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Mélissa, ma jolie jeune black soumise. – Chapitre 2

Mélissa, ma jolie jeune black soumise. - Chapitre 2



Le retour fut laborieux. Non pas que je pensasse à Mélissa, mais sa carriole était proche de la poubelle à roulettes que du carrosse de Cendrillon. Elle fumait plus que de raison et faisait des bruits que je n’avais jamais entendus dans une voiture.

Le retour fut donc chaotique. Une fois garé devant mon pavillon, je quitte cette guimbarde, ce cercueil ambulant. J’entre chez moi et pars à la douche. Plein d’images érotiques me traversent l’esprit, très vite transformées en scènes très hard.

Je pars me coucher bandant comme un âne, mais interdiction de me vidanger ce soir. Je me réserve pour ma petite Mélissa, celle qui veut devenir mon vide couille.

09h30, je suis à la bourre. Elle attendra. Je me prépare un petit-déj pantagruélique. Mon portable sonne. C’est Li.

— Coucou ma Li…

— Bonjour Jean. Alors comment ça s’est passé avec Mélissa ?

— Cool… Je te raconterai… Ou pas… Je dois aller la chercher. Je suis à la bourre.

— OK, mon chou. Pierrot s’est levé la petite serveuse et moi le grand black, tu te rappelles ?

— Oui, le videur ?

— Oui, mais déçue. Pas à la hauteur de leur réputation. D’ailleurs il est déjà parti. Gégé est dans notre lit avec une petite rousse. Fort charmante.

— Eh oui… Bon, je te laisse, je n’ai même pas son numéro… Quel con.

— Non, tu es amoureux… HIHIHIHIHI.

Elle me raccroche au nez, la salope.

Je m’habille léger, jean et tee-shirt et je cours vers mon garage. Je saute dans ma "BM" et démarre en trombe.

Il me faut 25mn pour retrouver l’appart de Mélissa. Je sonne à sa porte. Elle m’ouvre. Habillée d’une jupe en jean et d’un tee-shirt blanc, elle me fait rentrer.

— Bonjour, as-tu bien dormi ?

— Très bien Jean…

— Non, désormais, ce sera Monsieur ou Monsieur Jean.

— Très bien, Monsieur ou Monsieur Jean.

— Coquine. Alors prêtes pour ta nouvelle vie ?

— Oui Monsieur…

Je lui sors une enveloppe de ma poche de jean.

— Lis ceci attentivement. Soit tu signes soit je m’en vais. Pendant ce temps, je vais inspecter tes deux valises.

Elle s’assoit dans le canapé et ouvre l’enveloppe. Quatre feuilles. Elle se met à lire.

C’est très succinct, et cela se résume en quelques mots :

Moi, Mélissa, saine de corps et d’esprit, déclare être responsable de tous mes actes. De me vouer corps et âme à Monsieur Jean, de me soumettre à tous ses ordres et ses désirs… Et patati, et patata.

Ce court intermède m’a permis de vider ses deux sacs et de n’y remettre que ses jupes les plus courtes, les shorts les plus minimalistes et les hauts les plus provocants. Étant début juin, les tissus sont superflus. Je souris quand j’entends le crissement du stylo sur les feuilles.

Je lui tends son unique sac.

— Tu as bien tout lu ?

Elle s’empresse de dégrafer son soutien-gorge et à descendre sa culotte. Je lui montre son tas de vêtements. Elle baisse les yeux. Je quitte son appartement. Sans un mot, elle le verrouille, me donne les clés et me suis. Le retour chez moi est des plus silencieux.

Elle entre la première, je l’ai invitée. Elle découvre mon univers.

— Les toilettes sont là. La salle de bain est là. Lui dis-je en ouvrant les portes correspondantes. Là, ta chambre. Ici, la mienne. Là, une pièce que tu apprendras à connaître plus tard. Pour l’instant, tu vas aller chez l’esthéticienne au bas de la rue. Épilation intégrale. Dépêche-toi, tu es en retard.

Sans un mot elle part en prenant son sac à main. Je la stoppe et le lui prends.

— Tu n’en auras plus besoin.

Enlevez ce petit accessoire à une femme et elle est à poil. Elle part d’un pas peu assuré. J’en ai au moins pour une heure pour préparer sa chambre et ma salle des sévices.

J’enlève tout ce qui est drap et oreiller. Juste le matelas recouvert d’une alèse. Pour la salle, j’hésite. Mais je vire ce que j’estime être un peu trop violent. Ai-je tort ? Je ne pense pas, je veux la garder le plus longtemps possible.

Aurélie (mon esthéticienne) à fait vite. Au bout de 45mn, Mélissa est de retour. Elle ne sait pas où se mettre. Je lui demande de se mettre dans le salon, nue. Elle s’exécute sans rechigner. Putain qu’elle est belle. Malgré son embonpoint évident, pas une once de gras superflu, pas une trace de cellulite, de vergeture ou de peau d’orange. Une magnifique sculpture dont je vais pouvoir m’amuser et abuser. Je me mets en tenue d’Adam. Elle sourit en voyant ma bite tendue. Elle fait 20 par 6 environ. Belle queue non circoncise avec un beau gland. Décalotté, on dirait un bon gros champignon de Paris avec un long pied. Bref je suis fier de mes attributs. Je lui tourne autour. Bon Dieu que sa peau est douce. Je lui demande d’écarter les jambes. Putain, ce qu’elle mouille. Ça lui coule le long de ses cuisses et ça sent la cyprine. Je lui palpe les fesses. Elles sont volumineuses et fermes.

— Tu t’es déjà fait sodomiser ?

— Oui, Monsieur, mais pas souvent.

— Il va falloir t’habituer, car nombre d’hommes aimeront te prendre par là et je les comprends.

— Des hommes… Monsieur ?

— Oui, et tu seras la plus docile des esclaves. Mais d’ici là…

Je soupèse ses énormes mamelles. J’en ai rarement vu d’aussi grosses pour une fille de son âge. Ses auréoles sont petites, très foncées et ses tétons, qui pointent, sont de belle longueur.

— Bon, avant de nous amuser, tu vas aller te laver ton gros cul. S’il faut que je te le travaille, il faut qu’il soit propre. Va à la douche, tout est prêt.

Je regarde son déhanché en s’éloignant en direction de la douche. Je me félicite d’avoir abordé cette jeune créature. Je me sers un pastis. Il est bientôt midi.

Elle revient, nue et attend mon bon vouloir. Ma trique me démange mais je sais être patient. Je me lève et l’entraîne avec moi dans la cuisine. Je lui donne un tablier. Le fait qu’elle soit cul nu sous ce bout de tissu est tout à fait ravissant. Je lui fais ressortir les miches par le haut, splendide. Elle nous cuisine une rapide salade de tomates et concombre, vite avalée. Elle débarrasse et fait la vaisselle, là je craque. L’homme est faible. Je dénoue son tablier qui tombe au sol. Je lui palpe les fesses d’une main et les seins de l’autre.

— J’ai trop envie de toi.

— OUIII, Monsieur, moi aussi.

— Il faut que j’apprenne ton corps. Je veux que tu m’appartiennes, mais pas dans la douleur, dans la jouissance.

— Oui, faites de moi ce que bon vous semble.

Ma queue est coincée entre ses énormes fesses. Je me régale. Elle se cambre et ondule du bassin. Je lui tire sa tête en arrière et l’embrasse. Sa langue joue avec la mienne. Elle frémit, moi aussi. Je lui palpe ses gros seins, lui tire ses tétons. Elle gémit. Doucement mon gland se masturbe dans la vallée de ses fesses. Je me retire, pointe et tire.

— AHHHH, OUIII… Faisons-nous de concert.

Je me fiche à fond. Sa chatte est étroite mais accueillante. Quel régal de sensations et de partages. L’extase à l’état pur. Je vais doucement pour profiter de ce moment d’échange. Je sais désormais qu’elle me sera dévouée corps et âme. Quand je replonge au plus profond d’elle-même, elle pousse un râle de bonheur, de félicité. Je sens ses muscles vaginaux m’enserrer. Elle ne veut pas que je sorte, moi non plus. Son énorme poitrine bouge lentement au rythme de mes coups de sabre. Elle se mord les lèvres, elle mouille, elle m’inonde les couilles de son jus. À chaque sortie, je replonge un peu plus brutalement. Je l’agrippe de mes doigts dans le gras de ses hanches et la lime à un rythme soutenu. Elle ahane, je meugle. Elle écarte les cuisses, ce qui me permet de la prendre à fond. Je me penche et lui lèche son cou en sueur. Cette odeur, ce goût m’enivrent. Je me lâche et je la défonce debout. Ses jambes tremblent, ses mamelles bougent au rythme de mes coups de bassin. Je ne vais pas tarder à l’ensemencer. Elle jouit. Moi aussi. Je lui lâche toute ma purée emmagasinée depuis longtemps.

— OUIII, PUTAIN, JE JOUIS…

— AHHHH, JEAN, MOI AUSSIIII…

On reste emboîtés l’un dans l’autre un moment. Elle me masse la queue avec son vagin, moi en donnant de petits coups. On ne se dit rien, on profite à fond de ce moment. Elle est en sueur, je suis en nage, l’extase. Elle me pousse et se déboîte.

— Monsieur, merci. Mais…

— Chut. Je vais t’apprendre à jouir aussi bien sous la douceur que sous la douleur. Tu verras, les deux sont souvent liés, mais il faudra être patiente, ne pas trop en vouloir de suite. Cette première fois est la signature de notre contrat. Tu as accepté, fort bien. Mais il va falloir m’obéir. Arrête de m’appeler Monsieur, Jean me va très bien.

— Bien Jean, me répond-elle en descendant pour me gober le gland.

Je la regarde, coincée entre le bac à vaisselle et ma queue. Putain, qu’elle est belle. Je rebande et donne des coups de bassin en direction de sa bouche accueillante. Elle me sourit. Doucement, sans précipitation, je la repousse et la relève.

— J’ai soif. Pas toi ?

Sans un mot, elle se dirige vers le frigo et prend une bouteille de rosé. Son cul et ses seins accompagnent ses mouvements, quelle beauté. Elle le sait et elle en joue. J’ai envie de lui administrer une claque, mais impossible de lever la main. Le spectacle est trop beau quand elle se penche pour nous servir. Jambes écartées, cambrées plus que nécessaire, ses mamelles dans le vide bougent au gré de ses mouvements. Je lui demande de tenir la pose et la prends en photo sur mon portable.

— Bon, on est dimanche. Que faire à part aller se promener sur le Cours Mirabeau. Ça te dit ?

— Cool… Comment dois-je m’habiller, Monsieur Jean. Me dit-elle sur un air enfantin.

— Tu vas aller prendre une douche, pendant ce temps je préparerai tes affaires.

Elle boit son verre cul sec et s’enfuit en courant vers la salle de bain. Je prends un dernier verre et vais dans sa chambre. J’ouvre son sac et en sors un short en coton blanc, un soutien-gorge en fine dentelle et un tee-shirt de la même couleur. Pour ses chaussures, une paire de savates. Je vais dans ma chambre prendre une douche. Avantage de la salle de bain privative. Je me rase, me fais beau et m’habille léger.

Mélissa est à croquer. Son short a du mal à contenir son énorme fessier, le V de son tee-shirt va mourir loin dans le sillon de son opulente poitrine. Elle virevolte, se tournant et prenant des poses plus ou moins coquines. On verra plus tard si elle jouera encore de son corps.

On est Cours Mirabeau. Il fait chaud et ma belle s’accroche à mon bras. On boit vite fait un coup sur la terrasse d’une brasserie, à l’ombre des platanes. De nombreux représentants de la gent masculine n’ont d’yeux que pour Mélissa, pour son décolleté. Elle fait un effet buf et elle en joue.

On est en train de déambuler dans les petites rues du vieux Aix. Quand on arrive là où je voulais l’emmener, elle ne se démonte pas et ouvre la porte de mon sex-shop préféré et habituel. Elle me sourit.

— Coquin, me susurre-t-elle à l’oreille.

— Salope, lui répondis-je en lui souriant.

— Oui, votre salope Monsieur Jean. Et fière de l’être.

— On verra tout à l’heure si tu le seras encore.

Je vais droit au rayon des tenues et costumes. J’essaye de trouver une tenue adaptée à ma soubrette. Une vendeuse vient me demander si j’ai besoin d’aide. Je lui demande si elle à la taille XXL en lui montrant Mélissa. Elle me répond que oui, mais pas en noir et blanc. Elle me sort une tenue qui se compose d’un tablier et d’une micro-jupe bleue flashy, bordée de dentelle blanche.

— Mouais pas mal…

— Attendez, celle si lui ira peut-être, elle est un peu chère, mais c’est la seule qui lui correspond.

Elle me montre une tenue de soubrette en cuir (faux cuir), tablier blanc et serre-tête blanc également. Je demande à Mélissa de s’approcher et d’aller l’essayer. La vendeuse l’accompagne. Je les suis. Devant la cabine d’essayage, dont on n’a pas fermé le rideau, Mélissa se tortille pour enlever son short et son tee-shirt. Quand elle ôte son soutif, la vendeuse fait un "OUF" d’admiration.

— Belle paire de loches et ses tétons sont à croquer.

— Mais je vous en prie. Vous pouvez toucher et plus si l’envie vous en dit.

Elle ne se fait pas prier. Elle lui pince ses deux tétines et regarde Mélissa dans les yeux. Elle tire, lui tourne. Mélissa a un rictus de douleur, mais très vite il se transforme en râle de bonheur. Je passe derrière elle et lève ses deux énormes seins à la hauteur de la bouche de la vendeuse. Elle lui gobe, tour à tour, ses deux mamelons qui bandent fièrement. Mélissa pose sa tête sur mon torse et peine à garder les yeux ouverts. Elle est radieuse dans la jouissance.

Je mets fin à cette séance saphique et je demande à la charmante vendeuse de l’aider à passer la jupe. Elle lui enfile sa jupette, son haut en faisant passer sa poitrine par-dessus les larges balconnets. Elle ferma le haut avec le lacet prévu à cet effet, lui passa le serre-tête et le petit tablier blanc.

— Voilà, qu’en pensez-vous ?

— Ravissant, fit-il en tournant autour de la petite soubrette. Avez-vous des strings ?

— A sa taille, Bob, malheureusement non. Mais par contre j’ai des Tangas ouverts. Attendez.

Je continuai mon inspection. Mélissa me souriait. Je lui palpais ses parties non cachées par le carcan de cuir. Sa peau douce était recouverte de chair de poule.

— Tu as froid ?

— Non, je jouis, Monsieur Jean.

— Tu te sens comment ainsi habillée ?

— Fort bien, mais ne faites pas de folie pour moi.

— T’inquiète. J’ai les moyens.

La vendeuse revient avec deux tangas. Un rouge et un blanc, largement ouvert sur le devant.

— Dois-je lui passer ?

Un hochement de tête qu’elle s’accroupit devant Mélissa. D’abord le noir, puis le rouge. Elle ajuste l’ouverture en tirant sur le tissu et se relève. Je lui dis que je prends les deux. Mélissa est des plus ravissantes. Je lui demande de se déshabiller. Elle va pour remettre ses habits. Je lui interdis. Pendant que la vendeuse s’occupe à emballer nos achats, on se dirige vers les cabines vidéos. Celle que je choisis est équipée d’un écran grand format, d’une banquette, d’un tabouret et de trois glory-hole. Je la fais s’asseoir sur le tabouret, je prends la banquette.

— Tu vas me lécher la queue, pas de sucette. Juste des léchouilles. Compris.

J’ai descendu mon futal sur mes chevilles. Je ne porte rien dessous.

— Vous êtes un gros coquin, Monsieur Jean.

— Ta gueule et applique-toi.

Elle plonge sa langue sur mes couilles, sur ma verge, sur mon gland, s’amuse avec mon prépuce et mon frein. Elle force sur les bruits comme une sale gamine, mais j’apprécie. Quand je lui tape sur l’épaule elle me regarde droit dans les yeux avec interrogation. Je lui montre les trous à sa droite et à sa gauche. Deux verges en érection en sortent. Elle me regarde en souriant et sans hésiter, elle gobe la première tout en branlant la seconde, puis change. Elle ne rechigne pas à la tâche sentant qu’elle me satisfait. Elle y va franchement en les prenant à fond. Son petit nez vient cogner sur le mur. Elle pompe, elle aspire ces deux pénis en accentuant les clapotis de ce coït buccal. Un des mecs se colle plus à la paroi et décharge une quantité de foutre qui n’effraie pas Mélissa. Elle avale le tout, lèche, avale la semence. Elle dépose un bisou sur le gland et passe à l’autre queue. Il n’est pas long à venir. Il décharge une petite dose qu’elle me fait voir. Des haussements d’épaules, elle avale. Pas de bisou de récompense.

— Cela vous a plu, Monsieur Jean ?

— Tu t’es bien débrouillé. Tu es prête pour la scène suivante ?

Elle regarde les trous désespérément vides. Je me lève et je me rajuste.

— Non, lui dis-je. On va au sauna. Allez, rhabille-toi. On est attendu.

On passe par la caisse. La vendeuse nous annonce qu’elle nous a fait une réduc de 25% et un petit cadeau pour Mélissa.

Après avoir payé, je lui fais une bise sur la joue, elle embrasse Mélissa goulûment.

Je demande à Mélissa si elle a envie de passer par un bar avant que l’on aille au sauna. Elle me répond que oui. Attablé à une petite terrasse. Je n’ai d’yeux que pour cette créature. Qu’elle me plaise, ça, je le sais. Mais que je lui plaise ?

— Qu’est-ce qui t’attire en moi ? Lui demandais-je.

— Je ne sais pas. Ton charisme, forcément, mais surtout ton regard (tiens ? Elle me tutoie ?). Il m’a séduit et j’ai eu immédiatement le feu au ventre quand, hier soir, tu me matais. J’ai eu envie de toi. Encore plus quand tu m’as lâchement abandonné. Mais je ne t’ai pas maudit, bien au contraire. Tu t’es conduit en salop et j’aime être traitée de la sorte.

— Bien. On rentre, le sauna sera pour une autre fois.

Elle est déçue.

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