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Vacances naturistes, ma femme se libère. – Chapitre 2

Vacances naturistes, ma femme se libère. - Chapitre 2



Il est évident que ma belle est absolument envahie de désir, son visage rubéfié, ses lèvres gonflées, ses seins pointés. Je suis pris d’une envie perverse de voir ce qu’elle serait capable de faire .

Notre voisin est nage maintenant vers le large. On voit sa tête s’éloigner.

— Il lui fallait un bon rafraichissement, voilà, c’est fait.

— Quel dommage, dit Annie, et elle rit encore. Ses seins sont érigés comme quand je la baise, elle suit toujours le nageur du regard.

— Dans ce cas : ose te mettre nue, il te verra au retour.

— Je ne crois pas !

— Crois pas quoi ?

— Que je puisse

— Que tu puisses ? Pourquoi ? C’est une plage naturiste, regarde, je suis bien comme ça, en lui montrant ma queue toujours dressée.

— Je n’ose pas.

— C’est les vacances et tu en a envie ton maillot est tout humide …

— oh!

— Ce n’est qu’un jeu de séduction tu sais

— oh!

L’homme qui s’était éloigné au large revient vers le bord. On a pied très loin, on voit bien qu’il a débandé. Tandis qu’il se rapproche de nouveau de nous ma femme nerveuse se fige.

— Enlève donc ton bas. On verra s’il rebande.

— Non, non !

— Prends ça comme un jeu c’est les vacances !

— Oh mon dieu, un jeu ! Dit-elle, quel jeu! Tu serais trop jaloux de toute façon !

— Pas du tout, je m’amuse comme un fou !

L’homme se rapproche. Elle est figée.

— Vas-y, fais-le dis-je sans trop y croire.

Alors qu’il est en train d’atteindre le rivage à 5 mètres elle se lève et le fixe dans les yeux. Souplement elle se penche et fait glisser son slip de bain lentement sur ses hanches en le dévisageant. Il s’est arrêté, nul ne dit mot, Annie termine son geste, penchée très bas devant lui maintenant à deux mètres elle retire le slip de ses chevilles et redressée, ainsi bras ballants, demeure culotte en main devant le séducteur, sa chatte lisse, blanche comme la neige exposée aux yeux d’un autre homme que son mari. Silencieux et souriant, il retrouve par saccades, une érection somptueuse, puis reprend sa marche passant près au point de la frôler. Elle se tourne pour le regarder jusqu’à sa serviette. Il se sèche soigneusement insistant sur l’entre jambe érigé. Toujours fixant mon épouse, il jette négligemment sa serviette, fait un signe de tête vers le haut de la plage, nous tourne le dos et se dirige vers la dune.

Ne sachant que faire, elle est debout le slip à la main, le contemplant s’éloigner. Comme elle ne bouge pas, je lui dis :

Il va t’attendre, et si tu ne viens pas il va se masturber en pensant à toi

— Que quoi ?

Elle est là bouche ouverte ne sachant que penser, que comprendre, que décider.

— Je crois qu’il t’invite.

Elle souffle fort sans répondre

— A le rejoindre sur la dune

— Oh mon dieu ! Tu parlais d’un jeu de séduction ! C’est gagné dit-elle rêveuse …

Je comprends que si je n’étais pas là elle irait.

— Tu le rejoindrais si tu était seule? Lui dis-je

— Je, je ne sais pas… C ’est, c’est

— Exceptionnel ?

— Oui, je, ah mon dieu !

Je la trouve splendide avec son corps au désir affiché, ses lèvres gonflées, ses tétons en relief, jambes flageolantes, et soudain, je désire qu’elle ait ce moment avec lui ; je rêve de les voir s’étreindre et impulsivement :

— Vas-y, ma chérie, je t’aimes, tu es libre

— Je ne crois pas non je ne peux pas

Je me serre contre elle, ma verge bandée contre sa cuisse, je l’embrasse à pleine bouche.

— Bien sûr que tu peux ; tu ne vas pas laisser s’enfuir ce moment exceptionnel. Lui, contre-toi, ce corps, il te veut … quel instant, quel souvenir ! Tu me diras tout, tout !

Elle chavire, souffle fort, prend sa respiration en me dévisageant les yeux troubles, je sens qu’elle pense à lui avec intensité, à sa force, sa virilité dressée puis très troublée, un peu chancelante, elle se détache de moi, toujours scrutant mon expression, se dirige vers la dune. Ca y est. Ca y est ! Elle m’oublie, toute à son désir. Ma femme s’en va se faire baiser, baiser ! Nue elle escalade la pente, joyeuse, en courant presque, ses jambes agiles, ses fesses menues, l’emportent vers le mâle qui l’attend, le dard qui va la percer. Annie, Annie, pensais-je d’un coup, que va-t-il nous arriver ? La folie de l’instant me submerge.

Elle passe maintenant le haut de la dune et disparait à mes yeux.

Le cur battant, je la poursuis, cherchant sa silhouette dans les joncs. Je ne la vois pas. Heureusement ses petits pas sont imprimés dans le sable. Je descends une petite pente puis remonte l’autre côté. Ils sont là, dans un creux herbu, debout face à face se regardant en souriant silencieusement.

— Je t’attendais dit-il. Je savais que tu viendrais.

— Oui , moi aussi je voulais ça!

L’homme avance une main, saisit son épaule et l’attire à lui comme une proie. Leurs lèvres se rencontrent, lentement puis fébrilement, les langues pénètrent les bouches, se croisent. Son autre main saisit un sein fermement et le pince lui tirant un cri. Elle est entièrement dans ses bras, menue sous sa carrure. Il bande très fort et sa queue est contre le ventre de mon épouse qui envoie son bassin à sa rencontre.

Je vais te baiser fort.

Elle appuie son front sur sa poitrine et gémit. Il abandonne le sein pour lui placer deux doigts dans la fente, lui tirant un grand soupir : oh mon dieu ! Il agite sa main en elle, elle se met à couiner au rythme de sa caresse. Un instant s’écoule marqué par les cris de plaisir de ma femme. Elle est extatique, il joue avec elle comme d’un instrument, lui tirant des sons indiscrets, de plus en plus fort. Enfin comme elle jouit dans un grand cri, il retire ses doigts et lui dit : agenouille-toi. Elle le fait et il lui présente sa queue énorme, elle regarde comme un jouet l’engin impressionnant et le prend en main. Ses deux mains ont peine à l’entourer. Suce-dit-il.

Elle obéit enchantée, déformant la machoire pour capter le gland puis en avaler autant qu’elle peut. Elle fait quelques mouvement de langue sur la verge puis se met à l’aspirer comme si sa vie en dépendait, comme si c’était la meilleure glace du monde. Pendant ce temps elle presse et caresse les couilles de son amant qui ferme yeux appréciant.

Lui soudain : tourne-toi !

Elle lui tourne maintenant le dos, la joue posée sur sa main : prends-moi, prends-moi supplie-t-elle!

Il se penche et glisse sa bouche entre ses fesses, elle pousse un cri de plus. Il passe sa langue en grands aller-et retours sur sa chatte et son anus, Annie couine sans arrêt de bonheur… Les globes écartés de ses fesses laissent passer un langue inquisitrice qui explore l’anatomie de ma chérie. Je vois le sexe bandé qui attend sa minute. Le moment venu, il la prend à pleine mains par les hanches et l’attire sur son pieu avec un mouvement du pelvis et s’enfourne en elle d’un seul coup. Elle hurle, tandis qu’il la tient et se met à la besogner , lentement d’abord puis avec frénésie.

Il est endurant et envoie son corps musculeux à la rencontre des reins de ma femme qui n’est plus que l’objet de son caprice. J’ai changé de place, à peine à 5 mètres je vois bien son mandrin parcourir les chairs intimes de ma douce. Ses gémissements ont alerté du monde et je distingue de l’autre côté du couple enlacé, des visages qui le matent. Je les comprends, c’est un régal à voir, il lui lui en met un sacré paquet, et malgré mon trouble, je me branle et soupçonne que d’autres en font autant. Un homme d’âge moyen s’approche pour mieux voir en se tripotant. L’amant d’Annie ne se démonte pas et continue de l’enconner avec ferveur. De près, je vois avec sidération son petit con accepter l’engin de son baiseur, ses chairs fragiles s’écartent pour laisser glisser le mandrin qui la pilone. Un autre puis trois ou quatre font un cercle qui me cache la vue. Je me rapproche encore restant légèrement derrière. Ils encouragent l’action par des murmures approbateurs. L’amant fait claquer son pubis contre le petit cul de ma femme lui donne un grand coup de boutoir et la tient rivée à son bassin avec ses mains puissantes. Il grimace, je crois qu’il jouit. Elle se cabre en gémissant. Il lui enfonce un pouce dans le cul, cela fait décupler le plaisir de mon épouse qui le crie bien fort.

Un homme suggère : elle aime ça, il faut l’enculer cette salope! Mon épouse lâche alors comme un sanglot de peur mêlé de désir. Lentement, obéissant, l’amant de ma femme se retire de tout son long et applique son gland turgescent sur sa rosette. Je connais bien, elle est serrée et se laisse rarement prendre par là. Entièrement offerte, largement ouverte par les deux pouces de son mâle elle n’esquisse aucun geste et attend passive la pénétration impossible. Le calibre de la bite semble encore plus gros qu’avant, un concombre de bonne taille, le gland violet, gonflé ne passera jamais. Il pousse du bassin, mais glisse sur les reins de ma femme. Il ré-essaye trois fois mais sans succès. Elle l’encourage : viens, viens, viens. Autour chacun se secoue la queue. L’amant saisit sa verge gluante de cyprine et la tient appliquée contre l’anus de ma bien-aimée, il presse en avant et je vois s’ouvrir la fleur. Ma femme ouvre la bouche en grand, sans respirer, concentrée sur la sensation. Le gland massif se fraye un passage et efface le sphincter qui l’avale. Elle pousse un cri perçant. Voilà, il est fiché dedans ma belle enculée. L’homme garde son contrôle, les vingt centimètres restants de son sexe patientent une seconde à l’extérieur de ma femme. Ma femme? La sienne plutôt, la leur même, cette actrice d’un porno hard. La tension sexuelle est forte, Annie les yeux vitreux ne fait aucun cas apparent du groupe qui se branle devant elle, le regard perdu elle subit. Un homme se précipite et jouit sur ses épaules en criant : enculée! Un second soupire et fait de même sur ses cheveux. L’amant fait coulisser sa verge en avant, arrachant un long couinement à sa partenaire, la femme de ma vie, sa bite de cheval lui parcourant les reins, profond. Elle reçoit sa longueur en entier et il recommence à besogner, ses reins puissants se retirant pour revenir claquer ses fesses. Je ne sais pas comment elle peut l’accepter, mais elle jouit comme jamais, un seul cri aigu, incessant qui porte loin vers la plage.

Le crépuscule descend, ma femme jouit, le groupe fait sans doute de dix hommes dont moi se branle frénétiquement. Je viens jouir sur son visage, elle n’a pas bougé la joue sur sa main dans le sable, elle crie. Elle crie son bonheur, sans limite comme une bête. L’intellectuelle sévère a cédé la place à une femelle qui jouit sous l’étreinte d’un mâle, les hommages d’un groupe d’inconnus en rut. A genoux je lui envoie ma semence sur la bouche, dans la bouche. On me bouscule, un autre fait de même, elle ne s’en occupe pas, l’autre la sodomise violemment. Les spermes se mêlent, elle gémit toujours, il accélère le rythme et s’arqueboute dans son fondement se lâchant dans ses entrailles. Il s’affale sur elle, plaquée au sol, couverte entièrement elle émet un gémissement insensé, sans cesse donnant en arrière de rapides coups de bassin pour chercher la bite, prolonger la pénétration. L’amant collé à ses fesses la laisse se baiser seule, enfin il se retire avec un bruit de succion, elle reste au sol, le rectum largement dilaté, aux yeux de tous. Les mains des hommes la parcourent et explorent son corps. Elle, comme un pantin se laisse caresser, pincer, pénétrer par ses doigts avides. Tu es bonne, concède-t-il. Ca ne t’arrive pas souvent de jouir. Il s’agenouille à sa tête, la retourne sur le dos et lui présente la bite graissée à sa bouche, elle obéit et le suce. Il se penche un peu et attrape une de ses jambes puis l’autre, les relevant, elle est cuisses écartées, genoux aux épaules, orifices ouverts, offerte aux regards. Allez-y dit-il. Elle gémit.

Un homme vient s’allonger sur elle, elle continue de sucer la queue qui l’a si bien ramonée. Rapidement le nouveau jouit, un autre le remplace, je prend ma place dans la file, je suis le sixième. Quand vient mon tour de m’enfoncer dans son con visqueux, je suis surpris de sentir qu’elle est toujours tonique et qu’elle me serre bien sans cesser de sucer avec passion le mandrin de son séducteur.

Chérie, chérie lui murmurais-je à l’oreille tout en la baisant. Elle réagit peu, Je me retire et la penetre au cul, curieux de sentir si elle est dilatée. La aussi je sens son tonus, je ne peux y résister longtemps et me lâche au fond d’elle.

Après un moment tous ont jouit en elle, certains deux fois. La nuit arrive. Son amant la fait rouler dans le sable absorbant les spermes de sa peau. Elle se lève lentement et va se baigner. Le groupe se disperse silencieusement sur la plage sombre. L’amant me regarde : elle est bien ta femme, je te la rends, à plus tard, il ramasse sa serviette et disparait.

Ma femme est dans l’eau seule, je la rejoins, la mer la purifie. Allongée dans vingt centimètres, elle fait coulisser ses doigts dans son vagin pour en extraire les jus. On dirait une pute rassasiée.

Plus tard nous rentrons en silence. A l’appartement, je lui dis: il veut te revoir.

Elle : oui bien sûr.

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