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Une jeune fille sage – Chapitre 1

Une jeune fille sage - Chapitre 1



Cath, Anne, Cyrille, Sébastien et Vincent.

Mon histoire date de deux ans mais c’est seulement maintenant que je suis capable de la raconter : comment une jeune fille (presque) sage est devenue (presque) délurée…

J’avais 19 ans et j’étais encore pucelle. Et qu’est-ce qui m’a pris ce jour-là de me laisser tomber sur le whisky-coca ??? C’est vrai que cet été à Paris il faisait chaud, très chaud, et j’avais fait du lèche-vitrine avec ma copine Anne, on avait essayé ensemble des fringues démentes et je m’étais offert une petite jupe mini-mini à la limite de la décence. On était repassées à la maison pour laisser toutes nos empletes, mais pour fêter ça et parce que c’était l’été, les vacances, que toutes les deux on étaient contentes de la vie, on s’est bu quelques whisky-cocas bien glacés. Oh, pas assez pour être vraiment sâoules, mais suffisamment pour être passablement excitées :

Un peu désoeuvrées, on se décide à rejoindre notre petite bande de copains : ça fait un peu plus d’un an que nous, les deux filles, formons avec les trois garçons, Sébastien, Cyrille et Vincent, un petit groupe de copains inséparables. Toujours fourrés ensemble, sortant tous les cinq ensemble. Pas de sexe entre nous, juste du pur copinage. Les garçons ont sans doute des ’aventures’, mais ça ne nous concerne pas ! Sauf que depuis 3 mois je suis tombée amoureuse de Sébastien. Et je ne sais pas exactement si lui est amoureux de moi, mais on s’embrasse, on flirte, on se tripote, mais on n’a toujours pas fait l’amour ensemble : il fait des manières pour prendre mon pucelage ! Bon, revenons à mon récit : on téléphone à Sébastien, pas de réponse. Les deux autres n’ont pas le téléphone, mais on a des chances de les trouver tous les trois chez Cyrille qui habite un petit studio pas loin de l’appartement de ses parents. On est vraiment un peu excitées… Anne garde sur elle son nouveau débardeur sans rien en-dessous. Avec les seins qu’elle a, c’est plutôt provocant ! Elle me dit de sortir avec ma minijupe sans mettre de culotte, mais quand même je n’ose pas et je choisis un petit string bien sexy. Quand on se retrouve dans la rue puis dans le bus, on a toutes les deux l’impression que tout le monde nous regarde comme si on étaient à poil ! Ca nous excite encore plus, bien entendu. On grimpe jusqu’au studio de Cyrille, on sonne, il nous ouvre : mais, c’est qu’il est quasiment à poil !!! Le studio est sous les toits et il fait très chaud, alors il porte juste un caleçon… Pas mal, le garçon. Même plutôt mâle, devrais-je dire… Bon, en temps normal, c’est pas une gêne entre nous, mais dans l’état où Anne et moi nous sommes… Cyrille nous informe que Sébastien et Vincent ne sont pas là : grosse déception pour moi qui voulais l’aguicher avec ma mini à ras de la chatte.

Toujours un peu surexcitées, on demande à Cyrille de nous servir un whisky-coca ! On papote, on lui raconte nos achats, notre sortie en tenue sexy et ma déception de ne pas trouver Sébastien. Cyrille se moque gentiment de nous, nous traite de ’pucelles en chaleur’ : pour moi il sait ce qu’il en est, et pour Anne, on sait tous qu’elle a un vague petit ami avec qui elle couche de temps en temps. Mais complètement excitée, Anne lui rétorque ’pucelle en chaleur ? Attends un peu, tu vas voir un peu !’ Et se tournant vers moi en riant : ’Cath, viens me donner un coup de main, on va le violer !’

Hilares, on se précipite sur lui, et on le pousse sur son lit qui prend une bonne partie de l’unique pièce. Il se défend plus ou moins en riant aussi, on chahute. Mais entre notre semi ébriété et notre plus ou moins nudité, ça devient un peu plus chaud sans même qu’on s’en rende compte. Ma mini est remontée sur les hanches, dévoilant mon string et une bonne partie de mes fesses, et ça m’excite encore plus. Et me frotter au corps musclé, bronzé et pratiquement nu de Cyrille, ça ne me laisse pas tout à fait indifférente… Anne est à moitié dépoitraillée, le débardeur remonté sous les aisselles lui laisse un sein à l’air. La vache, elle a une poitrine formidable ! On fait la même taille de bonnet, mais elle a des seins d’une fermeté… Et elle aussi profite du chahut pour se frotter contre Cyrille. A cheval sur lui, elle enserre ses hanches avec ses jambes, et lui remonte les bras au-dessus de la tête, son sein nu sur la poitrine nue aussi de Cyrille. ’Tiens-lui les bras’ me dit-elle. Accroupie pratiquement au-dessus de sa figure, je lui immobilise les bras de mes mains et de mes jambes.

Anne glisse le long de son corps en continuant à lui bloquer les jambes avec les siennes, et dans le mouvement sa poitrine sort complètement du débardeur. Elle est vraiment excitée ! ’Ah, on est des pucelles ! Tu vas voir, toi !’ Et ni une ni deux, elle tire le caleçon de Cyrille jusqu’à ses chevilles. Waouu !.. Mais c’est que lui aussi il est excité ! Il bande, le salaud ! Pour ce que j’en connais, ça a l’air pas mal, même. A vrai dire, en matière de sexe de garçon ’en chair et en os’ je ne connais que celui de Sébastien, et encore, tout juste caressé à travers son jean, mais ce que je vois là c’est autre chose ! C’est gros, long et raide ! Anne est très admirative : ’oh, pas mal, pas mal du tout ! Tu nous avais caché ça, toi !’ Assise sur les cuisses de Cyrille, elle regarde son sexe avec une lueur gourmande dans les yeux. ’Mais ce que tu nous montre c’est pas mal non plus’, répond Cyrille, les yeux rivés sur ses seins aux pointes dardées. Anne les prend dans ses mains, fière : ’ouais, on a tous les deux nos trésors cachés !’

D’un coup, je sens que la situation s’électrise : Anne et Cyrille ont manifestement envie de pousser le jeu plus loin, et moi je deviens folle d’excitation. Je sens que le fond de mon string s’humidifie et j’ai un peu honte, accroupie au-dessus de la figure de Cyrille. Anne commence à passer ses mains sur les cuisses de Cyrille, sur son ventre, tournant autour de son sexe dressé, comme un félin autour de sa proie. Mes yeux ne peuvent plus se détacher de ce pieu qui gonfle encore et que de petits mouvements convulsifs agitent devant moi. J’ai envie de toucher. La main d’Anne vient entourer la base du sexe de Cyrille qui se contracte sous moi, puis elle remonte sur toute la hauteur et redescend. Un sourire satisfait se dessine sur son visage pendant que sa main continue son exploration vers les couilles que je ne distingue pas d’où je suis. Mais ce que je vois, c’est qu’elle se frotte l’entre-jambes sur la cuisse de Cyrille…

Sa main revient sur le bout de la verge, la serre, et commence des mouvements de va et vient bien décidés : sans aucune gêne, Anne le masturbe ! ’Quel engin, ça c’est un mec !’ me dit-elle, levant vers moi un visage empourpré mais rayonnant. ’Ce qu’il est dur, j’ai jamais vu une bite comme ça !’ Moi encore moins, bien sûr, et j’ai de plus en plus envie de toucher.

Anne continue à masturber doucement Cyrille dont le souffle s’accélère, et qui pose ses mains sur les seins d’Anne et les caresse. Sans aucune pudeur, elle pousse un gémissement de plaisir et tend sa poitrine vers lui. Elle se conduit comme une vraie chienne en chaleur, mais le pire c’est que je meurs d’envie d’en faire autant. Je suis dingue, j’oublie Sébastien et son corps dont j’ai tellement envie et en même temps c’est son sexe que je vois là devant moi !

’Essaye aussi, toi, t’en verras pas toujours des comme ça…’ me dit Anne en huidant ma main sur le sexe bandé. Je me laisse faire et ma main se pose sur la chair brûlante. Tout se brouille pour moi : c’est le sexe de Sébastien que je touche et j’ai envie de lui. Anne guide ma main inexpérimentée, referme mes doigts autour de cette chose que je sens vivre et répondre à ma pression. Imitant les gestes d’Anne, je masturbe doucement Cyrille, je le sens réagir à mes caresses et c’est terriblement excitant. Ses mains se posent sur mes cuisses découvertes et il les caresse, puis ses doigts passent sur mon ventre, mon entre-jambes. Je ne parviens pas à retenir un gémissement, comme Anne tout à l’heure. Mon ventre se creuse et j’ai l’impression que le sexe que je tiens dans la main est en train de fouiller mon ventre. ’Hé, doucement !’ dit Anne qui me voit partir au septième ciel, et elle retire ma main : ’à mon tour, un peu !’

Elle reprend ses caresses, me laissant frustrée, la chatte trempée et l’envie au ventre. Elle se penche en avant, embrasse le bout de la verge, puis entrouvre les lèvres et lentement fait entrer tout le sexe de Cyrille dans sa bouche. Lui, il est aux anges, mais il continue de me caresser le ventre et les cuisses et moi comme une cochonne je me laisse faire, écartant discrètement le plus possible les jambes avec l’envie de lui crier de caresser ma chatte.

Anne continue à le sucer, les mains de Cyrille commencent à trembler sur ma peau. Elle se relève et me dit : ’goûte, toi, à ton tour !’ Et joignant le geste à la parole, elle guide ma figure vers le sexe tendu. Je commence par quelques petits baisers légers sur le bout, puis encouragée par Anne, j’imite sa démonstration et j’ouvre mes lèvres. C’est dingue, j’ai vraiment envie de ce sexe dans ma bouche ! Je le sens palpiter contre ma langue et mon palais, je le caresse du bout de la langue, je l’aspire. Cyrille profite de ma position, et je sens ses doigts passer dans mon string, frôler ma chatte mouillée. Je sursaute, je me mets à geindre, suçant sans plus de pudeur le sexe volumineux qui gonfle dans ma bouche.

Cyrille arrête brutalement ses caresses : ’hé, c’est pas normal, moi je suis à poil et vous vous êtes encore habillées !’ Et il commence à m’enlever mon tee-shirt. Je le laisse faire et je me redresse pour passer le vêtement par dessus ma tête. Anne n’attend pas et commence à se déshabiller. Mon soutien-gorge s’en va, ma jupe et mon string suivent le même chemin sans aucun regret de ma part. Nus tous les trois, nous restons immobiles un instant. Puis Anne s’avance et vient frotter sa chatte sur le sexe de Cyrille qui heureusement ne me laisse pas toute seule dans mon coin. Ses doigts reprennent possession de ma chatte, glissent sur les lèvres trempées de mon sexe. Mon ventre tremble et j’ai l’impression que mon vagin s’ouvre et bée sous la caresse. Cyrille approche sa tête, ses lèvres se posent sur ma chatte, et je vois et je sens sa langue suivre ma fente intime et la caresser. C’est fou. Sa langue joue avec mon petit clito et j’ai envie de hurler tellement c’est bon. Mon ventre est tétanisé. Il me violerait là que je ne résisterais pas.

Du coin de l’oeil, je vois Anne se redresser, prendre la verge de Cyrille dans sa main et la diriger vers l’entrée de sa chatte, et lentement elle s’abaisse dessus. D’où je suis, je vois distinctement le sexe de Cyrille la pénétrer, s’enfoncer dans sa vulve de toute sa longueur. Je crie de plaisir à sa place comme si c’était ma vulve qui était pénétrée, une tempête envahit mon ventre et je suis submergée par la jouissance : un orgasme impossible à retenir me surprend et je geins sans retenue. Cyrille a suspendu ses caresses, Anne ne bouge plus et ils me regardent tous les deux jouir, jouir, jouir… Je m’écroule contre le corps de Cyrille, mon ventre à la hauteur de sa tête, ma tête à la hauteur de son ventre. Il me dit des mots doux, des mots gentils.

Anne reprend ses mouvements de va et vient, son sexe engouffre la verge raide et gonflée. Son rythme s’accélère et le plaisir se lit sur son visage, et je sens le corps de Cyrille se tendre à la rencontre de son ventre. Elle s’empale de tout son poids, il la pénètre de toute sa longueur. Anne arque son corps, se tord sur le pieu dressé pour qu’il fouille mieux son ventre. Elle gémit, elle est belle quand elle fait l’amour. Je suis jalouse de leur plaisir. Et soudain avec un râle puissant elle s’arc-boute sur le sexe de Cyrille et crie sa jouissance pendant un long moment. Cyrille se déchaine et il jouit aussi dans le ventre d’Anne. Je sens presque sa semence gicler… C’est terrible ce que ça me frustre !

Pendant qu’ils reprennent leur souffle je caresse doucement leurs sexes toujours imbriqués, soudés l’un à l’autre. Ils me laissent faire et semblent apprécier. Puis Anne se soulève, extrayant de son ventre cette verge si tentante, luisante et toujours raide, et elle se couche contre Cyrille. Je le masturbe doucement, ma main coulisse facilement sur le membre bien huilé. Une grosse goutte de sperme s’échappe du bout et je la rattrape dans ma paume : comme j’aimerais bien en avoir plein mon ventre ! ’Tu sais, tu devrais essayer, toi aussi !’ me dit Anne. ’Au lieu de garder ton pucelage pour quelqu’un qui n’en veut pas… Cyrille il est doux, il fait ça bien et c’est vachement bon avec lui !’ ’Tu crois ?’ dis-je hypocritement parce que j’en meurre d’envie. ’Bien sûr !’ me répondent-ils tous les deux en coeur.

Anne me fait coucher sur le dos pendant que Cyrille, se couchant entre mes jambes qu’il écarte doucement, pose ses lèvres sur ma chatte en feu. Je perds instantanément toute pudeur et toute appréhension, mes jambes s’ouvrent au maximum pour le laisser accéder à mon sexe. Sa langue s’insinue dans ma fente, la parcourt délicatement et je sens ma vulve qui se détend pour l’accueillir. Comme tout à l’heure, il titille mon clito et à chaque coup de langue, je ne peux retenir une contraction de tout mon corps, je soulève mes fesses pour mieux m’offrir à lui. Oh que c’est bon !… Que c’est bon !… Mon ventre dégouline de salive et de mes propres sécretions, et quand je sens la tête de Cyrille remonter le long de mon corps, je sais qu’il va enfin me faire l’amour, me pénétrer.

Sa main guide le bout de son sexe dans ma fente et enfin je le sens forcer mes lèvres doucement. Trempée comme je suis, sa verge commence à s’insinuer en moi sans difficulté, et c’est une sensation extraordinaire. Un moment de résistance, Cyrille sort un tout petit peu de mon ventre, puis se pose simplement de tout son poids sur moi : la pression de son sexe suffit à rompre mon hymen, je ressens une brève brulure qui s’estompe rapidement, Cyrille ne faisant plus aucun mouvement. C’est tout ? Ca ne fait pas plus mal que ça ? Cyrille m’embrasse tendrement, puis je sens son ventre bouger à nouveau. J’ai un tout petit peu mal mais quand son sexe s’enfonce en moi j’oublie tout, submergée par les sensations qui naissent en moi.

Je sens sa verge énorme me pénétrer peu à peu, m’envahir, prendre possession de mon ventre, et les parois de mon vagin qui s’écartent, qui lui cèdent le passage. C’est comme s’il pénétrait tout mon corps, comme s’il me possédait toute entière. J’en ai le souffle coupé, et des deux mains je bloque ses hanches pour stoper son mouvement, le temps de pouvoir à nouveau respirer. Sa tête est juste au-dessus de la mienne, et il me regarde avec un air d’infinie tendresse. Je craque. Mon ventre se noue et je sens mon vagin se resserer autour de sa verge dure comme un bâton. Il soupire de plaisir et reprend doucement sa pénétration. Des sensations enivrantes me submergent à nouveau pendant que le bout de son sexe pénètre jusqu’au plus profond de mon ventre, et je le sens buter au fond de moi, je suis pleine de lui, de son sexe. Je comprends enfin ce que c’est que le septième ciel !

Après m’avoir laissée quelques instants profiter de toutes mes sensations, Cyrille entame un doux mouvement de va et vient, son sexe glissant dans ma vulve, excitant mes muqueuses. Chaque fois qu’il vient au fond de moi, son ventre écrase mon petit clito tout érigé et hyper-sensible, ça me fait une décharge électrique. Mon ventre va à la rencontre du sien, ma vulve cherche sa bite, je gémis de plaisir sans aucune pudeur. Je ne vois plus Anne mais je sens son souffle précipété dans le creux de mon cou, et ça m’excite encore plus de la sentir excitée elle aussi.

Je ne peux même plus analyser ce qui se passe, mes propres mouvements, je m’entends geindre en rythme avec mon plaisir, avec la pénétration de Cyrille. Mon ventre prend feu, j’ai des étoiles plein la tête, et je jouis, je jouis, je jouis. De tout mon sexe, de tout mon corps. Cyrille fait encore quelques va et vient, puis son sexe raidit dans mon ventre, se contracte et je ressens les jets de sa semence que j’imagine brûlants et qui coulent au fond de moi. Je pleure de plaisir, de bonheur et d’émotion. Cyrille embrasse doucement mes yeux, mes lèvres d’où s’échappe mon souffle court. Je me calme, passe mes bras autour de son cou et de toutes mes forces je le serre contre moi, éperdue de plaisir, de reconnaissance et d’émotion. Il a fait jaillir en moi des sensations d’une force que je n’avais jamais ressentie de ma vie et je suis bouleversée. Son sexe est encore tendu dans mon ventre et je voudrais qu’il n’en sorte jamais. Je n’imaginais pas qu’on puisse jouir la fois où on était dépucelée. Il me sussure des mots tendres et doux dans l’oreille, me disant même que c’est moi qui fais bien l’amour. Moi !… Mais je me sens pleinement femme et j’accepte toutes ces douceurs : j’ai perdu ma virginité mais j’ai gagné une vie nouvelle. Oh, merci Cyrille, merci !

Anne a posé sa tête sur mon épaule et me sourit. Dieu que la vie est belle ! Je ronronne dans les bras de mon amant… Mon amant ! Son sexe est enfoncé au fond du mien, il a éjaculé son sperme dans mon ventre et nous sommes enlacés, nus. Avec regret, je sens Cyrille se redresser, sa verge glisser hors de ma vulve. Après un glissement bien agréable, c’est une sensation de vide, il me reprend son sexe ! Il se couche entre Anne et moi, et je ne retiens pas ma main qui part toute seule se poser sur sa bite dégoulinante de sperme : sans même réfléchir à ce que je fais, je me soulève et vais embrasser sa verge, je l’engloutis et je lèche tout le sperme qui la recouvre. Le goût est nouveau pour moi et j’aime !…

Anne va chercher une cigarette et revient s’asseoir à côté de Cyrille, totalement impudique, les jambes écartées, le sexe béant aux lèvres ouvertes laissant voir son clito complètement érigé et sorti de son capuchon de chair, et les petites lèvres finement ourlées et soyeuses déployées autour de l’entrée de son vagin. Si elle n’était pas aussi bien faite, ça ne serait qu’une vulgaire leçon d’anatomie, mais avec sa chatte épilée et sa peau lisse et sans défaut, c’est un joli fruit bien tentant qu’elle nous exhibe. Sur le moment, je me dis que j’aimerais bien y mettre les doigts et même la bouche, mais Cyrille me devance et ses lèvres se posent doucement entre les cuisses d’Anne. Elle résiste un temps à son plaisir, appuyée en arrière sur les coudes, continuant à fumer sa cigarette avec un air gourmand. Mais quand la langue agile vient chatouiller son clito, elle écrase rapidement son mégot, passe ses jambes sur les épaules de Cyrille et lui offre son sexe sans retenue.

Cambrée, la tête rejetée en arrière, elle profite à fond de ses sensations. Elle respire par à coups, avec de petits gémissements, quand la langue de Cyrille entre dans sa fente, pénètre l’entrée de son vagin, puis vient s’enrouler autour de son clito. Son ventre ondule rapidement et elle geint en continu, les yeux fermés. Le sexe de Cyrille reprend de l’ampleur et cette fois je n’hésite pas à y porter la main pour le caresser. Il semble apprécier et m’encourage en ouvrant largement les jambes. Je le masturbe lentement, toute la longueur de sa verge glissant entre mes doigts. Elle est rapidement raide et j’en sens les pulsions dans ma main. Je suis toute fière et excitée de lui avoir redonné cette vigueur, et ma chatte mouille, mouille… Ses doigts plantés dans les bras de Cyrille, Anne jouit avec une sorte de hoquet étranglé et reste tout un moment le corps tétanisé, la machoire bloquée et le souffle rauque. Je ressens un frisson parcourir mon ventre, presque un orgasme ! Elle embrasse éperdument Cyrille, ils échangent des douceurs et moi je n’ai pas cessé de caresser le sexe dur qui palpite entre mes doigts. Abandonnant Anne, Cyrille me fait mettre à genoux, à cheval au-dessus de son ventre : ’maintenant, Cath, puisque tu as su si bien me donner envie de toi, c’est toi qui vas me faire l’amour.’ Je ne comprends pas tout de suite ce qu’il veut que je fasse, mais quand d’une main il guide son sexe vers l’entrée de ma chatte et qu’il pèse sur ma hanche pour que je descende sur lui, je saisis enfin… Quelle innocente je fais ! Je m’abaisse jusqu’à sentir son gland ouvrir ma fente. Cyrille a ôté sa main et me laisse faire.

Avec un mélange de crainte et de plaisir immense, je descends tout doucement, retrouvant toutes les sensations ressenties quand Cyrille m’avait pénétrée. Je suis tout de suite submergée par le plaisir et j’ai un peu de mal à coordonner mes gestes. C’est moi qui m’emplae, ce n’est pas lui qui me pénètre ! C’est délicieux, c’est divin. Je trouve rapidement comment doser mes sensations, arrêtant la pénétration quand ça monte trop vite, la reprenant quand ça s’estompe. J’ai l’impression que ça dure des heures avant que je sente son gland butet au fond de mon ventre, et là, je pèse de tout mon poids et je le sens forcer mon vagin. Je sens l’orgasme arriver, alors vite je me relève un peu. Et puis à mon tour, je commence des mouvements de va et vient, montant et descendant sur sa verge qui m’envahit toute entière. Je ’baise’, je fais l’amour à un garçon. C’est encore plus merveilleux que tout à l’heure. Je ne sais pas encore très bien comment déclencher le plaisir d’un garçon, mais tant pis, je ne m’occupe que de mon plaisir.

Je halète, mon ventre monte et descend, et je crois même que je bave sur sa poitrine… C’est en redescendant un peu de travers sur le sexe tendu de Cyrille que je découvre toutes les nouvelles sensations qu’on peut déclencher en bougeant aussi en avant, en arrière, sur les côtés ! Alors je sens son sexe fouiller mon ventre, froisser tous mes replis et déclencher une véritable tempête de plaisir. Mes ongles sont plantés dans sa poitrine et plus tard je constaterai les dégats que j’ai causés. En attendant, je balance mon bassin comme une démente, je ne sais plus où je suis, je ne suis qu’un vagin en feu empalé sur un pieu brûlant. Je ne suis plus que mon sexe.

Je m’entends geindre sans retenue, et baissant la tête, je vois le sexe de Cyrille entrer et sortir de mon ventre, et chaque fois une décharge me secoue. Je sens ma vue se brouiller, je perds la notion de tout sauf de la jouissance qui m’envahit et je jouis en criant. Mon deuxième orgasme avec un garçon !

Cyrille n’a pas joui, mais mon ventre est incapable de continuer… Je me soulève de son sexe et vite, je le prends dans ma bouche. Il est chaud, palpitant, gros et dur comme je ne pouvais pas imaginer. Mes lèvres et ma langue se déchainent sur lui, je l’aspire, je le suce, je le tète. Son bassin monte et descend, son gland frotte sur ma langue avide. Viens, jouis dans ma bouche, Cyrille ! Et puis je sens sa bite durcir encore, tressaillir dans ma bouche, et des flots de sperme jaillissent dans ma bouche. C’est ellement rapide que je commence par m’étrangler, mais je ne veux pas gâcher son plaisir et vite, j’avale sa semence. Il se vide dans ma bouche et j’avale tout jusqu’à la dernière goutte, heureuse. Je l’ai sucé complètement, c’est ma première fois et j’ai tout avalé. Enfin comblé, Cyrille remonte ma figure jusqu’à lui et je l’embrasse presque avec violence, ma langue encore couverte de sa semence. Je suis ivre de jouissance et je pleure sur la figure de Cyrille. Il me faut pas mal de temps pour retrouver mes esprits. Serrés les uns contre les autres, Anne Cyrille et moi nous nous reposons, nous distribuant des caresses sans toujours savoir qui nous caressons… Je veux dire que je caresse sans doute autant la poitrine de Cyrille que celle d’Anne. Ce que je sais, c’est que nous restons tous les trois sur un petit nuage pendant un bon bout de temps…

Voilà comment j’ai perdu mon pucelage…

Et puis, comme une gourde, j’ai tourné le dos à Cyrille, mon initiateur : ingrate, je lui ai même fait la gueule, lui reprochant ce qu’il m’avait donné et ce que je moi je lui avais donné.

Je me suis jetée dans les bras de Sébastien, je l’ai baratiné, attribuant la déchirure de mon hymen à une violente chute de cheval. Quelques jours plus tard nous avons enfin couché ensemble, ça n’a pas été à la mesure de ce que j’attendais. Mais j’avais réalisé mon fantasme.

J’en ai voulu à Cyrille, je lui ai gâché la vie, puis le groupe de copains s’est défait. Pendant un an et demi je suis sortie avec Sébastien mais ça n’a pas été le paradis attendu. Oh, j’ai eu du plaisir avec lui, mais je crois que je n’ai jamais vraiment eu de vrai orgasme.

Et puis ça s’est dégradé. Oh, il n’était pas avare de coups de bite, mais pas seulement avec moi… Je me suis raccrochée un temps à mon Sébastien-fantasme, j’en ai bavé mais finalement j’en ai fait mon deuil, malheureuse, seule.

Alors, toute honte bue, j’ai frappé à la porte de Cyrille et il m’a ouvert, il m’a offert gentiment un whisky-coca.. J’ai pleuré. Je lui ai raconté tout ce qu’il savait déjà. Je suis restée chez lui. Je n’en suis pas repartie. Et depuis six mois, dans mon coeur c’est le grand pied bleu, et côté sexe c’est la fête.

Cette semaine, j’ai écrit mon histoire pour qu’il vous l’envoie.

Cath.

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