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A trois, c'est mieux – Chapitre 8

A trois, c'est mieux - Chapitre 8



J’avais, plus que jamais, très envie de faire pipi. Nous sommes allées, toutes les deux, dans la douche où j’ai pu uriner à petits jets spasmodiques dans…la bouche de ma mère ! Cette sale me buvait avec une soif non dissimulée. C’était la première fois qu’on inversait les rôles. Quoi de mieux pour une femme que de pouvoir pisser, debout, dans la gorge maternelle, en pleine gâterie buccale? J’ai joui comme une folle en lui disant les plus vexantes grossièretés et en frottant bien ma vulve béante contre sa jolie figure. Je tenais sa tête à deux mains pour plaquer sa face contre mon entrecuisse inondée. J’aurais aimé que papa soit à l’étage pour voir ça. Quel pied !

  En bas, dans le salon, c’était la foire d’empoigne. J’avais du mal à repérer papa au milieu de tous les gens à poil ou bien dévêtus qui s’embrassaient, se pelotaient, se pénétraient dans un concert de soupirs et de râles sous une lumière tamisée, à même le tapis de sol. On avait poussé la table basse et les fauteuils pour avoir de la place. Une dizaine de personnes formait un amas de corps en rut entremêlés. ça sentait fort le mâle et la transpiration femelle. Sur le grand écran, des images d’un film x.

  J’accompagnai ma mère à la cuisine pour servir des bières et des coupes de champagne aux participants. Je recevais, en me frayant un chemin parmi les couples enlacés, des mains baladeuses et des invitations à les rejoindre. Papa limait vigoureusement, dans sa position préférée, le beau cul bien cambré d’une jolie jeune femme, qu’il traitait de "sale chienne", en train de pomper son mari. Je me glissai sous elle pour lui caresser les flancs, lui sucer le bout des seins et lui titiller le clitoris. Mes mains pouvaient sentir l’imposant organe de mon père aller et venir dans le con trempé. Je me tournai alors, tête-bêche, pour voir ça de très près et lécher les parties génitales de papa durant l’accouplement. Il ralentissait la cadence et s’immobilisait en elle pour me permettre de lui gober les couilles à fond et laper sa hampe dégoulinante de mouille. Cela dura le temps que je ressente les violentes secousses corporelles, soudaines et spectaculaires, de celle qui jouissait au-dessus de moi. Les plaintes à peine étouffées par la bite du mari en bouche. Ses tremblements nerveux associés aux râles déclenchèrent l’éjaculation paternelle:

_Ah, putain…Je vais me les vider, salope !

  J’aime quand papa déconne. Je m’empresse de l’emboucher pour lui nettoyer la queue toute chaude qui sort du four. C’est du bon pain, pour moi. Puis, je bouffe la chatte ou le cul qu’il vient de tringler, histoire d’en extraire tout le jus. Quelle gourmande, je fais !

  J’aperçus maman qui n’était pas en reste, à l’autre bout de la pièce, occupée à sucer la vulve d’une dame d’âge mûr. Cette dernière était confortablement assise, les jambes bien écartées, sur l’un des fauteuils et semblait beaucoup apprécier le travail buccal de ma mère. Elle soupirait, geignant comme une truie en chaleur. La face grimaçante de plaisir. C’ était sûr, elle allait bientôt partir. Je ne désirais plus rien d’autre, alors, que de courir embrasser goulument maman, le visage souillé par la jute de la vieille peau qui s’était lâchée sur elle.

A suivre.

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