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Une semaine de soumise – Chapitre 3

Une semaine de soumise - Chapitre 3



Mercredi

Je me réveilles à 7H. Je n’entends pas de bruit. Jai bien dormi, j’étais fatiguée et j’avais besoin de récupérer. Je m’étires et regardes mon portable. Mon maître m’a laissé un message me donnant des indications pour la journée. Je lis attentivement le message. Mon maître est un pervers et c’est pour cela que je l’aime. Avec lui, je suis sure d’être agréablement surprise.

Je me lève, vais dans la salle de bain sans oublier mon portable. Je commence par faire bouger le plug doucement et l’enlève sans trop de difficulté. Je le lèche pour le nettoyer et le range dans ma trousse de chienne.

Après avoir fait mes besoins , je passe sous la douche. C’est à ce moment que luf se met en route doucement. C’est la façon de mon maître de me dire bonjour. En sortant de la douche, je lui envoie un message lui souhaitant une bonne journée.

Je retourne dans la chambre après mettre séchée et en laissant la porte grande ouverte. Je prends les deux élastiques qui ont un scratch dans ma trousse de chienne. Je commence par la cuisse gauche. Je mets l’élastique autour de ma cuisse en le passant dans les deux anneaux et le scratche. Je fais de même pour la cuisse droite. Ainsi posés, les élastiques ne peuvent pas bouger et les anneaux se retrouvent collés aux cuisses. Si j’écarte les cuisses, mon vide couille s’ouvre, quand je marche, je dois écarter légèrement les cuisses pour que mes grandes lèvres ne frottent pas l’une sur l’autre. C’est très dure à tenir. Pour les tétons, je dois mettre une scotch pour que mes anneaux soient collés à mes mamelles.

Une fois tout cela fait, je vais dans la cuisine. Corinne et Estelle sont entrain de papoter.

Quand Estelle me voit, elle a un sursaut et un regard interrogateur. Je leurs dis bonjour en les embrassant sur la bouche.

— C’est de la part de mon maître les filles, et, bien sur, comme vous me voyez, qui a pu avoir une idée pareil, d’après vous ?

— Ton maître dit Corinne

— Oui, il n’y a pas de danger que je l’oublie, il a toujours des idées diaboliques.

Corinne sourit et répondit. Oui, mais cela texcite, je suis sure que tu mouilles.

— Bien sur que je mouille , ma chérie, il est toujours entrain de m’exciter sans me faire jouir, C’est frustrant. Remarque quand je jouis à chaque fois c’est grandiose. Alors, c’est lui qui a raison et en plus j’adore être excitée. C’est comme être dans un état second. Bon, ce n’est pas cela, on déjeune dans le salon sur la petite table et cela ne se discute pas.

Nous emmenons rapidement tout ce qu’il faut dans le salon, je suis la seule nue, les deux autres ont des nuisettes qui ne cache pas grand chose. Estelle, une nuisette qui lui arrive au ras des fesses que Corinne lui a prêtée et Corinne une nuisette avec ds trous au bon endroit. Les deux tétons sortent et sont comme des invitations à être sucés.

— Vous avez des cernes sous les yeux toutes les deux.

Oui répond Corinne, Estelle sait y faire. Cela faisait bien longtemps que je ne m’étais fait aussi bien lécher. Il n’y a pas à dire, il n’y a que les filles pour ça. Les mecs sont trop nuls. Ils confondent clito avec levier de vitesse, ils voudraient qu’on soit au septième ciel avant d’avoir passer la première.

Je m’assoie par terre, jambes écartées. Estelle et Corinne ont une vue imprenable sur ma chatte ouverte. Je fais juste attention que luf ne sorte pas. Nous mangeons. Je sens que ma position excite les filles.

Je leur dis qu’elles ont juste le droit de regarder.

A leurs regards, je vois bien qu’elles auraient bien aimées faire autre chose mais les ordres sont les ordres.

Une fois le petit déjeuner fini. Estelle se prépare rapidement, son service commence bientôt. On s’embrasse et elle me donne une petite tape sur les fesses

— Le jour que ton maître a besoin d’une fesseuse, tu sais ou je travaille.

-Oui, je sais. Mais il faudra que les claques soient plus fortes que celle là.

Elle sourit et m’en donne une très forte, qui résonne bien. Comme celle là, par exemple.

D’un souffle,oui comme celle là, dis je

Elle tourne les talons et part.

Corinne sort de sa chambre.

— Elle est étonnante cette fille. Elle cache bien son jeu.

— Oui , répondis je, et elle sait dominer, cela se voit

— Tu as raison, bon il faut qu’on se prépare

Je vais dans la chambre, passe rapidement une robe qui m’arrive à mi cuisse.

Je me tourne devant la glace. Ma robe est assez large, peu décolletée si je laisse les boutons fermés. Elle est printanière. J’aime cette robe, Quand je l’a mets j’ai l’impression d’être en vacance.

Corinne aussi s’est mise en robe. Une robe assez longue mais qui s’ouvre devant. Elle est très élégante ainsi.

Au moment de partir, je prends Corinne par les épaules, la plaque doucement contre le mur me mets à genoux,enlève ses boutons, baisse son string et commence à l’embrasser. Corinne écarte les cuisses et me caresse les cheveux. Je sens son odeur, j ’aspire son clito, ma langue fouille sa chatte, mes mains agrippent ses fesses. J’insiste, je prends ses petites lèvres dans ma bouche , retourne au clito. Il est sorti. Avec le bout de ma langue je le titille. Sa cyprine coule, ses jambes tremblent légèrement. Et j’entends le feulement. Je continue à titiller le clito jusqu’à ce Corinne finisse de jouir.

Je me lève et lui roule une pelle. Je la regarde : De la part de mon maître, lui dis je.

Pendant qu’elle remonte son string, elle me dit de le remercier et que je suis la meilleure pour faire des cuni. J’acquiesce heureuse de ce compliment et Estelle peut aller se rhabiller.

Nous partons au travail. Le trajet se passe sans incident particulier si ce n’est un pelotage sans grand intérêt. Corinne me dit qu’elle a joui plusieurs fois et qu’elle a adoré notre soirée et encore plus le petit cadeau que je lui ai fait ce matin.

Au travail, luf s’arrête de vibrer. J’ai un peu de retard, il faut vraiment que je bosse. Je ne lève pas le nez de mes dossiers et ne vois pas le temps passé.

A midi, nous mangeons rapidement. L’après midi commence comme la matinée. Boulot

A 14H30, luf se mets à vibrer à vitesse forte. Je frissonne. Si mon maître le laisse comme cela, je vais avoir du mal à tenir. Il veut que je mouille, que je pense à lui. J’ai envie de lui crier. Bien sur maître que je pense à vous mais je vous en prie permettais moi de jouir, je n’en peux plus.

Me voilà de nouveau en train de mouiller. Je sers les cuisses et je me retiens de jouir. Je vous adore mon maître. Vous êtes un vicieux, un pervers et vous savez vous occuper de moi. .Moi, la jeune fille sage et sérieuse, je suis devenue une chienne en chaleur, votre chienne. Je me serais jamais doutée de cela quand je vous ai rencontré.

Je me souviens quand tout a commencé. Après la semaine chez Corinne, à cause du décès de ses parents, j’ai été au rendez vous à notre petit café habituel. Vous m’avez demandé si j’avais exécuté l’ordre que vous m’aviez donné. Devant ma réponse affirmative, vous avez souris et m’avez complimenté. Cela me faisait plaisir de vous sentir heureux. Vous m’avez demandé si j’avais aimé obéir. J’ai réfléchi avant de vous répondre et j’ai vous ai dit, que oui, j’avais aimé cela et j’ai ajouté que je trouvais cela excitant d’obéir.

Là, d’une voie posée, vous m’avez regardé droit dans les yeux et m’avez ordonné. Enlève ta culotte immédiatement. J’étais en jupe.

Il y avait un peu de monde dans le bar et enlever une culotte n’était pas simple. Je vous ai demandé si je pouvais aller au toilette. Vous me l’avez interdit. Il fallait le faire ici. J’ai hésité et puis j’ai passé la main sous ma robe le plus discrètement possible et est fait glisser ma culotte aà mes pieds. Je me suis baissée rapidement pour la ramasser. Jespérais que personne ne m’avait vu.

Instinctivement, j’ai serré les cuisses et ai passé ma main sur mon pubis par dessus la robe. J’étais excitée et je mouillais. Je m’apercevais que j’aimais être ainsi, à votre merci. Vous l’avez deviné et m’avez dit. Bien , je te laisse réfléchir. Mais si tu veux devenir ma soumise, tu m’appelles à mon bureau. Je te laisse jusqu’à demain soir 18H. Si tu m’appelles, tu devras me vouvoyer et dire cette phrase : Maître, votre chienne vous attends. Une dernière chose. Si tu acceptes, sache que c’est moi qui décide, toi tu obéiras quelques soit l’endroit et l’ordre. Je te laisse réfléchir.

En faite , j’ai réfléchi très vite. Quand je suis rentrée chez moi, j’étais tellement excitée que je

me suis caressée et j’ai joui aussitôt. Je repensais à ce que m’avez dit celui que jappelais encore Didier. Le lendemain matin, jappelais mon maître et lui dit : Maître, votre chienne vous attends. Voilà comment tout à commencé, et cela fait 30 ans que ça dure.

Luf s’arrêta. Avoir repenser à cela, n’avez pas arrangé mon état. Je mouillais énormément. J’avais envie d’être avec mon maître. Il me manquait.

Je rentrais du travail assez tôt. Arrivée à la maison, je me mettais nue, enlevais le scotch sur les anneaux de mes tétons et préparais le dîner et je faisais les taches ménagères.

A 19h30, je me mis dans lentrée. Le cul tournait vers la porte, à quatre patte, les jambes écartées. Mon maître, quand il rentrera, pourrait voir sa chienne disponible. Son vide couille bien ouvert, luf en place, les mamelles pendantes. Il saura que sa chienne est à sa disposition. Quand mon maître rentre d’une absence, je dois l’attendre ainsi à partir de 19H 30. Je ne dois pas bouger même si cela dure longtemps. Une fois j’ai attendu 3H comme cela. J’avais mal aux genoux.

J’essaie d’entendre si mon maître arrive mais hélas , je n’entends rien. Luf se remet à vibrer doucement , puis plus fort et enfin a son maximum. L’effet est immédiat, je mouille. La cyprine coule le long de mes petites lèvres et goutte par terre. Je n’en peux plus. J’ai envie de jouir. Je veux que mon maître me prenne. J’ai envie de le sentir en moi. Ce n’est quun sale pervers de me faire attendre comme cela. J’ai trop envie de lui, de sa queue, de sa force.

Enfin, la porte s’ouvre. Il arrête luf et l’enlève et je sens sa queue me prendre, me saillir comme la chienne que je suis. Et j’entends son ordre libérateur «Je t’ordonne de jouir.» Je me laisse aller, la jouissance monte en moi doucement,irrésistiblement, tout mon être tremble, je jouis. Je jouis de tout mon corps, de tout mes pores et je remercie mon maître de si bien me connaître.

Nous passons le reste de la soirée tous les deux comme deux amoureux , nous racontant nos deux jours. Je lui raconte par le menu la soirée chez Corinne et la petite phrase dEstelle juste avant de partir. Mon maître m’a dit que nous irons à ce restaurant. Rien que d’y penser, cela me fait mouiller, je suis sure qu’Estelle est une bonne fesseuse.

Nos nous couchons de bonne heure et exceptionnellement, je dors avec mon maître pelotonnée comme une petite chatte.

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