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Une nuit rêvée – Chapitre 1

Une nuit rêvée - Chapitre 1



Une nuit rêvée depuis des années se prépare dans les recoins de mon esprit, la frustration d’une expérience non réalisée, tant désirée… Si loin de toi depuis ton départ dans les contrés australiennes, mon désir et mes envies sont exacerbés par ce fruit maintenant défendu mais tant voulu. Mes yeux sont fermés mais déjà le voyage a commencé… Je me réveille dans une pièce, elle est sombre, une odeur délicate de fleurs blanches m’enivre, mes yeux s’habituent à la pénombre pour révéler un nombre incalculable de minuscules bougies créant une faible lueur chaleureuse, bienveillante, réconfortante… Le soleil vient de disparaître. Les fenêtres sont ouvertes et laissent entendre le bruit répété des vagues s’échouant sur la plage de sable fin. Des voilages empêchent la lumière de pénétrer la pièce mais déjà de légers bruits de pas se font entendre. Quelqu’un approche au loin depuis la plage vers la maison. Sortant de mon état de sommeil, je regarde autour de moi ; je suis sur un immense matelas beige au sol, entouré de très nombreux coussins formant dans un angle une montagne jusqu’au mur.

Mon corps s’enfonce dans le matelas épais et moelleux, le contact de ma peau avec le tissus révèle une douceur incroyable qui me maintient dans cet état second du réveil. Mon corps lui, semble plus réveillé… Je sens ma verge fièrement dressée devant moi, je me rends alors compte que je suis entièrement nu. Ma main glisse alors vers ma queue allant et venant lentement… Mon corps se réveille au rythme de mes caresses, ma queue gonfle un peu plus pour atteindre une taille plus aimable, tellement dure et inflexible… Soudain je m’arrête complètement. Un bruit attire mon attention vers la grande fenêtre voilée. Une main délicate entrouvre le voilage, une faible brise chaude accompagne l’entrée de cette ombre féminine qui pénètre la pièce et éveille chaque partie de mon corps… Une beauté incroyable, vêtue d’un long cardigan noir en soie fine très légère semblant prêt à tomber de ses épaules au moindre souffle et d’un string très finement brodée, bordeaux et transparente. Elle est parée de beaux bijoux en or contrastant magnifiquement avec sa peau caramel paraissant si douce et parfaite.

La pénombre raccompagne son entrée et bientôt mes yeux habitués à cette luminosité la fixent alors et je souris. Je te reconnais, plus belle que jamais, un corps sculpté magnifique, des jambes sans fin, des fesses galbées à souhait, une poitrine libre comme l’air, des tétons durement dressés et ton visage fin, d’une douceur incroyable me regarde étonné mais tu sembles si sereine, calme et sûre de toi… Me voir étendu face à toi t’amène de nombreuses questions invraisemblables, impossible te dis tu, inconcevable, inimaginable… La réponse n’est peut être pas si loin : fantasmagorique, la réponse d’un rêve lointain prenant vie en toi… Tu approches de moi et tu aurais aimé que je me décale pour que tu puisses te reposer et prendre ta place sur ce matelas qui est tien. Sans que tu ne parles, je me décale alors. La magie du rêve et du fantasme mêle mon désir de soumission, mon désir de t’appartenir complètement physiquement et mentalement, de réaliser la moindre de tes envies et de tes souhaits à ton envie de possession, de contrôle absolu sur ton plaisir : mon corps s’articule pour ton plaisir, je sens tes envies et mon unique objet, mon unique but est de les assouvir, y répondre de tout mon être pour te satisfaire.

Ce consentement réciproque est la règle tacite de ce rêve, l’assouvissement complet de tes fantasmes par un homme, moi, objet de ton plaisir et le mien sous ton entier contrôle. Comprenant tout cela tu décide d’éprouver cela…

Je me redresse, tu t’allonges, debout devant toi, ma verge est plus qu’à la perpendiculaire tant la vue de ton corps m’a maintenant complètement réveillé, une veine de dessine de plaisir, mon bout est complètement sorti de son habit pour te viser fièrement avec envie. Je me tourne, tu veux voir tout mon corps, ce corps dessiné par tant de sport depuis des années, mes épaules et mes bras de sont marqués, mon dos maintenant saillant dirige ton regard sur mes fesses musclées, mes cuisses et mes mollets, piliers impressionnants de puissance complètent et complaisent ton examen.

Je me baisse alors et la lueur d’une bougie vient éclairer mon visage resté jusqu’ici dans l’ombre. Mes traits sont plus marqués que dans ton souvenir, nous avons vieilli, il est vrai mais tu te dis que ça me va bien. Mes sourcils légèrement broussailleux encadrent mes yeux verts profonds et ma barbe et mes cheveux blondis par l’été ont pris une teinte légèrement poivre et sel, mes lèvres charnues se dessinent et s’ouvrent pour laisser apparaître mes petites dents du bonheur blanches et bientôt autre chose pour ton plus grand plaisir…

Allongée sur le lit tu recules quand je me baisse pour t’appuyer ton lustre et ta tête sur les cousins et tendrement avec le bout de mon index, j’effleure ton pied pour remonter jusqu’à ta cuisse. Je te regarde alors, tes yeux me fixent avec envie alors je continue et je touche la dentelle bordeaux sublime qui ressort magnifiquement sur ta peau. Je m’approche et mon souffle chaud sur ton bas-ventre te fait parcourir d’un frisson, et mes lèvres embrassent chaudement ton corps juste au dessous de ton nombril, enfin… Je continue de remonter embrassant successivement ta peau jusqu’à arriver Au dessus de tes seins. Au dessus de toi, appuyé sur mes mains, mon souffle approche ton téton et le prend entre mes dents délicatement mordille, lèche, suce puis embrasse ce petit téton et le pince entre mes lèvres… Ma langue glisse jusqu’à ton autre téton, pour lui infliger le même traitement tandis qu’en même temps une de mes mains remonte ta cuisse et s’attarde sur ton petit bouton de plaisir au travers du tissus si doux de ta culotte… Je continue alors de remonter jusque dans ton cou, la langue glissant sur ta peau sucrée, et ma main toujours en action te fait pousser quelques gémissements sourds de plaisir qui me font comprendre que mes doigts jouent au bon endroit.

Ma langue vient langoureusement titiller ton oreille. Tu as les yeux fermés, la tête basculée en arrière ; de ton oreille, je me rapproche de ton visage mes lèvres effleurent les tiennes, ma langue lèche ta lèvre inférieure puis je l’écart est commence à redescendre sur ton corps. A genou face à toi, mes mains font glisser ta culotte jusqu’à tes pieds, la retire pour laisser apparaître tes lèvres déjà humides de plaisir, ta chatte entièrement vierge et si lisse, rouge de désir, qui ne demande pourtant qu’à être comblées… Nos regards se croisent, je sais déjà ce que tu veux depuis que nos corps se sont rapprochés, que ma queue a effleuré ta peau et mes lèvres survolées ta motte… Tout en maintenant ton regard, si décidé, si résolu à ce que je te satisfasse, je plonge sur ta fente, mes yeux dans tes tes yeux, me délecte ton odeur, si particulière au plaisir féminin, et lèche tout doucement la mouille suintante de ton antre. Du bout de ma langue, de haut en bas, j’effleure tes lèvres, puis petit à petit je passe du bout de ma langue au plat tout en entier de ma langue, lentement comme si je me régalais d’une glace coulante, je lèche encore et encore.

Tes mains dans mes cheveux me dirigent, me commandent d’appuyer plus ou moins, pour répondre à tes envies. Jouant maintenant avec ta petite framboise, ton plaisir de fait ressentir, tes gémissement te trahissent et ta grotte dégouline d’un plaisir dans je me nourris dès que je peux… Toujours les yeux dans les yeux, ton plaisir approchant du paroxysme, j’arrête, tu regardes curieuse de cette initiative, mais un puis deux de mes doigts s’enfoncent en toi pour atteindre ton sanctuaire. Alors ma deuxième main se pose sur ton bas-ventre et je commence alors ce sont je t’ai tant parlé, de bas en haut, fortement mais avec tendresse, je remue ta petite chatte encore et encore. Une sensation incroyable se fait ressentir, complètement différente de ce que tu ressentais jusqu’alors, plus profond, plus intense, plus grave, tes yeux s’écarquillent légèrement pour encaisser ce plaisir et quand je te sens trembler, je ralentis et entre un troisième doigt, très facilement tant tu es trempée. Je ralentis, te laisse reprendre ton souffle, et je reprends de plus belle jusqu’à ce que mon bras tétanisé de la force déployée ne puisse plus rien… Alors que tu es sonnée de cette sensation nouvelle, je replonge sur ta petite chatte et reprends ce que j’avais initié dans un premier temps… Mais cette fois, je rentre deux doigts en même temps que je te lèche tandis que ma verge suinte d’une liquide blanchâtre tant l’envie de te pénétrer est forte, mais t’obéir est mon seul objectif, et ton plaisir ma seule envie, mon obéissance t’est complète, tu le sais et tu n’as absolument pas envie de t’occuper de ma queue, pour le moment en tout cas… Ma langue s’affaire toujours sur ton petit con, deux de mes doigts monte et descendent en toi, quand tu sens un doigt s’approcher de ta petite feuille de rose, replonge dans ta petite chatte pour s’humidifier et revient vers ton petit trou et entre tout doucement.

Détendue de ce que je t’ai infligé avant et curieuse des sensations que ces trois stimulations pourraient avoir, tu te laisse aller et mon doigt s’immisce dans tes profondeurs avec plus de facilité que précédemment. Quelques secondes de ce traitement te suffisent à jouir dans une intensité que tu m’avais que trop peu connu… Je reste en toi dans bouger, quelques secondes puis me retire pour te laisser profiter de cet état second dans lequel tu es, un sentiment de bien-être, d’apaisement, comme si tout n’était que futilité, le temps s’arrête, le bruit de la mer réapparaît, le piaillement lointain d’un oiseau, tout n’est que bonheur. Face à toi, je suis à genoux, je te regarde, dans ta magnificence, tes yeux fermés, tes cheveux noirs glissant sur tes épaules et recouvrant tes seins, tes seins que je n’ai que trop peu léché et tété… Le visage moitié dans les cousins, tu te mets de côté pour m’offrir une vue imprenable sur tes fesses, ta petite chatte encore sensible à souhait… Mon membre qui lassé d’envie s’était ramolli, se revivifie à cette vue, et se redresse… Je m’approche de toi pour te faire sentir mon désir je glisse ta main sur mon dard que tu astiquer très lentement, machinalement, tes longs doigts qui entourent ma queue me procure une sensation incroyable… Est-ce la frustration de l’attente, la réalisation d’un rêve quasi adolescent, simplement l’envie de profiter de ce corps si sublime qui s’offre à moi, j’entreprends de me décaler vers tes fesses pour venir prendre ta petite chatte.

. Ta main serre alors ma queue. Tu te retourne vers moi, me fais signe de me lever et te mets face à moi à genoux. J’ai de suite compris ce que tu pensais par la détermination de ton regard. Tu ouvres la bouche et prononce alors les premières paroles depuis que nous sommes ensemble, d’une voix calme et souriante en me disant dans les yeux : "surtout ne jouis pas sans mon autorisation". Tu ouvres alors la bouche et engloutis ma verge ! Quelle sensation incroyable, après l’avoir mille fois rêvé, enfin, la chaleur de ta bouche irradie sur ma queue, enfin je sens la douceur de ta langue qui enveloppe ma verge, enfin cette envie tant de fois imaginée assouvie… Lentement, tu vas et tu viens avec un air de défi dans ton regard profond qui m’hypnotise. Je sens ma sève qui monte mais j’ai bien compris la règle du jeu et je contracte autant que possible, tout en me détendant autant que faire se peut. Tu sens dans ta bouche ma queue gonfler de plaisir, trop à ton goût, tu me regardes, mordille tout doucement pour me faire comprendre et ralentit… Tu t’arrête alors de me sucer mais tu continue à me branler lentement avec une amplitude de mouvement maximale, tu descends sur ma verge jusqu’à ce que mon gland soit à nu puis remonte jusqu’à ce que cette fois il soit complètement recouvert de mon prépuce et tu recommence encore et encore.

Tu contrôle complètement mon plaisir, tes yeux si expressifs me font tout comprendre. Toujours à mes genoux, je te domine de ma hauteur mais tu me domine par ton attitude… Sentant que j’atteins ma limite tu arrêtes simplement et t’allonge en arrière et écarte les cuisses. Ta belle chatte m’appelle, tes lèvres sont rouges et gonflées d’envie et de plaisir, ta main descend sur ton clitoris et commence à jouer avec, tu me regarde, ma verge est plus droite que jamais, tu me fais un signe de tête, je m’approche alors pour te pénétrer mais tu fais non de la tête et Tu attrape mes cheveux et me plonge sur ta chatte… Je recommence alors à te lécher bien décidé à te faire jouir plus fortement encore cette fois. Encore sensible, je te lèche lentement mais plus fortement, de toute ma langue je monte puis descend, ton excitation est complète et c’est alors beaucoup plus facile de te faire mouiller, tes lèvres suintent et ta cyprine coulé abondamment comme pour m’appeler… Je me délecte de ton jus au goût si particulier, sucré, salé, légèrement amer mais si délicieux, ma queue suinte aussi de sperme, qui perle à grosses gouttes.

Tu t’abandonne complètement au plaisir et tes mains passe frénétiquement dans mes cheveux, les agrippant, les tirant, tes cuisses bougent sous le plaisir de mes coups de langues et je dois me débattre pour continuer de te lécher. Ton plaisir est palpable, tu gémis et pousse le silence, tes yeux s’écarquillent et tu serres tes cuisses pour m’empêcher de continuer. Je m’arrête, alors je veux maintenant te prendre, je veux enfin te pénétrer et sentir la douceur de ton antre, la chaleur de ta grotte et enfin accomplir ce rêve, ce fantasme… Mais à peine remise de tes émotion, tu me refais signe de me lever, et commence à mon pomper comme tu le fais si bien, plus profondément encore que tout a l’heure, je sens mon gland qui tape le fond de ta gorge, quelle sensation incroyable ! Tu es entrain de me sucer dans retenu, tu ne me regardes pas, tu as les yeux fermés et tu me suces frénétiquement, tu veux que je viennes en toi je crois, tu sens que je me raidis, ma queue dans ta bouche est secouée de petits spasmes tous meilleurs les uns après les autres, et bien que je fasse tout pour repousser ma jouissance, je pousse un long râle de plaisir quand une première gicler fini sur ta langue puis tu te retirer et une seconde finit sur ta joue puis une autre sur tes seins… Quelle sensation indescriptible, venue de mon ventre, profondément, c’est comme si tout mon bas ventre avait été aspiré de plaisir pour se concentrer en un point, puis s’éjectant par ma verge en défonçant de plaisir tout sur son passage, pour finir sur l’objet de mon désir, toi, ta bouche, ton visage, tes seins, ton corps… Tu me regardes avec un sourire satisfait, ma semence voulant sur ta joue jusqu’au coin de tes lèvres, ta langue la goûtant, elle tombe ensuite sur tes seins.

Tu te lèves alors et disparaît derrière un autre voilage. J’entends alors le bruit d’une chute d’eau, je reprends mes esprits et suis alors le son… Je te vois alors entièrement nue, sous un jet d’eau, de dos. Je pénètre cette pièce, un carrelage de petits carreaux bleus-verts au reflet doré, magnifie la vue de ton corps dénudé, des mosaïques colorées ornent les murs et encadrent une immense fenêtre donnant sur la mer, une énorme plante au fleur blanche couronné le tout. Mon pas résonne et tu te retournes. Ta poitrine aux fiers tétons, ton ventre plat, ces jambes musclées et fines et ce visage, rayonnant, apaisé, ton regard si bienveillant expriment la joie et le bien-être… Je vois alors tes yeux qui me fixaient dans les yeux descendre sur mon corps et s’arrêter sur mon dard qui déjà en redemande. Un plus large sourire de dessine encore, tu ris et te retourne pour me laisser voir tes jolies fesses galbées à souhait. Je m’approche, t embrasse dans le cou, mes mains partent de tes hanches, parcours tes cuisses, ton pubis, une de mes mains s’attarde sur ton bouton de plaisir délicatement, tandis que l’autre remonte sur ton ventre et j’attrape ton sein, le malaxe, saisis ton téton coincé entre deux doigts et le pince en serrant mes doigts, tout en compressant ton sein.

Ma bouche s’est approchée de ton oreille, ma langue parcourt ton lobe puis je le mordille. Dans ton dos, tu sens ma verge, qui appuie, plus dure que jamais, revigorée à ta vue. Ma main restée en bas, passe sur tes fesses, titille ton petit trou quelques instants et passant j’enfourne deux puis trois doigts dans ta chatte si humide, et ce n’est pas l’eau qui la mouille… Je commence mes vas et viens de haut en bas, ta mouille dégouline sur ma main, je te soutiens car tes jambes planchent légèrement, tu poses tes mains sur le rebord de la douche pour te tenir. Après quelques minutes de ce traitement, j’approche ma queue de l’entrée de ta caverne et fait frotter mon gland contre tes lèvres, tu ondules ton corps et cambre légèrement pour que tes fesses ressortent et se bombent, je m’enfonce alors, enfin, je te pénètre lentement pour profiter de chaque instant, je te prends enfin, je sens ta petite chatte s’ouvrir quand mon gland se fraie un chemin dans tes sinuosités, je m’enfonce jusqu’à ce que mes couilles touchent ton petit cul, jusqu’à ce que je tape tes fesses fermes…

Tu tournes alors le visage et je t’embrasse, à pleine langue, je t’embrasse tout en ressortant et rerentrant en toi, plus fort, je saisis ta gorge d’une main et j’appuie sur ton bas ventre de l’autre et fermement je te pénètre encore, chaque mouvement ayant été maintes fois rêvés, je te ramène à moi avec force, et je te prends en te serrant toujours plus fort. Je mordille ton oreille, et bientôt ma main sur ta gorge passe sur ton cou en même temps que je te force à te pencher. Tu poses tes mains au sol, le yoga ayant fait son oeuvre, j’attrape tes fesses et commence à te pilonner… Sans retenu je vais en toi et ressors avec un plaisir décuplé chaque fois, je tiens maintenant ton cul pour ne pas que tu prennes le mur à chaque coup de butoir. Sentant mon jus monter sous l’excitation, je ralenti. Profitant de ce regain de temps, tu échappe à mes coups et sors de la douche. Tu files dans la chambre. Je prends mon temps pour sortir aussi, Me sèche rapidement et te rejoins. Tu m’attends allongée sur le côté ton petit cul tourné vers moi.

Ta main est entré tes jambes et je devine que tes doigts s’activent sur ta petite chatte. J’approche alors et mon dard toujours inflexible approche rapidement de ta petite chatte. Je plonge avant cela mon pouce dans ta bouche, tu le lèches et je viens alors titiller ton petit trou, ta petite feuille de rose, et je m’enfonce dedans tout doucement sans effort, ta mouille ayant lubrifié mon doigt.

Sentant mon jus monter sous l’excitation, je ralenti. Profitant de ce regain de temps, tu échappe à mes coups et sors de la douche. Tu files dans la chambre. Je prends mon temps pour sortir aussi, me sèche rapidement et te rejoins. Tu m’attends allongée sur le côté ton petit cul tourné vers moi. Ta main est entrée tes jambes et je devine que tes doigts s’activent sur ta petite chatte. J’approche alors et mon dard toujours inflexible approche rapidement de ta petite chatte. Je plonge avant cela mon pouce dans ta bouche, tu le lèches en me regardant et je viens alors titiller ton petit trou, ta petite feuille de rose. Je m’enfonce tout doucement dedans, sans effort, ta mouille ayant lubrifié mon doigt, je m’attarde sur ton petit cul pendant que ma tête replonge une fois de plus sur ta petite chatte, mais cette fois, ce n’est plus toi qui commande et qui décide, cette fois-ci tu es l’objet de mon désir et tu vas faire ce que je veux mais tu ne l’as pas encore compris je crois. Tu passes ta main dans mes cheveux pour me diriger sur ta petite chatte, sur ton petit bouton et alors j’enfonce un peu plus mon doigt dans tes entrailles.

tu continues à vouloir me diriger, alors je m’enfonce encore plus. Je m’arrête de te lécher et commence à te pénétrer tout en gardant mon pouce dans ton petit trou, celui-ci opposant de moins en moins de résistance. Je te tourne de côté et me faisant plus fort que tu ne le pensais, tout en jouant avec mon doigt, je va et viens en toi doucement mais fortement à califourchon sur une de tes jambes, je rentre fermement, au plus profond, puis ressors à moitié, doucement, je continue cela plus de temps que je ne l’aurai escompté. Voulant te mettre sur le dos, je te force à te mettre sur le ventre, tout en enfonçant totalement deux de mes doigts cette fois en toi. Tu me regardes comprenant que c’est maintenant moi qui décidera sous peine de voir ton petit cul encore une fois enfoncé… Ma main restée libre attrape ta nuque et te ramène à moi toujours plus fort, jouant avec tes seins, caressant ton dos, et attrapant tes hanches pour te prendre toujours plus fort… Tes yeux maintenant fermés, tu te laisse aller au plaisir, ta bouche tantôt entrouverte tantôt fermée, tes lèvres parfois pincées, tu laisses échapper de petits gémissements et nos corps semblent danser dans une frénésie défreinée, nos plaisirs croissant… Je retire mes doigts de ton cul, un trou béant reste quelques secondes puis se referme, signe que tu es maintenant mûre à souhait… Je me relève, te fais signe de venir à moi à genoux et tu poses tes deux mains de chaque côté de ma bite et entreprend de la déguster.

Tu y vas doucement alors j’attrape ta tête par les cheveux et te baise la bouche. Tu ne t’y attendais pas et surprise, tu toussottes légèrement mais tu as l’air d’aimer ça car tu ouvres un peu plus grand la bouche… Ta chatte coule littéralement, tes lèvres laissent échapper des perles de ton nectar sur le lit. J’arrête alors mon traitement pour revenir m’occuper de toi, je plonge sur tes lèvres et te lèche et te doigte chaque trou en même temps. Trois de mes doigts dans ton cul et deux dans ta caverne à plaisir, ma langue titille ton bouton rose avec une intensité nouvelle, et mes doigts remuent en toi. Cela me permets aussi de récupérer pour ce que je prépare depuis tout à l’heure… Je poursuis jusqu’à ce que tu jouisse, ton corps s’agite de soubresauts, tes mains attrape ma tête pour éloigner ma langue assassine. Tu te laisse alors tomber en arrière sur les coussins sur le dos, tes joues rougies et un large sourire dessiné laisse apparaître tes petites dents blanches. Je m’allonge alors contre toi, Je me colle à toi, en petites cuillères, nos corps chauds s’enlacent, nos jambes s’entremêlent et tu tournes les yeux vers moi et nous nous embrassons.

Nos langues s’emmêlent et t’es lèvres si fines et douces touchent mes lèvres pulpeuses. La sensation est intense, l’instant est unique. Si longtemps impossible, nous sommes finalement l’un contre l’autre, tels deux amants que le temps aurait oublié, les minutes s’allongent et mon envie de toi se fait pressante dans ton dos… Mes mains parcourent tout ton corps, tes cuisses, tes hanches, le bout de mes doigts effleurent ton ventre et j’attrape fermement tes seins, les malaxe, les pince, roule tes tétons entre mes doigts et les saisis fermement. Ma verge, raffermit par le toucher de ce corps magnifique, s’enfoncent en toi, je te baise la nuque du bout de mes lèvres, encore et encore délicatement, tandis que ma main attrape fermement ton cou et serre ta gorge tu ne peux plus bouger. Mes lèvres remontent à ton oreille, pincent ton lobe et je te susurre : "Tu seras bientôt entièrement à moi…" alors je me retire et j’enfonce ma queue lubrifiée de ta mouille dans ton cul si accueillant après ce que je lui ai fais…

Je m’enfonce d’abord tout doucement, tu es complètement détendu, aucune résistance en toi ne s’oppose, je t’amène à moi pour être au plus profond de toi. Je me retire et réitère mon entrée, aucune résistance. Je te possède entièrement… Ce corps si longtemps défendu, toi, ma Subi, toujours défendu, je te pénètre encore et encore, dans une symbiose intense… Ton cul serré me procure du plaisir, tandis que chacun de mes coups de bassin te ramène à moi, plus fort chaque fois. Je sens le plaisir monter en moi, chaque entrée appelle en moi des sensations merveilleuses… La douceur de ta peau sous mes doigts, le frottement de ta verge comprimée en toi, la force avec laquelle je tiens ta nuque et que je t’enfonce sur mon dard, mon plaisir s’en trouve décuplé si bien que la sève monte doucement encore et encore… Ma verge gonfle et tu comprends ce qui va arriver.. Je me retire alors et tu engloutis entièrement mon gland puis ma queue, je la regarde disparaître dans ta bouche avec surprise, je ne te savais pas ce talent… Ta main serre la base de ma pine, tu attrape mes bourses, je sens venir ma semense et l’éruption vient… Quelle bonheur, la chaleur de ta bouche, la douceur de ta langue, je viens plusieurs fois et chaque fois tu déglutis, avalant et suçant, aspirant, ah quelle sensation… Une vague m’envahit le corps, je ne sens plus ni mes mains, ni mes pieds tant le plaisir est immense…

Je te sens venir te blottir contre moi, m’embrasser dans le cou puis nous nous embrassons… Le baiser est doux, nos corps l’un contre l’autre aimant ce contact, le bien-être le plus total me gagne… Jamais je n’avais ressenti cela…

Nous nous endormons ainsi… Retournant à nos sommeil respectifs, chacun d’un côté de la planète, mais dans une symbiose onirique parfaite…

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