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Alain . . . – Chapitre 10

Alain . . . - Chapitre 10



L’expérience avec Patrick sans la présence d’Alain a été un bon moment passé. Alain est un homme très voyeur, mais aussi cérébral. Il est mon dominateur sans être brutal, sans pour autant abuser de moi, mais j’aime les expériences qu’il me fait vivre. Elles sont variées, surprenantes, et très coquines.

Il y a deux ou trois jours, Alain m’a demandé si je suis déjà allée dans un cinéma X. Ma réponse négative l’a étonné. En effet, je ne connais pas cet endroit, sauf de ce que j’ai entendu ou vu à la télévision.

Je suis en train de faire des courses, et l’envie d’aller le voir au retour me prend. Je lui envoie un SMS lui demandant si je peux faire un saut rapide chez lui dans le cas où sa femme n’est pas présente.

Coucou, j’ai fait des courses, je suis sur le point de rentrer chez moi, veux-tu que je passe te voir vite fait ? Envie de te faire sucer ?

Salut Nath. Oui, tu peux passer, je suis seul jusqu’à ce soir.

Je suis chez toi dans un quart d’heure environ.

Quand j’arrive chez lui, je le vois avec sa tondeuse au fond du jardin., habillé en jogging. Il vient à moi, m’offre un verre et nous allons sur la terrasse.

C’est gentil de venir me faire un coucou. Comme tu peux le voir, je ne suis pas en tenue pour te recevoir.

C’est normal, puis je te préviens juste avant de venir.

Mais il est bien que tu sois passée. J’aimerais te reparler plus concrètement du cinéma X.

Je t’écoute.

Nous pourrions y aller tous les deux. Je sais qu’il y en a un grand à Bordeaux. Par contre, il nous faudra prévoir l’après-midi.

Il est vrai que je ne connais pas ce genre d’endroit, alors je ne dis pas non. Puis Bordeaux, c’est bien, on ne nous connaît pas.

Alors nous allons organiser ça. Je te donnerai des détails sur ta tenue vestimentaire et ton maquillage.

Crois-tu que nous allons faire quelque chose avec d’autres personnes ?

Je ne le sais pas, mais il faut toujours le prévoir. On ne sait jamais. Peut-être quelques branlettes. A voir.

Ah oui ? Bon, d’accord. Tu veux une petite pipe avant que je parte ? (En posant ma main entre ses jambes.)

Non, je ne suis pas propre, je tonds depuis au moins deux heures.

Une petite branlette ? Regarde ma main. (Toujours en caressant son entrejambe.)

Il écarte ses jambes comme pour me dire oui. Puisqu’il est habillé en jogging, il est facile de glisser ma main dessus juste en tirant l’élastique. Je sens son sexe durcir sous le tissu de son caleçon. Il me regarde, attendri, laisse ma main se promener sur sa bosse qui est en train de se former.

Je le fixe dans les yeux avec mon regard provocateur, lui fais un sourire.

Je crois qu’une branlette ne va pas te faire de mal. N’est-ce pas ?

Vas-y, branle-moi.

Ici, sur ta terrasse ?

Oui, ici. On ne risque pas d’être vus.

Je tire vers le bas son pantalon de jogging jusqu’au niveau des genoux, fais la même chose avec son caleçon, et voilà une bite droite qui n’attend qu’à se faire du bien dans ma main.

De ma main droite, j’encercle sa colonne de chair et lui inflige des mouvements de va-et-vient réguliers.

Tu aimerais me voir faire la même chose dans le cinéma à Bordeaux ?

J’espère bien que tu vas en branler oui !

Que je branle toutes les queues qui se présentent ?

Tu es une vraie salope.

Je le suis pour toi. Tu aimerais me voir avec une queue dans chaque main dans la pénombre de la salle de projection ?

Tu vas en branler, tu vas voir. Devant moi.

Je sais qu’il aime que je lui dise des choses coquines de ce genre. J’accélère mon mouvement de va-et-vient, sa queue durcit encore plus fort, et sa semence envahit la paume de ma main.

Je vais dans la cuisine me laver les mains et le rejoins sur la terrasse.

Je suis heureuse, je t’ai soulagé avant de partir. Tu me tiens au courant alors pour le cinéma que je puisse bien m’organiser pour un après-midi ?

Oui, je te dirai, je vais y réfléchir. (Toujours assis sur sa chaise d’extérieur à récupérer de sa jouissance.)

Je suis de retour chez moi, j’ai une envie qui me prend à me caresser. Cette envie vient du fait que l’idée d’aller au cinéma avec Alain l’excite, étant donné que je ne connais pas du tout l’ambiance de ces endroits, propices à des coquineries.

Je vais dans ma chambre, retire mon pantalon moulant et mon string, m’allonge sur le dos, une main à me caresser et l’autre à pincer les tétons qui deviennent durs et tendus.

Je m’imagine une scène dans laquelle je suis assise dans un fauteuil de la salle de projection, plusieurs hommes derrière moi à me caresser les seins, deux ou trois devant moi, que je masturbe, Alain qui me regarde en se masturbant lui-même. Cette image me procure un bel orgasme sous l’effet de mes doigts sur mon clitoris.

Nous sommes samedi, ce soir, je vais avec quelques amies en boîte de nuit pour fêter l’obtention d’un diplôme d’une d’elles. Nous serons normalement une petite dizaine. Les conjoints, petits amis, maris ne sont pas conviés, c’est une soirée entre filles.

Je me prépare vers 21H00 pour sortir. Mon mari est devant la télévision, il ne me dit jamais rien quand je dois partir avec des amis le soir. Puis il faut dire que ce n’est pas souvent. Je lui fais un bisou, prends ma voiture, et vais directement chez la copine qui a organisé la soirée.

Quand j’arrive, elles sont déjà six. Il en manque normalement quatre. Je suis chauffeur avec mon véhicule, je peux embarquer quatre passagers, de ce fait, je bois un jus d’orange. La sonnerie de la porte d’entrée retentit, elle va ouvrir, et voilà deux autres qui arrivent. Quelques minutes après, un jeune homme, que je ne connais pas, d’une vingtaine d’années. Il est ami depuis longtemps avec la nouvelle diplômée. Quand tout le monde est là, nous partons à deux voitures.

Il est 23H30, peu de personnes dans la boîte de nuit. Nous nous installons autour d’une table, puis, avec quelques copines, nous partons sur la piste de danse.

La nuit est bien avancée, il doit être dans les environs de 3H00 du matin, Jean, le seul homme qui est avec nous, me propose un slow. J’accepte volontiers.

Il a un peu bu, me raconte un peu sa vie. Plus la série de slows avance et plus il se colle à moi, ses mains se déplacent discrètement vers mon fessier.

Tu peux relever un peu tes mains s’il te plaît. Ça ne se fait pas devant mes copines.

Je te fais remarquer que c’est mes copines aussi. C’est pour ça que je suis avec vous.

Mais tu peux quand même retirer tes mains de sur mes fesses.

Pardon. Je suis comme ça quand j’ai un peu bu.

Je suis comme toi aussi quand j’ai un peu bu, mais ce soir, je n’ai pas pris une seule goutte d’alcool, donc je ne suis pas comme toi ce soir.

Dommage.

Puis je suis mariée.

Je ne suis pas jaloux (en rigolant.)

Tu as gagné un point.

Sans m’en apercevoir, il a réussi à nous mener vers le fond de la piste de danse. De cet endroit, mes amies ne peuvent pas trop nous voir.

Tu es un malin toi. Tu ne lâches jamais rien toi ? Tu es toujours comme ça ?

Quand une femme me plaît, je tente. Même si elle est mariée.

Je vois ça oui. Mais je suis plus âgée que toi.

Tu as quel âge ?

28 ans. Et toi ?

20 ans.

Donc je suis plus vieille que toi.

Et alors ?

Plus vieille et mariée. Lâche l’affaire.

C’est ça qui m’attire, plus âgée et mariée, et en plus très belle.

Tu es gentil. On retourne avec les filles ?

Oui…

Au même moment où je me retourne pour prendre la direction de la table où est le groupe de filles, il me donne une tapette sur les fesses. Au lieu de le repousser ou de le réprimander, je me retourne et lui fais un sourire comme une idiote que je suis.

La nuit à la boîte de nuit s’achève, nous reprenons les voitures pour retourner chez notre amie organisatrice de la soirée. Jean a réussi à trouver le moyen de monter dans ma voiture, alors qu’à l’aller, il était dans l’autre. Je n’ai vu que du feu.

Une fois que nous sommes arrivés chez ma copine, je me décide à boire quelques petits verres d’alcool puisque je ne suis pas loin de chez moi, je dois avoir environ un quart d’heure de trajet.

Il est maintenant 5H00 du matin, j’ai bu trois verres d’alcool, entre la fatigue de la journée et la nuit fatigante, ma tête est légèrement étourdie. Trois du groupe sont parties, je décide d’en faire autant. Je commence à faire le tour de mes amies pour leur faire la bise et leur dire au revoir, puis à Jean, qui est plutôt éméché. Au même moment où je lui fais la bise, il dérape volontairement pour m’embrasser sur la bouche. Évidemment, j’ai esquivé.

Jean comprend que je suis en train de m’en aller, il me demande si je peux le ramener chez lui, m’explique qu’il habite à un petit kilomètre d’où nous sommes. J’accepte puisque c’est sur ma route. Une fois que nous avons dit au revoir à tout le monde, nous allons dans ma voiture.

Jean ne me laisse pas le temps de démarrer ma voiture que sa main gauche se pose sur ma cuisse. Au lieu de le repousser, je le laisse faire pour avoir la paix, au lieu d’entrer dans un discours interminable pour rien.

Ce coquin, voyant que je ne lui dis rien, dirige sa main entre mes cuisses. C’est à ce moment-là que je le repousse en prenant sa main, la pose sur sa jambe sans lui dire un mot.

Nathalie, tu me fais bander depuis le début de la soirée.

C’est bien, tu pourras te soulager plus tard.

Tu ne veux pas me soulager toi par hasard ?

Non, tu vas te débrouiller très bien.

Tu n’es pas cool, ou alors tu es une putain de fille sexy coincée.

Je sais. (Sans le savoir, il me vexe de dire que je suis une coincée. S’il savait !)

Jean est très dragueur, charmant, j’ai une attirance pour les jeunes depuis pas mal de temps. Il a réussi à taper dans le mille en me disant que je suis une coincée !

Je me gare le long du trottoir, coupe le moteur, éteins les phares de la voiture.

Tu es arrivé Jean. Je crois que tu as un peu trop bu et que tu vas aller te reposer.

Tu me fais bander et en plus tu es coincée. Ça craint !

Il insiste à me dire ce genre de propos.

Je te fais bander ? (En posant ma main gauche entre ses jambes.)

Qu’est-ce que tu fais ?

La coincée regarde si elle te fait bander, mais je vois que c’est mou.

Laisse-moi un peu de temps ! Qu’est-ce que tu veux faire là ?

Tu as envie de me sauter ?

Heu… Tu m’as refusé toute la soirée, c’est bon j’ai compris.

Tu as compris quoi ?

Que c’est mort avec toi, que tu es mariée et coincée.

J’ai eu envie de jouer avec lui.

Tu ne m’as pas dit tout à l’heure que je pouvais te soulager au lieu de le faire toi-même ?

Si, mais c’est bon. Arrête.

Sors là.

Hein ?

Sors là.

Je ne comprends pas trop ce que tu veux là.

Je te demande deux choses. La première est que ça reste strictement entre nous, pas un mot à personne, et la deuxième est de la sortir, et tu verras bien si la coincée ne va pas réussir à te soulager.

Tu veux vraiment que je le fasse ?

C’est toi qui te dégonfles ou quoi ?

Avec des gestes imprécis, il déboucle son ceinturon, retire les boutons de sa braguette, baisse son boxer maladroitement, sort son sexe et le laisse pendre sans rien faire d’autre.

Je le prends dans ma main gauche, le masturbe pour le faire durcir le regardant dans les yeux, malgré la pénombre. Il ne bouge pas, et même ayant un peu trop bu toute la nuit, surtout en boîte, je sens sa queue prendre du volume doucement dans ma main.

Alors ? Tu trouves toujours que je suis une coincée ?

Franchement tu m’étonnes. Tu vas continuer ici, dans ta voiture, devant chez moi ?

Tu as vu l’heure qu’il est ? Il fait nuit, tout le monde dort, et tu vis encore chez tes parents. Difficile de faire autrement. Non ?

Le truc est que je n’ai rien pour essuyer si tu vas jusqu’au bout.

Qui te dit qu’il faut un mouchoir pour essuyer ?

Ben, enfin, tu vois.

Moi je vois très bien, mais on n’a pas toujours besoin d’un mouchoir.

Je ne comprends pas.

Maintenant qu’il bande bien dans ma main, sans lui répondre, je me penche vers lui pour prendre directement sa queue dans ma bouche. Je fais de lents va-et-vient, j’alterne entre succions et léchage de gland.

Oh ! Putain ! Que tu suces bien ! Humm… Tu es douce !

En effet, il a raison de dire que je suis douce, car c’est mon but de lui faire une lente et douce fellation. La pénombre de la rue l’empêche de me regarder comme il le faut, mais il peut tout de même voir ma tête monter et descendre sur sa hampe de chair, d’un mouvement lent.

Je vais me répéter, mais tu es très douce. C’est trop bon ce que tu me fais.

Le fait qu’il me dise ce genre de chose me motive à devenir encore plus douce. D’une main, je maintiens son sexe raide à la base, et de l’autre main, je lui caresse juste en les effleurant, ses testicules.

Je sors ce joli sexe d’entre mes lèvres, et passe ma langue en la faisant tourner autour de son joli gland. Au moment où je pose mes lèvres autour en le tétant que je sens une contraction de sa part.

Fais gaffe Nathalie, je sens que ça va venir plus vite que prévu !

Je continue de le téter jusqu’au moment où une première giclée se pose sur ma langue. Je comprends qu’il est au point de non-retour que je décide d’emboucher entièrement sa queue et d’avaler sa semence au fur et à mesure.

Par plusieurs gorgées, j’avale, attends que plus rien n’arrive pour me redresser. Je me retrouve à quelques centimètres de son visage.

Tu vois que nous n’avons pas toujours besoin d’un mouchoir ? (Fière de moi.)

Whaouuuuu ! Alors toi ! Je ne te pensais pas du tout comme ça ! Tu montres une autre apparence, mais en fait, tu es une grande coquine.

ne va pas croire que je fais ça tous les jours non plus. Et les coquines ne le savent pas. Donc je compte sur toi pour ta discrétion et que tu n’en parles à personne.

Promis ! On pourrait se revoir ?

Tu crois que je vais te sucer à chaque fois qu’on se voit. (Rires.)

Je n’ai pas dit ça. Mais si on pouvait aller plus loin.

Non, on ne peut pas aller plus loin. Bon, je vais rentrer, il est tard. Peut-être à une prochaine fois ?

Bon d’accord. Bonne nuit, merci de m’avoir amené, et pour… ce que tu m’as fait.

Nous nous faisons la bise et je rentre chez moi. Mon mari est couché, je ne fais pas de bruit, vais me laver les dents et me glisse sous la couette tout contre lui et m’endors aussitôt.

Le lendemain matin, je me réveille, il est 10H30, mon mari n’est plus à côté de moi. Je me lève, enfile une nuisette, et descends au rez-de-chaussée de notre maison. Il est dans le canapé en train de lire. Je lui fais un bisou et vais prendre un café. Il vient me rejoindre dans la cuisine pour m’accompagner à boire un café.

Alors ma chérie, cette soirée ?

Elle s’est bien passée. Nous avons été en boîte de nuit puis sommes revenues chez ma copine.

Tu es rentrée tard ? Je ne t’ai pas entendue.

Il devait être dans les cinq heures, je pense.

Tu devais me réveiller par une gâterie si je me souviens bien. Non ?

Oui, je sais, je te l’avais dit, mais il était tard et tu dormais si bien.

ça mérite une fessée cul nue ça.

D’accord mon chéri, je dois être punie pour ne pas avoir fait ce que j’avais dit. Mais ce soir.

Nous sommes en face à face. Il se met à côté de moi, debout, prend une poignée de mes cheveux dans une de ses mains, penche ma tête en arrière.

Si je décide de te fesser maintenant, je le ferai.

Je n’ai pas très envie de recevoir une fessée ce matin, je suis levée depuis peu, il me faut un peu de temps pour me réveiller.

Non, chéri, laisse-moi au moins me réveiller un peu.

Sans me répondre, il baisse son pantalon de sport, sort sa queue bandante, plaque le gland contre mes lèvres.

ma petite salope de femme va me tailler une pipe tout de suite !

J’ouvre la bouche, il enfonce son pieu jusqu’au fond. En me tenant la tête, il fait aller et venir son pénis dans ma bouche comme quand il me prend la chatte.

J’encaisse ses allées et venues. Une de ses mains me pelote les seins. Il sort de ma bouche, lâche mes cheveux.

Viens sur le canapé ! (En me prenant par le poignet)

Je le suis. Je comprends que ce matin, il est chaud comme de la braise. Il s’assoit sur le canapé, me place, virilement, sur le ventre sur ses genoux et monte ma nuisette jusqu’à mes reins de façon à ce que mes fesses soient à sa disposition.

Je prends appui au sol sur mes mains, les bras tendus. Je reçois plusieurs claques sur les fesses pendant plusieurs minutes. Puis il arrête de me fesser, crache sur mon anus, introduit doucement un doigt.

Il le sait, quand je reçois une fessée, je me mets rapidement à mouiller et il peut faire de moi ce qu’il veut quand je suis dans cet état. Je le laisse faire, me détends pour que son doigt ne me fasse pas mal.

Je vais prendre ton beau cul de salope.

Non, chéri, pas comme ça, pas maintenant. S’il te plaît.

J’ai trop envie de le prendre ce beau cul. Le cul de ma femme est à ma disposition, et je n’en profite pas assez !

Je me mets à genoux sur le canapé, appuyée contre le dossier, mon mari positionne sa queue devant mon petit trou, et enfonce avec douceur son membre. Centimètre par centimètre, je sens sa hampe me remplir le cul. Une fois qu’il sent que je suis bien détendue, ses coups de reins se font de plus en plus profonds et rapides.

Il me claque les fesses, me sodomise énergiquement, m’insulte, s’excite en moi jusqu’à se vider au fond de mon rectum.

Pour ma part, je n’ai pas joui cette fois-ci, mais j’ai tout de même pris du plaisir.

La suite de la journée se passe très normalement, nous nous reposons dans le calme le plus absolu.

Deux ou trois jours après cette soirée et ce moment fessée et sodomie avec mon mari, je reçois un SMS d’Alain me demandant de lui téléphoner quand je le pourrai. Je l’appelle.

Bonjour, Alain, comment vas-tu ?

Bien, merci et toi ?

Je vais bien aussi. Tu m’as demandé de t’appeler ?

Oui, parce que tu ne peux pas passer, ma femme en ce moment est à la maison. Je voulais juste de demander si tu es toujours partante pour aller au cinéma X dont je t’ai parlé l’autre jour.

Ah oui que je suis toujours partante. Je ne connais pas du tout et je suis curieuse de découvrir ce genre d’endroit.

Super ! Tu réfléchis aux dates que tu es disponible. Il faut que tu comptes un après-midi d’absence. Nous partirons de chez moi vers 14H00, et je pense que nous rentrerons au plus tard 19H00. Nous prenons ma voiture.

D’accord, je te dis ça au plus rapide.

Le lendemain de cette conversation, je lui envoie un SMS.

Je peux me libérer la semaine prochaine, mercredi, et je serai libre tout l’après-midi.

Quelques minutes après, je reçois sa réponse.

Très bien. Je note. Je note. Je serai dispo aussi. Je VEUX que tu sois habillée avec gros décolleté, minijupe, bas et maquillage provocants.

Très bien, je serai comme tu me le demandes.

J’aime et prends du plaisir à être obéissante, être la soumise d’Alain. Je connais seulement la façon de m’habiller, de me maquiller et que nous allons dans un cinéma X qui est à Bordeaux, mais je n’en sais pas plus. Je ne suis même pas en mesure d’imaginer puisque je ne connais pas cet endroit. Mais je me doute déjà qu’Alain va me demander de ne pas être sage, et d’obéir à ses ordres.

Le mercredi arrive, rendez-vous sur une place de la ville de Périgueux. Je vais garer ma voiture dans le parking sous-terrain afin qu’elle ne soit pas visible garée dans le centre-ville de Périgueux, puis marche à peine cinq minutes pour attendre la voiture de mon dominateur. Le temps de ces cinq minutes de marche, je me suis fait remarquer par un homme d’environ soixante ans d’années qui ne s’est pas gêné pour me mater des pieds à la tête.

Je vois sa voiture, je me dirige aussitôt vers celle-ci, monte à l’intérieur. Je suis habillée avec une minijupe qui descend juste en bas de mes fesses, une chemise moulante avec les trois premiers boutons du haut ouverts, des chaussures à talons aiguilles, des bas autofixants. Je suis maquillée, provocante comme demandé. Le tour des yeux noir, un rouge à lèvres qui reste sur les lèvres longtemps de couleur rouge vif. Un zeste de parfum pour compléter le tout.

Nous empruntons l’autoroute pour faire Périgueux à Bordeaux. Question d’aller plus vite et de ne pas perdre trop de temps sur la route. Nous avons un peu de temps pour discuter le temps du trajet.

Tu crois qu’il va y avoir du monde dans la salle de projection ?

Il y a longtemps que je ne suis pas allé dans un cinéma X, mais la dernière fois que j’y suis allé, il y avait une dizaine de personnes.

On trouve des femmes aussi ou je serai la seule femme dans la salle ?

Il peut y avoir une ou deux femmes, en général, elles sont accompagnées de leur mari ou amant.

Je verrai bien de toute façon.

Oui, tu verras bien. Tout se passera bien.

Tu vas me demander de faire des choses ?

Suivant l’ambiance, le monde, il est possible que je te demande de faire des choses oui. Nous verrons.

Je suis inquiète, mais je fais confiance à Alain qui a l’air d’être sûr de lui. Une petite idée me traverse l’esprit, je mets cette idée à exécution en posant ma main entre ses jambes et commence à caresser son sexe mou, au travers le tissu de son pantalon.

Une petite pipe sur la route ?

Non, réserve ça tout à l’heure dans le cinéma.

Alors une petite branlette ?

Non plus. Ne t’inquiète pas, si tu as envie de branler, j’espère que je vais t’en trouver.

Hum… Tu vas me faire faire ça ?

Très possible oui.

Tu vas me faire sucer aussi ?

On verra comment ça se passe.

Nous arrivons sur Bordeaux, la circulation est dense, mais fluide. Alain se gare dans un parking sous-terrain, et nous nous dirigeons vers le cinéma. Une fois devant la porte, j’ai un peu le trac, mais en même temps, j’ai hâte d’y entrer.

Attends, tu me laisses le temps de fumer une cigarette avant d’entrer ?

D’accord, et ça permettra de voir s’il y a du monde qui entre le temps que tu fumes.

Je regarde les affiches, les programmes, il est vrai que c’est plutôt hard. Pas loin de ce cinéma, dans la même rue, plusieurs sex-shops sont ouverts.

Le temps de fumer ma cigarette, deux hommes sont déjà entrés. Nous entrons à notre tour.

Pour le moment, à l’entrée, ça ressemble à un cinéma normal, sauf que les films sont interdits au moins de 18 ans. Quand nous sommes au niveau de la caisse, je suis un peu gênée envers le caissier. Je baisse les yeux, je ne sais pas où poser mon regard.

L’homme me regarde, me fait un sourire.

Je suis Alain, nous empruntons un grand escalier, et, en haut, nous avons deux portes à chaque bout du couloir. Nous prenons la porte de droite, et arrivons dans une petite salle dans laquelle quelques personnes sont assises. La salle est très sombre, un film est projeté sur le grand écran sur lequel je peux voir une scène où une femme se fait prendre en double pénétration en poussant des cris sauvages.

Nous nous installons vers le milieu de la salle et commençons à regarder le film sagement. Discrètement, je tourne la tête pour voir un peu le nombre de personnes présentes. Je m’aperçois que nous sommes au maximum cinq ou six. En revanche, pas une seule femme ! Je me sens un peu seule sur le coup.

Je commence à regarder le film, toujours cette scène où cette femme se fait prendre par deux hommes quand Alain commence à me caresser la cuisse en m’embrassant.

Comment tu trouves l’endroit ?

Je suis la seule femme dans la salle. Je ne suis pas très rassurée, surtout avec la tenue vestimentaire que j’ai !

Ne t’inquiète pas, il n’y a pas grand monde et tu t’es déjà fait remarquer quand nous sommes entrés dans la salle.

Justement ! Ils vont faire quoi ces vicelards en voyant que je suis la seule femme ? !

Soit ils ne font rien, soit ils s’approchent.

Et s’ils s’approchent, je fais quoi ?

Je te le dirai.

Il reprend ses baisers, m’embrasse dans le cou, sur les lèvres. J’aime la sensation de ses baisers, mais moins l’ambiance qui règne dans la pièce.

Ne te retourne pas. Un homme est à deux rangs derrière nous, il nous mate depuis que je suis en train de t’embrasser.

Il se branle ?

Non, je ne le crois pas. En tout cas pas pour le moment.

Pendant qu’Alain m’embrasse et me caresse la cuisse, je ferme les yeux, et laisse une de mes mains se balader sur sa jambe.

L’homme qui est à deux rangs derrière nous s’est levé.

Il va faire quoi ?

Il est en train de faire le tour. J’ai l’impression qu’il va se rapprocher de nous.

Ah bon ? Il va nous mater ?

Je pense oui.

Alain a à peine terminé sa réponse que j’entends une voix d’homme. Il se penche, sa tête se trouve entre Alain et moi.

Il est possible que je m’installe à côté de la dame juste pour vous regarder ?

Je ne sais pas quoi répondre, dirige mon regard vers Alain qui comprend mon hésitation et lui répond à ma place.

Avec plaisir.

L’homme fait le tour de la rangée des sièges puis s’assoit sur le fauteuil à ma gauche.

Alain me caresse les cuisses, puis sort un de mes seins. (Je précise que sur ordre d’Alain, je ne porte pas de soutien-gorge, juste une veste et une chemise.)

Mon voisin de gauche, cet inconnu, dont je ne vois qu’une silhouette du fait du peu de clarté de la salle regarde, se caresse entre les cuisses. Alain me malaxe le sein en m’embrassant. Cet inconnu, en se mettant juste devant moi, se penche vers Alain pour lui demander s’il pouvait se masturber.

Je suis à moitié surprise de sa réponse.

Oui, faites-vous plaisir, elle aime être regardée.

Je ne dis rien, laisse Alain diriger les choses. Je tourne discrètement la tête vers mon voisin de gauche, et vois cet homme sortir son sexe, le tenir avec sa main gauche, regarder Alain m’embrasser et me peloter les seins en se masturbant.

Je suis assise dans ce fauteuil, mes mains posées sur mes cuisses, sans bouger, à me laisser peloter par Alain et à être observée par cet inconnu. Je suis très gênée, l’ambiance est tout de même un peu glauque.

Alain approche son visage vers le mien, tout près de mon oreille.

Tu ne vas pas le laisser se débrouiller tout seul quand même ?

Que veux-tu que je fasse ?

Prends sa queue dans ta main et branle-le !

Dis-lui toi, je ne vais pas le faire comme ça sans le prévenir.

Ne fais pas ta timide, fais ce que je te dis !

Je suis un peu hésitante, mais comme j’obéis toujours à Alain, japproche ma main de sa cuisse, le caresse quelques instants, puis je pousse délicatement la main de mon inconnu. Il a tout de suite compris, et a rapidement retiré sa main pour laisser place à la mienne. De ma main gauche, je le branle doucement.

Fais-le gicler !

A ces paroles, je sers un peu plus son sexe et ai accéléré la vitesse jusqu’à recevoir sa semence qui inonde ma main dans des soupirs pas très discrets. A peine avoir éjaculé, ce monsieur inconnu range son sexe, sort un mouchoir en papier de sa poche et me le donne en me glissant ces quelques mots dans le ceux de mon oreille.

Merci, c’était très bien, l’homme qui est avec vous a de la chance d’avoir une femme comme vous.

Merci (intimidée.)

Il se lève et part, je suppose, dans un autre endroit de la salle ou est tout simplement parti du cinéma.

Je m’essuie la main en regardant Alain avec un petit sourire espiègle.

C’est bien, je suis fier de toi, il n’a pas tenu longtemps, tu es une bonne branleuse. Tu m’excites ! Tu as aimé lui faire ?

Oui, mais je crois que nous nous sommes fait remarquer par ceux qui sont derrière nous, à quelques rangs.

Et alors ? ! Ils ont qu’à approcher s’ils veulent le même traitement !

Oui, enfin, ils peuvent aussi rester à leur place. Je ne vais pas me les faire tous quand même.

Tu feras ce que je te dirai ! On est bien d’accord ? !

Oui.

Nous restons à notre place et Alain prend ma main droite pour la poser entre ses cuisses. Je comprends qu’il a envie que je libère son sexe. Sans me faire prier, je descends la braguette de son pantalon, difficilement je sors sa queue de son logement tellement elle est raide, puis commence à le masturber à son tour.

Vas-y doucement, je suis excité, ne me fais pas éjaculer maintenant, c’est juste pour montrer à celui qui est au bout du rang que tu me branles.

Je regarde au bout de notre rang, et, comme de fait, j’aperçois un homme qui nous regarde, mais ne se masturbait pas. J’ai tout de suite compris qu’il m’avait vu branler celui qui était venu nous rejoindre.

Tu veux en branler un autre ?

Si tu as envie de me voir branler un autre homme, je te dis oui. Après tout, nous sommes à Bordeaux et nous ne sommes pas connus.

Je vois Alain faire un signe à l’homme du bout de rang. Il se lève et se dirige vers nous discrètement. Une fois à notre niveau, l’homme se penche.

Bonjour, Madame, bonjour Monsieur. Vous avez quelque chose à me demander ?

Bonjour, oui, comme vous pouvez le voir, je suis en charmante compagnie, et cette femme que vous voyez désire vous masturber. Voulez-vous vous faire masturber ?

Si cette charmante femme le veut bien, je ne vais pas lui refuser et accepte volontiers cette jolie proposition. (En me regardant.)

… (Je hoche la tête pour lui exprimer mon consentement.)

Alain l’invite à aller s’installer à côté de moi, à la place du précédent que j’ai branlé.

Cet inconnu, d’une soixantaine d’années, je pense, chevauche les jambes de mon dominateur, puis les miennes pour venir s’asseoir dans le fauteuil à ma gauche. Nos regards se croisent, il me sourit et fait mine de regarder le film X qui défile sur le grand écran.

A toi de jouer, vas-y Nathalie, sors sa queue et branle-le.

Je m’exécute en baissant sa braguette, il m’aide à sortir son sexe et me voilà avec sa queue dans ma main gauche à la branler. Elle est plus épaisse que le précédent, peut-être un peu plus courte.

Puisque mes seins sont sortis du dessous de ma chemise, l’inconnu s’est permis sans demander l’autorisation à qui que ce soit, de me pétrir la poitrine. Alain le voit, mais ne lui dit rien, alors je ne lui dis rien non plus, je le laisse faire. Et me voilà avec 4 mains sur les seins et un homme que je ne connais pas que je suis en train de branler. Son liquide chaud ne met pas longtemps à envahir ma main. Il est resté un peu à me caresser, s’est levé puis est parti aussi sans me remercier !

Mon dominateur a tout prévu. De sa poche, il sort un paquet de mouchoirs papier pour que je m’essuie une nouvelle fois les mains. Je vois dans son regard qu’il est heureux et prend du plaisir à me voir donner du plaisir manuel à ces hommes qui ne demandent que ça.

Retire ta culotte petite salope !

Non Alain, pas ici, déjà que je n’ai pas de soutien-gorge !

Fais ce que je te dis ! Retire ta culotte !

Je regarde autour de moi, personne ni à droite ni à gauche. Les autres sont derrière. Je me penche, enlève mon string et le donne à Alain.

Très bien, je vais pouvoir te doigter comme une chienne que tu es. Écarte les cuisses !

J’avoue que le fait d’avoir donné du plaisir à ces deux inconnus m’excite, et Alain le sait ! Il n’a eu aucune difficulté à introduire un puis deux doigts dans ma chatte très mouillée.

Le fait de sentir ses doigts aller et venir dans ma chatte humide de désir, je me suis un peu plus excitée encore.

Laisse-moi te sucer, j’ai envie de te sucer maintenant !

Tu veux sucer ? Alors tu vas sucer un mec de la salle. Regarde autour de toi et dis-moi lequel tu veux sucer !

Non, c’est toi que je veux sucer !

Regarde autour de toi et dis-moi lequel tu veux pomper ! Petite salope que tu es !

Je comprends que ce n’est pas la peine d’insister et qu’il veut absolument me voir sucer un autre homme que lui devant ses yeux. Je regarde dans la salle, et je vois, à trois rangs derrière nous, dans la pénombre, un homme, qui apparemment ne s’est pas aperçu de notre petit manège. Il est difficile à dire puisque je ne le vois pas très bien, mais je pense qu’il est âgé d’une cinquantaine d’années, plutôt mince.

Regarde celui qui est assis à trois rangs derrière nous, sur notre gauche. Il regarde le film avec attention. Je crois qu’il ne se branle pas, mais il est captivé par les images. Tu le vois ?

Alain tourne la tête derrière vers la gauche.

Oui, je le vois. Tu veux le sucer ?

Non, je préfère que tu regardes le film et je te suce tranquillement.

Non, pas pour l’instant. Tu es venue ici pour que je te fasse faire des coquineries. Alors tu vas en faire !

Bon d’accord. Je veux bien le sucer parce que tu me le demandes.

Je suis surprise de la réponse d’Alain.

Tu vas me montrer de quoi tu es capable. Tu te lèves et tu vas le voir ! Je reste ici ! Je ne bouge pas de ma place.

Non ! Tu viens avec moi. Je ne veux pas y aller seule. Il va carrément me prendre pour une pute.

Mais tu es ma pute. C’est moi qui te le demande !

Je ne vais quand même pas me lever au milieu de la salle, aller le voir et naturellement lui demander comme si je lui demande s’il a du feu !

Lève-toi et vas-y ! Prouve-moi que tu es ma soumise et tu y vas toute seule !

Je le fais vraiment parce que tu le veux. Mais je peux te dire que j’ai peur de faire ce que tu me demandes. C’est difficile pour moi, tu sais ? !

Oui, je le sais, mais tu en es capable. En plus, ici, tu es en sécurité. Personne ne va te violer ou te forcer. Tiens, prends ces mouchoirs en papier, tu peux en avoir besoin.

Je prends le paquet de mouchoirs, réajuste ma chemise et ferme les boutons ouverts depuis tout à l’heure quand je me suis fait peloter les seins. Je lui lance un regard noir. C’est avec une petite peur en moi que je me lève. Puisque nous sommes au milieu d’une rangée, je longe le rang des sièges, vais à 3 rangs plus haut et refais une partie de la rangée jusqu’à ce que j’arrive à sa hauteur. Il a l’air surpris de me voir venir vers lui. Je lui fais un sourire, m’approche de lui en me penchant.

Bonjour, je suis accompagnée de l’homme qui est à trois rangs devant vous. Si je viens vous voir, c’est pour vous demander si vous désirez que je vous fasse une fellation juste pour le plaisir. Vous avez le droit de refuser. Ne vous inquiétez pas, c’est mon accompagnateur qui m’a demandé de venir vous voir.

Bonjour Mademoiselle. Vous voulez le faire ici ? Comme ça ?

Oui, et je repars aussitôt après rejoindre l’homme qui est avec moi. Sans rien de plus.

Il est possible d’aller dans les toilettes, car si vous êtes vue à faire une fellation, vous allez avoir des spectateurs dans peu de temps.

Les spectateurs ne me gênent pas. Je vous fais une fellation, et s’il y en a qui viennent regarder, je ne serai pas gênée.

Ben moi, je serai un peu quand même.

Je reviens, je vais demander à mon complice s’il accepte que j’aille avec vous dans les toilettes.

heu… D’accord.

Je suis donc obligée de refaire le même circuit que quelques minutes avant pour retourner voir Alain. Je sens tous les regards sur moi, des pieds à la tête.

Le mec préfère que je le suce dans les toilettes. Il dit que je risque d’avoir des spectateurs, et ça le gène. Je fais quoi moi ?

Soit tu vas en voir un autre, sinon, d’accord pour les toilettes, mais dans ce cas, je viens avec vous.

Ah oui, tu viens ! Je ne vais pas toute seule dans les toilettes.

Alain se lève, je le suis. Nous sommes dans l’allée centrale, je lui fais un signe pour lui faire comprendre que c’est d’accord pour les toilettes. Il se lève sans aucune hésitation, Alain et moi le précédons.

Tout en marchant, je regarde autour de moi en prenant garde de ne pas trop tourner la tête à droite et à gauche. Je vois ces quelques hommes présents dans la salle me, ou nous regarder. Je pense qu’ils comprennent que nous allons nous isoler un peu, et cette idée me fait peur.

Nous entrons dans ces toilettes que je découvre. Ils sont propres, beaux et en bon état. J’entends, en bruit de fond le son du film. J’en suis étonnée.

Je peux dévisager un peu mieux l’homme que j’ai choisi comme proie. Je ne me suis pas trompée, il est mince, dégarni, entre cinquante et cinquante-cinq ans, pas de barbe ni de moustache.

Il ouvre une porte, me fait un signe pour comme pour me dire d’entrer à l’intérieur. Ce que je fais, suivie d’Alain. Il entre en dernier et ferme la porte derrière lui.

Je m’aperçois que nous sommes dans les toilettes pour personnes handicapées. L’espace est plus grand. Il est immobile, debout, attend, en me regardant.

Qu’as-tu dit à ce monsieur ?

Je lui ai proposé de lui faire une fellation.

Alors qu’est-ce que tu attends ? Vas-y ma chérie, fais-toi plaisir.

Je m’approche de l’inconnu, je lui fais quelques bisous dans le cou et les joues tout en le touchant entre les cuisses au niveau de son sexe. Je sens sous ma main une grosse bosse que je caresse en le fixant dans les yeux. Peu à peu, je me baisse, puis arrive au niveau de sa braguette. Je l’ouvre et sors son sexe raide. A quelques centimètres de mon visage, je découvre une queue droite, fine, mais avec un gros gland.

En fixant Alain dans les yeux, je donne de petits coups de langue sur ce gros gland. Je pose ensuite mes lèvres dessus, ouvre la bouche puis l’avale centimètre par centimètre pour le sucer comme je sais si bien faire.

Alain s’approche et s’accroupit et me regarde avec attention. J’aime quand il me regarde faire une pipe !

J’en ai branlé 2, c’est vrai, mais j’avais tellement envie de sucer !

Mets-toi debout et baisse ton pantalon que je puisse te sucer en même temps.

Non, je te regarde.

Je me concentre à la douce fellation que je suis en train de faire à ce parfait inconnu devant le regard d’Alain, qui est toujours accroupi, à me regarder sans en perdre une miette. Ma bouche va et vient sur cette hampe de chair, je varie les mouvements, j’alterne entre allées et venues et léchage de testicules et gland.

En levant les yeux, je vois l’homme, ses mains posées sur ses hanches, à déguster ma bouche. Mais peut-être aussi à se retenir de ne pas éjaculer trop vite, car je sais qu’il prend du plaisir.

Cela fait maintenant une bonne dizaine de minutes que je suis dans cette situation que nous entendons la porte d’entrée des toilettes dans lesquelles nous sommes s’ouvrir. J’ai eu un moment d’arrêt. Mais Alain m’a demandé de continuer. Obéissante comme je le suis, je reprends le sexe en bouche et continue à sucer sensuellement.

C’est alors que j’ai compris qu’Alain, vicieux comme jamais, a ouvert la porte des WC où nous sommes ! Un homme s’est approché et s’est mis juste au niveau de la porte pour me regarder faire. A cet instant, je ne sais pas trop comment réagir. Si je dois continuer ou stopper.

Je dirige mon regard vers Alain qui me fait signe de continuer comme si le " voyeur au niveau de la porte " n’était pas là. Ce que je fais.

L’homme que je suce se décale et s’appuie contre le mur, en restant debout, toujours en fermant les yeux. L’autre, à la porte, a sorti son sexe et se masturbe en me regardant. Alain est toujours accroupi en train de me regarder faire cette caresse buccale.

Je me surprends à aimer cette situation. Mes peurs de tout à l’heure ont totalement disparu. Le fait de m’imaginer à genoux à sucer pendant qu’un autre que je ne connais pas se masturbe au niveau de la porte et tout cela devant Alain m’excite de plus en plus. Mes lèvres deviennent molles, prennent bien la forme du sexe qui coulisse entre mes lèvres.

Je sens que mon inconnu a de plus en plus de mal à se contenir. Je lève la tête et lui pose une question.

Où voulez-vous jouir ? Dans ma bouche ? Sur mes seins ? Sur mon visage ?

Si tu me laisses le choix, je vais te répondre dans ta bouche.

Je regarde Alain qui me signe que c’est OK.

Je n’avais pas vu, mais je m’aperçois qu’un deuxième homme est à la porte à me regarder et à se branler ! Surprise, je regarde Alain d’un air interrogateur.

Continue ma belle, finis ce que tu as proposé !

J’ai confiance en lui, je reprends le sexe en bouche et me mets à pomper en masturbant en même temps pour recevoir la semence dans ma bouche. Alain comprend qu’il a éjaculé.

Recrache dans le lavabo ma petite salope.

Je me lève, me dirige vers le lavabo qui est juste à côté de moi et recrache. J’en profite par la même occasion pour me rincer la bouche en faisant couler un petit filet d’eau.

L’homme que j’ai sucé avait l’air très ennuyé, il remet en place sa queue, réajuste sa chemise, s’approche de moi.

Merci, vous êtes une femme merveilleuse.

Merci, Monsieur, j’ai pris également du plaisir.

Bonne continuation à vous.

Il part, les yeux rivés sur le sol pour ne pas croiser le regard des deux autres qui sont toujours au pas de la porte. Je suis debout au milieu de ces toilettes, je ne sais plus quoi faire, je porte un regard interrogateur à Alain. Que dois-je faire à cet instant ? Devons-nous retourner dans la salle de projection ? Ou bien retournons-nous à Périgueux ? Que dois-je faire ?

Je comprends ses intentions quand il fait entrer les deux hommes dans les toilettes, referme la porte derrière eux, mais cette fois-ci, il la ferme à clé. Je me retrouve face à deux hommes dont Alain la queue à l’air, juste sortie de leur braguette… J’attends les ordres d’Alain pour savoir ce que je dois faire.

Toi aussi tu as envie d’une petite pipe ? (En s’adressant à l’un des deux hommes.)

Non, ce n’est pas d’une pipe dont j’ai envie. (En ayant toujours son sexe en main à le secouer d’un geste lent.)

Je suis surprise de cette réponse. Plusieurs questions se bousculent dans mon esprit. De quoi a-t-il envie celui-là s’il ne veut pas que je lui fasse une fellation ? Peut-être qu’il a tout simplement envie que je le branle ? Ou bien… Juste regarder en se donnant du plaisir solitaire ? Ou pire ! Il a envie de me prendre. Mais s’il a envie de me prendre, ma réponse sera négative, et Alain le sait très bien. Alors ? ! Quoi ? Une petite inquiétude monte en moi. J’entends la voix d’Alain qui brise le silence.

Ma complice ne souhaite pas de pénétration. Elle est là juste pour sucer ou branler. Elle ne va pas plus loin que ces deux choses.

Je ne veux pas la pénétrer. Elle a l’air de cacher sous cette jolie chemise une très belle paire de seins que j’aimerai découvrir, caresser, et me faire du bien entre les deux. C%2

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