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A trois, c'est mieux – Chapitre 4

A trois, c'est mieux - Chapitre 4



Maman aimait notre entente qui allait bien au-delà de tout ce qu’elle aurait pu imaginer. Elle prenait des photos de nous deux qu’elle rentrait sur le net. Papa pouvait les regarder à loisir, à ses heures perdues. Elle me demandait de me caresser, cuisses bien ouvertes et me mitraillait de clichés numériques lorsque je parvenais à jouir sans me déconcentrer. Maman me questionnait insidieusement sur mes fantasmes les plus inavouables pour stimuler ma jouissance. J’explosais alors sans retenue aucune, grimaçante ou la bouche grande ouverte, comme sidérée par l’intensité toujours différente de l’arrivée d’un nouvel orgasme. Je me contorsionnais toujours ensuite et il ne lui était pas facile d’obtenir, pour éterniser ses instants magiques, des images moins floues de sa bonne petite salope docile en transe.

  Ce que j’ignorais également, c’était le fait que mes photos servaient également d’illustration à des échanges par mails avec des couples pervers et des vieux vicieux intéressés par mon profil. Mes parents choisissaient leurs contacts en fonction du degré de cérébralité, de culture et de discrétion de leurs interlocuteurs. Je tombai, une fois, par hasard sur des conversations où les nombreux internautes disaient leur excitation en des termes très crus et très insultants pour moi. La surprise passée, je me retrouvai, comme malgré moi, la main entre les cuisses. La chatte suante de besoins à assouvir dans l’immédiat. J’en parlai aussitôt à ma mère, une fois rentrée des courses. Nous sommes alors restées ensemble devant l’écran de l’ordinateur à échanger, en direct, avec la web cam branchée. Il s’agissait d’un couple d’âge mûr qu’elle connaissait bien. Très vite, j’ai dû retirer ma culotte pour leur exhiber ma chatte et mon cul, me toucher entre deux commentaires vicieux. J’ai même roulé des pelles baveuses à ma mère pour leur donner volontiers, en long et en large, ce qu’ils voulaient voir. C’était nouveau pour moi, mais furieusement jouissif. J’ai toujours aimé me montrer.

  Puis, on a réglé la caméra de manière à ce que nos ébats incestueux soient longuement regardés sur le lit de la chambre d’amis. C’était encore plus grisant de se savoir observée par des inconnus. J’ai si bien pris mon pied que j’ai recommencé l’expérience plusieurs fois, seule ou avec maman. Je devenais accro aux sites les plus cochons. Je fis installer une web cam dans ma chambre et passais mes nuits en très vicieuse compagnie, toujours à poil et très désireuse de satisfaire la cantonade jusqu’à des heures très avancées. Maman tolérait mes infidélités à la condition express de rester totalement disponible pour elle aussi. Elle finit par me dire, un jour, que ses orgasmes avec mon père étaient plus forts depuis qu’elle me savait occupée, dans la chambre à côté, pendant qu’elle baisait avec lui. Lorsque nous faisions l’amour, elle me questionnait sur mes aventures du net de la veille. Je ne me faisais jamais prier pour tout lui dire ainsi qu’une envie de plus en plus irrépressible de me faire prendre. Elle me savait aussi salope et provocante qu’elle. J’étais prête pour une plus sérieuse prise en main et j’avais hâte.

  Ma mère m’apprenait les diverses pratiques de la fellation avec ses godes. Je m’exerçais aux diverses manières de pomper un gros sexe d’homme ainsi que les préférences paternelles conseillées par elle qui le connaissait si bien. Je m’appliquais à bien faire et on se partageait l’engin bien imité, riant toutes les deux d’avance aux promesses de sucer papa à deux et de se partager son foutre. On se remplissait la bouche de lait Nestlé pour s’entrainer aux embrassades les plus avides de bonne crème. J’interrogeai ma mère sur le goût et la texture du sperme. Par jeu, elle insista pour que papa la prenne un soir, avec préservatif. Une fois le petit panier rempli, elle prétexta un besoin pressant pour venir me porter la précieuse semence paternelle en tiède. Elle me recommanda de fermer les yeux et d’ouvrir toute grande ma bouche pour y déverser le contenu du film plastique. Je le gardais longtemps sur la langue afin de me familiariser (c’est le cas de le dire!) avec le liquide produit par les couilles de papa. Celui-là même qui m’avait donné la vie. Et, bien que sans goût particulier, j’aimais déjà cette substance opaque et gluante comme on aime la vie!

Maman ne résista pas au besoin soudain et compulsif de m’embrasser, la bouche pleine. Ce geste amoureusement pervers, elle l’attendait avec une impatience de garce espiègle que je ne pouvais pas lui refuser. Je sentais sa langue nerveuse et inquisitrice me fouiller jusqu’à la glotte. ça faisait couler le foutre à la commissure de mes lèvres, dans mon cou et elle s’empressait de me lécher le visage pour le rattraper. Ce long baiser non plus, je ne l’ai pas oublié !

A suivre.

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