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Les démons de Noémie – Chapitre 8

Les démons de Noémie - Chapitre 8



VIII

Nouvelle donne

— « Cest parti »

Noémie saisit les ciseaux et tailla dans le jean. Elle échancra largement le short, ne laissant que peu de tissu pour couvrir ses jambes et ses fesses. En regardant le résultat, elle serra les dents, avec dans les yeux, toute la détermination qui lanimait. Cette pragmatique de nature ne comptait pas laisser la situation lui échapper. Si Olivier avait quoi que ce soit à voir dans cette histoire, elle devait en avoir le cur net.

Après avoir revêtu le short qui dévoilait maintenant une bonne partie de son cul doré, elle enfila un « crop top » blanc décolleté, dont léchancrure dissimilait à peine sa poitrine. Elle sattacha les cheveux en arrière, en une longue queue de cheval. Son regard fit le tour de la chambre : tout était prêt. Elle prit son sac-à-dos et celui de son conjoint et partit.

Olivier lattendait devant la maison de son oncle avec deux vélos. Ils devaient aller se balader jusquau bourg et rejoindre quelques amis. Quand il vit sa compagne descendre, il écarquilla les yeux.

— « Hé ben, tes euh Tas fait quoi au short ? »

— « Oh ça Il avait un accroc, jai du rattraper le coup… », dit-elle avec un sourire.

— « Cest court, dis-donc… »

— « Tu vas pas ten plaindre, si ? »

— « Non, non, bien sûr… »

Ce quelle décela dans les yeux de son compagnon était plus de la perplexité quautre chose. Pas une trace de jalousie, ou même dintérêt. Elle lui tendit son sac et enfila les bretelles du sien avant de monter sur son vélo.

— « Tu veux pas mettre tes trucs dans mon sac ? », demanda Olivier.

— « Non, ça va, je préfère les avoir près de moi. », répondit-elle.

Ils partirent par la route qui menait au bourg, quelques kilomètres plus loin. Le paysage verdoyant et fleuri défilait lentement. Une petite brise sengouffra sous le top de Noémie et dévoila une fraction de seconde ses seins. Olivier la regardait avec une inhabituelle inquiétude. Noémie le remarqua et comprit que son plan fonctionnait.

Sur son vélo, la jeune philippine repensait chaque détail de ce quelle avait mis en place. Le short remontait derrière elle, entre ses fesses, chaque fois quelle pédalait, si bien que le bout de jean ressemblait maintenant à une petite culotte bleue voire un string. Elle était terriblement provocante dans cette tenue. Ils virent soudain une mobylette arriver dans le sens inverse, à faible allure. Son conducteur, un gros septuagénaire engoncé dans une chemise grise et un pantalon de velours marron, fixa la belle, interloqué. Son casque rouge, enfoncé sur son crâne rabattait une mèche de cheveux noirs devant ses yeux. Il était mal rasé, avait de grosses lèvres charnues, un nez en patate rouge et des yeux bleus. Soudain, Il perdit le contrôle de lengin et finit sa course dans un fossé peu profond.

Cet accident fortuit était peut-être loccasion pour elle de tester Olivier et par la même sa volonté, car elle devait garder un minium de contrôle pour observer les réactions de son compagnon et lobliger à changer de stratégie, pour peu quil soit effectivement « coupable ».

Lhomme était allongé dans les herbes hautes et il fallut que le couple se rapprochât pour le voir, tant il semblait invisible depuis la route. Lengin lui était en contre-bas et semblait intact. Noémie sapprocha de lhomme. Il sentait fort le vin rouge et avait lair hagard.

— « Ne bougez pas, monsieur, restez allongé ! », dit la jeune asiatique.

Le vieux obtempéra. Elle lenfourcha alors, son bassin contre le sien et lui prit une main quelle colla dans son décolleté.

— « Vous navez rien ? Vous mavez fait peur, monsieur ! Vous sentez mon cur qui bat vite ? », lui dit-elle avec un petit sourire.

Elle continua de plaquer la main velue du vieux contre sa peau et la fit glisser lentement vers son sein gauche. Lhomme, encore sonné par ce quil venait de se passer, ne comprenait rien.

— « Euh Pardon, mademoiselle Je voulais pas Jai un tout petit peu mal à la cheville mais cest pas grave… », bredouilla le vieux.

Il devait avoir retrouver un peu ses esprits car Noémie sentit la main caresser fermement son sein et une bosse naître sous son entrejambe. La belle philippine commença alors à mouiller et se mordiller les lèvres. Le vieux, remis, attrapa même la fesse droite un peu violemment et fit claquer sa main contre la peau dénudée de la jeune femme. Elle frissonna.

— « Olivier, appelles quelquun pour au moins bander la cheville de monsieur, sil te plaît. », dit Noémie dune drôle de voix.

— « Euh Oui bien sûr… »

Il farfouilla dans son sac mais ne trouva rien.

— « Chérie, passes-moi le tien, jai oublié mon portable, je crois… »

— « Je lai pas pris, mince… », dit-elle en souriant à lhomme qui continuait de caresser son sein sous le tissu et malaxer son cul doré.

— « Je vais aller au bourg, tant pis Je reviens vite. »

Elle avait observé les réactions de son homme face à son comportement pour le moins inhabituel. Il semblait très perplexe et un peu inquiet, mais aucunement jaloux de voir un homme caresser sa compagne de la sorte Le vieux devenait de plus en plus entreprenant depuis le départ dOlivier et Noémie sentait sa volonté vaciller.

— « Enlèves ton haut. »

Elle obéit et le vieux malaxa les deux seins en passant ses pouces sur les tétons sombres et durs.

— « Bon Dieu, ils sont beaux tes nichons ! »

La belle frottait son entrejambe contre le sexe qui grossissait sous le pantalon marron. Elle jeta sa tête en arrière en poussant des petits gémissements. Excité, le vieux lâcha les seins pour soccuper des fesses et se redressa pour lécher les bouts bruns. Noémie sabandonna totalement. Ils étaient à labri des regards, invisibles depuis la route.

— « Tu vas me sucer la bite, chérie et je vais moccuper de ta petite chatte avec ma langue. »

Noémie se débarrassa rapidement de son mini short et de sa culotte, puis colla sa chatte dégoulinante sur le visage du vieux. Allongée sur son torse, elle ouvrit le pantalon et sortit la bite gonflée, en lécha la hampe puis prit les couilles délicatement dans sa main et avala la queue. Le septuagénaire travaillait le clitoris en feu à grands coups de langue et titillait lentrée du vagin avec son pouce. Son gros nez effleurait lanus quand la langue râpeuse se rapprochait du trou inondé. Noémie suçait avec vigueur le vieux et enfonça la bite jusquau fond de sa gorge en caressant les bourses pleines. Sa jolie bouche allait et venait rapidement sur la verge en déformant ses joues. Ils gémissaient tous les deux presque à lunisson.

Soudain, la belle entendit une voiture sarrêter près deux, puis deux voix dhommes. Lune delles était celle dOlivier. Lautre lui était inconnue. Ils se planquèrent derrière les herbes hautes à quelques mètres et parlaient tout bas. Si le vieux nentendait rien, trop concentré sur la chatte en feu de la philippine, cette dernière, tout en continuant de sucer, tendait loreille pour capter quelques bribes de la conversation.

— « Mais cest ta femme ? », dit linconnu avec un ton stupéfait.

— « Ma compagne, oui… », répondit Olivier.

— « Et tu dis rien, enfin Elle se fait par le Claude en plus… »

— « Oui, oui, cest un jeu entre nous… »

— « Ben ça alors Elle est belle ta femme… »

— « Ma compagne Allez-y ! »

— « Quoi ? Que je Tes sûr ? Cest bizarre ton truc ! »

— « Allez-y, je vous dis, elle attend que ça Mais ne dîtes pas que je suis là, dites-lui que je suis au bourg pendant une demi-heure encore. »

— « Euh oui, bon daccord… »

Lhomme surgit devant les deux amants avec une petite trousse de secours à la main et une couverture dans lautre. Il se figea devant la scène qui se déroulait devant lui : son ami, « Le Claude », léchant la chatte dune belle et jeune asiatique tout en se faisant sucer.

— « Je vois que ça va mieux, la cheville, hein ? »

— « Oh, Bernard ! Ben, comme tu vois, je me soigne ! », répondit le vieux. « Il est là, son mec ? »

— « Non, il est resté au bourg, il en a pour une demi-heure encore. »

— « Ah, super ! On va pouvoir soccuper de la demoiselle bien comme il faut ! Envoies ta couverture, là… »

Noémie avait relevé la tête et regardait avec ses grands yeux noirs embrasés linconnu. Cétait un type petit et trapu dune cinquantaine dannées. Il portait des petites lunettes rondes devant des yeux noirs. Sa moustache broussailleuse était surmontée dun très grand nez. Il avait les joues creusées et une peau grisâtre. Vêtu dune chemisette blanche et dun pantalon gris, il semblait un peu perdu, hésitait à faire le moindre mouvement et grattait son épaisse chevelure brune et frisée.

— « Allez, approches-toi et fourres-z-y ta queue dans sa bouche ! », dit dun ton enjoué le dénommé Claude.

Ce dernier se releva et se mit à genoux derrière la belle philippine qui se tenait à présent à quatre pattes, sur la couverture que Bernard avait jeté au sol. Il lembrocha dun coup et lui tira un long gémissement de plaisir. Le petit trapu regardait sans trop savoir quoi faire.

— « Vas-y Bernard, elle suce bien, la petite ! »

Lhomme sagenouilla, défit son pantalon et présenta sa bite devant la bouche de Noémie. Elle ouvrit grand, avala le membre mou et enroula sa langue autour du gland. Perplexe, Bernard regarda derrière lui, en direction dOlivier qui était encore caché dans les herbes hautes, comme sil attendait son approbation. La queue se mit à grossir entre les lèvres de la belle asiatique et le petit frisé posa alors ses mains sur la tête de la jeune femme pour lui faire accélérer sa pipe. Pendant ce temps, Claude défonçait la petite chatte ruisselante.

— « Tiens, prends bien la bite du Claude, petite salope ! Tes belle, ma chatte, bon Dieu de Dieu : », fit, un peu fort, le gros septuagénaire.

— « Tais-toi, Claude ! »

— « Oh, cest bon ! Allez, on change de place ! »

Ils tournèrent et Bernard enfonça sa bite au plus profond du sexe détrempé de Noémie. Il la lima doucement au début, puis comme possédé soudainement, la défonça littéralement. La belle philippine, la bouche remplie par la queue de Claude, étouffa un cri.

— « Ah ouais, salope, vas-y, prends tout ! Si ton copain te voyait ! Sale pute ! », hurla-t-il.

— « Eh ben ! Quest-ce quil tarrive mon Bernard ? Je croyais quil fallait pas causer ! »

Il ne répondit pas et accroché aux hanches de la jeune femme, sacharna sur le trou de la belle asiatique. Claude, quant à lui, avait agrippé la queue de cheval et baisait la bouche de Noémie à grands coups de reins. Ses couilles battaient le menton de la philippine en sueur et surexcitée.

— « Putain, cest bon, hein mon Bernard ? »

— « Oh ouais, Le Claude »

— « Faut la finir avant que son mec revienne »

Bernard accéléra encore puis se retira pour jouir sur le dos et les fesses de la jeune Noémie. Claude lui baisa la bouche encore une dizaine de secondes et la remplit de sperme chaud.

— « Allez, rhabilles-toi, salope, ton copain va revenir », lança Bernard, vidé.

Il lui essuya le dos avec un mouchoir. Olivier décida de « revenir » après que tous se furent rhabillés.

— « il va mieux, le monsieur, Bernard ? »

— « Oh oui, votre amie a bien pris soin de lui… », fit le petit frisé avec un clin dil.

— « Elle a été très gentille, votre dame. »

— « Je nen doute pas. »

Noémie ne dit rien et souriait aux trois hommes. Elle était maintenant sûre quOlivier nétait pas celui quelle croyait. Mais la partie était loin dêtre terminée.

Le couple arriva au bourg à vélo. Ils devaient rejoindre Patrick et Jérôme, deux amis denfance dOlivier. Jérôme, un bodybuildeur énorme, blond avec une tête carrée et un air terriblement bête, était vêtu dun débardeur blanc qui dévoilait sa monstrueuse musculature et dun short noir. Lautre, Patrick, était un grand garçon maigre avec une casquette « Nike » retournée sur la tête. Il portait lui aussi un débardeur, noir, et un short en jean bleu délavé et troué. Son visage était creusé, ses yeux noirs surmontaient un énorme nez crochu et une très fine moustache.

Le rendez-vous avait été fixé chez Patrick. Fan de tuning, Il en profita pour faire admirer sa voiture : une 405 blanche avec des jantes aluminium à cinq branches, un kit de carrosserie et un aileron démesuré à larrière.

— « Comme dans « Taxi ». », leur dit-il, fièrement.

Après avoir visité le garage, les quatre amis se retrouvèrent dans le salon. Noémie sentit rapidement les regards des garçons sur elle. Sur ses jambes et surtout sur son décolleté. Jérôme avait une attitude étrange envers Olivier. La belle philippine décela une rivalité certainement ancienne et si le bodybuildeur la regardait avec envie et désir, il était surtout très jaloux de son « ami ». Patrick la dévorait des yeux sans vergogne.

— « Vous vous connaissez depuis longtemps ? », demanda-t-il au couple.

— « Cinq ans. », répondit Noémie..

— « Bernard, que tu as vu tout-à-lheure, est le père de Jérôme. Il est entraîneur dune équipe de foot de minimes et a toujours de quoi soigner les bobos. »

— « Ah, ok. Très gentil, ce Bernard. Tu lui diras merci de ma part. », dit Noémie, en sadressant à Jérôme.

Elle était assise, avec Olivier, dans un canapé blanc, en face des deux autres hommes. Tout en répondant à leurs questions, elle écartait les jambes et passait nonchalamment une main dans son décolleté en caressant ses seins. Les deux amis, dans leurs fauteuils noirs respectifs nen perdaient pas une miette. Ils étaient autour dune petite table basse en verre. Dans la pièce, un énorme meuble télé avec un écran démesuré trônait à droite dune porte battante qui donnait sur la cuisine. A la gauche, une bibliothèque à moitié vide se tenait à côté dun vaisselier. Dans le coin droit, un bar avait été installé. Noémie remarqua les revues de tuning sur la table et sourit avec un air amusé.

— « Taimes les voitures, Noémie ? »

— « Et la muscu ? Le sport ? »

— « Eh calmez-vous les mecs… », dit Olivier.

— « Tu fais quoi dans la vie ? », demanda Patrick

— « Technicienne en informatique ».

— « Oh ! Énorme ! Tes une tête en plus ! », sexclama Jérôme.

Noémie se mit à rire franchement. Elle était détendue, même si son « trouble » la gagnait lentement. Les deux hommes lorgnaient sur elle et se regardaient de temps en temps. Olivier dit soudain :

— « Je vais devoir vous laisser, jai un truc à faire. Mais je reviens vite ».

— « Tu dois faire quoi ? Tu veux que je vienne ? », dit Noémie, intriguée par ce revirement.

— « Non, faut que je rejoigne tonton pour un truc… », répondit-il vaguement.

Il mentait, mais pourquoi ? Il avait déjà assisté à la partie de baise dans les herbes, que voulait-il de plus maintenant ?

— « Ok Olivier, pas de problème ! On va prendre soin de ta copine ! », dit Patrick avec entrain.

Olivier partit. Patrick et Jérôme se regardèrent dune manière étrange et la jeune asiatique comprit rapidement quils avaient une idée derrière la tête.

— « Tu veux voir la sono de ma voiture ? Tu vas voir, ça envoie ! »

— « Ok, si tu veux. »

Ils retournèrent tous les trois au garage. Outre la voiture au milieu, il y avait un établi immense et propre avec un nombre impressionnant doutils rutilants suspendus au mur. A gauche, un vieux canapé marron où étaient entassées pêle-mêle des revues pornos et des canettes de bière vides. Les deux hommes précédèrent la belle asiatique. Patrick mit le contact et alluma lautoradio. Une forte musique électro retentit avec des basses profondes à un rythme effréné. Jérôme enleva les canettes vides du canapé.

Noémie acquiesça et regarda distraitement les revues pornos. Le bodybuildeur enleva soudain son débardeur.

— « Il fait chaud, hein ? »

Les deux garçons se tenaient devant le capot de la voiture. Noémie avait pris une des revues quelle lisait avec assiduité maintenant.

— « Tu aimes ? », se risqua Patrick.

— « Oui. », fit Noémie avec sourire lubrique.

La musique était très forte et les basses emplissaient la pièce. La jeune philippine la chatte en feu, sétait finalement assise sur le canapé, après lavoir un peu débarrassé et lisait. Les deux garçons, qui bandaient à mort, la rejoignirent, chacun dun côté. Son regard était fixé sur une jeune black qui se faisait baiser par quatre hommes en même temps.

— « Tu las déjà fait ? », plaisanta Jérôme.

— « Pas avec quatre… » , répondit-elle, doucement.

Les deux gars rirent nerveusement. Ils avaient chacun une main sur les cuisses de la belle asiatique. Celle-ci se caressait les seins en lisant, une main sous le tissu blanc. Les tétons pointaient terriblement et ses voisins bavaient littéralement dessus. Patrick se leva pour éteindre lautoradio et allumer une petite chaîne hi-fi à côté du canapé. Il monta le son et la musique électro retentit à nouveau avec de grosses basses puissantes. Rapidement, il reprit sa place et remit sa main là où elle était.

Jérôme tenta sa chance. Il remonta le long de la cuisse, passa sur le short et caressa le ventre de la belle jusque sous le crop top.en effleurant des doigts ses seins durs. Noémie, du coin de lil, les regarda tour à tour et lécha ses belles lèvres pulpeuses en poussant un tout petit gémissement. Jérôme lui retira son top et caressa les deux seins alternativement alors que Patrick, penché vers elle, enfournait sa langue dans sa bouche sombre. Surexcitée et totalement soumise, Noémie se plia vers la bosse énorme qui déformait le short de Patrick et libéra la queue qui jaillit comme un diable hors de sa boîte. Elle lenfourna directement. Les deux hommes se tapèrent dans les mains, comme après un point dans un match de basket.

Ils étaient maintenant calés au fond du canapé. Patrick avait les bras écartés et posés sur le dossier. Il regardait la belle tête brune aller et venir sur sa queue, en souriant. Jérôme avait sorti sa bite et attendait son tour en se branlant, un bras également posé sur le dossier, nonchalamment.

— « Allez, à moi maintenant. »

Noémie obéit et changea de côté pour absorber la queue de Jérôme. Le garçon eut alors un rire stupide. Quelques minutes plus tard, Patrick lâcha :

— « Attends, on va déplier le clic-clac. »

— « Ok. Allez chérie, cest la pause ! », fit Jérôme en riant grassement.

Les deux hommes se débarrassèrent de leurs shorts et, la bite tendue et à lair, sactivèrent pour ouvrir le canapé. Noémie retira le bas et attendit sagement quils eurent fini. Le clic-clac, étonnamment grand, une fois déplié, effleurait presque la voiture. Les deux copains le firent pivoter à 90° pour ne pas abîmer la carrosserie. Patrick jeta un vieux drap sur le matelas et poussa Noémie dessus. Elle sinstalla sur le dos, les jambes écartées, en fixant ses nouveaux « amis ». Ce fut Jérôme qui bougea le premier et vint se placer entre les jambes dorées de la belle philippine. Il se coucha sur elle et lenfila violemment. Sous le coup, Noémie cria de surprise. Le bodybuildeur la lima avec force et à un rythme rapide et très régulier. Il accompagnait chaque coup de reins dun râle, en regardant lasiatique droit dans les yeux. De son côté, Patrick ne voulut pas être en reste et se coucha de telle sorte que sa bite se retrouva au niveau du visage de Noémie. La belle tourna la tête pour avaler lengin.

La chatte détrempée subissait les assauts métronomiques de Jérôme qui ne faiblissait ni en vitesse ni en violence. Les ressorts du clic-clac étaient soumis à rude épreuve. Noémie ne tarda pas à avoir un premier orgasme, tandis que le bodybuildeur sacharnait sur elle. Quant au fan de tuning, sil appréciait la bouche de la belle, il semblait un peu frustré, surtout depuis que son ami avait fait jouir la jolie asiatique. Jérôme la lima encore avec plus de force puis la retourna sans ménagement pour la faire mettre à quatre pattes et la baisa à nouveau au même rythme et avec la même violence. Les claquements de son ventre sur les fesses dorées se confondaient avec la musique assourdissante. Patrick avait remis sa queue dans la bouche de la belle philippine, mais commençait à souffler dexaspération.

— « Quest-ce que tas ? Ça te fait chier de la baiser ? », demanda Jérôme.

— « Non, mais je veux sa chatte aussi… »

— « Ah ok, ben dis-le au lieu de souffler ! Passes sous elle, vas-y… »

Patrick se glissa sous la belle, qui sallongea en lenjambant. Il guida sa queue jusquà lentrée de la chatte ouverte et dégoulinante puis lembrocha. Jérôme se plaça au-dessus du petit trou, un genou plié et lautre posé sur le canapé et senfonça brutalement au plus profond de lanus. Noémie hurla de douleur et saccrocha à Patrick. Celui-ci, ses mains sur les fesses de la jeune femme, les écarta pour faciliter sa propre pénétration et, par ricochet, celle de son ami. Le bodybuildeur reprit son rythme dans le cul de la jeune asiatique, toujours avec la même violence, tandis que le fan de tuning limait brutalement la chatte de la philippine en transe.

— « Putain, taimes le cul, toi ! », dit dans un souffle Patrick.

Noémie ne répondit pas. Elle poussait des gémissements saccadés, rythmés par le coups de bite de Jérôme. Elle avait les yeux fermés et sa belle bouche grande ouverte près de loreille droite de Patrick, que ces petits cris de plaisir excitaient et motivaient à aller plus vite et plus profondément dans la chatte en feu de la belle. Le bodybuildeur lenculait jusquà la garde, les yeux clos, les mains posés sur les hanches de la jeune femme. Il se mit soudain en appui sur ses deux jambes, les genoux pliés et ses énormes cuisses écartés et accéléra le rythme tout en restant très régulier. Noémie et Patrick subirent alors le fortes secousses imposées par Jérôme. Si la jeune philippine appréciait ce soudain élan, le fan de tuning, en revanche, goûtait nettement moins les changements de positions de son ami.

La belle asiatique finit par avoir un second orgasme, ce qui néchappa pas à Patrick, aux premières loges pour lentendre. Avec un air satisfait, il demanda :

— « Cest moi qui ta fait jouir, hein ? »

— « Mmmh, non, les deux… »

— « Mais moi plus, hein ? Jai une grosse bite, hein ? »

Elle ne répondit pas et le fan de tuning, vexé, la pilonna de toutes ses forces. Jérôme avait encore accéléré et grognait de plus en plus fort. Totalement concentrée sur cette double pénétration, la jolie philippine ne pensait plus quà ses deux orifices remplis et gémissait elle aussi de plus en plus fort. Elle ondulait son bassin pour accompagner ses deux baiseurs et profiter au plus profond delle des deux bites. En sueur, le bodybuildeur proposa à Patrick déchanger. Ce dernier, énervé par le silence de Noémie sur ses « performances » accepta. Après de nombreuses contorsions, ils finirent par chacun prendre la place de lautre et se remirent à défoncer les trous dilatés de la belle asiatique. Le sportif Jérôme, fidèle à lui-même, sagrippa aux fesses de Noémie et la bourra toujours au même rythme et avec autant de violence. Patrick se mit dans la même position que son ami précédemment, une jambe plié et lautre genou reposant sur le « lit », comme pour une demande en mariage et encula aussi brutalement quil le pouvait la jeune femme qui hurla de plaisir et de douleur mélangés. Ils la baisèrent ainsi, au son dune musique électro de plus en plus rapide et forte.

Au bout dune dizaine de minutes, se sentant venir, Jérôme décida quil était temps de « finir » et que cela se ferait dans la bouche de la jolie Noémie. Celle-ci, docile et les yeux noirs brillants de désir, sagenouilla au pied du lit de fortune, bien maltraité, et ouvrit grand la bouche en tirant la langue, prête à recevoir les deux hommes. Ils se relevèrent et se mirent en face delle, chacun un peu décalé dun côté et de lautre en se branlant. Le bodybuildeur frappa la langue rose avec sa bite, vite imité par son collègue. Puis, dans un jet puissant, Jérôme envoya sa purée dans la bouche béante. Il poussa des râles de plaisir et après avoir tout largué, essuya son gland contre la joue de la jeune philippine. Avec sa main, Patrick fit pivoter la joie tête brune et éjacula à grandes giclées blanches directement dans la bouche, puis, lui aussi, essuya son gland sur le visage en sueur de la belle, qui se délecta de leur foutre et passa sa langue sur ses belles lèvres à la recherche de quelques gouttes égarées.

Derrière la porte, une voix retentit et semblait sadresser aux trois « amis ». Patrick baissa la musique.

« Hein ? Quest-ce quil y a? », dit-il dun ton agacé.

Une voix féminine reprit, plus fort :

— « Cest votre ami, il est revenu, il vous attend ! »

— « Ouais, maman, on arrive ! »

Ils se rhabillèrent et revinrent dans le salon. Noémie retrouva peu à peu sa raison. Elle comprit que le fan de tuning habitait toujours chez sa mère et ne devait pas recevoir de filles tous les jours, doù ses « questions ». Jérôme, lui, lavait baisé comme un acteur porno, cherchant la performance. Elle savait depuis longtemps que le « trouble » la faisait jouir beaucoup plus rapidement, et surtout presque systématiquement. Ce nétait certainement pas les « prouesses sexuelles » de ses partenaires qui y étaient pour quelque chose. Cette pensée la fit sourire. Elle navait plus de honte, ni de remord surtout après avoir démasqué Olivier. Seules comptaient maintenant sa quête de vérité et la reprise du contrôle de sa vie et de son corps. Ces mecs qui profitaient delle navaient aucune importance, même si lénorme plaisir quelle prenait commençait sérieusement à empiéter sur ses propres désirs. Elle devenait, peu à peu, friande de doubles pénétrations, de sodomie, dinsultes et de baise violente. Non seulement en période de « trouble », mais également en dehors. Peut-être un effet de plus de ce quelle vivait.

Elle avait vu le regard de Jérôme face à Olivier. Il avait « gagné la compétition ». Il avait fait jouir deux fois la copine de son ami. Patrick avait quant à lui un sourire stupide sur les lèvres.

— « Je vous ai pas trop manqué ? », fit Olivier.

— « Non, on a bien pu faire connaissance avec Noémie. On la connaît bien à fond maintenant ! »

— « Oui, ils ont été au fond des choses avec moi ! », sesclaffa Noémie.

Son téléphone vibra. Elle sen saisit et, en sexcusant auprès de tout le monde, partit sisoler dans les toilettes. Sur lécran du smartphone apparut la chambre quelle occupait avec Olivier. Il était au téléphone et semblait nerveux. Noémie monta le son :

— « Cest normal quelle agisse comme ça ? Je croyais que ça se passait autrement Ben, cest ce que je dis, cest pas normal. Cest au point son truc à lautre ? Ben, on dirait pas Oui, je sais, ça fait remonter des trucs qui sont déjà Oui, cest bon, je sais Cétait déjà en elle, patati patata Ça ne peut pas la transformer, je sais, jai été briefé, merde ! Je vous dis juste Bon, bref Oui, ok, jactive Garance. »

Après avoir raccroché, il chercha dans son répertoire et appela.

— « Souviens-toi. », dit-il simplement et stoppa lappel aussitôt.

Son piège avait fonctionné. Elle avait obligé Olivier à contacter ses complices en laissant délibérément son téléphone dans la chambre au moment de préparer les sacs et en « allumant » le vieux. Elle avait activé la caméra et le micro de son ordinateur et lancé un programme de surveillance avant de partir, quelle pouvait contrôler également de son portable. Les images enregistrées et quelle voyait en différé, lestomaquèrent. Qui était vraiment Olivier et à qui parlait-il ?

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