur lenveloppe était écris de la main de son père.

  Pour Tania ma fille chérie, à ne remettre quaprès ma mort.

Cétait la plus émouvante des lettres, il lui disait son amour et comment il avait dû faire pour résister à lenvie de la prendre dans ses bras et de lui faire lamour, comme elle voulait, quil avait eu tort de ne pas le faire mais quaprès il était trop tard.

Elle venait davoir 37 ans et était une femme magnifique mais en deux ans de prostitutions, elle avait eu assez dhommes pour combler sa vie sexuelle et se consacrait à son fils.

On était en été, Michael était là pour les vacances, il était arrivé la veille il entra dans la cuisine.

— Maman, depuis longtemps je voulais te parler de cela mais je nai jamais osé, jai dix huit ans et je ne comprends pas pourquoi papi ne te parlait plus mais sest toujours occupé de nous ?

— Ton papi était un homme adorable et quand jétais jeune jai fait une grosse bêtise, quil ne ma jamais pardonnée mais il maimait follement, pas comme moi je laimais, lui maimais beaucoup plus.

— Ça veut dire quoi pas comme je laimais ? Tu veux dire que tu aurais voulu avoir des rapports avec lui ?

— Oui, jétais amoureuse de ton grand-père et aurais voulu avoir comme tu-dis des rapports avec lui mais pourquoi me pose-tu ces questions ?

— Je ne sais pas comment te parler de ça maman et jai peur que toi aussi, tu ne me parle plus !

— Explique-toi, que veux-tu dire ?

— Promets-moi de ne pas prendre mal ce que je vais te dire et de ne pas te fâcher !

— Je ne me fâcherais pas, dis-moi ce que tu as à dire et on en discutera, ça te va comme ça ?

— Oui, tu aimais papi et moi je taime maman et depuis longtemps, tu es belle et si tu savais comme je suis malheureux quand je suis avec toi, de ne pas pouvoir te toucher, te caresser, tembrasser, te faire lamour !

— Mon chéri, il faut tout dabord que je te dise ma vie, tu sais jétais une prostituée et cest pour cela que tu nas pas de papa, quand je suis partie de chez grand-père jai suivi un homme qui ma mise sur le trottoir, jétais jeune et nais pris aucune précaution, et ce qui devait arriver est arrivé un jour je suis tombée enceinte et jai voulu te garder. Je suis une pute Michael, des centaines dhommes me sont passés dessus, je ne suis pas une femme pour toi, même si je voulais, je ne pourrais pas, je nose même pas me regarder dans une glace !

— Quelle importance ta vie avant moi, je taime moi, ne fais pas la même erreur que papi, ne me repousse pas !

— Michael, cela ne te dérange pas que je sois une pute, je faisais lamour à des hommes pour de largent et de la pire des manières, ils ont tout eu, tu comprends, tout, jétais la pire des putes, jacceptais tout pour donner de largent à mon maquereau.

— Je ne veux pas savoir ça, je ne veux pas que tu fasses la pute, je veux faire lamour avec toi parce que je taime maman et jen ai rien à fiche du reste mais si tu ne veux pas, cest ton droit.

— Cest mieux ainsi Michael, crois moi, dans quelques jours tu me détesterais.

— Pourquoi ? Je sais que depuis que je suis né, tu es une femme exemplaire et digne dun homme et sur ton front il ny a pas marqué quand jétais jeune jétais pute. Il y a marqué, je suis une belle femme.

— Laisse moi le temps de réfléchir Michael, ne me force pas et laisse lidée faire son chemin mon amour.

— Oui, tu as raison maman, fais comme tu veux, tu sais maintenant ! Voilà tout.

— Michael, appelle-moi Tania quand nous sommes que tous les deux, cest déjà un début non ?

— Oui ma chérie, je taime Tania.

Ils ne parlèrent plus de cela et la vie continuait, Michael appelait sa mère Tania et elle était heureuse, elle ne voulait pas shabiller provocante mais elle voulait que ce soit lui qui fasse le premier pas, ce jour là, elle passa une simple blouse boutonnée sur le devant sans rien dessous, on devinait sous la blouse ses pointes de seins et il ne fallait pas être grand clerc pour deviner la femelle offerte.

Michael arriva dans la cuisine alors quelle finissait le café et vint comme à son habitude faire la bise à sa mère, il sentit son parfum et quand elle se tourna vers lui, il devina quelle soffrait à lui car bien que pas très sexy la blouse nen était pas moins provocante.

Il la prit dans ses bras et lembrassa sur la bouche, elle lui rendit son baiser, il parcourait son corps de ses mains enfiévrées. Il déboutonna la blouse et admira le corps magnifique de Tania, elle avait coupé les poils de son pubis en triangle et rasé ses grandes lèvres, son sexe était comme celui dune jeune fille, elle voulait être belle pour lui.

Il lembrassa encore et encore lui caressant les seins et le ventre.

— Sois doux mon amour, sois doux avec moi, caresse moi tendrement aime moi !

— Je taime Tania, veux-tu être ma femme ?

— Je suis à toi Michael, je taime mon amour, prends moi !

Il lentraîna nue dans la chambre et la mit sur le lit, elle était dune beauté à couper le souffle, cétait sa première femme et il ne savait trop quoi faire mais elle voulait que ce soit lui qui fasse comme il aurait fait à une jeune fille et non elle comme une vieille pute, qui lui dise quoi faire, elle nétait plus avec un client mais avec lhomme de sa vie et elle avait à nouveau dix huit ans.

Il se déshabilla et sallongea près delle, il caressait ses seins, tétait les mamelons et pétrissait la poitrine, mais nosait toujours pas aller plus bas que le nombril, elle gémissait et laissait Michael la découvrir, elle aurait pu lui prendre le sexe dans sa bouche et le faire jouir en deux coups de langue ou diriger son pénis dans son vagin ou tant dautres avaient pénétré.

Elle était jeune fille, avec son amoureux et ils faisaient lamour pour la première fois, elle le voulait ainsi. Pour lui, elle se hasarda timidement à tendre la main vers le pénis et fut surprise par la taille impressionnante du sexe de son fils.

Elle en avait vu de toutes les tailles et de toutes les couleurs mais rarement de cette taille là, même à Barbès les noirs nétaient pas si bien montés, elle eut peur car après dix huit ans dabstinence, son vagin avait dû reprendre une taille normale et même devait être très serré, surtout que tous les jours elle faisait de lexercice pour le muscler, comme les vielles putes le lui avaient appris, car dans le métier, il faut que le client jouisse vite.

Michael avait un vit énorme, dune taille bien au-dessus de la moyenne ses 28 cm et ses 6 cm dépaisseur étaient impressionnant même pour Tania.

— Ho mon chéri, tu es énorme !

— Tu ne veux pas !

— Si mon amour je veux mais il faudra que tu aille doucement, que je mhabitue à ta taille, pourquoi dis-tu ça ?

— Les autres filles ne veulent pas, tu sais même dans les soirées quand elles me voient nu elles refusent !

— Viens alors prends moi, moi mais sois doux, tu sais, je suis à nouveau une jeune fille et ça risque dêtre très serré, il ne te manquera que ma virginité.

— Je taime Tania !

— Prends-moi Michael !

Il se coucha sur elle et se guida à lentrée de sa grotte, Tania mouillait et son vagin était bien lubrifié, il enfonça lentement son gland, elle était chaude, son vagin étroit et musclé acceptait peu à peu lénorme membre, elle le sentait comme un fer rouge entrer en elle, lui labourant les muqueuses, elle se mordait la lèvre pour ne pas hurler son plaisir, il y avait si longtemps, elle qui ne jouissait plus, sentait le plaisir monter en elle et il nétait pas en entier dans son entre.

Le pieu toucha le fond du vagin et força un peu contre le col de lutérus.

— Prends-moi mon amour fais moi jouir, je taime !

Michael commença à aller et venir dans cette gaine de chair, sa verge turgescente emplissant le con maternel, elle avait passé ses jambes sur ses épaules pour le prendre au plus profond à chaque coup de boutoir, cétait la première fois quelle faisait ce geste et en était heureuse.

Le plaisir montait dans son ventre, sa tête ballottait en tous sens, elle pleurait de bonheur, elle savait jouir à nouveau, elle explosa quand Michael lâcha sa semence en elle, au plus profond de son ventre à lentrée de son utérus.

Elle hurlait son bonheur, Michael la faisait jouir comme personne navait su, elle pleurait, il navait pas arrêté ses mouvements et continuait à aller et venir en elle, il navait pas débandé et elle perdit un instant connaissance, il déversait à nouveau sa semence quand elle reprit ses esprits, pour repartir dans les nuages au choc du sperme contre sa matrice.

Ils restèrent longtemps à reprendre leurs esprits dans les bras lun de lautre, lui, lui caressant les seins et elle le masturbant délicatement.

Elle le prit dans sa bouche et lui suça le gland, cest bien la seule chose qui entrait dans sa bouche, elle était heureuse, il rebandait et elle sempala sur lui et dans un mouvement de rein les emmena tous les deux à lexplosion, le premier coït accompli par Michael, sétait à elle maintenant dêtre sa femme et de laider à apprendre à se donner et à lui donner du plaisir.

Il y a une suite, ça vous dit ?

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