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Un gode dans le con, une bite dans le cul – Chapitre 1

Un gode dans le con, une bite dans le cul - Chapitre 1



Un gode dans le con, une bite dans le cul.

Nous étions mariés depuis environ un an et nous commencions à nous connaître. Ma femme assure de mieux en mieux ses fantasmes et elle acceptait le mien sans problème. Un jour, alors que je me baladais du côté de Longueil, j’entrais dans un sex shop où j’achetai deux beaux vibrateurs. En rentrant à la maison, je les avais glissés sous les couvertures ; ce soir-là, je la laissai monter au lit avant moi en lui disant simplement qu’une surprise l’attendait : le résultat ne se fit pas attendre bien longtemps ! En effet, une dizaine de minutes après sêtre couchée, je commençai à entendre des petits soupirs en provenance de notre chambre.

Jugeant le moment opportun, je décidai de la rejoindre. Devinant qu’elle serait en pleine action, j’avais préparé ma caméra vidéo et j’arrivai donc dans la chambre en filmant ; j’étais déjà bien excité rien que de l’entendre gémir comme une chienne, et ma culotte marquée d’une belle bosse commençait à me gêner. Lorsque je rentrai dans la chambre, caméra au poing, je la découvris allongée sur le lit avec ses sous-vêtements, les cuisses remontées très haut sur sa poitrine, mettant en valeur son beau cul : elle se branlait, la chatte ouverte, avec un des deux vibrateurs, pendant qu’elle suçait l’autre goulûment.

Me voyant avec la caméra, elle fut d’abord un peu gênée ; elle esquissa un sourire puis, se prêtant au jeu, elle se retourna pour me présenter son cul. Elle avait toujours un des machins dans la chatte, rouge de plaisir, clito gonflé comme une petite bite ; une fois en levrette, son cul bien haut, le trou bien écarté, elle entreprit de se dilater le trou du cul avec ses doigts mouillés. J’avais la bite en feu ; comme elle commençait à me faire mal, je la sortis pour la soulager en me branlant d’une main tout en continuant à filmer ma bien-aimée en train de se ramoner le con et le cul. Elle avait effectivement abandonné les doigts pour se fourrer le deuxième vibrateur dans le cul, et elle allait de plus en plus vite avec les deux trous occupés : chacun son jouet, pas de jaloux !

Je remarquai que sa bouche ne faisait pas grand-chose ; je décidai donc de l’occuper, pensant que ce serait mieux que la branlette avec ma main : je lui enfournai ma grosse pine dans la bouche avec tellement d’entrain que je parvins jusqu’aux couilles. Ayant les deux mains occupées, elle ne pouvait que subir et se mettre à sucer ma bite. Ma femme, visiblement satisfaite de la situation, à quatre pattes, chaque trou occupé de belle façon, l’un par ma bite prête à exploser, les deux autres par des engins de bonne taille, ne se préoccupait plus de la caméra ; elle se répandait en insanités qu’elle réussissait à grommeler la bouche pleine du genre "Hum, qu’elle est bonne ta bite Tu aimes ça, me regarder ? J’ai le cul défoncé !" et bien d’autres choses encore.

Dans l’excitation, toujours en filmant et sans men rendre compte, je lui caressais la figure avec ma bite ; j’étais prêt à jouir quand elle se remit sur la dos en me présentant entre ses cuisses charnues bien écartées mes vibrateurs enfoncés bien au chaud, chacun dans leur trou. Elle retira celui de son cul tout en me suppliant : « Viens, encule-moi, bourre moi le cul, met ta bite bien profond jusqu’aux couilles » Ce que je fis sans tarder et avec plaisir ; je n’eus pas besoin de forcer pour l’enculer : un vrai boulevard ! Elle s’était tellement dilaté le cul avec son jouet que j’allais et venais dans son cul sans aucun problème. Ayant goûté à la bite et n’ayant plus goût pour le plastique, elle commença à se masturber le clito avec le deuxième vibrateur, pendant qu’elle faisait aller et venir le premier dans sa chatte. Je lui défonçais le cul de toute la longueur de ma bite ; je n’allais pas tarder à lâcher mon foutre quand, au comble de son extase, elle fourra le deuxième vibrateur dans sa chatte complètement dilatée. Je voyais les deux vibrateurs s’activer ensemble dans sa chatte distendue et, n’en pouvant plus, je déchargeai dans son merveilleux trou du cul.

Un soir, de retour de vacances au Mexique, nous avions invité un couple d’amis à dîner ; un digestif à la main, nous étions en train d’évoquer ce séjour quand ma femme leur proposa d’en voir des images. Moi, surement sous l’effet du digestif, et comme par le plus grand des hasards, je me trompai de cassette et, au lieu de voir les totems Incas, nos amis eurent droit à la charmante vision de mon propre totem dans le cul de ma femme.

Bjorn

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