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Une élève infirmière – Chapitre 5

Une élève infirmière - Chapitre 5



Elle tourna la tête vers eux et nen crut pas ses yeux : ils étaient nus, leurs virilités dressées, lourdes et menaçantes, mais ce qui la choqua, cétait les ceintures de cuir quils tenaient bien serrées dans leurs mains droites.

Sil vous plaît, je ferai ce que vous voulez, ne me battez pas, je vous en prie

On va attendrir ton petit cul, cest tout ce quon veut ; alors tu mords le drap et tu la fermes, vas pas rameuter les voisins !

On va pas testropier ni te casser, mais on va te marquer les fesses pour quelques jours.

Pourquoi vous voulez faire ça ? Je vous obéirai, je vous le promets.

On veut que tu comprennes qui commande ici. Et puis cest notre plaisir, tu comprends ? Alors ne bouge pas, tu vas recevoir vingt coups en tout. Daccord ?

Oui, daccord ; allez-y.

Domptée, Elodie baissa la tête et mordit dans le drap quelle saisit et serra à deux mains, offrant ses fesses aux deux brutes. Au premier coup, elle gémit, au dixième elle serrait les dents en retenant des gémissements, au vingtième et dernier elle était dans un état second, au-delà de la souffrance. Ses fesses étaient couvertes de stries oscillant rouges ; le sang ne coulait pas, comme promis, mais les marques allaient rester plusieurs jours. Puis ils la sodomisèrent à tour de rôle, se relayant dans son anus dilacéré ; ils se délectaient de ses gémissements, de ses râles de plaisir, guettant la montée de la jouissance chez Elodie.

Rapidement ses plaintes sétaient changés en gémissements de plaisir quelle essayait de ravaler pour masquer sa honte de jouir dans ces conditions. Mais rien ny faisait, son corps la trahissait, elle aimait être traitée comme la dernière des traînées, avilie et prise de force. Dès lors elle soffrit de son mieux, acceptant sans rechigner les positions les plus obscènes, leurs présentant ses trois orifices quils investirent avec une vigueur renouvelée.

Ils jouèrent longtemps avec elle, la menant à lorgasme quand ils le décidaient, rien quen la sodomisant sans finesse. Quand ils sortaient de son anus béant, elle les suppliait de revenir, de la prendre encore plus fort.

Plus tard, épuisée, repue, elle alla voir Frank qui regardait la télé en buvant une bière, elle sagenouilla devant lui, nue et souillée.

Monsieur, jai compris ce que je suis. Je vous supplie de maccepter chez vous et de me garder, je serai votre soumise, je ferai ce que vous voudrez.

Tu seras ma vide-couilles et celle de mes fils ?

Oui.

Et celle de qui je voudrai ?

Oui, Monsieur.

Je savais que tu nétais quune petite pute ! Bien ! Tu vas rentrer chez toi, prendre tes habits les plus sexy, le reste tu laisses. Et tu reviens ici, tu as une heure. Je vois que mes fils ont bien marqué ton cul, à ton retour je moccuperai de tes gros seins, tu vas déguster.

A son retour chez elle, Elodie tomba tout de suite sur son mari que lattendait à la porte dentrée. Dieu merci, elle était propre, ayant eu le droit de prendre une douche bienfaitrice avant de partir ; elle portait une courte robe dété trop petite pour elle de deux tailles au moins, le tissu extensible la moulait de manière éhontée. Dautant quelle était nue dessous, à part ses escarpins en cuir noir et le gros plug de plastique noir qui distendait son anus.

Je men vais, Eric. Je suis désolée. Il faut que je sois chez Franck dans moins dune heure, je viens chercher des affaires.

Tu ne peux pas me faire ça, ce nest pas possible, enfin ! Je suis là, je taime !

Je sais, mais cest trop tard. Laisse-moi, je dois y aller.

Elodie se dégagea pour foncer à la chambre ; en pleurant elle tria ses vêtements. Il avait dit de ne prendre que les vêtement sexy, elle choisit une minijupe imprimée, une autre en cuir noir, des tops, débardeurs, chemisiers, trois parures de sous-vêtements assortis en dentelle, quelques paires de chaussures. Elle rangea ses affaires de toilettes dans une mallette.

Elle saperçut quelle pleurait encore et quEric criait derrière la porte fermée de la salle de bain. Elle sortit et le contourna pour empiler les vêtements choisis dans un sac de voyage, vérifia quelle avait ses papiers, et sortit avec un dernier regard à son mari éploré. Elle conduisit mécaniquement, lesprit anesthésié, jusque chez Franck et ses fils. Elle monta avec ses maigres bagages et sonna, tête baissée, perdue dans ses pensées moroses, tellement profondément quelle sursauta et poussa un petit cri quand la porte souvrit sur Franck.

Pourquoi tes habillée, connasse ? Prends ça !

La gifle la prit par surprise, sèche mais pas très forte ; les yeux pleins de larmes, Elodie bégaya des excuses et enleva sa robe quelle posa sur son sac de voyage. Puis elle attendit, les mains croisées dans le dos, les jambes écartées, la tête baissée. Elle se maudit dêtre là, dêtre faible et soumise, et surtout daimer ça.

Entre, il y a du travail à faire ici. Tu nes quune feignasse, incapable de travailler correctement ! Je vais te dresser, moi. Déjà, tu vas recevoir ta punition pour être reste habillée sur le palier.

A minuit, épuisée, couverte de sueur et sale, Elodie put arrêter de nettoyer. Franck lavait arrêté à un moment pour la sodomiser sans pitié, en levrette ; la ceinture passée entre les lèvres dElodie lui tirait la tête en arrière alors quil la défonçait brutalement. Mortifiée, elle se rendit compte que son vagin ruisselait comme une fontaine sous les assauts brusques qui ravageaient son anus.

Puis elle se mit au ménage, sans manger, ayant juste le droit de boire de leau. Elle se sentait sale, couverte de sueur, lintérieur des cuisses souillé de semence dégorgeant de son anus douloureux. Quand les frères arrivèrent, elle était épuisée ; mais le logement était propre, la machine à laver tournait et Elodie repassait, les cheveux emmêlés et sales.

Une vraie souillon ! Regarde, Steve, ça se dit infirmière et cest sale, négligé, ça pue !

Tout est nickel ici, sauf cette pute qui se néglige. Je crois que je vais la mettre à la cave, au moins elle ne salira pas ici. Allez, arrête tout, tu descends tout de suite.

Laissez-moi passer une robe, au moins !

Ferme-la, idiote. Et tourne-toi, les mains dans le dos.

Cest nue et les poignets menottés dans le dos quelle sortit et descendit les escaliers ; il était presque minuit et il ny avait personne, heureusement. Il la conduisirent dans le sous-sol faiblement éclairé par quelques lampes commandées par une minuterie ; ils ouvrirent une porte pleine en bois et la poussèrent dans une petite cave particulière encombrée de vieux meubles hétéroclites et de cartons moisis. Sol de terre dure et sèche, toiles daraignées, poussière épaisse, la cave était minuscule et sale.

Ne me laissez pas ici, sil vous plaît.

Tais-toi ! Tu veux une nouvelle volée ?

Je vous en supplie, jai peur, il doit y avoir des souris, des implora-t-elle dune voix blanche.

Une gifle sèche la prit par surprise et elle se retrouva assise sur un carton, un peu sonnée. Elle baissa la tête, résignée, en les voyant enlever leurs ceintures des passants ; ils les saisirent par la boucle et les firent claquer dans lair. Acceptant son sort, elle baissa la tête et obtempéra quand ils la firent mettre à genoux, la tête sur le carton et les fesses offertes. Comme elles étaient déjà marquées, ils retinrent leurs coups mais frappèrent une dizaine de fois le cul offert. Elodie sécroula en avant lorsquils cessèrent et resta prostrée, pleurant toutes plus de honte que de douleur. En effet, elle aurait aimé être possédée encore, et les deux hommes lavaient bien compris.

Je reviens te sortir de là demain, et tu as intérêt à être calmée ; ne salis pas la cave sinon je serai obligé de te punir à nouveau.

Élodie passa une nuit quasiment blanche, couchée en chien de fusil et la tête posée sur un carton ; elle somnolait quand la porte souvrit sur Steve qui la laissa se lever seule. Ankylosée, tremblant sur ses jambes, Elodie sortit dun pas hésitant. Mon Dieu, il nallait pas la faire monter toute nue et menottée en plein jour ? Cest pourtant ce qui se passa, Elodie monta les marches aussi vite quelle pouvait, priant pour ne rencontrer personne. Elle fut exhaussée car elle arriva devant la porte de lappartement sans rencontrer âme qui vive.

Steve lautorisa à se doucher, mais seulement à leau froide ; elle serra les dents sous le jet, sa peau se couvrant de chair de poule ; en se séchant, elle se rendit compte quelle était affamée. Son petit déjeuner se résuma pourtant au sperme quelle avala après une longue fellation sur les deux frères, quelle dut remercier pour la collation.

Je dois aller travailler, monsieur. Je peux me préparer ?

Nous en avons discuté cette nuit. Cest fini, ton boulot dinfirmière. A partir de maintenant, tu es notre pute bien soumise. Tu pars aujourdhui chez un ami, un serbe qui est prêt à te dresser pour faire de toi une parfaite petite esclave et une pute accomplie. Il doit arriver vers onze heures, ce qui nous laisse deux heures pour te défoncer, tous les trois.

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