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Étudiant chez l'habitant – Chapitre 1

Étudiant chez l'habitant - Chapitre 1



Ceci est ma première histoire

qui devrait comprendre plusieurs chapitres

d’intensités érotiques progressives

En souhaitant qu’elle vous plaira!

Chapitre 1: linitiation

Je m’appelle Jérémy, j’ai 19 ans, Breton dorigine, je suis actuellement étudiant en BTS dans une petite ville du sud-ouest de la France. Mes parents qui ont peu de moyens financiers nont pu me louer un logement individuel et ne mont trouvé quà mon grand désarroi, une chambre meublée chez lhabitant. Le couple qui me loge est composé de :

-Danielle, 52 ans, petite femme au foyer au physique menu, aux épaules fines et aux hanches légèrement prononcées. Elle est souriante et dun naturel avenant. Elle loue la chambre de sa fille pour combler le vide laissée par celle-ci lors de son départ pour lAngleterre (elle y poursuit un cursus en commerce international).

-Jean-Paul, 54 ans, trapu, ventre limite bedonnant, moustache taillée et grisonnante, il est dun tempérament plutôt bourru. Son travail loblige souvent à des déplacements sur plusieurs jours et une présence supplémentaire à son domicile pendant ses absences le rassure pour la sécurité de sa femme.

Leur logement est une grande maison à étage (là où se trouve ma chambre et ma salle de bains) et comporte également un garage en sous-sol. Nayant que les clefs du sous-sol, jy emprunte un escalier qui passe par le palier du rez-de-chaussée avant datteindre mon espace à létage.

A la veille des vacances de printemps il mest arrivé une aventure à peine croyable. Je venais de louper mon train pour rentrer chez mes parents et les guichets étaient fermés. Jétais bon pour revenir le lendemain me prendre un nouveau billet. Pendant le trajet en bus pour rentrer à ma chambre jai informé par téléphone mes parents de mon contretemps.

Arrivé face à la maison, je remarque de la lumière dans le salon de mes logeurs puis dans le garage je maperçois de labsence du véhicule de J-Paul. Arrivé sur le palier je mapprêtais à gravir les marches de létage quand, surprise, jentre-aperçois dans lembrasure de la porte du salon Danielle assise nue sur son sofa en train de tricoter.

Javais monté 2 3 marches dans lescalier lorsque sa voix minterpellât :

-Jérémy, cest toi ?

-Euh oui, lui répondis-je embarrassé, jai loupé mon train, je repars demain excusez-moi pour le dérangement, je

-Il ny a pas de soucis, mon grand, limportant cest que je sois au courant !

Jallais poursuivre ma progression dans lescalier quand elle mapostropha de nouveau :

-Jérémy, puisque tu es là, tu penseras à me descendre ton chèque en paiement du loyer de ce mois. Tu as oublié, tu te rappelles ?

-Euh, oui daccord je descends dans 15 min si vous voulez. Et je termine à vive allure les quelques mètres me séparant de la porte de ma chambre.

Prenant mon temps pour souffler et me remémorer la situation je fais le point : jai surpris ma logeuse nue en bas et je dois lui apporter mon loyer ! Je me rassure en me disant quelle va profiter des 15 min pour enfiler un vêtement afin de ne pas perdre la face devant moi !

Au bout de 20 min je redescends lentement les marches pour arriver près de la porte du salon. Je toque à la porte.

-Entre, Jérémy, naies pas peur voyons !

Et merde, elle a pas bougé ! Elle est là, nue, tranquillement assise les jambes croisées, ses lunettes de vue perchées sur le bout de son nez, affairée sur son tricot rose, ses petits seins légèrement tombants se balançant imperceptiblement aux rythmes de ses aiguilles

-Oh, pardon, je repasserai, excusez-moi, lui dis-je, prêt à retourner sur mes talons.

-Mais attends, où tu vas ? Il y a un problème ?

Devant mon embarras et le rouge qui commençaient à teinter mes joues, elle poursuivit :

-Cest de me voir nue qui te met dans cet état ? Il ne faut pas voyons. Cest naturel ! Il marrive souvent de me mettre nue lorsque je suis seule à la maison. Tu sais, J-Paul et moi avons toujours pratiqués le naturisme ! Ya pas de mal tu sais, cest même très agréable !

Devant ma réaction figée, elle continue :

-Tu ne tes jamais mis nu toi aussi ?

-Euh si,., quand je me couche ! Et, euh, ,je me suis déjà baigné ..nu dans la piscine de mes parents un jour où jétais seul

-Ben tu vois ya pas de mal, cétait bien ?

-Oui répondis-je en baissant les yeux.

-Tes tout gêné ! Faut pas je tassures, cest quand même pas la 1ère fois que tu vois une fille nue quand même ?

Ben si justement, je nai jamais vu de fille nue ailleurs que dans les magazines de cul ! La seule femme que jai réellement vue nue cest ma mère et cest quand jétais tout gamin quelle se lavait encore devant moi ! Mais ça je nose pas lui dire !

Devant mon silence, elle enchaine :

-Pourquoi nessaierais-tu pas avec moi ? Ça te décoincerait un peu tu verrais Allez, vas-y, déshabilles-toi, allez, hop ! Dépêches toi, allez !

Je suis écarlate. Elle se lève de son fauteuil, je vois alors sa chatte au pubis bien fourni de poil brun mais aux lèvres quant à elles épilées. Je distingue clairement la fente verticale de son sexe. Arrivée devant moi, elle me prend le chèque des doigts et retourne sassoir dans la même position quauparavant.

Et là elle massène largument imparable :

-Et puis dabord, maintenant que tu mas vu nue, à moi de te voir. On sera quittes comme ça !

Ne savant plus quoi répondre, jentreprends dôter mes vêtements un à un et en peu de temps je me retrouve debout en caleçon devant elle. Devant mon hésitation à enlever mon dernier rempart elle me demande ce quil y a et benoitement je lui réponds que jai peur davoir une érection car je sens mon membre se tendre légèrement.

— Mais cest tout naturel, tinquiètes donc pas pour ça ; va ! Jen ai vu dautres et tu sais, je prendrais même ça pour un compliment!

Je fais rapidement descendre mon caleçon et joins mes mains sur mon sexe en signe de pudeur. Elle se lève alors vers moi prends mes mains dans les siennes et les écartes de mon entrejambe afin de pouvoir admirer ma nudité ainsi exposée.

— Cest mieux comme ça tu trouves pas ? Tu vois cétait pas si difficile finalement ! Et puis elle devait être un peu à létroit toute serrée dans ton caleçon ! Regarde, elle lève un peu la tête, dit-elle en désignant mon membre semi gonflé, elle se sent beaucoup mieux comme ça cest sûr! Elle est vraiment mignonne, la cacher aurait été dommage ! Allez viens on va prendre un café dans la cuisine.

Je la suis dans la pièce voisine, cela me permet den profiter pour la reluquer en douce. Danielle porte bien sa cinquantaine, sa taille est dessinée, ses hanches marquées et ses fesses, malgré le fait quelles ne semblent plus trop fermes, sont potelées et charnues. Son naturel et laisance avec laquelle elle se déplace nue lui donne un certain charmes et la rend plutôt attirante de mon point de vue.

Pour mettre à laise, elle est très forte, tout en préparant le café elle discute de tout et de rien avec moi tout en interrompant le fil de la conversation par des petits commentaires du genre : « Ça va ? Tu te sens mieux ? Oh regarde ça y est popaul regarde de nouveau le sol ! » Cette façon décomplexée de parler me plait beaucoup et maide grandement à accepter la situation.

Cest vrai quautant la sensation dêtre nu mavait troublé tout à lheure que maintenant cela me gêne beaucoup moins, je commence à mhabituer.

— Au fait, tu as prévenu tes parents de ton retard ?

Je lui explique que oui et que jirais acheter mon billet de retour demain matin.

— Et que dirais-tu si tu restais ces 2 semaines ici, tu pourrais poursuivre lexpérience de vivre nu. Je pense que tu commences à apprécier.

Cest vrai que lidée parait alléchante et la découverte du naturisme est excitante. Je lui réponds cependant que ce nest pas ce que javais dit à mes parents lorsque je les ai prévenu de mon retard darrivée.

— Tinquiètes je men occupe, donnes moi leur numéro.

Jassiste alors à une scène un peu surréaliste : je suis à poil avec ma logeuse et celle-ci est au téléphone avec mes parents. Elle leur explique quelle aurait besoin de mes services pour de menus travaux et que cela la dépannerait bien si je restais avec elle durant ses 15 jours.

Après leur avoir indiqué quelle déduirait ces 2 semaines du prochain loyer elle raccrocha satisfaite et avec un grand sourire aux lèvres déclara :

— Voilà, cest fait ! Bienvenue dans la vie naturiste ! Eh, cest quil est déjà lheure de préparer le dîner allez, bouge tes fesses, aide-moi !

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