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Valérie : l'insoupçonnée – Chapitre 2

Randonnée sensuelle - Chapitre 1



Comme lors de notre premier rendez-vous, Valérie et moi prenons des denrées au supermarché pour aller manger à la campagne. J’ai pris soin de repérer quelques bancs non loin de son lieu de travail. Et j’ai décidé d’être un peu plus direct. Valérie est aussi jolie que d’habitude : chemisier blanc, jupe plissée noire, bottes et manteau marron.

Le banc où nous nous rendons est situé au sommet d’un coteau habillé de champs de vignes à perte de vue. Là, nous nous garons et montons sur un petit monticule de terre au milieu d’un groupe d’arbres qui dissimule le banc de la route. Je n’oublie pas cette fois de lui dire à quelle point elle est ravissante, ce qui la fait rougir. Nous mangeons en discutant puis nous profitons du soleil. Ce sont les premiers rayons un peu chauds de la saison. Tournée vers l’astre brûlant, Valérie a fermé les yeux et je lui propose de s’allonger, si elle le souhaite. Elle sourit et rouvre les yeux dans ma direction. Sans me répondre, elle se couche sur le banc et pose sa tête sur ma cuisse.

Nous ne disons rien, il n’y a pas de bruit, c’est infiniment agréable. Je passe une main dans ses cheveux. Elle sourit. Enhardi, je caresse ensuite tendrement son visage. Je m’attends à ce qu’elle mette alors une limite. Mais alors que je fais glisser mes doigts autour de son menton, Valérie embrasse rapidement ma main et rit. De son visage, ma main caresse son oreille, son cou pour ensuite descendre sous sa gorge, à l’intersection des deux clavicules. Je passe mes doigts derrière son cou, masse sa nuque et elle émet un petit gémissement de plaisir. Je commence à avoir très chaud.

Je franchis ensuite une étape supplémentaire et glissant ma main quelques centimètres sous son chemisier sur l’arête de l’épaule. Suffisamment loin pour que mes doigts fassent la rencontre de la bretelle de son soutien-gorge. De là, je reviens sur son torse et, tentant un peu le tout pour le tout, je déboutonne son chemisier. Je l’observe. Elle sourit mais ses yeux sont fermés. Je ne sais pas ce qu’elle attend de moi. Dois-je continuer jusqu’à ce qu’elle dise "Stop" ? En rester là ? Je dois faire un choix et vite.

Je choisis d’oublier ses seins même si je meure d’envie de les caresser et j’ouvre un second bouton. Je n’irai pas au delà. Un éclat mauve apparait entre les pans blancs du chemisier : son soutien-gorge. Ma main remonte définitivement à son visage que je caresse avec tendresse.

— Tu es un homme troublant.

Valérie s’était lentement redressée et s’était assise à l’envers sur le banc, tandis que je fais désormais de mon mieux pour ne pas regarder dans son décolleté qui baille et offre une vue imprenable sur son sein droit. J’ai tout de même pu remarquer qu’elle portait cette fois-ci des collants.

— Tu es un homme troublant, respectueux et adorable.

Elle sourit.

— Je voulais voir jusqu’à où tu irais, ce que tu oserais. Tu m’as surprise en bien et tu m’as fait passer un moment délicieux.

Je souris et plaisante :

— Bon, si j’avais été plus souple du dos, j’aurais quand même essayé de t’embrasser !

Valérie éclate de rire avant de se calmer.

— Et pourquoi pas maintenant ?

Je n’ai pas à répondre. Elle avance son visage vers moi et nous nous embrassons tendrement.

— J’en rêvais depuis le jour où tu es venue signer ton contrat.

Valérie sourit. Nouveau baiser.

— Moi aussi

Baiser. Long, profond, intense. Mes mains se baladent sur ses flancs, ses bras, ses épaules, sa nuque, son visage, mais je leur interdis sa poitrine. Valérie en est parfaitement consciente.

— Vraiment un homme bien.

Elle ajoute, malicieuse :

— Et je suis agréablement étonnée des efforts que tu fais pour ne pas baisser les yeux sur ma poitrine !

J’éclate de rire.

— C’est un vrai tour de force, crois-moi !
Valérie baisse les yeux sur ses seins, écarte les pans de son chemisier et répond :

— Il n’y a pourtant pas grand chose à voir.

Puis, en riant :

— C’est bon, tu peux regarder, je te permets !

Un balconnet mauve sans coques galbent parfaitement une poitrine pas si menue. Le soutien-gorge est transparent. Je souris :

— Non seulement il y a à voir, mais qui plus est, il y a tout à voir.

Valérie rit et rougit. Elle est gênée et j’adore ça. Je lui dis :

— Je parie sur un 90B.

— Oh, mais j’ai à faire à un spécialiste, c’est exactement ça !

Nous nous embrassons à pleine bouche. Nos langues roulent, je n’ai plus envie de quitter ses lèvres. Ma main gauche est posée sur son flanc droit. Elle l’attrape et la remonte à sa poitrine. Tremblant, je la pelote doucement, faisant glisser mon pouce autour de son mamelon que je sens agréablement pointer à travers la dentelle.

Je repousse doucement la bretelle afin qu’elle tombe juste de l’épaule dans le but de dégager son sein. Opération réussie. Le souffle de Valérie raccourcit. Je sors l’honorable mamelle et la caresse, pinçant légèrement le téton bien dur. Valérie gémit, son cur bat la chamade, comme le mien. De sa bouche, j’embrasse son menton, son cou et descend lentement :

— Non Ce n’est pas bien Il ne faut pas

J’hésite, mais cela sonne faux. Je descends encore sans qu’aucun geste ne stoppe le mouvement. Le mamelon glisse entre mes lèvres, sous ma langue. J’aspire, embrasse le sein de ma jolie partenaire. Elle halète tandis que j’excite son téton :

— Il ne faut pas mais c’est tellement bon

Elle souffle de plus en plus vite et soudain, me repousse. Elle remet sa bretelle en place et se reboutonne.

— Si je te laisses continuer, je vais perdre tout contrôle. Tu allais me rendre folle de plaisir.

Nouveau long baiser.

Valérie se tourne et se lève. Il est vrai qu’il est l’heure. Je prends sa main pour descendre du petit monticule et elle la garde jusqu’à la voiture. Dernier baiser avant de démarrer. Nous n’échangeons pas beaucoup sur le chemin du retour. Je la dépose devant son travail et nous nous promettons de nous revoir rapidement.

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