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Une terrible aventure – Chapitre 1

Une terrible aventure - Chapitre 1



Je m’appelle Virginie, j’ai 31 ans, je suis mariée depuis 7 ans et je suis maman d’une petite fille de 4 ans. Je mesure 1m69, je suis brune aux cheveux courts au carré et sans fausse modestie, je suis assez jolie, si j’en juge par les regards insistants qui suivent mon passage quand je marche dans la rue. J’ai en outre fait une (courte.) carrière de mannequin. Nous habitons Paris, et je connais mon mari (qui a 34 ans) depuis 13 ans et nous nous aimons passionnément. C’est le premier homme que j’ai connu et ça a été le bon. Bref, nous sommes un jeune couple heureux et sans histoires.

Mon mari est cadre dans un groupe international spécialisé dans la construction de sites industriels, il est promis à une carrière des plus brillantes. Il y a quelque temps, nous avons été invités à une soirée élégante par un de ses clients qui était sur le point de conclure un contrat de très grande ampleur avec mon mari. Si ce projet se réalisait, mon mari serait propulsé au conseil d’administration de l’entreprise… son désir le plus cher.

Pour cette soirée et pour faire honneur à mon mari, je décidais de m’habiller très élégamment. J’avais opté pour une robe noire en satin très moulante, arrivant sous le genou et fendue jusqu’au milieu de la cuisse et avec un décolleté en V très profond dans le dos, le devant étant un ras du cou que j’ornais d’un rang de perles. C’est dans toute ma garde-robe, la seule tenue vraiment sexy, même si j’ai horreur de ce mot. Le regard que me lança mon mari quand il me vit sortir de la chambre ainsi vêtue était empreint de tendresse et de reconnaissance. Il appréciait, je crois, que j’ai compris sans qu’il m’en parle que mon élégance, ma beauté et ma distinction (ce sont ses mots.) le rendraient plus fort pour mener à bien sa négociation. Je lui souris, heureuse de contribuer, ainsi, modestement à son succès. Et, en effet, ma tenue plût visiblement beaucoup au client de mon mari qui n’hésita pas à me complimenter plusieurs fois au cours de la soirée mais surtout à me jeter des regards furtifs qui en disaient long sur l’attrait que j’exerçais sur lui. Il est vrai que cette robe mettait vraiment en valeur mon corps, ma poitrine aux volumes sensuels, ma taille extrêmement fine, mes reins cambrés, la courbe de mes hanches et mes fesses bien rondes. Le tissu élastique était si moulant qu’il ne permettait pas le moindre sous-vêtement. Etre nue sous mes vêtements est vraiment très inhabituel pour moi. Cette robe de prix m’avait contraint bien malgré moi à le faire, non sans ressentir à chaque fois beaucoup de gêne.

Tout au long de la soirée, je fus l’objet de regards insistants des invités, certains n’hésitant pas à me frôler dans la cohue qui s’était formé près du buffet. Les femmes présentes étaient, elles, pour le moins distantes et leur regard dépourvu d’aménité à mon égard. Je commençais à regretter mon audace.

Mon mari et son client se retirèrent dans un salon pour discuter de leur projet. En parfaite épouse, je restais près de mon mari tandis qu’ils se mirent à discuter du projet. Je les écoutais attentivement, sagement assise dans le canapé à côté de mon mari.

Les regards que le client de mon mari jetait sur moi finirent par me mettre mal à l’aise. Le sentiment d’être déshabillée du regard conjugué au fait d’être nue sous ma robe accrut mon malaise, d’autant plus que la gêne eût sur moi un effet inattendu : Mes tétons se mirent à durcir et pointaient impudiquement sous le tissu tendu de ma robe. Ma honte fût à son comble quand cet homme par son regard insistant m’en fît prendre conscience. Ses yeux détaillaient mes seins moulés dans la robe, il pouvait les détailler pratiquement comme si j’avais été torse nu devant lui. Légèrement en poire et écartés sur les côtés, ils ne sont pas énormes, mais depuis ma grossesse, je porte des soutien-gorge 90 bonnet C. Le contour des aréoles, pas très larges était même perceptible. Je croisais mes bras devant ma poitrine, rouge de honte. Le client me regardait avec un étrange sourire aux lèvres. Nous le quittâmes peu après, pour mon plus grand soulagement. C’était la première fois que je sortais ainsi vêtue pour aider mon mari à conclure une affaire. Intérieurement, je lui en voulais un peu, tant la soirée avait été désagréable pour moi.

Quelques jours après cette soirée, mon mari devint de plus en plus nerveux. Il ne comprenait pas pourquoi son client ne voulait plus signer dans l’immédiat. Il se posait beaucoup de questions et devenait invivable tant ce projet lui tenait à cour. Le stress commençait à le ronger.

2 semaines plus tard, le téléphone sonna en pleine journée. C’était le client de mon mari qui désirait me parler en privé et ce, à l’insu de mon mari. Il me donna rendez-vous dans un hôtel car il était de passage à paris. Il me dit que c’était très important et que cela concernait directement mon mari. J’hésitais longuement à y aller sans en parler à mon mari. Finalement, je me suis résignée et je me suis rendue à l’hôtel Bristol juste après avoir conduit ma fille à l’école. Je portais un pantalon de Jersey beige et un pull en mohair blanc avec des mocassins à talons plats.

Il m’a accueillie dans le salon de sa suite et avisant ma tenue, il eût une petite moue peu engageante. Interloquée par cette mimique incroyable et si incorrecte, je le suivis néanmoins jusqu’au salon de la suite et là, avant même que je n’ai eu le temps de lui demander le pourquoi de ce rendez-vous, il m’a dit qu’il était prêt à signer le contrat mais uniquement si, en échange, j’acceptais de coucher avec lui. Offusquée, je l’ai giflé sans aucune retenue, et sans ajouter un mot, j’ai tourné les talons et je suis rentré chez moi. Le soir même, mon mari est rentré à la maison dans un état épouvantable en m’annonçant que le projet ne se réaliserait pas. C’est là que j’ai compris que le gars ne bluffait pas. Je me suis sentie responsable de cet échec et, inexplicablement, j’avais honte de mon comportement, honte d’avoir ruiné les projets de mon mari. Lui se sacrifiait souvent pour nous, et là, je refusais d’en faire de même. Toute la nuit, je retournais dans ma tête ce cruel dilemme : J’avais le pouvoir de sauver le projet de mon époux. Le lendemain, en prenant mon courage à deux mains, afin de sauver la situation de mon mari, j’ai décidé de contacter le client, la mort dans l’âme. Je lui ai demandé d’une voix blanche s’il pouvait revenir sur sa décision si j’acceptais sa proposition. J’entendis un bref rire, puis il me demanda de le rejoindre dans sa suite immédiatement. J’allais raccrocher quand il ajouta :

— Tâchez d’être plus sexy qu’hier. Mettez une jupe et des bas. et mettez des escarpins à talons. j’aime les longues jambes et les jolies cambrures. Il raccrocha.

En proie à des vertiges, je me rendis dans ma chambre telle une automate. Là je choisis un tailleur bleu foncé avec une jupe plissée au dessus du genou, un chemisier blanc en satin, je revêtais des bas fumés auto-fixants, les seuls que je possède, une culotte brésilienne, dont le reflet dans la glace me fît d’avance regretter d’offrir à cet individu le spectacle de mes rondeurs si complaisamment dévoilées et mises en valeur, un soutien-gorge à balconnets qui rehaussait mes seins (dont la tenue naturelle, malgré leur volume, n’avait nul besoin), le tout de couleur Parme. Je complétais ma tenue avec mes escarpins bleu foncé. Incapable de conduire, je pris un taxi pour me rendre jusqu’à l’hôtel. Je subissais le regard interrogatif et intéressé du chauffeur, certainement intrigué par cette jeune et jolie jeune femme mariée qui tremblait convulsivement et qui essuyait sans cesse ses jolis yeux qui s’emplissaient de larmes. Quand je le payais, arrivés devant le hall de l’hôtel, je vis son regard légèrement amusé aller de mon visage défait à ma main ornée d’une alliance. Submergée de honte par ce qu’il devait penser, je quittais précipitamment la voiture pour m’engouffrer dans le hall de l’hôtel. je croisais le regard de quelques passants, étonnés de voir une jolie jeune femme avec les jambes gainées de Nylon sombre en plein mois de Juin, alors que mon visage et mes bras resplendissaient du hâle de mes premiers bains de soleil printaniers Je connaissais le numéro de la suite et l’étage, aussi, m’épargnais-je l’humiliation d’un passage par le concierge de l’hôtel, et pris directement l’ascenseur. Arrivée devant la porte de sa chambre, les jambes flageolantes, je frappais d’une main mal assurée. Il m’ouvrit, après un long moment, comme pour me montrer que j’étais assujettie à son bon vouloir.

Il me toisa un long moment dans l’encadrement de la porte, me détaillant des pieds à la tête, s’attardant sur le décolleté de ma veste, sur mes jambes gainées de Nylon sombre puis sur mes pieds cambrés par les escarpins à hauts talons. Il me fît signe d’entrer, s’effaça et me désigna le salon ou il m’avait accueillie la veille. Là, il s’est assis dans le fauteuil, me laissant debout devant lui, mes jambes tremblaient. Nous restâmes comme ça un long moment. Je restais immobile, subissant son regard évaluateur, le rouge au joues. Puis, après un moment qui me parût interminable, j’entendis pour la première fois sa voix, empreinte d’une extrême courtoisie :

— Tournez-vous, je vous prie. que je voie votre dos.

Lentement, tétanisée par l’étrangeté de la situation, je me tournais de façon à lui présenter le côté postérieur de mon anatomie. Il ajouta :

— Otez votre veste. elle cache ce que je veux voir.

Tremblant plus que jamais, j’ôtais ma veste et regardant autour de moi je cherchais ou la poser. Il devina ma préoccupation et dit tranquillement :

— Posez la sur le tapis. à côté de vous. et remettez vous dos à moi. en vous tenant bien droite.

Le silence qui suivit fût un interminable calvaire, je sentais son regard qui devait jauger ma chute de reins, la rondeur de mes fesses. J’avais l’impression de sentir physiquement son regard sur mon corps, comme s’il me touchait. Puis, sa voix retentit à nouveau :

— La marque de votre culotte est parfaitement visible pour un oil exercé. jolie forme qui dévoile sans doute bien les fesses.. mais dont la marque sur la jupe est assez disgracieuse. Une prochaine fois. essayez de sortir nue sous votre jupe. vous en tirerez peut-être une agréable sensation. en tout cas. votre mari. ou celui qui sera avec vous, aimera sûrement.

J’avais envie de lui hurler que seul mon mari avait le droit de me toucher, mais je n’eus pas le temps. D’une voix calme, il dit :

— Otez votre chemisier, je vous prie.

Toujours de dos par rapport à lui, je crus défaillir en entendant ces mots. Je restais tétanisée. Le silence avait envahit la pièce. Je poussais un profond soupir, et maladroitement je me mis à défaire les boutons des manches de mon chemisier, puis je dus m’y reprendre à plusieurs fois pour défaire le premier bouton tant mes mains tremblaient. Ma vue se brouillait, j’étais prise de vertige mais je défis enfin le dernier bouton. Je sursautais et je poussais un petit cri quand je sentis deux mains se poser sur le col de mon chemisier. Dans mon désarroi, je ne l’avais pas entendu se lever et se placer derrière moi.Il fît glisser le chemisier sur mes épaules et le fît glisser, le posant près de ma veste. Il caressa de la paume la rondeur de mes épaules avant d’effleurer mes omoplates. Son majeur se posa à la base de ma nuque, juste sous le carré de mes cheveux et descendit le long de ma colonne vertébrale, jusqu’à la ceinture de ma jupe. Je m’étais raidie sous le contact et je tremblais à présent comme une feuille. Sa voix brisa à nouveau le silence :

— Tournez-vous, je vous prie.

Toujours ce ton suave, cette courtoisie ferme. Je me tournais en fermant les yeux, prête à défaillir. Je sentis un de ses doigts se glisser entre la lisière du bonnet et la chair de mon sein gauche, tout près de mon bras qui restait ballant le long du corps.

Le doigt progressa lentement vers le fond du bonnet puis progressa vers le centre de mon buste. Son geste eût pour effet de soulever mon sein et de le faire passer au dessus du balconnet, sur lequel il reposa. Il renouvela l’opération sur l’autre sein, d’un geste froid, un peu comme on dégage un escargot de sa coquille. sans la moindre sensualité.Mes seins reposaient sur les bonnets affaissés. rehaussés. offerts. Leur forme naturelle en poire était accentuée par cette exposition si peu naturelle. Il effleura du bout de son majeur mes tétons et s’amusa à suivre les contour des aréoles minces et roses. Comme l’autre soir, la panique et la honte firent darder mes tétons. Je perçus entre mes yeux mi-clos un sourire dédaigneux. Les larmes coulaient sur mes joues. Sans s’en préoccuper, il dit simplement :

— Dégrafez votre soutien-gorge et posez le sur votre veste et votre chemisier. je veux voir la tenue naturelle de vos seins.

Réprimant des hoquets de panique, je pliais mes bras dans mon dos pour défaire l’attache. Mes tremblements m’obligèrent à m’y reprendre à deux fois avant que le soutien-gorge ne glisse le long de mon corps. Je le lâchais, en poussant un soupir haletant qui fît doucement bouger mes seins désormais totalement libres.Il approcha alors sa main en coupelle sous mon sein droit, et le fît rebondir ainsi durant un moment qui me parût interminable, à un tel point que mon sein commença à être douloureux. Il dit alors :

— C’est bien. les globes sont fermes mais souples. C’est bien. Ils s’échauffent rapidement quand vous êtes émue. comme l’autre soir. voyons leur élasticité. ajouta-t-il, parlant plus pour lui même qu’il ne s’adressait à moi.

Mes tétons, effectivement, pointaient sur les aréoles elles aussi gonflées par la manipulation que je venais de subir. Il saisit délicatement un téton entre son pouce et son index et étira le globe vers le haut, me forçant à me dresser sur la pointe des pieds, en grimaçant. Alors, sans se départir de son sourire, il posa sa main sur mon épaule me forçant à reposer mes talons au sol. Mon sein fût alors distendu à l’extrême, irradiant mon buste de douleur. Il relâcha alors le téton brusquement et le sein reprît sa position naturelle en ballottant quelques instants. Je fondis alors en sanglots convulsifs, tant en raison de la douleur qu’à cause de l’humiliation que me causait cet homme qui jouait si froidement avec mon corps qu’il l’aurait fait d’un vulgaire porte-clés. Ignorant mes pleurs, il dit laconiquement :

— C’est parfait, vos seins sont très élastiques. c’est important de savoir qu’on peut malmener les seins de la femme qu’on possède. cela fait partie du plaisir qu’on prend à utiliser son corps.. Approchez vous dit-il en attirant le fauteuil et s’asseyant au bord de celui-ci.Je m’approchais d’un seul pas, sanglotant et reniflant convulsivement, agitée de hoquets qui faisaient bouger mes seins sur mon buste déjà recouvert d’une sueur d’angoisse.

Il détaillait mon buste en silence, semblant apprécier ma respiration saccadée qui faisant bouger mes seins. Je bredouillais, complètement perdue :

— Je vous en supplie. Laissez-moi. Laissez-moi partir. Je vous en prie.

Exactement comme il l’aurait fait s’il ne m’avait pas entendu, il défit d’un geste précis le bouton de la ceinture de ma jupe qui tomba à mes pieds. Sans me laisser un instant de répit, il posa ses mains sur mes hanches et me fît pivoter dos à lui. Insensible à mes suppliques, il posa une main sur mon épaule et l’autre au creux de mes reins, me forçant ainsi à basculer mon bassin vers ’avant dans une cambrure que je devinais impudique.

Je sentais ses mains effleurer le côté externe de mes cuisses, puis suivre le contour de mon slip brésilien qui laissait à nu la moitié de mes fesses. Son doigt se glissa ensuite sous l’élastique du slip et il repoussa le satin jusqu’à l’entre-fesses et renouvela l’opération sur l’autre fesse de façon à dégager complètement les globes fessiers. Tandis que je continuais à le supplier de me laisser, je l’entendis murmurer :

— Fesses splendides. globes harmonieux.. Ses doigts palpaient à présent mes globes fessiers comme s’il voulait y imprimer la marque de sa main.

— Texture ferme. Vous avez un corps fait pour le plaisir des hommes. pas pour celui d’un seul homme…

Ne pouvant supporter ces mots, je secouais la tête de droite à gauche et poussais une longue plainte de désespoir. Je n’eus pas le temps de réagir quand il empoigna l’élastique du slip placé haut de chaque côté de mes hanches. Il le baissa d’un geste jusqu’à mes chevilles. Et de son ton imperturbable, insensible à ma détresse, il ajouta :

— Enjambez votre jupe et votre slip. il ne vous seront d’aucune utilité pendant un moment. Tapotant d’un revers de main négligeant, il me fît enjamber le tas informe que composait ma jupe et mon slip.

J’étais là, nue, portant uniquement mes bas et mes escarpins. Je sanglotais plus que jamais, le suppliant d’arrêter, en proie au plus profond désespoir. Imperturbable, il s’est levé et a ouvert la fermeture de son pantalon, puis, il s’est approché de moi. Me fixant dans les yeux avec une telle fermeté, que je ne pus soutenir son regard, il me demanda de me mettre à genoux. Tétanisée, incapable du moindre geste, je sentis sa main se poser sur mon épaule, et sous la pression, je fléchis les jambes, pour tomber sur les genoux. Je me suis retrouvée le visage à quelques centimètres de sa ceinture. Là, il a ostensiblement sorti son sexe à demi rigide et le tenant entre son pouce et son index, il l’a décalotté et a commencé à le balader sur mes lèvres. Toujours agitée de sanglots, mes joues littéralement baignées de larmes, je serrais mes mâchoires avec l’énergie du désespoir et je fermais les yeux, mon dernier rempart contre cette odieuse réalité. Je gardais néanmoins dans mon esprit la vision de son membre. C’était la première fois que je voyais un autre sexe que celui de mon mari. Court mais très épais, il était surtout dotée d’un gland très volumineux, d’un rouge très foncé. Maintenant entre ses doigts ce gland contre mes lèvres, il posa sa main sur ma nuque, fermement. Je l’entendis murmurer :

— Ouvrez la bouche, je vous prie. ne me rendez pas les choses plus difficiles.

J’entrouvris les lèvres sous la pression conjuguée de son gland et de sa main sur ma nuque et son sexe s’insinua dans l’étroit passage. D’un coup de reins puissant il fit entrer sa verge le long de ma langue et bientôt, il envahit ma bouche. Sa queue est rapidement devenue très grosse, butant contre mon palais. Entamant alors un lent va et vient dans ma bouche, je fus contrainte de subir cette pénétration, les larmes coulant sur mes joues, je gémissais, je suffoquais sous l’assaut brutal. Ses mouvements dans ma bouche prenaient de l’ampleur, il se servait de ma bouche comme d’un sexe. Il allait presque à chaque fois buter au fond de ma gorge, m’arrachant des haut-le-cour. Pour éviter de suffoquer, je fus obligée de poser mes mains contre son ventre pour limiter ses mouvements, et pour reprendre ma respiration, je modulais la pression de mes lèvres le long de sa verge. Tout à coup, il éjacula en me maintenant la tête contre son ventre, son gland au fond de ma gorge. J’ai senti un flot de sperme envahir mon palais et couler dans ma gorge. Une semence épaisse et salée, si différente du sperme de mon mari, le seul que j’ai goûté à ce jour. et encore, très rarement et accidentellement, tant je déteste ça. Là j’ai dû en avaler une bonne partie et il me demanda de continuer à le sucer pour la rendre rigide à nouveau. Comme un pantin désarticulé, je le laissais guider mon visage pour faire glisser sa queue toute molle remplie de sperme dans ma bouche inerte et entrouverte, il prenait plaisir à plaquer mon visage contre son bas-ventre pénétrant ma cavité buccale de toute l’ampleur de sa verge. Puis, il me repoussa légèrement, me maintenant néanmoins le visage près de son bas-ventre, et là, reprenant sa verge flasque entre deux doigts, il la promena contre mes lèvres, mes joues, mon menton et mon nez, les maculant sciemment d’un mélange de sperme et de salive.

Les yeux fermés, je sanglotais toujours convulsivement, mes larmes entraînant dans leur flot les traces de sperme, laissant mon visage ravagé, mon Rimmel n’ayant pas résisté à mes pleurs.Visiblement, cette humiliation lui plaisait, sa verge reprenait rapidement vigueur.Dès qu’il eût une nouvelle érection, il se leva et me prenant aux épaules, me fît relever et me poussa pour me mettre à genoux sur le fauteuil et, appuyant fermement sa main en haut de mon dos pour me faire courber en avant, les seins écrasés sur le dossier. Il posa ses genoux entre mes jambes, me fît fermement écarter les genoux et je sentis son gland, toujours guidé par ses deux doigts, se frayer un chemin entre mes grandes lèvres closes. Il me pénétra violemment sans fioritures. Je poussais un véritable hurlement tant la brûlure que je ressentis était vive. Il était d’une vigueur exceptionnelle et je sentais son gland écarter les parois de mon vagin. Il me tenait aux hanches et m’assénait de grands et violents va-et-vient qui m’arrachaient à chaque fois un cri de douleur masqué par ses ahanements de bûcheron. Au bout de quelques minutes de ce traitement, la douleur s’estompa, et littéralement horrifiée, je me suis rendue compte que mon vagin s’était lubrifié, comme si mon corps acceptait ce que tout mon esprit refusait avec la dernière énergie. Abattue, je posais ma tête contre le dossier du fauteuil, entre mes bras. Tout en me baisant, il disait que je n’étais qu’une putain prête à faire n’importe quoi pour son mari. Il avait en partie raison. J’en pleurais de honte, subissant avec des tressaillements de tout mon corps les coups qu’il assénait à mes muqueuses vaginales, essayant de maintenir mon équilibre en m’agrippant au dossier du fauteuil. .

Il malmena mon vagin pendant un interminable moment. Il me tenait par la taille. La finesse de celle-ci est telle que ses doigts en faisaient presque le tour. Parfois une main s’égarait le long de ma hanche, en soulignant la courbe, puis revenait sur le globe fessier qu’elle enveloppait, palpant la texture ferme de la chair avec brutalité. Ses doigts progressèrent soudain vers le centre de mes fesses, s’insinuant dans la raie serrée qui séparaient mes deux globes fessiers. Son majeur suivait le fond du sillon velouté. Je tressaillis quand je sentis le doigt toucher mon oeillet anal. Il appuya sur les contours de l’anus, comme pour en éprouver l’élasticité. Je tentais de me dégager, mais me plaquant d’une main contre le dossier du fauteuil, son sexe profondément fiché dans mon vagin, Il m’immobilisa. Il préleva un peu de cyprine à l’entrée de mon sexe et la déposa consciencieusement sur l’anneau serré. Je le suppliais en sanglotant. Ignorant ma détresse, il appuya l’extrémité de son index contre le muscle. Le fragile orifice céda, et je sentis la première puis la deuxième phalange investir mon intimité la plus secrète. Il bougeait son doigt dans mon anus en écartant le plus possible le sphincter pour l’assouplir. J’avais très mal, je gémissais, sanglotais, inerte. Il comprît alors que j’étais vierge de ce côté là et que je n’avais jamais pratiqué la sodomie avec mon mari. Son doigt palpait la paroi de ma gaine anale. Il murmura :

— Je vais forcer vos reins. votre souffrance et l’offrande de votre virginité anale vont m’obliger à signer avec votre infortuné mari. Je lui dois bien cette compensation. Vous allez être délicieuse. J’en suis sûr.

Ignorant mes sanglots de désespoir et mes dénégations véhémentes, secouant la tête en tous sens. mes cheveux collés par la sueur s’emmêlaient devant mes yeux, il caressait ma croupe d’une main enveloppante et évaluatrice. Il dégagea son sexe de mon vagin et j’ai senti le gland brûlant se glisser dans le sillon de mes fesses. Il posa le gland contre mon oeillet anal. Il le guidait d’une main et poussait inexorablement. Je sentis, horrifiée, le souffle coupé, le sphincter jouer et s’ouvrir pour laisser le gland écarter l’anneau pour entamer sa progression. Je sentais le gland progresser le long de l’oillet, millimètre par millimètre, forçant inexorablement mon anus. Je ne voulais pas, le suppliais d’arrêter, mais chaque mot prononcé faisait se contracter mon muscle anal autour du gland qui le distendait, faisant monter de mes entrailles une brûlure insoutenable. Mon souffle se bloquait dans ma gorge, j’étouffais. Mais rien ne l’arrêtait. Son gland avait franchi l’oillet et la douleur s’est faite moins vive. Je soufflais comme durant mon accouchement afin de détendre mes sphincters au maximum. Je sentais le pieu de chair repousser les parois de ma gaine anale, la distendant à l’extrême, jusqu’à ce que je sente son gland buter au fond de ma matrice, son ventre était plaqué contre mes fesses. Sans me laisser un instant de répit, il m’a sodomisé sans aucune douceur. La douleur était très vive, j’avais des nausées et avais envie de vomir. Il a longuement forcé mes reins en prenant bien soins de se retirer presque complètement avant de donner un nouveau coup de rein qui me déchirait. La violence de ses coups de butoir était telle que j’étais à chaque fois projetée contre le dossier du fauteuil, mes seins ballottaient en tous sens. Chaque coup était rythmé du claquement que son bas-ventre produisait contre mes fesses qui tressautaient. Il prenait soin de faire ressortir son gland de l’anneau me laissant pantelante un instant avant de me labourer à nouveau les reins. Je sentais mes sphincters anéantis, mon anus restait béant sans se refermer même lorsqu’il le libérait complètement. La douleur m’irradiait, me laissant inerte.

Lorsqu’il fût sur le point d’éjaculer, il se retira complètement, dans un bruit de succion obscène, il me retourna sur le dos comme une poupée de chiffon, l tête relevée par le bas du dossier. Il m’enjamba et s’assit littéralement sur mes seins et soutenant ma nuque de sa main, mît sa queue dans ma bouche, elle était congestionnée et maculée de tâches de sang provenant de la déchirure qu’il avait fait subir à mes reins. Il éjacula dans ma bouche. Pour la deuxième fois de la soirée, je reçus son sperme épais dans la gorge, mais cette fois, le premier jet passé, il se retira, tenant son sexe à la main. Il le dirigea vers mon visage et je reçus plusieurs jets abondants sur les joues et le menton. Sa jouissance fût interminable. Le sperme recouvrait mon visage, me brûlant les yeux. Il se releva et se rajusta. Il me regardait en souriant. Affalée sur le fauteuil, inerte, les jambes écartées, juste vêtue de mes bas et de mes escarpins, la vulve impudiquement exposée, mes grandes lèvres comme les petites étaient écarlates tant l’irritation avait abîmé la muqueuse. Je sanglotais, le visage maculé de sperme, mes yeux cachés sous mes cheveux en bataille collés sur mon front par la sueur. Il me tendit sa pochette qu’il venait de retirer de la poche de sa veste. Craintive, je n’osais pas prendre le morceau d’étoffe qu’il me tendait. Il dit :

— Vous allez essuyer votre visage. Vous rhabiller et partir. J’en ai fini avec vous. Vous avez trois orifices délicieux. j’espère avoir à nouveau l’occasion de les utiliser. Peut-être à l’occasion de la signature d’un autre contrat. Je me levais péniblement, une terrible douleur montait de mes reins pantelants, je remis mon chemisier en reniflant, et j’allais remettre mon slip lorsqu’il me dit :

— Laissez votre slip, le contrat que je vais signer permettra à votre mari de vous en payer d’autres. Sauf s’il comprend un jour qu’une femme telle que vous ne doit jamais porter de dessous. des reins comme les vôtres doivent rester constamment accessibles.

Le feu aux joues, sanglotant nerveusement comme une gamine punie, je renfilais ma jupe sur mes fesses nues et pris ma veste en filant vers la porte sans un regard pour lui. Je sortis de l’hôtel comme une flèche, bousculant une vieille touriste américaine en sortant de l’ascenseur. Je marchais de longues minutes pour reprendre mon souffle et mes esprits. Chaque pas faisait monter de mes reins une douleur terrible, comme si le sexe de cet homme était toujours fiché au creux de mes reins et continuait à me déchirer. L’air qui s’insinuait sous ma jupe, entre mes fesses nues et le long de ma vulve encore entrouverte apaisait à peine ma douleur. Au bout d’un long moment, je me décidais à arrêter un taxi. Je m’engouffrais à l’arrière, pelotonnée le long de la portière, je donnais mon adresse au chauffeur d’une voix cassée et enrouée. Son sexe n’avait décidément rien épargné, ma gorge comme mes reins et mon sexe allait longtemps rappeler à ma mémoire les outrages que j’avais subi. Arrivée chez moi, je téléphonais à ma mère, lui demandant d’aller chercher ma fille à l’école et de la garder pour la nuit, prétextant une migraine terrible. Je laissais sur la table de la cuisine un mot à l’intention de mon mari m’excusant pour la même raison de ne pas l’attendre. je me dévêtais en hâte et courait dans la salle de bains. Je pris une longue douche pour me laver de tout ce que j’avais subi. Au souvenir de certains passages, je fus prise de nausées et j’eus juste le temps de courir aux toilettes pour vomir. J’enfilais un pyjama de coton et me glissais dans les draps. Je n’entendis même pas mon mari rentrer.

Il a signé son contrat le surlendemain et n’a jamais su pourquoi son client était revenu sur sa décision… Mais mon esprit n’est plus jamais tranquille et cette aventure me hante toujours. Cela fait six mois. J’ai peur.

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