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Une mère seule et triste – Chapitre 3

Une mère seule et triste - Chapitre 3



Dans le taxi qui nous emmenait vers notre voiture, je ne pouvais relever mon regard de la tenue provocatrice de ma mère. Elle était habillée plus décontractée que dhabitude, dans le genre « Maman salope », mais elle me plaisait énormément et elle le remarqua très vite. Elle me chuchota quelques phrases à loreille :

— Dis-moi, je te plais comme ça ?

— Oui, plus que tu le penses, jen bande tellement fort que mon sexe me fait mal.

— Ah bon, tellement que ça ?

— Oui, pour de vrai

Alors quelle passait une main sur la bosse de mon pantalon, moi je glissais la mienne derrière son dos. Le chauffeur avait vite remarqué la tenue de ma mère, et il se mit à ralentir, laisser passer plus de voitures au « cédez le passage », et gagner plus de temps pour mater les jambes et les cuisses de ma mère. Je lui demandais si elle portait quelque chose sous sa jupe car le chauffeur la regardait dans son rétroviseur, et elle me répondait dun hochement de la tête puis elle me sourit et se retourna vers le chauffeur et attendit quil la regarde pour commencer son show : elle commençait à écarter les jambes, se caresser les cuisses et remonter sa jupe le long de ses cuisses. Je fus stupéfié par les actions de ma mère :

— Quest-ce que tu fais ?

— Bin ça ne se voit pas ? Je chauffe cet homme.

— Mais si il est trop émoustillé et quil sarrête pour te baiser ou voire pire te violer, que feras-tu ?

— Bin tu seras là pour me protéger mon chéri (et elle membrassa à pleine bouche)

Le chauffeur nous dit :

— Vous êtes un très joli couple. Vous sortez souvent ensemble ?

— Oui, mon fiancé et moi sommes ensemble depuis 2 ans et cest lamour fou. (Ma mère avait de bonnes excuses pour ne pas dévoiler notre secret).

— Je vois ça, vous vous embrassez comme deux jeunes tourtereaux que vous êtes Ah, cest beau lamour ! (Le chauffeur nous prenait pour un vrai couple de jeunes qui va faire une virée en ville, et il prenait ma mère pour une jeune de 20 ans, preuve quelle ne faisait pas son âge)

Lorsque nous sommes arrivés au lieu indiqué au chauffeur, ma mère le payait et elle descendit du taxi pour ensuite monter dans la voiture, et elle mannonça quaujourdhui, nous allions faire les magasins, et que jallais laider à choisir une tenue pour elle pour la soirée qui selon elle sera un « cap important dans notre nouvelle vie », et nous nous dirigions tout droit vers le centre commercial. Arrivés là-bas, elle mattrapa la main et me guida à travers les magasins de (sous-)vêtements et les rayons, jusquà ce que ma mère voie quelques tenues sexy que je regardais avec assistance et quelle me dise :

— Tu veux que je porte ceci mon chéri ?

— Oui, ça tirait bien, mais je doute que tu veuilles porter ça devant moi (la tenue était composée dun bustier en cuir noir et dun porte-jarretelle noir avec de la dentelle violette)

— Si, jaccepterais volontiers, mais je pensais porter autre chose, mais je vais acheter cet ensemble et je lenfilerais pour dautres occasions.

Sur cette phrase qui me laissait béat pendant quelques instants, ma mère se glissa dans une cabine dessayage pour tester sa nouvelle tenue. Quand elle ressortit, elle était resplendissante, comme dans la plupart des tenues et ensembles quelle prit la peine dessayer dans la totalité des magasins que nous avions visités durant toute notre journée shopping. Mais lorsque nous sommes revenus à la maison, elle me dit quelle avait oublié dacheter ma surprise de ce soir et quelle retournait en ville pour la chercher, et quelle me laissait seul pendant près de vingt minutes. Une heure plus tard, elle revint à la maison, avec un sac dune boutique dont je nai pu reconnaitre le nom vu que ma mère sempressa de monter dans sa chambre. Je lui annonçais que javais pris le soin de préparer le repas de ce soir puisse que je ne la voyais plus arriver. Lors de ce repas, en tête-à-tête, on se regardait et on se touchait lun lautre avec le bout du pied.

A la fin du dîner, ma mère mordonna, avec un air coquin et sournois, daller prendre ma douche et de la rejoindre dans sa chambre, ce que je fis sans attendre. Je pris bien le temps de penser à quoi jallais avoir à faire. En sortant, je me glissais dans ma chambre pour enfiler un boxer bien moulant, et ma mère se faufila discrètement dans la salle de bains pour se coiffer, maquiller, se faire belle rien que pour moi. Jentrais dans sa chambre puis je mallongeais sur son lit et jattendais, encore et encore pendant une demie heure (une femme met trop de temps à se préparer, mais ça en vaut le coût dans 99 % des cas), la lumière se tamisa dans la totalité de la pièce et une musique commença à résonner dans la chambre. Une voix douce et sensuelle mannonça « Bienvenue dans lantre du pécher », je reconnus immédiatement ma mère qui entra par la même occasion, elle avait sur le dos, un long manteau en fourrure, un chapeau, des lunettes de soleil. Elle commença par enlever ses lunettes, puis par ôter son chapeau en faisant voler ses cheveux, et elle sapprocha de moi en déboutonnant lentement son manteau. Lorsquelle fut face à moi, au bout du lit, elle fit tomber son vêtement au sol pour laisser apparaitre ma surprise, et là, BAM, le choc ! Ma mère était habillée comme une des salopes de danseuses : jupe écossaise ultra courte, chemise blanche nouée au-dessus du nombril, et string tellement fin quil lui rentrait dans le sexe, elle était maquillée comme une adolescente : elle avait la panoplie entière de lécolière vilaine qui va prendre sa leçon.

Elle monta debout sur le lit et sagenouilla et finit sa course sur les genoux et les bras en appui sur chaque côté autour de moi et elle me dit :

— Alors monsieur, la surprise vous plait ?

— Oui, énormément.

— Tu vois, je ne suis pas lexemple de la mère parfaite, jai été très vilaine, il va falloir me punir monsieur le professeur

— Bien entendu, alors mademoiselle, il va falloir commencer par une punition légère, comme vos lèvres (et je lembrassais du bout des lèvres), puis par une punition un peu plus tendue, comme vos tétons et votre string que jai pu apercevoir (et je me mis à lui caresser un sein avec une main et à lui ôter son string de lautre)

— Mais monsieur, la punition nest pas comme vous laviez annoncée

— Et comment ai-je annoncé votre peine ?

— Et bien vous aviez dit que je devais goûter votre sexe, lapprécier, le chouchouter

— Voilà ce qui me semble mieux. (et elle me baissa mon boxer et commença par titiller mon gland avant de lengloutir complètement pour assouvir son appétit sexuel féroce avec le reste entier de mon sexe.)

Elle me suça la queue pendant quelques minutes, puis, sentant la jouissance arriver très vite, je me retirais pour commencer à lécher son entrejambe puis à enfiler 1, puis 2 et enfin 3 doigts dans son sexe qui devenait de plus en plus humide au fur et à mesure de lintensité des va-et-vient que je faisais à lintérieur de son sexe. Et ne mit pas longtemps à jouir alors quelle me masturbait la queue. Elle me dit quà mon tour, je devais jouir, mais cette fois, cétait là que tout allait changer, elle se releva et me fit une danse du ventre à tomber et saccroupissait de plus en plus et se rapprochait de mon sexe tendu jusquà ce quelle colle ma queue à ses lèvres et se frotte dessus jusquau moment où elle allait commencer à le prendre en main et à le diriger vers sa fente, puis lintroduire dans son vagin bien lubrifié par sa mouille. Elle finit par littéralement sempaler dessus et à faire de légers mouvements du bassin. La jouissance arrivant, je la prévenais et elle mautorisa à jouir en elle car la sensation en est décuplée, et lorsque jeus jouis dans ma mère elle eut elle aussi un orgasme mais cette fois-ci, il était plus imposant que les autres, et elle sécrasa contre moi. Poitrine contre poitrine, nous ne bougions plus, le temps que nos sexes se libèrent et que nous reprenions notre souffle et elle me dit :

— Alors mon chéri, elle ta plu ma surprise ?

— Oh oui Maman, elle ma pl

— Non ! Il ny a plus de « Maman » ! Maintenant que nous avons passé LA limite, le mot MAMAN na plus son sens, donc dorénavant, tu mappelleras « Karine », « Chérie » ou encore par un surnom gentil que tu auras trouvé, daccord ?

— Oui… Chérie… Mais je peux encore profiter de ma surprise ?

— Oui, tant que tu veux, maintenant que tu es à moi, tu peux profiter de moi tant que tu le désires. Et maintenant, nous dormirons tous les deux, tout le temps, toutes les nuits, tu es mon homme maintenant

Et sur cette phrase, nous nous sommes embrassés et nous avons faire lamour encore 3 fois avant de nous endormir à 4h du matin pour nous relever 4h après : moi pour aller au football et elle pour aller travailler

(La suite au prochain chapitre)

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