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Un service très pro – Chapitre 1

Un service très pro - Chapitre 1



Je me retrouve seul à la maison depuis trois jours, ma femme ayant dû partir à l’autre bout du pays pour suivre une formation qui va durer 6 mois, elle ne pourra rentrer qu’un week-end sur deux. Ayant l’habitude de partager les tâches avec ma conjointe, je commence déjà à en sentir les faiblesses de mon entretien ménager. Ayant un salaire correct, je décide de faire un tour sur le bon coin pour trouver une aide ménagère. Je tombe sur une annonce qui m’a l’air de correspondre à mes moyens, la photo est un logo qui représente un plumeau. Je clique donc sur cette annonce.

Justine F vous propose un service de femme de ménage que vous pourrez juger irréprochable où je me ferais un devoir de suivre et combler vos moindres désirs.

Je vous propose pour un logement inférieur à 90 m², 2 prestations par semaine comprenant le ménage, l’entretien de la maison et du linge. Service réservé aux hommes mariés.

Je ne prête pas attention à la dernière ligne.

À 15? La prestation, je fais vite le compte et appelle immédiatement.

Je tombe sur une voix qui semble être celle d’une jeune femme, entre minaudeuse et charmeuse. Je me présente et présente mon appartement comme étant des 75m² avec une cave de 10m² qu’il faudra peut-être nettoyer une fois (autant en profiter, son fait 1 an que ma femme me demande de le faire), elle me demande si Madame sera présente, je lui explique donc notre situation et nous prenons rendez-vous pour le vendredi après-midi qui vient.

Les jours du rendez-vous arrivent vite, à 14h pile, on frappe à ma porte, j’apprécie beaucoup sa ponctualité, déjà un bon point pour elle. Je vais donc ouvrir la porte et découvre une femme, des cheveux noirs légèrement ondulés, on dirait qu’elle sort de chez le coiffeur. Des lèvres pulpeuses qui ressortent bien grasses à un rouge à lèvres carmin. Elle est habillée en jean baskets et porte un petit haut au léger décolleté qui moule une belle poitrine qui a l’air bien lourde. Mais je passe vite mes rêveries et la fais entrer.

Je lui propose un café avant de parler papier, et nous nous installons à la table de la salle à manger. Moi en bout-de-table et elle à ma droite. Elle sort de son sac à main un contrat de travail que je prends le temps de lire en sirotant mon café.

Le contrat est tout à fait classique, une partie me semble un peu étrange, faisant question d’un uniforme que je pourrai agrémenter selon mes désirs et de punition si je ne me sens pas satisfait. C’est étrange, mais ne me sentant pas concerné, je passe outre, paraphe et signe les pages.

Très bien Mr B, à présent, pourriez-vous me dire où je pourrai me changer pour enfiler mon uniforme ?

Je ne remarque que maintenant son petit sac de voyage, je dois vraiment être crevé, me dis-je. Je lui propose donc de se changer dans la salle de bain et en profite pour lui faire faire le tour de la maison et lui présenter l’emplacement des différents produits d’entretien.

Elle file donc à la salle de bains et je m’installe sur le canapé, en profite pour regarder mes mails sur mon téléphone. Justine ne ressort qu’au bout d’une grosse demi-heure, et là, je reste bouche bée.

Elle est vêtue d’une petite robe noire plissée au décolleter plongeant, un jupon de dentelle blanche lui arrivant juste sous les fesses, un petit tablier de servante, elle porte également des bas résille à large jarretière tenus par un porte-jarretelles noir qui dépasse de sous son jupon, des escarpins noirs vernis au talon de 15 centimètres qui la font se cambrer fortement, faisant ressortir sa grosse poitrine (sûrement un 95 D) prête à sortir de son décolleté, pour parfaire sa tenue, elle porte un large ras-de-cou en dentelle noire avec un anneau métallique en son centre. Un vrai tenu de soubrette de films x. En complément, elle a refait également son maquillage, ce faisant, des yeux de biche à la

Séléna Gomez.

Mon uniforme vous convient-il Monsieur ?

Oui, c’est très bien, dis-je à moitié étranglé.

Je me mets donc au travail si cela ne vous dérange pas.

J’en reste béat, me demandant si c’est une blague de ma femme regardant à gauche à droite, cherchant la caméra cachée prête à surgir, mais rien ne laisse deviner quoi que ce soit. Je me réinstalle dans le canapé, finissant mon café, je regarde Justine qui s’affaire sa petite jupe, se levant un peu à chaque pas, me dévoilant un peu plus ses charmes, elle semble avoir un très joli petit cul, je m’imagine l’agrippant par les hanches, la prenant en levrette, sa petite jupe volant sous mes coups de reins.

Excusez-moi Monsieur, est-ce que je peux passer l’aspirateur.

Oui oui, vous pouvez, il n’y a pas de soucier.

Excusez-moi encore de vous avoir sortie de vos pensées, dit-elle en regardant mon entrejambe, elles avaient l’air très agréable avec une petite voix candide.

Je deviens rouge en regardant mon pantalon qui se trouve à déformer par une belle bosse, je dois vraiment être en manque, ce n’est pas possible, honteux, je m’allonge dans le canapé pour essayer de faire un petit somme, pendant que Justine nettoie les sols. J’entrouvre un, pile au moment où elle passe la serpillière devant moi, ses seins se balancent d’avant en arrière, suivant le mouvement du balai, cette vision me fait de nouveau baver, j’essaye de me rendormir pour calmer, mais pensée lubrique, mais cela n’arrange rien, je fais des rêves encore plus pervers les uns que les autres. Je me réveille une demi-heure – trois quarts d’heure plus tard, Justine n’est plus dans le salon, elle doit s’occuper de la chambre, à présent, c’est vrai que je ne l’ai pas rangée depuis le départ de ma conjointe.

Je me fais couler un café et en profite pour aller me passer un coup d’eau sur la figure. Les affaires de Justine sont à côté de la vasque, un flacon en dépasse, par curiosité, je m’en saisis pour voir ce dont c’est et lis l’étiquette « Durex Gel de massage Play 2 en 1 » je comprends rapidement qu’il s’agit de gel lubrifiant, mon sang ne fait qu’un tour, je me sens à nouveau très excité, je continue mes fouilles et découvre plusieurs paires de bas, de strings ou tanga blanc ou noir, une paire de menottes, une chaîne avec une poignée en cuir et un bâillon boule. Je reste plusieurs minutes avec ce dernier objet dans les mains. J’ai souvent fantasmé sur l’utilisation de cet objet sur mon épouse, sans jamais oser lui en parler de peur de sa réaction malgré le fait qu’on soit tous deux très ouverts d’esprits. Je sors de mes rêveries et remets tous les objets à leur place. Je quitte la salle de bains avec une gaule qui déforme mon pantalon.

Je retourne m’installer dans le canapé. Justine continue son ménage tranquillement.

Me disant que je ne devrais pas la perdre de vue.

Je décide de rompre le silence de la maison.

Mlle Justine, vous voudrez bien nettoyer les étagères sous la télé, bien en face du canapé et dans mon champ de vison, pensé je.

Tout de suite Mr B., dit-elle en approchant de la TV, se déhanchant, passant proche du canapé, le bas de sa cuisse effleurant le coude de Mr B sur l’accoudoir. Ce petit contact m’électrise, la douceur de ces bas.

Mais si c’était une ruse qu’elle a utilisée sur ce pauvre homme, je continue de me tenir à mon canapé, il faut être méfiant, mais elle est si canon.

Quels tiraillements.

Arrivée devant la télé et perchée sur ses hauts talons dos à Mr B, Justine penche tout le haut de son corps pour atteindre les étagères du dessous.

Sa petite jupette remonte bien haut sur son fessier rebondi et tendu à son maximum, donnant désormais une magnifique vue de sa croupe et de sa cambrure à Mr B.

Le fait d’astiquer les étagères fait ballotter légèrement son fessier et le petit jupon dessus. Je pense à ce moment «quelle magnifique cambrure, je prie pour que son jupon remonte encore davantage».

Je peux distinguer la naissance de ses fesses, elles ont l’air bien fermes, bien tendues, ma main me démange.

Ses jambes s’écartent légèrement pendant quelle se démène avec une tâche résistante. Puis avec un naturel impressionnant, Justine s’appuya d’une main au rebord de la TV et passa sa tête par-dessus son épaule pour demander à Mr B:

Est-ce que l’état des étagères vous convient ?

Finissant sa demande par un magnifique sourire carmin. Je me lève et m’approche très lentement, d’un pas sûr, mais calme, prenant tous mes appuis sur chaque pas, me donnant une démarche de lion prêt à bondir, mes yeux ne peuvent la quitter, mon regard remonte sur ses jambes, s’attarde sur le bas de son jupon qui remonte, mon jean ne doit rien cacher de mon état, je ne dis rien, me poste à côté d’elle, me penche pour tendre l’index et le glisse sur la planche.

Justine, vous allez devoir frotter encore, je ne veux plus UNE SEULE TRACE, dis-je en lui montrant un index à peine poussiéreux.

En lui parlant, mon autre main se rapproche de son jupon, mes doigts s’arrêtaient à peine à quelques millimètres de ses fesses rebondies.

Je peux sentir la chaleur qui se dégage de sa peau, si proche, mais c’est un fruit défendu.

Je me relève stoïque et la fixe de mes yeux noir profond.

Oh oui, bien-dur euh sur, dit-elle, je ne veux surtout pas vous décevoir Mr B "

Elle reprit son travail avec encore plus de ferveur, frottant plus fort, son jupon remontant de plus en plus à chaque mouvement, se cambrant encore un peu plus pour voir les étagères de plus près et être sûr de ne manquer aucune tâche (ou que son patron ne manque absolument rien du spectacle). Sa peau s’électrifie de frisson, sentant la chaleur du corps de Mr B de plus en plus proche d’elle. Je me recule pour mieux observer son travail et surtout mater ses petites fesses qui remuent. Son jupon se relève encore un peu, et la surprise, mon pantalon va exploser. Je peux voir les grandes lèvres de sa petite chatte, complètement glabre vue de mon point de vue, parfaitement lisse. Cette petite cochonne ne porte même pas de culotte en plus de cette tenue ultra érotique. Justine demanda en minaudant:

Mr B, pouvez-vous regarder de plus près si la tâche qu’il y avait ici est partie svp ?

En montrant de l’index un emplacement sur l’étagère proche de ses jambes. Je me penche pour observer cette tâche, je suis presque à genoux à ses pieds. Justine attendit le moment où Mr B releva la tête pour donner sa réponse pour se retourner de profil et du coup lui mettre sa croupe en pleine face, c’est le cas de le dire. Mr B avait sa bouche collée à la naissance de sa chatte qui mouille déjà légèrement. Elle tourna la tête vers lui, rouge de honte ou de bonheur, et s’excusa sans s’enlever de cette posture. Je n’ai pas rêvé, elle est excitée la coquine me dis-je en la fixant froidement, de plus, je lui caresse la jambe, et ça n’a pas l’air de lui déplaire. Mais restons sur nos gardes, on ne sait jamais, voir jusqu’où sont peut allés. Cette fois-ci je lui indique une étagère très en hauteur lui montrant un tabouret pour l’aider. Justine suivant donc mister B qui lui plaça le tabouret juste en face des étagères et lui ordonna de nettoyer tout le haut du meuble.

Justine monta alors sur le tabouret.

La voyant peu sûre d’elle, perchée sur ses hauts talons, je décide de la tenir en équilibre en lui tenant les cuisses, elle ne dit rien, mes mains sont 10 centimètres sous la jarretière de ses bas. Déjà perchée sur ses hauts talons, mais même comme ça, elle était trop petite pour atteindre le fond des étagères, elle se mit alors sur la pointe des chaussures, et plus elle forçait pour atteindre le fond, plus son bustier descendait sur sa poitrine, si bien que quand elle finit par toucher le fond, elle se retrouva avec le haut de sa robe au niveau de la taille. Je restais fixé sur son petit cul, quand levant les yeux, je pus découvrir le spectacle de ses beaux seins ronds et fermes maintenus en avant par un soutien-gorge en dentelle noire, ouvert, rehaussant sa magnifique poitrine. Justine posa son chiffon pour remonter son bustier, mais d’un ton ferme, je lui dis :

Mlle Justine, je vous prie de continuer à frotter cette étagère ou je devrais sévir.

Oh bien Mr, répondit-elle.

Avant de se mordre la lèvre inférieure et faire un petit sourire en coin charmeur. Elle reprit le nettoyage de l’étagère frottant d’un côté et de l’autre, ses seins fermes ballottent à l’air libre à chacun de ses mouvements. Pendant que Justine frottait, je laissais mes mains remonter lentement le long de ses cuisses, je me laissais hypnotiser par le mouvement de ses seins qui ont l’air si appétissants, mes doigts arrivent à la limite de ses bas, je commence à caresser sa peau, ne voyant aucune réaction de sa part, je continuais mon exploration de sa peau qui est si douce, je pouvais sentir également l’odeur de son excitation venant de sous son jupon.

Je lui tiens les fesses à pleine main à présent, les pétrissant doucement, mais bien fermement.

Frottez plus vite Mlle, je vous sens ralentir.

Justine s’activa encore plus, ses mouvements de ballottement étant plus intenses, ses fesses et ses seins balancent encore plus, ses pieds fatigants, elle les remit à plat. Ce qui fit que ses fesses étaient maintenant complètement dans les mains de Mr B. Avec ses fesses en plein dans mes mains, j’en profite pour explorer. Mes pouces viennent écarter ses fesses, il glisse autour de son petit trou, puis continue plus loin pour découvrir ce que je cherchais, une zone chaude et humide. Jécarte ses fesses de mes mains et découvre à présent de mes yeux un petit abricot bien juteux qui n’attend que d’être dégusté avec délectation, comme un fruit mûr à point, tout juste cueilli de l’arbre. Je commence à caresser doucement sa petite chatte humide, mon pouce glisse contre ses lèvres humides sans les pénétrer, jouant juste sur le bord de sa vulve pour sentir son humidité.

Pendant l’un des mouvements dus aux frottements de Justine sur l’étagère, les mains de Mr B dérapent et le bout de son majeur entre dans l’écrin chaud et trempé de la vulve de Justine qui gémit très légèrement.

Hum mmm Mr B… que faites-vous ?

Mon doigt étant entré, j’en profite pour continuer à lui titiller doucement sa petite chatte pendant que mon pouce joue avec son clito.

Je vous stimule pour que vous frottiez plus énergiquement, dis-je avec une voix grave déjà pleine d’excitation.

Une de mes mains remonte sur ses fesses puis vient se caler au creux de ses reins, sur lesquels j’appuie légèrement, la faisant se cambrer complètement contre l’étagère. J’écarte ses fesses à deux mains et n’y tenant plus, viens planter mon visage entre ce globe charnu, avant de laper tout doucement ses grandes lèvres humides et dépourvues de toute pilosité. Je peux enfin sentir son délicieux nectar sur ma langue. Je joue de ma langue sur les moindres recoins de son petit abricot juteux. Tantôt la dardant pour la pénétrer, ou bien la tendant pour venir lécher son petit clito tendu. Justine à présent ne frotte plus, perchée sur son tabouret, cambrée contre l’étagère, se tient à deux mains sur la plus haute planche son visage reflétant son plaisir en appui sur cette dernière également se laisse possédée par cette langue inquisitrice.

La croupe de Justine se tendit encore plus sous les caresses, puis d’une voix tremblante d’excitation, elle dit :

Je viens de terminer ces étagères Mr B, que dois-je faire maintenant ?

Bien, je vais vérifier votre travail Mademoiselle.

Justine descendit du tabouret et je montais à mon tour avec ma taille et ce talon, ses yeux se trouvaient à hauteur de mon entrejambe tendue.

Je regardais son travail, tout était parfait. La regardant de haut, elle se tenait les mains croisées dans le dos, la poitrine toujours nue, dardée en avant, son petit air innocent. Je ne pus m’empêcher de trouver un prétexte pour la disputer et pouvoir profiter d’elle.

NON ! mais ce n’est pas possible Mademoiselle, qu’est-ce que vous avec fait ? Regardez-moi l’état de cette peinture, à force de frotter dessus, vous l’avez ruinée.

Se mettant sur la pointe des pieds pour voir où la peinture partait, Justine balbutiait en essayant de s’expliquer:

Mais j’ai fait ce que vous m’aviez ordonné de faire Mr.

Comment ça, vous osez dire que je vous ordonnerais de ruiner cette peinture ??

Justine baissa la tête, honteuse, elle répondit faiblement:

Non Mr, je suis navrée. Il est spécifié sur le contrat que vous pouvez me punir si vous êtes mécontent de mon travail.

Elle se mordille l’intérieur des joues, lui faisant faire une petite moue adorable, attendant le verdict.

Hum très bien, et quel genre de punition êtes-vous prêtes à supporter ??

Toutes les punitions que vous trouverez bon de m’infliger, Mr B.

Très bien, dans ce cas Mademoiselle, tenez-vous les mains à plat sur la petite table, les jambes tendues.

Justine se place exactement comme Mr B venait de lui ordonner, se demandant ce qui l’attendait.

Je partis chercher son sac à la salle de bains et commençai à le vider sur la table, objet par objet, juste sous le visage de Justine. Justine regardait Mr B faire.

Une fois le sac vide, je lui dis:

Vous m’avez l’air d’être une vraie petite coquine, voire une vraie petite chienne, dis-je en me saisissant de la chaîne pour la fixer à l’anneau de son tour de cou. Vous avez quelque chose à rétorquer ? Très bien, puisque vous ne dites rien, je suppose que vous êtes consentante.

Je pris une paire de bas et lui liais les mains, je fis le tour de la table et viens me placer derrière elle, je passe ma jambe entre ses cuisses pour lui faire écarter davantage. Justine, les mains posées à plat sur la table liée entre elles, regardait Mr B dans le reflet de la TV, elle écarta en grand ses jambes bien tendues, son cul bien cambré face à Mr B. Je viens relever doucement son jupon, puis viens lui caresser une fesse du plat de la main, avant de mettre une petite tape pour tester la fermeté, avant de mettre une fessée plus forte.

Aiiie, cria-t-elle, sous la forte tape.

Elle le regarda dans le reflet de la télé et vit à ce moment son regard changer complètement, il devient possédé par l’envie de la posséder complètement.

Puisque vous avez crié, ce sera 6 de plus et vous devrez compter avec moi. Ou plutôt pour moi, si vous réussissez, la punition sera terminée, sinon il faudra que je continue de vous punir par d’autres méthodes.

Si je réussis à compter ?

Oui et sans crier.

Bien Mr.

Je commençais par une petite claque sur la fesse droite. Justine se prépara mentalement à recevoir les 6 fessées les plus grosses de sa vie, elle fut surprise de cette petite claque et se dit que finalement, tout ça serait vite fini.

Une, dit-elle, ne laissant pas paraître sa toute nouvelle assurance.

Pour la deuxième, il frappa plus fort que la claque qui l’avait fait crier. Justine faillit crier au moment où cette main lourde comme de l’acier tomba sur ses délicates fesses, elle retint son cri de justesse et eut les larmes aux yeux.

Deux, dit-elle après quelques secondes.

plus que quatre, plus que quatre, se dit-elle.

Il lui caressa la fesse qui commençait à rougir avant de lui asséner deux claques violentes sur chaque fesse. Justine se mordit la langue pour en oublier la douleur de son fessier en feu. Elle flanchait sur la table et dit la voix tremblante de sanglots:

Trois. Quatre. Mr.

Ses fesses étaient rouge écarlate, elle en était persuadée, le moindre courant d’air dessus en serait douloureux. Mr B vient caresser ses fesses doucement pour calmer un peu la douleur, puis vit glisser sa main entre ses cuisses, elle avait trempé la cochonne.

Cela vous plaît d’être ma soumise ?

Oui. Mr.

Il lui massa doucement le clito, la faisant vibrer sous ses caresses, elle gémit de plus en plus. Sous ses caresses se cambrant d’elle-même au maximum, puis sans prévenir, il vient lui claquer la fesse droite tout en lui enfonçant son majeur dans son minou trempé. Justine ne put retenir un cri de surprise, pour le plus grand bonheur de mister B qui bandait comme un dingue sous cette scène de domination intense.

Vous n’avez pas pu retenir votre cri et de plus, vous n’avez pas compté, il va falloir que je continue à vous punir alors ?

Selon vos ordres oui Mr.

Sur ces mots, je viens frotter la bosse de mon pantalon contre sa petite chatte trempée.

Vous êtes prêtes à assumer toutes les punitions alors, comme une bonne petite chienne soumise ?

Punissez-moi… han… Mr B… hannn… encore une fois… Han… je le mérite, dit-elle en lâchant de petits gémissements dus à mes caresses sur son abricot.

Je serai votre chienne soumise et obéissante Mr B… Ah !

A ces mots, la bosse dans mon pantalon grossit encore, je continuais à me frotter contre sa chatte comme si je la prenais en levrette, lui faisant sentir mes accus. Puis je m’écarte et fis le tour de la table.

Mmm prends-moi directement comme ça.

Je viens pourtant me poster devant elle, une énorme tâche de cyprine marquant mon pantalon, vous avez vu ce que vous avez fait.

Ce n’est pas ma faute Mr.

Comment ça, ce n’est pas votre faute ? C’est bien votre mouille qui tache mon pantalon, dis-je en saisissant la laisse et tirant dessus pour lui coller le nez contre mon pantalon.

Et cette vision ne vous plaît pas, Mr B, dit Justine d’un air défiant.

Vous le preniez comme ça, alors nettoyez-moi cette tache avec votre langue.

Justine fit une moue de dégoût, mais avança doucement.

Plus vite que ça Mademoiselle, et je ne veux plus voir une trace.

Je me penche en avant pour lui claquer les fesses, ce qui la fit partir en avant.

Ma bave va laisser encore plus de traces Mr.

Alors je devrais l’enlever.

Je défais ma ceinture et me déboutonne sur-le-champ, baissant juste mon pantalon.

Et votre boxer aussi, ce serait mieux pour que je puisse tout nettoyer et astiquer comme il se doit.

C’est ma queue que vous voulez astiquer, espèce de petite catin ?

En seule réponse, Justine se mordilla sa lèvre inférieure au rouge à lèvres aguicheur et tenace. Très bien, si c’est comme ça, je me recule un peu, tenant toujours la laisse dans une main et me déshabille totalement, commençant par la chemise puis tout le bas avant de te présenter ma queue fièrement dressée.

Je vois que vous en avez tout autant envie que moi, Mr B, dit Justine, voyant un sexe plus droit et dur qu’un roc.

Justine se mit à quatre pattes sur la table en bonne chienne et approcha sa bouche du sexe tendu vers elle.

Vous êtes vraiment très insolente pour une petite chienne soumise.

Je lui mis un coup de laisse sur les fesses pas trop fort, mais juste assez pour faire claquer, je pus voir dans la table le reflet de ses gros seins qui ballottait mmh.

Et que faites-vous aux petites catins insolentes Mr B ? demanda-t-elle avant de sortir sa langue et laisser sa salive couler le long du gland et de la verge de mister B.

Je leur fais découvrir de délicieux supplices.

Elle vient lui suçoter le gland, puis suit la traînée de bave avec sa langue le long de la verge de Mr B, descend jusqu’à ses testicules gonflés à bloc, elle se mit à les sentir avant d’en aspirer une, lentement dans sa bouche en gardant les lèvres suffisamment serrées pour que Mr B ressente tout. Elle approcha ses deux mains encore liées entre elles et prit une boule dans chaque main, tandis que sa bouche pulpeuse remonte le long de la tige de Mr B, elle se mit à le sucer de plus en plus profond, tandis que ses boules étaient malaxées tendrement. N’y tenant plus, je commence à faire de petit va-et-vient pendant que ma petite chienne me suce, l’aidant à me prendre un peu plus loin à chacun va-et-vient. Petit à petit, Justine vit Mr B lui baiser allègrement la bouche. Sa nouvelle petite catin qui bavait tellement que ses seins en étaient recouverts. La petite chienne tire la langue pour lécher les boules de Mr B en même temps qu’elle encaisse cette gorge profonde légèrement forcée.

Je la fis se remettre à 4 pattes, et pendant que je lui prenais la bouche, je me penche au-dessus d’elle pour venir caresser ses petits trous, commence à la doigter au même rythme que je prenais sa bouche. Puis j’attrapai le gel lubrifiant et fis couler sur sa raie des fesses jusqu’à son minou, puis me mis à jouer avec sa rosette, enfonce un doigt doucement. Je fis pénétrer mon doigt lentement, millimètre par millimètre pour tester la résistance de son petit trou. Ce dernier commence déjà à se dilater et avale mon doigt tel un glouton. Je glissais donc un deuxième doigt lentement comme le premier, qui fut également avalé. Son petit trou commence déjà à me dilater, je fis un lent va-et-vient, les sortant presque avant de les pénétrer entièrement de nouveau. Je formais un ciseau avec mes doigts, en les retirant, ce qui laissait le petit trou de Justine ouvert. Ne le laissant pas refroidir, je le pénétrais de nouveau, allant de plus en plus vite.

Pendant ce temps, je ne mettais plus de coups de reins, Justine avait lâché ma queue et commençait à gémir doucement sous ce traitement. Je retirais donc mes doigts et fis le tour de la table, me place de nouveau derrière son petit cul. Quelle magnifique vue !

Justine cambrait à quatre pattes sur ma table, les mains liées, de la bave coulant de son menton. Sa laisse pendante entre ses seins qui sont également recouverts de salive, sa magnifique poitrine luit de ses sécrétions. Son jupon et sa robe relevés sur sa jolie croupe, encadrés de ses portes-jarretelle et de ses bas résille. Mais mon regard quitte ce tableau pour se poser sur l’étalage de jouets coquins à côté d’elle, qui me donne d’innombrables idées. Je me saisis d’un petit ?uf vibrant, relié à une télécommande que je glisse dans sa petite chatte complètement trempée. Justine gémit sous la pénétration, puis je le mets en route directement à son maximum, ce qui fait pousser un râle de plaisir à Justine, ce qui m’excite énormément. Je prends donc le bâillon boule pour étouffer ses cris de plaisir. Je réduis la puissance de l’?uf au minimum avant de le remonter au max au moment où elle a la bouche grande ouverte, je lui mets le baillions dans la bouche.

Un peu surprise, elle se débat en secouant la tête, je lui administre donc une fessée sur sa jolie croupe avant de lui dire:

Mademoiselle Justine, voulez-vous bien cesser de bouger, vous avez dit, je vous cite que je pouvais vous faire subir «Toutes les punitions que vous trouverez bon de m’infliger et également que vous seriez ma chienne soumise et obéissante».

Oui Mr B. vous avez raison, je ne le ferais plus.

Se mets à genoux sur la table, place ses mains à plat entre cette cuisse écartée, ouvre la bouche en tirant la langue et en fermant les yeux.

hum, on dirait une vraie petite chatte.

Je fouille de ma langue sa grotte humide déjà occupée que je sens vibrer. Par moments, je tends ma langue pour titiller son clito, pour avoir davantage de jus. Je fais subir ce traitement à Justine de longues minutes, cela n’a pas l’air de lui déplaire, car j’entends ses râles de plaisir étouffés par son bâillon. Cela les rend d’autant plus érotiques. Puis je m’attaque à son petit cul, ma langue tourne autour de sa rose plissée qui ne demande qu’à éclore. Je la titille doucement, le bout de ma langue appuyant très doucement en son centre. Elle finit par m’ouvrir et la lubrifie sans retenue. Une fois son petit trou ouvert, je commence à alterner mes caresses sur son abricot, son petit cul. Mes caresses sont tantôt douces tantôt voraces. Je me demande ce qu’elle pense de sa douce punition !

Hum comment j’aimerais avoir un avant-goût, qu’il me mette sa grosse queue dans ce cul et cette chatte en chaleur. Hum comment j’aime cette punition, passer toute la nuit avec mon bourreau, un délice, j’adore qu’il continue comme ça.

Je continue ce tourment jusqu’à ce que Justine se plie en deux faces contre la table, le dos cambré et m’envoie plusieurs jets de cyprine à la figure. D’abord, je suis surpris, puis me jette sur la source pour étancher ma soif de luxure. Je bois littéralement son jus. Hum qu’elle est doux nectar. Je me relève couvert de sa cyprine. Je lui retire son bâillon pour qu’elle puisse reprendre son souffle. Je lui laisse quelques minutes de répit. Elle finit par se relever et reprend sa position de petite chatte.

Mr B, avez-vous fini ma délicieuse punition ? dit-elle, un regard brillant plein de gourmandise, un petit sourire sur ses lèvres carmin ?

Je crois bien que vous méritez une nouvelle punition, regardez dans quel état vous m’avez mis.

Elle parcourt du regard mon corps couvert de sa cyprine.

Voulez-vous encore que je vous nettoie Mr, dit-elle d’une voix charmeuse, se penchant déjà sa petite langue tendue.

Non, je pense plutôt que vous mériter 20 fessées cette fois.

Justine fut prise de panique au souvenir de son petit cul rougi par 5 fessées.

Pitié Mr, pas ça, tout ce que vous voulez, mais plus de fessées sur mes pauvres petites fesses, dit-elle les yeux presque larmoyants.

Hum tout ce que je veux ?

Oui Mr B tout tout tout, mais plus de fessées, enfin, pas tout de suite.

Très bien, dans ce cas, j’espère que vous n’avez rien prévu pour la soirée.

Pourquoi Mr ?

Parce que vous allez rester avec moi pour subir vos punitions.

Pourquoi «Vos» punitions ?

Oui vos, vous avez vu dans quel état vous avez mis le salon en plus de moi.

Oui Mr, je ferais tout ce que vous voudrez pour me faire pardonner.

Dans ce cas, reprenez votre position jambes tendues, les mains sur la table.

Justine suivait les consignes, mais redoutant encore de prendre des fessées sur son petit cul. Une fois en positon, je caressais doucement ses petites fesses du plat de la main.

Justine frémit. Puis je pris à nouveau le gel lubrifiant pour caresser ses petits trous et retirer au passage le petit ?uf vibrant de son minou. Puis je mis une belle noisette de gel sur le bout de mon gland. Je viens l’étaler en frottant ma queue sur les grandes lèvres de sa petite chatte, caressant son clito au passage ou en me glissant entre sa raie des fesses. Puis je présente mon gland contre son anus, ce dernier ne présente aucune résistance, je prends mon temps et prends possession doucement, appréciant chaque centimètre de cette douce pénétration. Une fois qu’il a entièrement avalé ma queue, je commence un doux va-et-vient qui devient vite brutal. Tenant Justine par les hanches, lui enfonce ma queue à grand coup de reins, sentant mes limites approcher, je me retire d’un coup sec, son petit cul reste grand ouvert, présentant un gouffre. J’attrape le plaide sur le canapé et la fais mettre à 4 pattes à même le sol, son petit trou reste ouvert.

Je reviens me placer derrière elle et m’enfonce entièrement d’une seule poussée, mais cette fois dans sa petite chatte trempée. Justine pousse un cri de surprise et de jouissance. Cette fois, je ne prends pas le temps d’apprécier la pénétration et la prends comme un démon Séminus en rûte. Ses bras ne la soutenant plus, elle se retrouve face contre terre, son petit cul tendu en l’air. Je ne résiste pas à l’appeler et reviens plonger ma queue dans son petit cul. Le prenant sauvagement avant de me mettre à alterner entre ses deux orifices accueillants. Sous mon poids, Justine finit allongée sur le sol, juste ses petites fesses relevées, je continue à prendre possession de son corps férocement, mon torse plaqué contre son dos, mes bras encadrant son corps, lui donnant de délicieux coups de hanche effrénés.

Je lui susurrais à l’oreille:

Hum Mademoiselle, votre petit cul me bouffe littéralement la queue, il a l’air vraiment affamé.

Alors, donnez-lui à manger.

Hum je vais vous le remplir.

Je me mis à genoux, l’entraînant avec moi, lui malaxant les seins, en lui donnant de grands coups rapides, jusqu’à ce que je sente la sève monter. Je sentis que je lâchais un, deux… huit gros jets de sperme.

Oooooohhhh Ouiiii MR BBB remplissez mon petit cul de chatte en chaleur…

Je me souviens même ne pas avoir un jour lâché une telle quantité de sperme. Ne voulant rien gâcher, je tendis le bras derrière moi pour me saisir de son Rosebud sur la table qui était d’une belle taille M voire L je dirais, quelle petite coquine. Je lui fis prendre en bouche pour le réchauffer d’une douce chaleur. Puis au moment de me retirer, je remplaçais vite ma queue par son sex-toy orné d’une jolie pierre rouge pour que tout mon sperme reste dans son petit cul. Justine se laissa tomber en avant, son petit cul tendu orné de cette jolie pierre. Hum quelle vue, ma queue en veut encore, pensais-je. Me rappelant que j’avais toute la nuit pour profiter de cette déesse de luxure, je me calmais un peu. Je défis ses mains liées, puis partis prendre une bonne douche pour reprendre des forces. Quand je sortis juste vêtu d’une serviette autour de la taille encore humide, Justine n’avait pas bougé d’un pouce. Je lui proposai de l’eau qu’elle refusa.

Très bien, dans ce cas, nous allons poursuivre votre dressage de petite soumise.

Je pris la laisse qui pendait toujours de son collier, et lui demandant de marcher à quatre pattes devant moi. Elle suivit mes ordres, remuant outrageusement son petit cul, me laissant apparaître son Rosebud planté dans son petit trou. Quand nous avons fini de faire le tour de toute la partie basse de la maison, je la fis se relever et lui dis de tendre les bras en l’air et de ne pas bouger. Je partis dans mon dressing et reviens armé de deux cravates, et en avais profité pour enfiler une chemise propre et un jean. Je lui liais à nouveau les mains, mais cette fois, je les attachais à la mezzanine qui se trouvait juste au-dessus d’elle. Puis lui introduisit un gros gode avec plusieurs modes qui tournaient dans tous les sens avec une cadence folle et un petit lapin pour titiller le clito. Je l’arrêtais avant de pénétrer son petit abricot.

Je le bloquais avec une autre cravate pour qu’il reste planté dans son intimité avant de le remettre en route, «tout l’inverse de la ceinture de chasteté».

Justine se mit immédiatement à gémir, à sentir ses deux trous comblés ainsi, je lui remis son bâillon. Puis partis mettre mes chaussures et mon manteau. Justine me regarde avec angoisse et curiosité, j’ouvris grand le rideau de la porte vitrée qui s’était trouvée face à elle. Justine fut prise de panique. Je viens la voir.

Voilà votre nouvelle punition, je vais aller faire une petite course, je vous laisse offrir un beau spectacle au passant.

(Ce que ne savait pas Justine, c’est que les vitres étaient sont teinte, on ne pouvait rien voir de l’extérieur). Puis je partis, la laissant ainsi sans avoir oublié de lui mettre une petite fessée. Je reviens un peu plus d’une heure plus tard, chargé de paquets. Justine se tient là, dans le salon, les bras tendus en l’air, ses jambes parcourues de tremblement, qui ne la soutiennent plus. Sa poitrine et son menton sont couverts de salive, ses jambes trempées de cyprine. Ses yeux sont fermés, mais son visage semble dégager de la satisfaction et beaucoup de plaisirs. Je dépose un paquet dans la salle de bain et puis m’approche d’elle. Son regard est posé sur moi et semble se demander ce que je lui réserve.

Avez-vous passé un bon moment en mon absence ?

Justine secoue vivement la tête en signe de oui. Mais semble vouloir dire plus. Je lui retire donc son bâillon de la bouche, faisant jaillir un flot de salive, je le fais passer sous son menton. Elle en profite pour se dégourdir un peu la mâchoire, ce qui me donne une folle envie de lui enfoncer ma queue dans la bouche. Mais je dois rester maître de mes pulsions.

Avez-vous offert un bon spectacle au passant ?

Au début non Mr, après oui.

Comment ça ?

Oui, les gens passaient sans me regarder quand vous êtes partis, puis le soir a commencé à tomber puis les hommes commençaient à me regarder en passant rapidement, les femmes sembler choquées.

Puis enfin un groupe de collégiens ou de lycéens passait devant la porte et ils se sont tous attroupé devant, me regardant avec des regards lubriques, je crois même que certains se sont branlés en me regardant.

Je commence à comprendre ce qu’il s’est passé, n’ayant pas prévu de traîner autant, le soleil avait commencé à se coucher et ayant laissé la lumière allumée, l’effet occultant des vitres s’était dissipé. Je comprenais aussi ce qu’étaient ces tracés blancs devant et sur ma porte.

Et cela vous a-t-il plu ?

Oui Mr, dit-elle, les joues rosissantes.

Dis m’en plus.

Au début, j’ai eu peur, certains ont même essayé d’ouvrir la porte sans succès.

Je me suis alors détendu, je leur ai donc fait un petit spectacle comme vous me l’aviez demandé, leur ai montré tout le plaisir que je prenais, je me contorsionnais pour leur montrer le petit bijou qui orne mon petit cul, je bavais plus que d’habitude sur mes seins. Puis quand j’ai compris qu’ils se branlaient pour moi, cela ma beaucoup excité et j’ai imaginé que tous ces jeunes hommes réussissaient à rentrer et qu’ils me prenaient tout ensemble. Là, je me suis mise à jouir et une puissante fontaine a jailli de ma petite chatte Mr.

Elle finit son récit complètement essoufflé et rouge de honte.

Hum je suis ravi que vous ayez pris du plaisir à cette exhibition. C’était une première pour vous.

Oui Mr, dit-elle penaude.

Très bien.

Après cette première expérience, je vais vous libérer quelque peu.

Sur ces mots, je défis ses liens.

Elle se laissa tomber à genoux devant moi.

Vous pouvez aller prendre une bonne douche après cette expérience.

Pour vous délasser quelque peu.

Utilisez tout ce qu’il vous plaît, serviette, gel douche, sèche-cheveux, etc.

Vous trouverez également un paquet qui vous sont destinés dans la salle de bain, vous pourrez regarder ce qu’il contient après votre douche.

Merci beaucoup Mr, est-ce que j’ai aussi le droit de retirer mes jouets de mes petits trous ?

Il commence à être douloureux.

Oui, je vais vous les retirer moi-même.

Je la conduis donc à la salle de bain en la tenant par sa laisse, Justine me suit docilement, je la fais monter dans la cabine de douche. Je retire d’abord son bâillon, puis m’attaque à ses chaussures, à ce moment-là, je prenais la plus grande délicatesse, comme si elle pouvait se briser entre mes doigts, la caressant doucement en défaisant son corsage, puis son porte-jarretelles, ses bas. Puis elle fut nue, ne restant que ma ceinture de chasteté improvisée. Je dénouais la cravate, ce qui eut pour effet de faire tomber son vibromasseur dans un grand fracas suivi d’une décharge de son jus hum. Puis je la fis se cambrer face au mur, tenant cette petite fesse écartée. Je lui retirais doucement son petit plug avec les dents, en ayant profité bien sûr pour laper un peu son petit abricot. Le sperme ce, mais a coulé doucement de son petit trou hum. Pour me retenir de lui sauter dessus, je la laissais seule en lui disant profiter bien de ce moment de douceur.

Je repartais dans le salon, allumant la télé, mais les programmes ne me captivaient guère. J’imaginai plutôt quelles choses que je pourrai encore faire. Je tendais l’oreille, entendais l’eau couler. Imaginer Justine se détendre sous la douche que j’imagine bouillante, l’eau ruisselant sur son corps de déesse. Sur ses seins, son visage, son petit cul, hum. Puis le bruit de la douche s’interrompt puis après un silence, j’entendis le sèche-cheveux. Puis de nouveau, plus de bruit. Je me concentre donc un peu sur la télé, histoire de me refroidir un peu. J’entendis la porte de la salle de bain, le tintement d’un grelot, puis apparu Justine qui venait me rejoindre à quatre pattes. Vêtus, si l’on peut dire, de la nouvelle tenue que je lui avais trouvée pendant ma balade. Elle portait cette tenue à merveille.

Elle se composait d’un body très sexy dont le décolleté est orné d’une délicate et douce fourrure blanche, de longs gants blancs montant au-dessus du coude, de bas satiné blanc, qui dépasse de ses cuissardes en velours beige à hauts talons. Puis des accessoires qui rendent le tout parfont, un serre-tête avec des oreilles de chat, un collier ras-de-cou avec un grelot, et enfin une jolie queue blanche bien touffue qui passe par la fente du body et disparaît entre ses jolies fesses. Je n’ai pas pu résister quand j’ai vu cet ensemble de petite chatte en chaleur, je me suis dit qu’il lui irait parfaitement. Justine passe en se frottant au meuble, se lèche le dos de la main pour frotter les oreilles de chat qu’elle avait mises. Le contour de ses yeux portait un maquillage noir, ses lèvres couvertes d’un rouge à lèvres foncé, elle en profitait pour faire bouger le grelot accroché au collier qui lui serrait la gorge.

Et elle s’est remise à quatre pattes, jouant avec la queue coincée dans son anus, le montant pour me montrer ses lèvres intimes, la descendant pour me frustrer. Elle s’est avancée vers moi, marchant à quatre pattes, ondulant des fesses. Les poils de la queue lui chatouillaient le minou, ce qui devait être plutôt agréable. Elle s’est frottée tel un chat contre mes jambes en ronronnant, je lui caressai la tête en lui disant:

Vous arrivez vraiment à me surprendre.

Et j’entrai dans le jeu aussi, lui versant une coupelle de lait que je posai sur le sol et qu’elle lèche. Je me reprenais à rêver à lui donner un autre type de lait. Pendant qu’elle buvait son lait à quatre pattes, le visage dans sa coupelle, bien cambrer ses fesses tendues dans ma direction, j’avais tout le loisir de la regarder. Je finis par caresser sa nuque, son dos, m’attarde sur la fourrure de son body, qui se mariait parfaitement à la douceur de sa peau. Je continuais la lente progression, lui caresse à présent les cuisses, puis montant doucement vers la petite chatte de ma petite minette. Une fois atteint le jouet d’abord avec son petit clito, le faisant rouler entre mes doigts tout doucement. Justine releva la tête, et me regardait par-dessus son épaule. Je ne sus comprendre son regard. Je pouvais sentir son petit abricot s’humidifier doucement, j’amenais mes doigts à ma bouche, je retrouvais avec délice les goûts de sa cyprine sur la langue.

Je ramenais de nouveau mes doigts à son entrejambe, glisse directs deux doigts dans son minou que je sentais tout serré, dù à ce qui devait remplir son petit cul.

Ouuuuhhh oui, fit Justine qui s’était redressée et ronronnée de plaisir.

Je remuais doucement mes doigts contre son poing G, je pouvais voir des frissons lui parcourir l’échine.

Ma petite minette, vous n’avez pas fini votre lait, si vous ne le finissez pas, je devrai vous en donner davantage.

Miaou, fit-elle en repoussant sa coupelle d’un coup de pattes.

Très bien dans ce cas, si ma minette ne finit par son lait.

Je défis mon pantalon et Justine se retourna, s’étirant comme une petite chatte impatiente en se léchant la lèvre supérieure.

Hum tu voulais un autre type de lait, ma vilaine petite chatte.

Pour toute réponse, Justine finit de déboutonner mon pantalon et me lèche doucement le bout du gland qui était déjà bien dressé. Je la regarde faire admirative, elle me suçote le gland doucement, tout en délicatesse, sa langue jouant sur mon frein. Mais je refuse de me laisser faire par cette petite minette et la prive de ma queue. Elle reste là à me regarder son petit air penaud.

Très bien, ma minette, nous allons jouer, en bonne petite chatte, tu vas devoir chasser.

Alors ma petite minette, si tu veux plus de lait, il faudra attraper ma souris, mais seulement avec ta bouche.

D’accord, et si j’arrive à attraper la souris avec son jus, j’ai gagné quoi ? Aurais-je une récompense ?

Hum à voir, si vous faites en sorte que je ne vienne pas rapidement dans la bouche de ma chère et tendre petite minette, vous gagnez tout le jus que je pourrais vous mettre dans cette gueule, sinon vous serez puni.

Sur ces mots, je lui agite mon pieu devant sa petite bouche sous son petit nez. Chaque fois qu’elle se rapproche de mon gland, je lui retire pour l’embêter un peu plus et la narguer. Je lui mets un petit coup de queue sur la joue. Justine ne se laisse pas démonter et cours après ma queue à quatre pattes, sa petite queue touffue s’agitant derrière elle, j’ai vraiment l’impression d’avoir une petite chatte à mes trousses. Le jeu s’accélérait, car ma minette essaye de me prendre de vitesse pour enfin attraper ma queue, mais j’accélère aussi. Puis ma minette s’arrête un instant pour souffler.

Bah alors, ma minette, la souris est trop rapide.

Vous n’êtes vraiment pas une bonne minette.

Alors que je la nargue allègrement, Justine redresse la tête, me lançant un regard sauvage plein d’assurance quasi félin, elle bondit alors d’un coup, me poussant assis sur le canapé, et gobe mon gland, le suçote un peu avant de me dire :

Vous avez vu, votre minette bondit.

Attention !!!

Puis là, elle se mit à me sucer. Hum elle le fait doucement et profondément, elle essaye de ne pas me faire venir dans cette gueule de petite chatte affamée. La chaleur de sa bouche en plus de l’excitation du moment, je ne pus m’empêcher de me laisser aller au plaisir jusqu’à exploser dans sa bouche. Le sperme lui remplissait la bouche au point qu’il coule le long de ses lèvres et sur son menton. Alors qu’elle se lèche les babines pour récupérer tout son lait, je lui dis:

Vous avez perdu.

…..

Oui, vous avez perdu, je n’ai jamais dit que vous deviez récup&eacut

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