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Tu l'as cherché – Chapitre 15

Tu l'as cherché - Chapitre 15



Tu las cherché. 16

— Où me conduis-tu, Alain ?

— Mais tout bonnement dans notre appartement et plus précisément dans notre chambre à coucher. Connais-tu meilleur endroit pour faire lamour? Tends ta main gauche par là : tu reconnais le bois de mon fauteuil Voltaire et son tissu ! Pourquoi cette question? Tu nas rien de mal à redouter, je suis ton mari, plus amoureux que jamais.

Quel culot ! Tu parles, un mari qui me cocufie, voilà ce quil est. Jai envie de lui arracher les yeux. Par sa faute jai couché avec mon père, je vomis le traître. La vengeance ne tardera pas. Mon silence létonne, il insiste :

– Fais-moi confiance ma chérie.

— Cest vrai, cest ton fauteuil.

Je nen dis pas plus. Mais nest-il pas surprenant quune odeur de tabac flotte dans notre chambre à coucher, alors que ni lui ni moi ne fumons ? Cest lodeur que trimballent .inconsciemment sur leurs vêtements les fumeurs impénitents. Alain a-t-il reçu ici des fumeurs en mon absence ? Il nest pas de la jaquette, que seraient venus faire ici ces gens? Martine serait fumeuse ? Non, il ne peut pas avoir poussé le vice au point de la baiser dans le lit conjugal. Il est trop trouillard pour assumer un tel excès. Il me trompe, mais en cachette. Dailleurs Martine aurait laissé des effluves de parfum. Or je ne remarque pas dodeur caractéristique dun parfum féminin. Y aurait-il ici un fumeur en ce moment, ce serait la surprise.

— Te voilà près du lit. Laisse-moi tenlever tes vêtements. Jadore te dénuder. Lève les bras, voilà ta merveilleuse poitrine prisonnière de ton soutien gorge, Je la libère et je cède au plaisir dembrasser chaque sein. Tes tétins sont toujours aussi sensibles et pointent dès la première caresse. Ils méritent un baiser, une légère succion. Tu aimes?

Il nest pas si bavard dhabitude, cest comme sil commentait ses gestes pour attirer lattention dun autre sur les particularités de mon corps. Je réponds à sa question de façon neutre et je tends loreille pour entendre éventuellement la respiration d un étranger.

— Depuis quand doutes-tu de mon amour ?

— Je nen doute pas. Ce téton est tout dur entre mes lèvres. Il ne faut pas permettre à lautre dêtre jaloux.

Il tète le sein gauche, pince tout doucement lautre entre pouce et index. Apparemment il domine son envie, fait durer. Ah ! Quelquun a du mal à déglutir, je lentends Je suis persuadée que nous sommes plus de deux dans la pièce et que le déshabillage auquel Alain me soumet en me faisant tourner sur moi-même, a au moins un témoin qui a failli sétrangler quand Alain a décollé mon string de la fente de mon sexe. Ça y est, je comprends : javais refusé de copuler avec lun de ses amis en sa présence. Il contourne mon opposition :sous prétexte de me surprendre, il veut parvenir à ses fins ce soir. Ce sera bien une surprise sil réussit à me livrer à un complice. Jai les yeux bandés et il espère me faire avaler quil sera lauteur de mon plaisir quand un autre, plus en forme que lui, me bourrera de coups de bite. Il me prend pour une gourde, je le défie :

— Mon cher, cesse de me brouter le minou pendant une minute et retire ton index de mon cul. Jai une offre à te faire.

— Je técoute. Ça ne mempêche pas de te préparer. Mon index couvert de salive aime te perforer le petit trou. Cest bon, tu remues les fesses. Dis ce que tu as à dire.

— Je crois savoir en quoi consiste ta surprise.

— Ça métonnerait. Tu as des dons de voyance ? Cest nouveau.

— Si je devine bien en quoi consiste ta surprise, me permettras-tu denlever cette vilaine cagoule. Je ne suis pas à laise là-dessous et jaimerais tant uvrer pour te satisfaire mais de façon bien consciente. Je ne modifierai pas tes plans, je me soumettrai à tous tes désirs.

— Tu dis ça maintenant mais, dans cinq minutes, tu trouveras un autre subterfuge pour casser le coup.

— Je te jure que non. Alors, tu me rendras la vue si je te donnes mon idée ? Je profiterai tellement mieux de ta surprise si je la vois.

— Daccord, mais si tu te trompes tu resteras dans le noir. Tu devrais essayer de continuer ainsi ; quand le sens de la vue manque, tous les autres sens sont plus aiguisés. Ainsi aveuglée, tu sentiras mieux les sensations de mes frottements dans ton vagin Ah ! Tu fais non Bien, de toute façon tu ne risques pas de trouver. Je suis bon prince. Alors ?

— Je te jure que jobéirai. Tu te souviens de ton souhait de faire lamour à trois. Javais dit non. Je parie que cest-ce que tu as préparé. Eh! Bien, si cest ça ta surprise, ce soir je veux bien le faire. Mais ce serait tellement meilleur si je voyais le troisième partenaire.

— Diablesse, comment as-tu deviné?

Je lui laisse une porte de sortie honorable. Je ne fais pas allusion à sa probable fatigue et à son désir de la dissimuler en me faisant posséder par un autre. Il sest engagé et ne peut pas se dédire sil y a vraiment un témoin de sa parole.

— Oh ! Cest un miracle, tu marches dans la combine, tu veux bien. Quel changement ! Tu me combles de bonheur. Cette cagoule na plus de raison dêtre. Pourtant tu brûles mais ta réponse nest pas parfaite. Jai voulu faire les choses en grand, jai deux invités enthousiasmés par la perspective de séduire la plus belle femme des alentours. Te donneras-tu aux deux si je dénoue la cagoule.

Le sagouin navait vraiment pas confiance en lui et en ses moyens sexuels et il a prévu deux types pour me donner le change. Mon esprit tourne à toute vitesse; jévalue les avantages et les inconvénients de lopération fomentée par ces trois hommes, Alain et ses deux complices. Le pas franchi, quelle différence cela fera-t-il pour lui : au lieu dêtre cocu volontaire une fois, il le sera deux fois. Il sen fout et ne pense q sa maîtresse. Et pour moi ? Jai commencé à le cocufier avec Gérard, mais Alain ne le sait pas. Désormais, un de plus ou deux de plus, cela na plus dimportance, je suis déjà femme adultère. Comme jai prévu de ne plus munir avec mon mari en raison de son aventure avec Martine, je vois dun bon il son complot. Sur les deux candidats à une séance de jambes en lair avec moi, lun pourrait me plaire et je devrais à lesprit de débauche dAlain de trouver, sans effort et sans humiliation, mon futur amant. Je nai rien à perdre, tout à gagner peut-être. Je feins la gêne :

— Cest renversant, inattendu. Cela me semble un peu trop fort et me gêne. Javais réfléchi à la possibilité de te faire plaisir en acceptant de composer un trio avec toi et un de tes amis recruté par toi. Deux amis, ça pose problème, parce que je ne suis pas sûre darriver à faire jouir trois hommes à la fois.

— Tu réussiras certainement, je connais ton tempérament de feu.

— Je le souhaite. Je ne voudrais décevoir ni lun ni lautre. Ils sont bien aimables dêtre venus pour me faire lamour, surtout sils savaient quils seraient en concurrence. Jai juré de tobéir, je me soumets, avec un vu cependant. Pour honorer ces merveilleux amis, jaimerais débuter avec eux et je te prierais de passer sur moi en troisième position.

La cagoule saute. Alain rayonne de joie membrasse sur le front. Sa porte de sortie a les dimensions dune porte de grange. Passer en dernier, quand les deux autres mauront éreintée, cest avoir lavantage dêtre jugé par une épouse trop fatiguée pour mesurer sa possible défaillance. Et si les deux premiers sont vraiment efficaces, lui-même pourrait être dispensé de me baiser et pourrait attendre le lendemain, gagner du temps afin de ne pas malarmer. Jai fait le même calcul que lui. Me tordre de plaisir sous les assauts de deux mâles sera une expérience inédite et je ne serai pas fâchée déviter un accouplement avec un époux infidèle. Quils me tuent de jouissance ou pas, je saurai faire la morte et accorder à lindigne le repos quil espère.

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