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Un short LOVE, un short de pute. – Chapitre 6

Un short LOVE, un short de pute. - Chapitre 6



De retour chez moi, j’ai donc écrit à Carole pour l’informer du résultat positif de ma visite chez mon ami. Elle est en ligne et me répond aussitôt, me propose de dialoguer. Elle est connectée depuis des heures, lit des histoires et regarde des vidéos pornographiques, tout en se masturbant. Je déballe ma queue pour me branler moi aussi, et on se fait l’amour à distance, par messages interposés. On se chauffe l’un l’autre, on se fait jouir, une fois pour moi et plusieurs fois pour elle, et on termine chacun par une orgie solitaire que l’on se promet de recommencer en présence l’un de l’autre. On se quitte, ravis et épuisés:

— A lundi ma chérie, bisous partout. Je raccroche dès ton bisou que j’attends.

— A lundi mon bel amant, bises sur ta queue.

Lundi, début d’après-midi, on se retrouve aux toilettes. Nos bouches se soudent, tandis que ma main glisse sous sa jupe et que la sienne se plaque sur ma braguette:

— Hum, mais c’est qu’elle a oublié sa petite culotte la salope, tu ne veux pas perdre de temps.

— Non, c’est trop long quatre jours sans ta queue.

— Je vois ça, tu es toute mouillée petite pute.

— Et toi tu bandes dur, salaud. Sors ta queue, je la veux dans mon cul.

— Oui, de suite, mais d’abord je vais te baiser, elle est trop chaude ta chatte, elle a faim.

— Oui, prends moi par tous les trous, je suis ta salope.

On enlève le bas, elle sa jupe, et moi mon pantalon et mon slip. On revient l’un contre l’autre, je frotte mon gland entre ses lèvres ouvertes. Elles sont tellement glissantes que ma queue est comme absorbée pour se trouver profondément enfouie dans son vagin torride:

— Salope, elle est en feu ta putain d’huître, il était temps que l’on se retrouve.

— Oui, si tu savais combien je l’ai attendue ta grosse queue. Baise moi, encule moi, je te veux partout.

— Je vais me le faire ton cul, mais c’est dommage d’abandonner ta chatte. Tu as amené une banane?

— Oui, une belle, comme ta bite. Et toi, tu as apporté une capote?

— Oui, comme prévu. Je vais m’en servir pour ce que tu sais, mais d’abord tu vas la mettre sur ta banane et te la fourrer entière entre les cuisses.

Elle est tellement chaude qu’elle accepte sans rechigner. Je me retire, et ma bite est remplacée par ce gode improvisé. Elle dépasse un peu et je l’invite à la pousser davantage, la faire disparaître, lui assurant qu’elle ressortira toute seule et qu’au pire j’irai la chercher. Elle est hyper excitée, et obéit sans même réfléchir. Le fruit a disparu, et je la retourne pour la sodomiser. Je suis chaud moi aussi, autant qu’elle, et m’apprête à l’enfiler à sec sans la préparer. C’est un pied de biche que je me tiens, et elle n’a pas le temps de protester que je suis déjà en elle. Elle se retient de crier, puis s’habitue à la douleur vite remplacée par le plaisir:

— Salaud, tu aurais pu me prévenir!

— Excuse moi, j’ai fait comme avec Jean-Claude, il est toujours prêt ce salaud.

— Ce n’est pas grave, c’est passé. Lime moi fort, défonce moi, je suis ta chienne.

— Oui, prends salope, je vais l’exploser ton putain de fion.

Je la bourre quelques instants, je sens sa banane à travers sa paroi, sa belle banane aussi raide que ma queue.

Je voudrais bien la matraquer plus longtemps, mais on est dans les toilettes et on ne peut pas trop les squatter. Je me retire:

— Enlève ta banane, salope, et épluche la. Ensuite tu sais ce qui te reste à faire.

— Oui, gros cochon, et toi aussi tu vas faire ce que l’on a prévu.

— Mais avec plaisir.

On refait alors la séance que l’on s’était faite à distance par messagerie. Elle se gode sa chatte  dégoulinante avec la banane, elle la suce, mange un petit morceau, et recommence jusqu’à tout finir. Pendant ce temps je me branle de bon cœoeur, et on prend soin de s’exhiber l’un à l’autre, de se mâter, de s’encourager par des mots vulgaires et des insultes. Elle a tout avalé, et c’est à mon tour de tenir ma promesse. Je me fais jouir dans le préservatif, remplis le réservoir et bien au delà. J’enlève alors ma capote, la porte à ma bouche, puis aspire pour la retourner et bouffer mon foutre. Elle m’insulte encore.

On se rhabille, on se félicite de nos orgies, et on se quitte:

— A demain ma pute.

— A demain mon salaud.

On se revoit donc le mardi pour une nouvelle baise rapide, puis on attend le jeudi avec impatience.

Enfin arrive le grand jour.

J’attends Carole en bas de la résidence de Jean-Claude, et on monte chez lui. Je fais les présentations, il lui fait la bise, m’embrasse sur la bouche. On montre la chambre à notre femelle pour qu’elle se change.

Elle revient quelques minutes plus tard, et nous retrouve au salon. On est à poil tous les deux, je suis affalé sur le canapé, cuisses ouvertes, et Jean-Claude est à genoux entre mes jambes, affairé à me tailler une pipe. 

Elle est magnifique, vêtue telle que je l’ai vue la première fois, il y a deux ans dans la grande surface: un tee-shirt moulant et son mini short "LOVE" qui lui colle à la peau; seule différence, elle porte des bas alors que je crois me souvenir qu’elle était jambes nues.

Le scénario que l’on a planifié continue. Elle se déplace sous nos yeux, où plutôt sous les miens, notre hôte étant bien trop occupé avec ma queue pour en profiter au maximum avant que l’on ne la lui confisque. Ma jeune copine défile comme une mannequin, en tortillant du cul pour m’allumer. Puis elle commence un strip-tease lascif, enlève son tee-shirt, son soutien-gorge, me dévoilant ses superbes seins pour la première fois. Elle doit faire du 85D, des obus magnifiques, lourds, fermes, d’une parfaite tenue. Elle est en short, bas, et chaussures à talons hauts.

Elle se met à quatre pattes et je me lève pour faire pareil. Elle se dirige vers la chambre et je la suis de très près, les yeux rivés sur ses hanches qui se balancent. Jean-Claude nous suit, et nous mâte, surtout moi, surtout mon cul et mes couilles.

Arrivée près du lit, elle se penche dessus et attend. Je progresse, et viens sur elle. Je frotte mon sexe sur son short, sur le mot "LOVE", mais aussi sur l’entre cuisses, comme pour l’imprégner de mon odeur, marquer mon territoire. Il est à moi son cul, je suis le seul à qui elle l’offre, pour le moment. Je me recule:

— Enlève ton short, salope, et allonge toi sur le lit, les jambes bien écartées.

Elle s’exécute, n’a rien en dessous, et ce que je croyais être de simples bas sont en fait des bas jarretelles, d’une seule pièce, mettant en valeur son adorable minou que je contemple avec désir. Elle a une vulve merveilleuse, longuement et largement fendue, dodue et charnue, luisante de son plaisir, des plus appétissantes.

Je plonge ma gueule entre ses cuisses délicieusement en chair. Je renifle son nectar, le bois, me délecte. J’ai tout nettoyé, et je continue à la lécher, fouiller ma fente de ma langue, téter son clitoris. C’est son premier cunnilingus, et elle réagit au quart de tour. Elle souffle fort, elle gémit, elle frisonne, tremble, se tortille, se convulse, et jouit, jouit encore, enchainant les orgasmes. C’est une vraie fontaine qui s’écoule d’entre ses lèvres, et je m’abreuve comme un boit sans soif à sa source intarissable.

Je pourrais la bouffer pendant des heures, mais le temps nous est compté pour faire tout ce que l’on a prévu. Je la tire au milieu du lit, et viens sur elle en 69. Je broute à nouveau sa chatte, l’ouvre de mes deux mains, pour m’enfouir dans son vagin offert comme une belle escalope à la crème. Pendant ce temps elle me gobe la queue et la suce avec gourmandise. On est affairé dans notre accouplement buccal, lorsque je sens une très agréable sensation entre mes fesses. C’est cette pute de Jean-Claude qui s’est invité à la fête. Il adore bouffer des culs, le fait à chacune de nos rencontre, mais là il le fait sous les yeux de Carole. Elle peut le voir fourrer ses doigts et sa langue dans mon trou, doit sentir que je bande encore plus dur, preuve que j’aime ça. Je suis une salope qui aime les analingus que l’on me prodigue, et je n’ai aucune honte qu’elle en soit spectatrice, bien au contraire. Je prends un pied d’enfer, mais elle veut interrompre la séance en me suppliant de la baiser.

J’en ai envie autant qu’elle, et je m’empresse de la satisfaire. Je viens sur elle, en missionnaire, et la harponne de mon pieu au mieux de sa forme. Je la lime ardemment:

— Alors salope, il te baise aussi bien ton mari?

— Non, tu es trop bien toi, un vrai taureau. Baise moi, baise moi fort.

— Salope, putain de chienne, je vais la défoncer ta choune.

Je la lime quelques instants, puis me retire, me lève:

— A quatre pattes, salope, je vais te prendre en levrette, que Jean -Claude en profite.

— Oui, je veux lui montrer que je suis ta pute soumise.

Elle prend la position, et je la harponne sauvagement. Je la matraque, et je la sens dégouliner à flots. Jean-Claude est à genoux à mes côtés pour ne rien perdre du spectacle, et je me retire pour lui offrir mon chibre à sucer:

— Hum, mais c’est qu’elle aime ça cette salope, ma grosse queue couverte de mouille. Tu l’aimes ma bite qui trempe dans son trou à cette putain?

— Oui, elle est trop bonne ta queue, vas-y, remets lui, assaisonnes la bien, il est trop bon son jus.

Je reprends Carole, la besogne à nouveau, reviens dans la bouche de notre hôte. Je recommence plusieurs fois, puis finis par éjaculer dans le vagin de ma jeune copine. C’est la première fois que je me libère entre ses cuisses, et on prend un pied d’enfer tous les deux. Je me retire, elle s’allonge sur le dos, je lui donne ma queue à nettoyer, et Jean-Claude se vautre la gueule entre ses cuisses pour vider sa chatte, s’abreuver de nos mélanges de cyprine et de sperme. La première séance est finie, et on embraye aussitôt sur la suite.

On se fait un bouveau 69 avec ma femelle, mais cette fois-ci c’est elle qui est dessus. Elle me turlutte à merveille, je bouffe sa moule toujours aussi dégoulinante, et notre ami vient participer. Il aime bouffer le cul des mecs, mais visiblement il apprécie aussi celui des femmes. Je peux le voir la doigter, sucer ses doigts, enfouir sa langue dans son petit trou ouvert. Il me l’a bien préparée et je vais pouvoir la sodomiser sans problème.

On est en place, comme quand je l’ai prise en levrette, sauf que cette fois-ci c’est son cul qui va charger. Je l’encule de toutes mes forces, donne de temps en temps mon pieu à sucer à notre partenaire, puis décharge abondamment entre les reins de ma belle enculée. Je me retire, lui donne ma queue à sucer, et notre pute de vieux lui broute l’oignon pour le vidanger.

On fait une pause.

 A suivre…        









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