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Vicieux et fier de l'être – Chapitre 4

Vicieux et fier de l'être - Chapitre 4



Les Rédacs à la Belette.

A lappart, jai lu le papier à la poupée. Bon, je connais où cquelle habite et cest pas le HLM de base, dis donc ! En cinq minutes, je srai là-bas ! Jai préparé mon sac pour aller à la salle avant d relever les autres messages.

Le client, « Yvon le fou », un surnom ma appelé juste avant et jai décroché. « Alors, ça se passe bien, je vois ?! Continuez, je compte sur vous ! » Jai répondu : « On fait dson mieux mais, jsuis daccord, ça démarre bien, ceci dit, y a encore du boulot!» Il a raccroché après mavoir remercié. Il est content ! Faut toujours satisfaire le client, pas vrai ?

Super : la poupée a envoyé sa photo sexy, en bas résilles sur son lit, la fente bien ouverte, avec un beau sourire en prime. Elle est vraiment super, celle-là et elle en veut, comme dit le coach.

Réponse : « Super ! Ca donne envie ! Une autre tout de suite et deux par jour, pour la collection ! »

Dans la foulée « Merci monsieur, ok, compris! » A mplait bien cette meuf !

Un message vocal de la bavarde. « Je mennuie de vous, jai hâte de vous retrouver ! » Oh là ; a sprend pour qui celle-là ! Faut la rmettre au pas tout dsuite: réponse SMS: « Occupe toi dton cul et éponge pépère ce soir. Oublie pas daller chez B. et tauras la sucette à lanus, taimes ça! Pas vrai ?»

Réponse dans la foulée : « oui monsieur, cest vrai ! » A surveiller de près.

Jai mis les bouts pour pas mfoutre en retard. Trois heures au programme dont la moitié avec les gants. Ça détend et tu dors bien !

Lagitée est allée chez Bramout le lendemain. Jai hâte de lire sa rédac. Un ptit SMS en attendant pour lui mettre un coup de pression: « et avec B. ? Ca a donné quoi ? »

Dix minutes plus tard, la réponse de la belette: « Les rédactions ont été remises au concierge, monsieur. M. Bramout demande à me voir une fois par semaine. Que dois-je faire ? »

Réponse : « A ton avis ? »

Réponse : « Oui monsieur. » Non mais ! Je me suis bien marré.

Bon, cest pas tout ça, mais faut passer à la Licorne récupérer lenveloppe. Jai envie de bouquiner les gars. Gégé devient intello, y smet à bouquiner, faites passer .On smarre pas sinon jme fâche! Un crochet par là-bas en faisant le footing du matin. 15 bornes à dit le coach et on triche pas. Un ptit détour de rien du tout et javais lenveloppe en poche. Momo était tout content et y ma servi un ptit café (sans sucre !).

« Alors Momo, ça gaze? »

« A la sucé et jlui ai foutu les doigts ! A met plus de culotte maintnant ?» Il était hilare.

Je lui ai fait un clin dil. « Pas quand a vient nous voir. Tes daccord avec moi ? Ca sert à rien ! En puis lprochain coup, fous-y ton zob, hésite pas ! A dira rien ! »

Je suis reparti fissa ; faut pas se refroidir, sinon on risque le claquage. Y restait 8 bornes à faire et sur la plage encore. Une belle journée qui commence. Jai accéléré la cadence.

Une bonne douche à lappart et jsuis parti aux abattoirs pour étaler le boulot. Ce jour là : journée pleine, 9 heures de rang, avec juste une ptite pause. Jai un programme aménagé, en accord avec Robert, le patron. Je bosse une journée sur deux et sil a besoin, je viens et jrécupère le lendemain. Y me laisse tout ltemps pour mentrainer, cest bon comme ça. Jai beau être pro, faut préparer lavenir !

Je suis rentré à lappart à 6h et des brouettes. Une bonne douche et jai ouvert lenveloppe à la belette. Deux rédacs, une photo et un ptit mot : » Le concierge est toujours aussi vilain mais bien moins brutal maintenant, grâce à votre intervention. Merci infiniment monsieur ! »

Y a pas dquoi ! Quand on peut rendre service !

La photo ? Pas mal ! A poil sur le tapis, jambes écartées devant la glace de sa chambre et le gode bien en place. Japprécie le côté charme ! A la des côtés chiants, mais a fait des efforts, faut admettre !

Jai pris la première rédac : le titre, « Mes rapports conjugaux. » Bon déjà, là, a la faux ! Moi, jai pas demandé ça. Y fallait : « Ma semaine damour avec pépère. » et pis pour lautre, tiens: « Ma visite chez Bramout. On était daccord là dssus ? » Bon lautre, ça peut aller pour le titre, on va pas chipoter ; Elle a marqué : « Ma visite au domicile de M. Bramout » mais pour le reste, là, a sest foutue de ma gueule. Faut voir ce quelle a fait, on dirait une carte postale pour mamie ou un courrier pour la sécu. Du nimporte quoi ! A va dérouiller si a veut pas piger ! Je vais la mettre au pas.

Jai attrapé le tél et jai fait son n°. Elle a décroché : « Dit moi, jai tes rédacs sous les yeux. Tu tfous dma gueule ou bien ? Tes conne de chez conne ou ten as fait exprès, Cest quoi ce bordel ? A qui técris ? A Gégé ou à la sécu ? Cest quoi, cette façon dfaire ? Tu veux ménerver ou quoi ? Jte préviens, jte donne une plombe pour reprendre tout ça et me lenvoyer mais déjà au prochain rendez-vous, tu vas comprendre ta douleur connasse. Faut pas faire chier le marin si tu vois cque jveux dire ! Va falloir faire leffort qui faut pour te rcheter parce que là, ça va pas du tout et tas dla chance que jsois pas à côté dtoi. Pigé, glandue ? Tes rédacs, là, ça fait pas bander, ça fait roupiller, alors jfous tout à la poubelle. Tes nulle à chier ! Continue comme ça, tu vas tfaire larguer et pépère aura une belle enveloppe garnie avec toutes tes photos de salope ; Cest ça que tu veux ? Répond moi, bordel de merde ! »

Elle chialait : « Je suis désolée, monsieur, je vous prie de bien vouloir mexcuser. Cela ne se reproduira plus. Je vous envoie la nouvelle version de mes rédactions dans lheure ! Jespère que vous en serez satisfait. Pardon monsieur, pardon ! »

« Ta gueule boudin, arrête de chialer et met toi au boulot ! » Jai raccroché. Non mais ! Faut pas mchercher ! Gégé est pas du genre méchant mais si on l cherche, on ltrouve !

Bon, on scalme et on mange un coup ; la logeuse a déposé le repas : un steack mahousse avec une belle assiette de légume et des pâtes. Voilà ! En vla une qui sait faire. Un ptit coup dfil pour la remercier. « merci ma poule ! Tes un ange ! Il est où ton bonhomme ? Devant la télé ! Comme dhab quoi ! Cest foot ce soir ? Tant pis pour toi. A plus ! Gégé te fait un gros bisou sur le minou ! »

Bon, elle, elle a jamais foutu les pieds à la fac mais a sait vivre, pas comme lautre !

Un petit message de poupée : « Jattend demain soir avec impatience. Jespère que je serai à la hauteur. JVM monsieur ! » réponse : « Branle toi en pensant à la queue à Gégé et passe une bonne nuit ! Faut être en forme jtai dit ! Tu devras assurer grave ! » Bon, jai éteint le portable parce quavec les gonzesse ça peut durer et moi ça fini par me casser les couilles vite fait. Et blablabla et patati et patata ! Rien à cirer, et puis jai les crocs. Jai dévoré le steack et le reste ! Pas de pain, pas de ketchup, pas de mayo ! Cest le régime. Faut sy faire.

Jai fait la vaisselle puis jai allumé la télé pour voir les résultats sportifs. Lordi était ouvert ; Lautre conne a renvoyé ses rédacs et ses excuses. Jai répondu : « Je lis. On fait le point après. Reste au chaud, connasse ! » A ménerve grave, a va manger celle-là, surtout si jarrive pas à mcalmer. « Tiens, puisque tu joues à faire la conne, va tfaire enculer chez Momo. Il est de service de nuit, ça tombe bien ! »

Elle doit baliser sévère parce quelle a répondu : « Oui, monsieur ! Jy vais ! Encore pardon, monsieur ! »

Un coup de fil à Momo : » Momo, la brune arrive ! Ouais, la première ! Tu lui défonces ltrou du cul, enfin tu fais cque tu peux avec ta ptite bite, mais tu lencules et tu mla rates pas. Pigé ? Si a lest pas sage, a smange une baffe de la part à Gégé, mais a va être sage ! »

Il était écroulé : « Tinquiètes, on va faire cqui faut sur le bureau. Ça tombe bien, cest plutôt calme ce soir ! » Il a raccroché. Ya plus qua attendre le résultat des courses.

Jai ouvert la première rédac sur lordi: « ma semaine damour avec pépère. » Voilà ! Cest quand même pas compliqué. Faut juste bien sdéboucher les oreilles. On va la déboucher celle-là, a va comprendre !

Là, les gars, je recopie. En fait jme suis pas fait chier : jai fait du « couper coller » comme tout le monde. Pas vrai ? On a appris tout ça à lINSEP. Ya pas qula boxe dans la vie ! Et savoir se servit dun ordi, ça sert. La preuve ! Jai juste mis mes commentaires persos entre deux.

« Monsieur, ma semaine damour avec pépère, mon mari, sest ainsi déroulée. » A la encore des progrès à faire mais ça va vnir. On va essayer drester calme ! Jai soupiré. Voyons voir la suite. Jai regardé ma montre. Là, a doit sgarer dvant la Licorne. Bon !

« Après notre rendez-vous, je suis rentrée chez moi pour me doucher et me préparer pour la soirée et je me suis habillée comme vous le souhaitez : dans le « style pute » pour être certaine dexciter mon mari avec un porte-jarretelles et des bas résilles. De même, jai appuyé mon maquillage et mis votre parfum préféré pour bien le faire « baver » comme vous dites. »

Bon, a ly vient ! Ya des progrès.

La suite : « Javais acheté des escarpins à très hauts talons pour « jouer la chaudasse» et jai attendue son arrivée à la maison, vers 19h selon notre accord, assise dans le canapé de notre salon avec ma petite robe noire bien remontée afin de dévoiler ma cuisse et le haut de mes bas. »

Voilà, cest ça ! On continue. « Javais servi une coupe de Champagne et il est arrivé à 19h10. Il est venu vers moi pour me faire remarquer que jétais très belle ainsi vêtue et quil attendait de moi une « prestation de qualité ». Cest lexpression quil a employée, je men excuse, monsieur. » Bon, faut quelle fasse ce quil faut pour que pépère la traite en salope dans lintimité, a va préférer, cest sûr ! Un coup dil à la pendule. Là, les gars, si jcalcule bien, elle est à plat ventre sur lbureau et Momo sprépare à lui percuter la rondelle. Bien fait ! Jespère quil a pensé à sfaire sucer dabord, ça passera mieux et ça lui fra moins mal, au Momo.

On poursuit la lecture. Mon problème, cest toujours pareil en dehors du ring, cest de rester concentré. Jpense à trop de choses à la fois.

« Je lui ai tendu sa coupe de Champagne et nous avons trinqué. René, soyez assuré que je ferai de mon mieux, ce soir encore. Jen ai envie ! Lui ai-je dit en posant ma coupe.

Je me suis dirigée vers le lecteur de Cd et ai mis un CD de musique latino américaine, très hot, pour entamer mon « strip » comme vous dites et en veillant à le faire de manière spéciale, dans le « style pute », et à bien « jouer la salope », conformément à vos souhaits. Jai fait de mon mieux, en imaginant que je le faisais pour vous, devant vous, pour vous plaire, vous exciter et me faire pardonner ma naïveté et mon inexpérience en matière de sexe. » Je me suis marré. Là, les gars a scroit au tribunal, a lessaie de retourner le juge dans un dossier pourri de chez pourri. Ca prend pas !

« « Pépère » avait les yeux grand ouverts, et regardait sa femme, son épouse, la mère de ses enfants, faire ce que fait habituellement une professionnelle de la chose. Avant de faire tomber ma robe, comme vous dites, je lui ai remis lappareil photo afin quil puisse prendre autant de photos quil a souhaité et je veillais à maintenir la pose quil commandait. Ensuite, je lui ai remis la caméra numérique et lui ai recommandé de bien filmer ma « prestation de pute ». Jai pour la première fois, osé, monsieur, employer ce mot devant lui. Il a eu lair surpris, agréablement surpris, car il a dit : « fait la pute, ça me plait bien ! Comme cela, très chère, vous aimez que lon vous parle de manière triviale, grossière voire ordurière ? » Jétais morte de honte mais, me souvenant de vos instructions, je lui ai répondu : « Oui, René, traitez moi comme une pute, une salope, la dernière des dernières, et faites de moi ce que vous voulez ! » Ma robe est tombée au sol à ce moment précis dans un geste quasi théâtral et sans aucune équivoque possible. Je suis devenue « sa pute » et la femme objet de ses désirs les plus sordides » Là, les gars jai ouvert le dico.

« Les photos, le film de cette soirée sont joints à mon message suivant. Vous pourrez apprécier à quel point jai tenu à aller loin sur ce chemin et la « pute » en moi sest révélée au grand jour. Jai pris toutes les poses, toutes les postures quil a voulues pour bien lexciter et après mêtre mise à quatre pattes sur la tapis du salon, après avoir sucé et léché son sexe et ses bourses pour quenfin, il « bande » comme vous dites, je lui ai demandé de « menculer » et jai employé ce mot, à dessein. Il a joui en moi. Ce fût décevant, car son sexe ne peut être comparé au votre et il jouit toujours aussi vite mais il a « tout largué en moi ». Je nai cessé de penser à vous en faisant cela et cest votre image qui vient remplir ma vie et suscite en moi le désir et la passion amoureuse et sexuelle.Les soirs suivants, jai veillé à « lui faire remettre le couvert » mais il lui arrive de refuser tout rapport, même une simple fellation en raison de son état de fatigue, réel, ou dun emploi du temps chargé le lendemain. »

Bon, y a du mieux. Faut lui concéder ça. A va dérouiller, cest clair, pour le principe, mais a la fait un petit effort. Ceci, dit, celle-là, faut pas lui lâcher la grappe. On va veiller à ça.

Bon là, les gars, jsuis naze et jvais aller mpieuter. Coup de fil à Momo quand même: »Alors ? »

« A y est, jlai baisé comme tas dit et a la été bien gentille ! Rien à dire ! A plus ! » Lui, au moins y sait aller à lessentiel.

Un message de la belette : « Jai fait comme vous me lavez commandé et veillé à satisfaire le concierge! Bonne nuit monsieur ! Pardon, mille fois pardon, monsieur ! »

Réponse : « Quinze coups, ltarif minimum ! Bonne bourre avec pépère ! Défonce toi, connasse ! »

Allez ! Bonne nuit les petits ! Faut qujéteins les lampions.

(à suivre)

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