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Aramis – Chapitre 1

Aramis - Chapitre 1



Aramis

Un matin de septembre je décide daller chercher des champignons dans la forêt dà côté. Cest une forêt réputée pour lénorme quantité de champignons trouvés chaque année. Je ne la connais pas et je ne pense pas en ramasser beaucoup, mais ça me fera prendre lair, je suis enfermé à travailler sur mon ordinateur depuis trop longtemps. Il fait encore assez chaud pour que je sors légèrement habillé, short et chemisette. Bien sûr, comme dhabitude, je me prépare et emmène tout mon matériel dans mon sac. Arrivé à la forêt, je mengage dans un chemin assez large. A force de prendre les petits chemins à droite ou à gauche, je fini dans un cul de sac. Le chemin est barré par de grosses branches apparemment tombées suite à la dernière tempête. Je fais demi-tour et je tombe nez à nez avec un chien de race indéterminée mais dau moins quarante cinq voir cinquante de kilos. Cest une belle bête dune grande élégance, belle ligne, beau port de tête, en plus il a lair intelligent. Je suis scotché de peur car jai la phobie des gros chiens depuis quun jour, à lâge de 7 ans, je me suis fait mordre par un setter qui ma coursé quand je me rendais à lécole. Le chien simmobilise aussi, surpris par mon demi-tour. Le chien approche doucement, il me regarde la tête haute sans méchanceté. Je suis un peu rassuré. Lui a lair très pacifique. Une fois à moins dun mètre de moi, il sassoie et me regarde. Je tend la main pour la poser sur sa tête, une fois le contact établi, il se relève et vient se frotter contre moi. Je suis adopté.

Je reprends ma recherche de champignons suivi comme mon hombre par le chien. Jarrive dans une clairière verdoyante traversée par un petit ruisseau. Je décide de prendre un instant de détente pour me repérer car à priori je suis complètement pommé. On ne va pas sen faire pour ça et je mallonge sur lherbe au bord dun méandre du ruisseau qui forme un petit bassin. La marche ma un peu fait transpirer et après avoir constaté que la température de leau nétait pas trop froide, je décide de me tremper dans cette espèce de petite piscine formée par le ruisseau. Jenlève le peu de vêtements que je porte et entre dans leau. Le chien reste sur le bord en me regardant, il a lair inquiet, il narrête pas de faire des allers-retours au bord de leau. Au bout de deux ou trois minutes, je sors de leau car elle est vraiment limite. Le chien me fait la fête, je suis obligé délever la voix pour quil se calme. Je mallonge sur le dos pour me sécher au soleil. Au bout dun moment je me mets sur le ventre les jambes écartées pour offrir mes fesses au soleil. Je rêvasse quand tout à coup, je sens quelque chose de froid sur mes fesses. Cest le chien qui me renifle le cul. Je ne bouge pas et jattends la suite. Elle arrive tout de suite sous la forme dune langue qui me nettoie le fion. Jécarte mes fesses avec mes mains pour lui facilité la tâche. Le chien sen donne à cur joie, sa langue me titille les couilles et remonte jusquà mon cul. Je suis de plus en plus excité. Je redresse un peu mes fesses ce qui permet au chien davoir plus damplitude avec sa langue. Je commence à bander mais je me pose des questions. Je ne connais pas ce chien, je ne sais si je peux lui faire confiance. Il a lair doux, mais lexcitation ne va-t-elle pas lui faire perdre les pédales. Je me relève et lui fait face. Il me regarde mi surpris, mi triste. Je lui caresse la tête, il se laisse faire.

-Ok le chien, je vois que tu veux la même chose que moi, allons-y.

Je prends du gel dans mon sac, men enduit le fion et me met à quatre pattes en posant ma chemisette sur mon dos. Le chien vient immédiatement se positionner derrière moi, il me monte dessus, menserre les hanches avec ses pattes avants et commence des mouvements de bassin saccadés. Je sens sa bite taper contre mes cuisses, mes fesses, il ny arrive pas tout seul. Je dirige ma main droite vers son sexe. Il est beaucoup plus gros que je ne pensais, je men empare et le dirige sur mon fion. Un coup de rein du chien et sa bite me pénètre dun trait. Je ressens une violente douleur qui me fait avoir un reflex de dégagement mais le chien menserre et ne me libère pas. Il me besogne à un rythme infernal, mon sphincter se dilate petit à petit et la douleur se transforme en plaisir davoir un tel braquemart dans le cul. Je baisse la tête entre mes bras, ferme les yeux et apprécie le moment à sa juste valeur quand une main vient se saisir de ma bite raide.

-Je vois quAramis a fait une nouvelle connaissance, ne vous en faites pas, je pratique moi-même et jadore voir mon chien soccuper de quelquun dautre.

Je suis tétanisé, je me trouve devant un homme entrain de me faire baiser par son chien. Il a lair de bien prendre la chose, mais moi je ne suis pas à laise du tout. De plus sa main a commencé un va et vient lent et profond. Et puis après tout, jai envie de me faire enculer par un chien, il y a son maître, et alors, quest-ce que ça fait. Je décide de me laisser aller, repose ma tête entre mes bras, ferme les yeux et advienne que pourra. La main lâche ma bite et est immédiatement remplacée par une bouche avide. Sa langue me titille le gland, sa bouche maspire la verge pendant quune bite me laboure le cul à une vitesse folle. Sur un coup plus violent, Aramis me plante son nud en explosant ma rondelle. Ce nest pas particulièrement douloureux, mais jai limpression que mon cul ne va pas résister à cet assaut final. Aramis simmobilise et me déverse des litres et des litres de sperme dans le canal. Je sens le sperme déborder sur mes cuisses, mes plantes de pieds sélectrisent, mes jambes tremblent, mon ventre se noue, mon cur saffole, mon cerveau ébullitionne et jexplose dans la bouche de lhomme. Mon corps est agité de soubresauts, je ne tiens plus sur mes jambes et je mécroule sur lhomme qui me pompe. Il se retire, se redresse et sassoie à côté de moi.

-Cétait bon ?

-Super, votre chien est vraiment très endurant.

-Ils le sont tous, dailleurs je vais te le prouver quand il taura libéré, moi aussi jai envie de me faire mettre par lui. Tu permets quon se tutoie, au fait moi cest Marc et toi ?

-Jean.

Marc se lève, se déshabille et sallonge à côté de moi. Il est assez athlétique avec un sexe de bonne taille sans plus terminé par un énorme gland. Nous discutons de tout et de rien. La situation est cocasse, je suis à quatre pattes avec une bite de chien dans le fion en train de discuter avec un mec à poil allongé à côté de moi. Tout à coup, Aramis me libère. Marc se met à quatre pattes. Je remarque quil bande. Je me mets sur le dos et me glisse sous son ventre pour pouvoir gober sa bite raide.

-Oui, jaime, continue Jean. Aramis mon chien, jai besoin de toi.

Aramis savance vers nous, vient renifler le fion de Marc. Sa bite est à ma portée, je tends la main droite pour men emparer. Je le masturbe doucement, le chien réagit, je vois sortir doucement de son fourreau une tige écarlate qui grossie à vue dil. Quand il est suffisamment excité, je le lâche et Aramis se positionne derrière Marc, lescalade et se plante en lui dun seul coup de rein.

-Oui mon chien, vas-y, cest bon de te sentir en moi.

Jai une vue imprenable sur une bite de chien défonçant le fion dun mec à grand coup de rein. Le rythme dAramis est extrêmement rapide, un liquide transparent sort de lanus dilaté de Marc, il sert de lubrifiant.

-Oh lala, sa bite grossie, il va me remplir, il va jouir.

Aramis donne un coup de rein plus violent et sa boule senfonce dans les entrailles de marc.

-Oui, il me possède complètement, vas-y mon Aramis, défonce ton maître chéri, rempli le de ton foutre.

Aramis simmobilise, il ne donne plus que de légers coups de rein. Un liquide blanchâtre séchappe du fion de Marc. Il le rempli de son foutre. Marc limite et me remplit à son tour de son foutre. Javale tout avec peine car Marc ne doit pas avoir joui depuis quelque temps vue la quantité quil menvoi dans la bouche. Je me dégage pour métendre sur lherbe et reprendre mes esprits. Aramis est toujours collé à Marc. Ca va durer dix minutes avant quil se libère. Pendant ce temps nous discutons de nouveau, mais les positions sont inversées. Quand Marc est libéré, il se redresse est va dans la petite piscine de la rivière.

-Tu viens, elle est bonne.

-Bonne, bonne, cest toi qui le dit, je me suis trempé tout à lheure, et je tavoue quelle est plus que limite pour moi.

-Viens, tu verras quen faisant un peu de mouvements on peut y rester un petit moment.

Je le rejoins dans leau, elle nest pas si bonne que ça et je suis sur le point de ressortir. Marc sapproche de moi et pose une main sur ma fesse gauche, lautre sur la fesse droite. Il est face à moi et me regarde droit dans les yeux.

-Baisse une main et vérifie de toi-même mon état desprit.

Je baisse une main sous leau entre nous deux et je tombe sur une bite droite comme un I. Je me retourne et me positionne de manière à ce que sa verge se faufile entre mes fesses. Avec le sperme dAramis et le gel que javais mis, le braquemart de marc senfonce doucement. Son gros gland se fraye un passage entre mes fesses, écarte le sphincter et glisse en souplesse au fond de mes entrailles. Aramis est comme un fou au bord de leau, il va et vient au bord du ruisseau en faisant de petit bond, il a envie de venir nous rejoindre, mais à priori il ne doit pas beaucoup aimer leau froide. Pendant ce temps, Marc sactive dans mon cul. Je sens son gland aller et venir en écartant les parois de mon tube. Il accélère le mouvement.

-Oui, je vais venir, je vais jouir, je vais te remplir de mon sperme.

Sa bite est parcourue de spasmes et un liquide chaud et aqueux me remplit le fion. Je ne peux mempêcher de jouir à mon tour, bien que je ne bande pas vraiment. Marc se dégage, rejoint la rive, ce que je fais à mon tour.

-Que cétait bon.

-Tu las dit.

Nous nous asseyons sur lherbe en silence, détendu du gland et caressons Aramis qui est venu nous faire la fête.

-Il va falloir que je men aille, je dois être chez moi dans une demi-heure.

-Tu as mes coordonnées, contacte moi quand tu veux, je serais assez vite disponible.

-Ok.

Marc shabille et, accompagné dAramis, disparait dans la forêt.

Je reste encore un moment allongé sur lherbe à rêvasser. Au bout dune heure, je mhabille et je quitte la rivière. Je rentre chez moi sans champignon mais avec un souvenir chaud de plus.

Jai revu Marc, mais ceci est une autre histoire.

Cette histoire nest quun fantasme. Mon fantasme. Celui de me faire prendre par un chien. Il a-t-il quelquun qui puisse maider à le réaliser ?

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