Je m’appelle Martine et j’ai 52 ans. Je suis mariée depuis 29 ans à l’homme de ma vie. Mes besoins sexuels sont important, et mon homme l’a vite compris. Il me laisse une entière liberté, il ne s’en plaint pas car il en profite physiquement et intellectuellement. Je lui raconte toutes mes aventures et bien souvent, il y participe. Mes amants me disent jolie et ne me donnent pas mon âge. Je travaille pour un patron qui possède un magasin de prêt à porter pour jeunes filles et un autre de lingerie fine. Je saute d’un magasin à l’autre en fonction des saisons. Cet emploi me permet de renouveler ma garde robe et surtout de faire de nouvelles connaissances.
J’avais travaillé en mâtiné ce jour de juillet, et j’étais libre à 17 heures. J’ai décidé de passer à la petite supérette de mon quartier pour renouveler mon stock de préservatifs. Je vais toujours au même endroit, à la même heure, car il y a un jeune caissier timide et boutonneux, que j’ai pris l’habitude d’aguicher. Quand il me voit, il rougit immédiatement. Il sait pourquoi je viens, d’ailleurs je n’achète que des préservatifs dans ce magasin et seulement quand il est là. J’étais vêtue d’une robe légère, blanche à impressions, à fines bretelles. Ma poitrine généreuse soulevait le décolleté ample, et il suffisait que je me penche un peu pour que l’on puisse avoir une vue totale sur mon soutien gorge à balconnets et sur mon ventre. A cette heure le magasin était peu fréquenté. Seule à la caisse, j’ai posé les deux boites de capotes sur le petit tapis roulant. Le caissier s’en ai saisi pour passer le code barre, en rougissant. Saisissant le porte monnaie dans mon petit sac, je l’ai vidé sur le tapis pour faire l’appoint. Je me suis penchée lui montrant ainsi une vue imprenable sur mes seins et mon ventre. Il a prit l’argent de mes mains, comme une poule qui picore du grain. Il tremblait, un jour je me le ferai ce petit. Il m’a proposé un sac que j’ai refusé, lui disant que c’était pour consommer de suite, ce qui a accentué sa rougeur. Après un grand sourire de toutes mes dents je suis partie. Comme à chaque fois, cet épisode m’avait mis le feu au ventre, je sentais le fond de mon string tout gluant de mouille.
J’ ai décidé de faire un peu de lèche-vitrines avant de rentrer, mon mari n’arrivant pas avant 20 heures ce soir là. Bien entendu, ce sont les magasins d’habillement qui ont retenu mon attention. Le temps était lourd et mon corps était moite. La circulation automobile était rare, la rue calme. Absorbée par la vitrine d’un marchand de chaussures vers laquelle je me penchais, j’ai reçu une tape et un violent coup entre les cuisses, suivi d’une impression de chaleur sur le fond de mon string. La surprise m’a fait pousser un cri. En me retournant j’ai vu qu’il s’agissait d’un chien de bonne taille, que l’odeur de mon sexe suintant avait attiré. J’ai houspillé ce chien pour le faire partir, il continuait de me suivre, et à chaque fois qu’il le pouvait, essayait de coller son museau sous ma courte robe pour me lécher. Plus je le chassais plus il me collait, prenant sans doute mes cris pour un jeu. Agacée, je décidais de rentrer chez moi. Le chien me suivait et ne me lâchait pas.
Sur le parcours qui mène à la maison il y avait un immeuble en chantier. Alors que je criais après le chien qui avait réussi à me mettre un coup de langue supplémentaire, un homme est sorti d’une cabane de chantier servant de bureau de vente. Il a réussi à écarté le chien et m’a conviée à patienter quelques instants en sa compagnie et celle de deux autre hommes présents. Il faisait chaud dans le bureau. L’homme a expliqué aux deux autres ce qui se passait. Ils m’ont proposé une bière que j’ai acceptée. La chaleur et aussi l’alcool de la boisson m’ont fait tourner la tête rapidement. Dans un faux mouvement, mon petit sac est tombé au sol et les deux boites de préservatifs ont atterris au milieu du bureau. Aussi gênant que cela puisse paraître, j’ai senti que je mouillai violemment. Comme je me penchais pour les récupérer j’ai découvert mes seins par devant au regard de l’un et mon cul par derrière au regard des deux autres. L’un a dit que j’étais une femme prévoyante, l’autre en voyant deux boites, gourmande aussi. J’ ai répondu qu’il fallait savoir prendre des précautions de nos jours avec les inconnus. Tous les trois ont pris mes mots pour une invitation. L’homme du début m’a attiré à lui, il m’a embrassée, je ne l’ai pas repoussé.
Très vite je me suis retrouvée nue. La porte du bureau fermée les rideaux tirés. Ma chatte gourmande demandait du sexe. Mon mari serait comptant, j’aurai de nouvelles queues à lui raconter. Comme à son habitude, il pourrait me sentir le sexe pour deviner si il s’agissait d’amants réguliers ou de passage. Sperme ou lubrifiant de capote?
Le chien continuai de japper à l’extérieur, peut être qu’il sentait au travers des cloisons du bungalow ce qu’il se passait?