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Un oncle bienveillant – Chapitre 8

Un oncle bienveillant - Chapitre 8



Encore un dimanche, va falloir se reposer, décontracter tout ça. Nous traînons au lit un bon moment, chacun de notre côté, sans mot dire, mais sans tension apparente. Premier levé, Brigitte me rejoint, me souriant gentiment. Tranquilles. Aucun de nous deux n’a envie de parler de cette séance d’hier soir. Tout va bien. Elle décroche le téléphone et appelle sa copine Céline, elles vont sortir déjeuner et se balader. Pas de problème, j’avais rapporté un ordi portable pour m’avancer sur son boulot. Bisous, à tout’.

Un long dimanche de tranquillité.. Je ne pense à rien d’autre qu’à mon travail, sans me forcer.

Lundi, vers 10 heures, j’attends l’inévitable coup de fil..

— Bonjour ! Vous avez aimé le cinémascope ?

— …

— Vous n’êtes pas obligé de me répondre. J’ai constaté que oui.. Mais vous n’êtes pas allés dîner au restaurant.. Peut-être avait-elle la bouche encore pleine… ?

— Ou bien est-ce parce que j’avais oublié de vous régler la prestation ?

— Votre argent ne m’intéresse pas. Mais que voulez-vous encore ?

— Son ventre

— Vous l’avez eu, non ?

— L’autre accès..

— Pardon ?

— Son fondement, son anus, son trou de balle, son cul, quoi..

— Hors de question !

— 400 euros, pour le privilège d’être le premier à le pénétrer

— 1 000

— vous y allez fort..

— 2 000

— Mais…

— 3 000

— Bon…

— À prendre ou à laisser.

— Ben…

— Bonne journée Monsieur.

Je raccroche net, ça m’a fait du bien, non mais.. Il se prend pour qui cet olibrius ! Il est grand temps de mettre un terme à ce truc-là, avant qu’on ne devienne complètement fous. Faudra que je le dise vite à Brigitte, que le ciné, c’est fini.

Du coup la semaine s’annonce paisible. Brigitte m’annonce qu’elle ne bossera pas le lundi suivant pour cause des travaux à la supérette. Et pourquoi on ne partirait pas en week-end prolongé ? Je n’ai qu’à rester au bureau un peu plus longtemps le soir, ce serait cool, on a vraiment besoin de repos. Mais où ?

Un peu plus tard, j’y pense, je retrouve la carte que m’avait passé le pote de Serge l’autre semaine, ce petit gîte rural à la ferme, pourquoi pas ? J’appelle du bureau.

— Bonjour ! Je vous appelle pour votre gîte rural. Serait-il disponible pour 2 nuits à la fin de la semaine ?

— Oui, il est libre. Mais pour combien de personnes ?

— Deux, ma fiancée et moi

— Sans enfant donc, ni animal je suppose ?

— Tout à fait

— Parfait, je vous le réserve. Vous pouvez y déjeuner et dîner si vous voulez, des produits de ma ferme. C’est un endroit agréable, et il y a un lac pas très loin, en cette saison.. Je vous donne l’adresse..

Super ! C’est à une petite heure de route, mais ça a l’air de valoir le coup, et vraiment pas cher. Brigitte saute de joie quand je lui apprend. La campagne, une ferme, pas d’autres touristes, un lac à côté.. On parle balades, baignades, bonnes bouffes,…

Elle aura acheté quelques nouveaux petits débardeurs, un nouveau maillot de bain («Surprise ! Tu verras..»), qu’elle range dans notre sac dès le vendredi soir. Zou ! En route, qu’on y soit pour déjeuner !

Quelques collines, une petite église au loin, et nous y voilà. La ferme est vraiment isolée, sur une petite hauteur, des champs, des petits bois. Deux bâtiments sont en longueur, le troisième nettement plus haut. Au milieu une cour pavée, un puits au milieu, et une 4L poussiéreuse.. Le tout bien soigné, d’un aspect agréable. Vive les vacances ! La voiture à peine garée dans la cour, le fermier vient à notre rencontre, c’est un homme robuste, très bronzé aux travaux des champs, les cheveux courts, les yeux gris, jovial et avenant. «Bienvenue ! Je m’appelle Claude», «Marc», «Brigitte».. «Vous verrez, vous serez bien ici, la nature, le grand air.. Votre gîte est dans le bâtiment du fond, la clef est sur la porte. On déjeune ensemble ?» – «Bien sûr ! À tout de suite !».

La chambre est agréable, rustique, très accueillante, une fenêtre sur la campagne, un grand lit, une petite table, une salle de bains pas si grande mais propre. Nickel. Brigitte me fait remarquer le miroir en face du lit, «Chouette ! Je vais pouvoir essayer mes fringues !». Et on file rejoindre notre hôte dans la grande salle de la ferme. Un petit vin de noix comme apéro, avec un peu de charcutaille locale.. Les langues se délient, surtout la sienne, il raconte sa vie, toute sa vie, né ici, ses parents décédés à la tâche, la fratrie partie à la ville, sa promise aussi.. C’est comme ça, il a préféré rester, seul, avec ses potes fermiers aux alentours. À table ! Et qu’est-ce que c’est bon ! Ces légumes, cette viande, ces fruits, ce petit pinard.. Mieux que le «bon» resto.. Et pourquoi pas une petite prune du crû ?..

Bah.. On est au top ! «Bon les amis, ça vous dit que je vous montre un peu ma ferme ?» – «Allez !». Autant la salle était fraîche, autant la chaleur a envahi la grande cour, pff, digestion.. Claude nous amène en premier à la grande grange, celle qu’on voit de loin en arrivant. Grand portail, déjà il fait moins chaud. Le bâtiment est encore plus haut vu d’en-bas, le plancher supérieur est à au moins 4 mètres de haut, pas d’escalier, juste une échelle droite pour y accéder. «Vous allez voir, des ouvertures là-haut on a une vue magnifique sur toute la campagne !». Je regarde l’échelle, elle est bien fixée, mais elle est très verticale vu l’espace possible. «Je vais pas y grimper.. J’ai facilement le vertige..» – «Allez mon Marc ! Tu risques rien !». Non non, j’ai le vertige, et puis c’est tout !

Claude insiste un peu, mais toujours non, «Bon.. Brigitte, passez devant, je vous assure si vous aviez un problème». Elle s’élance pour grimper à l’échelle, joyeuse, une vraie gamine. Claude la suit à 3 ou 4 échelons derrière. Je les regarde.. Ben oui.. Je ne vois plus que la petite culotte de Brigitte sous sa jupette, une nouvelle, un string quoi, la ficelle dans la raie.. Si je vois ça d’en-bas, Claude, juste derrière elle, doit en profiter encore plus.. Merde, je bande.. Et ça dure.. Arrivée en haut il lui faut prendre pied sur le plancher tout en se tenant aux montants de l’échelle.. Le grand écart quoi.. Ça se passe assez loin, un peu dans la pénombre, le temps d’apercevoir ce que Claude voit, le nez dessus.. Un pied sur le plancher, l’autre sur l’échelle, la ficelle dans la raie, sa vulve offerte en contre-plongée.. Je trouve qu’elle prend vraiment son temps.. La crainte de tomber ? Ou bien ? Pourvu que..

Ils disparaissent sur le haut plancher, je sors de la grange, allume une clope en attendant, le chien de la ferme, sympa, vient se coucher à mes pieds.. J’évite de penser.. Il me semble entendre des petits cris, mais non, la bouffe, le pinard, la chaleur.. Un bon moment, et ça bouge là-haut sur le plancher. J’y vais. Claude s’engage le premier, puis Brigitte.. Ah.. Le grand écart de nouveau, oui, mais elle n’a plus sa culotte.. Mon dieu, ça recommence.. Et ils descendent, plutôt lentement je trouve, et le Claude ne se contente pas d’ «assurer la sécurité» 3 ou 4 échelons plus bas, il est juste derrière, le nez et les yeux… dedans.

Ils atterrissent enfin. Les pommettes rouges, surtout elle. Elle ne me regarde pas. On sort dans la cour, le chien vient renifler sous la jupette, je le chasse d’un coup de latte. Ma jalousie fait un nouveau bond, en voyant un bout du string dépasser de la poche de ce salaud de fermier. Mais bon dieu ! Qu’est-ce qu’ils ont avec le cul de ma fiancée ! Et elle.. Bon.. Du calme. Faut pas gâcher ces petites vacances.

Brigitte, sans se retourner «Je vais me reposer», Claude, «Vous voulez un café Marc ?». Ouais, vaut mieux qu’on parle, sinon on se casse de ce trou.. Je clope-café, l’autre aussi, et de la prune, ça fait passer. Et il avoue, sans que je lui ai rien demandé. Son «petit gîte» c’est que pour tenter sa chance avec des couples, et voir s’il peut avoir la femme. Peu importe l’âge, du moment qu’il puisse la baiser.. Des fois ça marche, ça dépend aussi du compagnon, du mari. Si c’est bon, il y va. Et Brigitte est bonne, me dit-il en souriant..

Hmm.. J’évalue vite, le type est cool, franc, pas pervers, encore que.. Ma jalousie oubliée, il faut que je sois à l’initiative, sinon je suis encore refait. C’est lui qui la prend.

— Il faut que je vous explique Marc

— J’espère bien !

— Quand on est montés à l’échelle je n’ai pas pu m’empêcher de regarder sous la jupe de votre fiancée, et puis surtout quand elle est passée sur le plancher..

— Oui.. J’avais remarqué

— Arrivés là-haut elle a filé vers la grande ouverture sur la campagne, en se penchant très en avant sur le rebord.. J’étais stupéfait.. Votre femme me montrait ses fesses sans se gêner.. Je suis resté à regarder, et puis elle a juste tourné la tête en me souriant : «Quelle belle vue !».. Là elle retourné la tête vers l’ouverture, et sans rien dire d’autre, elle a enlevé son string, se penchant encore plus sur le rebord.. Et je vous jure, en écartant largement les jambes..

— …

— Je suis pas de bois, moi ! Et pas souvent de telles occasions..

— Évidemment.. Je vous comprends..

— Voilà.. Je suis désolé, mais n’importe qui à ma place aurait fait pareil. C’était quand même une invitation, non ?

— Oui.. Mais.. Vous l’avez pénétrée ?

— Ah non ! Je ne me serais pas permis ! Juste caressée..

— À l’intérieur aussi ?

— oui.., bien sûr.., je sentais bien que c’était ce qu’elle attendait..

— Elle devait mouiller ?

— Je vous dis pas.. Une fontaine..

— Hmm.. Je sais..

— Tenez Marc, je vous rends sa culotte, elle l’avait laissé par terre.

Silences.. C’est donc elle qui l’a cherché.. Nouveau ça..

«Vous êtes sympa Marc . Venez, faut que je vous montre un truc..». Le cagnard dans la cour, et la fraîcheur du bâtiment du fond, celui du gîte, une porte dans l’angle. Dans cette grange un petit couloir. Il me fait chut, pas de bruit, le sol est couvert de moquette épaisse, une petite lampe de poche l’éclaire, une petite pièce au bout, il éteint la loupiote.. Deux, trois chaises, et un cadre transparent.. Vue sur le lit de la chambre.. Brigitte est là, nue sur le lit, sur le flanc, une jambe allongée, l’autre repliée dessus.. la vulve offerte.. impudique.. bombée.. imberbe.. les lèvres jointes.. le fameux abricot..

Punaise ! Une glace sans tain !! Gonflé le fermier ! Dans l’obscurité je ne peux que l’imaginer, en train de mater.. Quel enfoiré.. J’ai compris, me lève et m’en vais discrètement.

Nous retournons à la salle, café, clopes, prune. Ça chauffe. «Faut me comprendre Marc ! Si je peux pas avoir la femme, je peux au moins me branler..» – «Et vous invitez des copains ?» – «Bien sûr! Y’a plus de femmes dans le coin, toutes parties à la ville. Vous comprenez ?».

Tu parles si je comprends.. Sauf que là c’est donc Brigitte qui l’a dragué. Ce Claude doit lui plaire. Si je ne bouge pas je vais être cocu en moins de deux..

— Écoutez Claude, je comprends très bien.. Vous plaisez à ma fiancée. Ça arrive.. Je vous propose de nous inviter à dîner ce soir. Je vous réserve une surprise..

— Avec plaisir ! Et quelle surprise ?

— Vous verrez bien.. En attendant je vais la réveiller. Si vous voulez retourner derrière le miroir, ça ne me dérange pas..

— Oui.. J’y vais..

Je lui laisse le temps de s’installer et traverse la cour encore chaude. Malgré mon coup de latte de tout à l’heure, le chien me suit en jouant autour de moi. J’ouvre doucement la porte, elle n’a pas bougé, toujours aussi indécente, et désirable. Hmm.. Je fais signe au chien d’approcher.. La truffe en avant il renifle, ça lui plaît, et se met à lécher cette vulve appétissante.. Le premier coup de langue la fait sursauter.. Mouvement de recul, elle voit que c’est le chien qui la lèche, le laisse faire avec sa langue râpeuse, il insiste de sa truffe sur la fente encore fermée, pousse encore pour écarter les lèvres.. Je m’approche, prend Brigitte gémissante par la hanche pour qu’elle se retrouve à quatre pattes.. Plus facile pour le clébard d’introduire sa truffe, d’écarter les lèvres.. Elle mouille comme une folle.. Il la lèche de nouveau, au deuxième coup de langue, Brigitte explose d’un orgasme dément.. Je pense à Claude, aux premières loges derrière le miroir..

«Je te fais couler l’eau chaude chérie ?». Un petit oui, presque timide. «Bon ! Je rejoins Claude, il nous a invité à dîner. Prends-ton temps mon ange, on va boire l’apéro. À tout à l’heure !» – «Oui oui mon Marc. J’arrive !».

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