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Une relation pas très catholique – Chapitre 2

Une relation pas très catholique - Chapitre 2



Bonjour à tous, désolé pour la très longue absence, entre un long voyage et le manque d’inspiration je n’ai pas réussi à écrire mais maintenant je suis reparti ! (Je conseille de relire la première partie pour tout comprendre)

Après avoir dévoré mes lasagnes avec Laure en face de moi, je me dirigeais vers le canapé devant la télé en attendant qu’elle me rejoigne. Depuis sa "proposition" ambiguë, nous ne nous étions pas parlés, non par gêne, mais parce que ce silence nous convenait bien à tous les deux pour manger. Une minute après moi, Laure arrivait dans le canapé, toujours dans le plus simple appareil, alluma la télé et me demanda ce que je voulais regarder ce soir.

-N’importe ! Met ce que tu veux !, lui répondis-je en lui tendant gentiment le programme télé.

Elle regarda 5 minutes le programme avant de me dire qu’elle voulait regarder une banale série policière. J’approuvais son choix : ce n’était pas le meilleur programme mais ça avait le mérité de distraire.

Nous regardions tranquillement la télévision, et à la pub, elle me dit en rigolant :

-Alors, t’as rien trouvé à me demander depuis tout à l’heure ?

-A vrai dire j’y ai pas trop pensé, attend je vais réfléchir…

-Bon bah puisque tu réfléchis je vais commencer et on va faire une action ou vérité pour se découvrir encore plus ! Alors, dis-moi Bastien, action ou vérité ?

-Vérité, dis-je en rigolant.

-T’aimes bien ces vacances ?

-J’adore ! Pour mes dernières vacances avec mes parents c’est le paradis, avec toi en plus! Donc maintenant c’est à moi, action ou vérité ?

-Vérité

-T’es pas triste que mes parents soient parti ce matin et ne revienne que après demain ?

-Non ça va, t’es toujours là, et puis t’es plus de ma génération que tes parents, et t’es vachement cool ! A toi, Action ou vérité ?

-Action pour changer !

-Vas me chercher ma veste qui est sur mon lit s’il te plaît, j’ai froid ! me dit-elle en souriant

-C’est vrai qu’il fait froid et quon nest pas super bien protégé, dis-je amusé, mais pas de soucis, je vais en profiter pour prendre une veste pour moi.

Je me dirigeais donc dans ma chambre, par soucis de proximité et prenais une veste à capuche, simple. Je me rendais ensuite dans sa chambre, et trouvait sur son lit une veste en laine, pas très jolie, mais qui devait tenir chaud. Puis, avec un rapide coup dil à 360 degrés, je voyais une sorte de nuisette qui dépassait de dessous son oreiller. Instinctivement, je pris la nuisette, car la voir mettre cette veste en laine ne me réjouissais guère, je voulais profiter du moment le plus possible. Revenu sur le canapé, je lui tendais innocemment sa nuisette, et quand elle me fit part de mon erreur, je m’excusais et lui demandais si elle voulait que j’y retourne. Elle eue la réaction que j’espérais en me disant que ça irait parfaitement. J’exultais intérieurement quand je mis ma veste, et mon sexe se chargea de le faire extérieurement quand je la vis enfiler sa nuisette qui ne la rendait que plus désirable. Cette nuisette était un simple bout de tissu transparent noir, qui la recouvrait du dessus des seins, lui laissant donc un grand décolleté, jusqu’au cuisse, ce qui permettait de réinsérer une part de mystère dans sa contemplation.

-Bon alors, c’était à toi, repris-je, action ou vérité ?

-Vérité

-D’accord alors, comment t’as découvert le naturisme ?

— Je ne sais pas trop, répondit-elle gênée ?

-Tu crois que ça me va comme réponse ? Développe !

-T’en parle à personne hein ?

-T’inquiète pas, je suis une tombe !

-Merci Bastien. Alors en fait, à la base je suis un peu exhibitionniste. J’aime bien me montré nue, voir que je peux plaire aux hommes, rendre jalouse les femmes. Et puis aussi j’aime bien la sensation d’être nue, donc c’est venu naturellement avec mon copain qui l’était aussi.

-Ah d’accord, je comprends que tu puisses ne pas aimer en parler, mais t’as pas à avoir de gênes avec moi, lui dis-je en souriant.

-C’est gentil, tu sais, je me sens vraiment bien avec toi, t’es un mec bien Bastien. Bon à toi, action ou vérité ?

-Vérité, dis-je, car je ne voulais pas prendre trop de risques

-T’as déjà fait du voyeurisme ?

J’étais pris de court, d’abord j’apprenais qu’elle aimait que les gens la voient nue, et maintenant elle me demande si j’ai déjà fait du voyeurisme.

-A vrai dire non, mais ça me déplairait pas avec certaines personnes comme toi ! Non je plaisante bien sur ! A toi maintenant : Action ou vérité ?

-Vérité ?

-Mais à quoi ça sert de faire une action ou vérité si tu prends tout le temps vérité, ce nest pas drôle, pestai-je en souriant.

-Désolé, mais t’inquiète pas la prochaine fois action !

-D’accord je préfère ! Alors est ce que toi tu as déjà fait du voyeurisme et si oui, de qui ?

-Ça m’est arrivé, surtout à la piscine ou dans des cabines d’essayages. Mais jamais rien de bien sérieux, même si ça m’excite beaucoup !

D’accord ma question ne brillait pas pour son originalité, mais j’avais vraiment envie de savoir et sa réponse m’excitait d’autant plus.

-Alors, action ou vérité ?

-Action, dis-je avec l’espoir que la situation se débloque encore un peu plus

-Tu dois embrasser la femme que tu trouves la plus belle entre ta mère et moi. Si c’est ta mère ça sera à son retour, et sans son consentement.

Cette action avait tout d’une invitation, elle savait très bien que je n’embrasserais pas ma mère, et m’obligeais donc à l’embrasser, ce qui ne me déplaisait pas, loin de là ! Je me rapprochais donc, pris son visage entre mes mains et l’embrassa fougueusement mais doucement et rapidement. En m’écartant, je la voyais un peu rouge, mais souriante, elle me lança :

-Alors c’est moi que tu préfères ?

-Clairement, déjà parce quon ne peut pas être excité par sa mère, et puis parce tu as un plus joli corps et un plus joli visage.

— On ne peut pas être excité par sa mère, mais par sa tante si ? me répondit-elle en rigolant.

-Non ce nest pas ça…enfin si…fin bref tu vois…, bredouillais-je honteusement.

-Mais oui je rigole !

-Aller à toi, action ou action ? fis-je, volontairement.

-Bon bah je nai pas trop le choix à priori, donc action !

-Embrasse ce qui tu préfères chez moi !

A ma plus grande surprise elle enleva ma veste, qui m’arrivait au dessus des cuisses, la jeta par terre, et embrassa mon sexe en érection, non d’un petit baiser furtif, mais elle le fit rentrer presque entièrement dans sa divine bouche, puis le fit ressortir, s’essuya gracieusement les lèvres et me dit le plus naturellement du monde :

-Voilà c’est fait ! Alors à toi, action ou vérité ?

-Vérité, dis-je sans réfléchir, encore troubler par ce qui vient de se passer

-Est-ce que tu es encore puceau ?

-Non, je le suis plus. Ça va, je m’attendais à pire comme question ! Alors, ma petite Laure, action ou vérité ?

-Soyons fous, action !

— Montre-moi ta position préférée

-D’accord, alors couche toi sur le dos ! Je vais enlever "ma veste", me dit-elle en souriant.

Je m’exécutais pendant qu’elle enlevait sa nuisette. A ma grande surprise, elle se plaça sur le ventre, sa tête vers mon sexe, et son vagin vers la mienne, nous étions le plus simplement du monde en 69. Je sentais son souffle sur mon sexe, qui comme depuis le début, était droit comme un i. Je voyais de très près son vagin, auquel j’avais furieusement envie de lancer des coups de langue mais je me retenais. Après 3 secondes de silence et d’immobilité, elle lança :

-C’est bon ?

-Oui bien sur, répondis-je encore troublé.

Alors qu’elle commençait à se retirer, elle embrassa furtivement le gland de mon sexe, et se remis sur le canapé.

-C’est que tu me fais bouger toi ! reprit-elle. Action ou vérité ?

-Action !

-J’ai bien transpiré, va me chercher une serviette dans la salle de bain.

Dommage je pensais, ça commençait à devenir extrêmement excitant et j’avais l’impression qu’elle faisait tout retomber d’un coup, mais ni une ni deux, je m’exécutait et allait chercher une serviette. A mon retour, alors que je lui tendais la serviette, elle me lança :

-Et tu crois que je vais m’essuyer toute seule ?

Incroyable, ma tante ne cessait de me surprendre, elle voulait que je l’essuie, toute nue, elle le voulait, et l’exigeait. Evidemment j’obéissais avec plaisir :

-Ah d’accord, je navais pas compris, bon bah lève toi s’il te plaît, lui dis-je en souriant, et très heureux de la demande.

Elle s’exécuta, elle était en face de moi, à seulement 20 cm, et je commençais par lui essuyer son visage. Cette manuvre lui cachait les yeux, et j’en profitais pour bien admirer ses formes, puis je lui demandais de se retourner pour lui essuyer le dos, je m’exécutais, et alors que je comptais arrêter au dos elle lança :

— Tu ne crois quand même pas que je vais me satisfaire de ça ? Allez essuie tout, commence pas à faire ton moine !

Je ne me fis pas prier et lui essuyais ses fesses, bien rebondies, puis ses jambes, elle se retournait et jenchaînais sur sa poitrine, je la touchais à travers la serviette. Dire que je n’en profitais pas serait faux, mais j’essayais de respecter ma tante le plus possible, et de ne rien lui imposer. Une fois ma tâche finie, je posais la serviette sur une chaise, et nous nous rasseyons sur le canapé. Je me lançai :

-On reprend ! Action ou vérité ?

-Vérité, sinon je vais être crevée !

-Je comprends, alors une petite question cool : combien de partenaires tu as eu ? Et est-ce que c’était bien avec le dernier ?

-Une question cool ? Une question horrible oui ! Mais bon c’est le jeu. Alors j’ai eu trois partenaires, et avec le dernier, c’était bien mais pas top, il nétait pas génial sexuellement parlant, et pour moi c’est très important. Mais me prend pas pour une salope hein, je l’ai jamais trompé, c’est juste que j’étaie insatisfaite. A toi, action ou vérité ?

-Hum, vérité !

-Dis moi combien de fois tu as fait l’amour, et raconte moi ta première fois !

-Alors je l’ai fait 6 fois, tout le temps avec la même fille, la dernière, et pour la première fois, c’était pendant les cours, on était à coté, et on se chauffait au fond de la classe à l’abri de tous les regards, on avait la main dans le sous vêtements de l’autre, et on était trop chaud pour continuer comme ça, du coup on a prétexté qu’elle était malade pour aller à l’infirmerie. On ny est jamais allé, et je lui ai fait sauvagement l’amour dans les toilettes !

-Ouah, c’était hyper chaud dis donc, et c’était quand ?

-Il y a 6 mois à peu près. A toi, action ou vérité ?

-Vérité

-D’accord, alors est-ce que tu te touches ? Et si oui tu vas sur des sites pornos ?

-C’est privé ça !

-Certes mais bon t’as demandé pire !

-C’est vrai !, me répondit-elle en rigolant. Bon alors tout d’abord oui je me touche, comme toutes les filles, et certaines fois devant un porno ! Je ne vais pas te mentir, c’est plus agréable devant un porno, donc dès que je peux.

-C’est fou, je pensais que les filles ne regardaient jamais de porno !

-Tu es bien innocent. A moi, action ou vérité ? Et ça sera surement mon dernier, je suis fatiguée ! Je peux me mettre sur tes genoux? , demanda-t-elle.

-Oui bien sur et action !

-Merci t’es un amour, me dit-elle avant de m’embrasser furtivement à quelques millimètres de ma bouche et de poser sa tête.

Ce baiser aussi rapide qu’agréable était surement insignifiant pour elle, mais je choisis de le prendre comme une attention.

-Alors action tu m’as dit…ah bah j’ai trouvé ! Rends toi utile et caresse moi le dos, j’adore les caresses !

Je m’exécutais avec le plus de douceur possible alors que sa tête se posait à seulement quelques centimètres de mon sexe en érection, et que ses yeux, fermés pour le moment, étaient en face de ce dernier. Sa poitrine était appuyée contre ma cuisse, et au fur et à mesure de mon travail manuel, je sentais ses tétons durcir. Je la caressais donc, sans pour autant perdre le fil :

-Alors action ou vérité ?

-Oh, je suis trop bien pour bouger, tes caresses sont très douces, donc vérité !

-D’accord, donc c’est la dernière si j’ai bien compris ?

-Oui si ça ne te dérange pas, me dit-elle en m’embrassant la cuisse.

-T’inquiète pas ! Mais avant je veux connaître ton plus grand fantasme ?

-La question que j’attendais…bah écoute, je ne veux pas paraître trop hard, mais j’aimerais bien être dominée ou dominante, pas d’une manière violente, donc pas de sadomasochisme, mais faire tout ce qu’on me dit, et vice versa ! Je nen ai jamais eu l’occasion, mes partenaires n’étaient jamais chauds.

-Original, mais je peux comprendre, bon bah moi je vais me coucher, finis-je.

Cette discussion m’avait renforcé dans l’avis que j’avais de ma tante : une belle femme qui n’avait pas l’air fermée du tout. Nous nous étions fortement rapproché en nous révélant les détails de nos vies sexuelles et les quelques contacts physiques m’avaient confortées dans mon bien être. Alors que nous nous étions séparés, tous les deux assis sur le canapé, ma tante me dit :

-Dis Bastien, ça te dit de dormir avec moi, j’ai un peu froid la nuit, et puis on pourra continuer de discuter tranquillement !

-Bonne idée, c’est vrai que les couvertures n’ont pas l’air d’être chaudes ! On se tiendra chaud.

-Exactement !

Ainsi ma tante se levait, et en passant devant moi, laissa traîner sa main sur mon torse, et m’embrassa dans le même temps. Déconcerté, je la regardais s’éloigner vers sa chambre, en voyant son fessier incroyablement attirant se balancer de droite à gauche, et arrivé devant sa chambre, elle se retourna, et, en me regardant, me fit signe de venir.

J’ai tout de suite senti que cette nuit allait être belle…

C’était donc la deuxième partie de "Une relation pas très catholique", la troisième est déjà en préparation, tandis que je continue dans le même temps d’autres histoires. A bientôt.

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