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Black Angel, justicière et soumise – Chapitre 6

Black Angel, justicière et soumise - Chapitre 6



J’ai passé une excellente nuit. Enfin, je dirais plutôt un excellent "début de nuit" si Béné n’avait pas eu la bonne idée de me réveiller en débarquant à la maison à 1 heure du matin. Elle était encore si excitée de son incroyable expérience sexuelle avec Black Angel qu’elle n’a pas pu s’empêcher de venir tout me raconter dans ses moindres détails. Le pire, c’est qu’elle n’a exagéré à aucun moment. Je le sais, puisque j’étais aux premières loges. Mais bien évidemment, je ferai en sorte qu’elle ne le sache jamais.

Nous en avons discuté jusqu’à environ 4 heures du matin, puis sous sommes allées nous coucher. Je lui ai proposé de passer la nuit chez moi. Heureusement, Alexa n’a pas eu besoin de moi le lendemain de cette fantastique orgie, j’ai pu donc me reposer tout le reste de la journée. Dans la matinée, j’ai reçu un SMS de maman qui m’informait qu’elle serait de retour dès demain, mais qu’elle passerait peut être un petit peu de temps chez Romain.

Le lendemain, je me sentais un peu plus en forme. Jai dû me rendre chez Alexa en plein après-midi. Lorsque je suis arrivée, j’ai dû me mettre toute nue, à l’exception de ma montre que je gardai, avant de pénétrer dans le salon où plusieurs filles étaient installées. Elle m’a fait les présentations ; il y avait Flora, une brune avec quelques mèches rouges, Zoé, une grande blonde platine, Bianca, une petite brune, ainsi que Deb que je connaissais déjà.

Toutes celles que je ne connaissais pas étaient assez mignonnes et habillées en minijupe, mais pour le haut c’était varié : ça allait du top au chemisier en passant par le bustier. Alexa m’a présentée comme sa soumise. Elles buvaient du café en fumant tout en discutant joyeusement alors que je jouais les bonniches à poil sous les moqueries et insultes en tout genre de ces petites pestes toutes aussi superficielles les unes que les autres. Alexa leur a raconté en détail mon expérience avec son chauffeur; toutes ont manifesté leur dégoût en chur, puis elle a enchaîné sur un ton enjoué en tapant dans ses mains :

Alors, très chères amies, laquelle d’entre vous souhaite faire ce dont on a parlé hier au téléphone ?

Toutes se regardaient en silence. Faire quoi ? De quoi était-il encore question ? Jallais faire quoi ? Un gang-bang de filles ? Je me sentais nerveuse en pensant à ce qui pourrait se passer, bien qu’à chaque fois j’en avais éprouvé du plaisir.

Bon, bah, puisque personne ne se dévoue, moi, je veux bien ! répondit Zoé, la blonde, en levant la main.

Vendu ! Toutes à la salle de bain ! approuva Alexa.

Sous les acclamations, je fus emmenée à la salle de bain. J’avais quand même la boule au ventre. On m’y fit entrer et allonger sur le sol carrelé blanc et froid. Je me redressai sur les coudes en les regardant toutes, m’attendant au pire.

Zoé ? invita Alexa. Puisque tu t’es proposée, je te laisse t’occuper de cette pute !

J’arrive, ma chère.

Elle s’absenta un instant pour revenir avec un tube de lubrifiant. De moi-même j’écartai les cuisses, genoux relevés. Elle me badigeonna généreusement la vulve et y inséra deux doigts sans la moindre difficulté. Les premières sensations de plaisir ne furent pas longues à arriver. Elle me doigta un instant, et un troisième doigt me pénétra avec presque autant d’aisance que les deux premiers.

Les encouragements des filles se firent joyeusement entendre. Elles scandaient « Encore ! » en rythme. Je faisais tout pour me décontracter lorsqu’elle présenta un quatrième doigt. Il força mon entrée, et je regardai avec une immense stupéfaction cette main entrer presque entièrement en moi sans en ressentir la moindre douleur, bien au contraire. Elle retira ses doigts lentement.

Zoé regarda ses camarades avant de me fixer avec un sourire carnassier. « Oh non ! Elle ne va pas oser me mettre toute la main, quand même » pensai-je. Il fallait croire que si, car elle s’enduisit toute la main de lubrifiant et la présenta devant mon antre d’amour. Rapidement, sous mes yeux ébahis, c’est la main toute entière qui fut doucement accueillie dans mon écrin de plaisir.

Pendant que je poussais un cri de stupeur mêlée de plaisir sous les encouragements de Zoé et de ses camarades, je sentis son poing se frayer un chemin en moi sous un flot de commentaires toujours plus vulgaires. Je gémissais, me tendais comme un arc en le sentant aller et venir, tourner quelques instants pour finalement être retiré. Je me laissai tomber sur le carrelage froid, à la fois heureuse mais frustrée de ne pas avoir joui. Je sentis Alexa me secouer violemment.

Hé, t’endors pas, grosse pute, c’est pas fini ! On a un joli cadeau pour toi : la plus grosse bite que tu ne pourras jamais espérer avoir ! Et il faut bien sûr que tu l’essaies devant nous afin de vérifier si… enfin, si c’est ta taille !

Je les entendais toutes glousser comme des pintades. Qu’est-ce qu’elles m’avaient préparé ? Jallais vite avoir la réponse à ma question, puisque l’une d’elles a crié « Je l’ai, les filles ! »

Ferme les yeux ! m’ordonna Alexa.

J’obéis. J’entendais pouffer, puis glousser à nouveau.

OK. Maintenant, ouvre-les !

J’ouvris mes yeux et les écarquillai en voyant devant mon visage une batte de base-ball en aluminium qu’Alexa me tendait. Je n’osais plus bouger d’un pouce, comme tétanisée devant l’imposant objet qui était destiné à me pénétrer. Ce nétait pas que je ne voulais pas, mais je ne pouvais pas bouger ; c’était plus fort que moi, malgré le fait que mes cuisses restaient largement écartées.

Bon, comme tu voudras ! me dit Alexa, qui semblait avoir perdu patience. Zoé !?

Oui, Alexa ?

Je crois qu’il va falloir que tu t’occupes de ça aussi !

Pas de problème ! dit-elle, pleine d’entrain.

Zoé se plaça à nouveau entre mes cuisses, se saisit de la batte métallique et l’enduisit de gel. Elle la présenta à l’entrée de ma grotte déjà bien lubrifiée et poussa tout doucement. Je sentis l’objet métallique froid me pénétrer. Je n’étais pas étonnée, vu tout le lubrifiant employé ; j’en étais plutôt heureuse. Elle la fit entrer assez profondément et débuta de lents mais profonds va-et-vient qui s’accélérèrent assez rapidement, puis de plus en plus fort.

Elle me godait avec puissance. Je râlais, gémissais, criais. Je ne faisais plus attention aux faits et gestes de toutes ces pétasses superficielles autour de moi ; je me sentais devenir complètement folle, je perdais tout contrôle de moi-même. Je lui ai presque arraché la batte de base-ball des mains pour me masturber avec une frénésie absolument incroyable, comme si toute raison m’avait quittée. Je jouis une fois, deux fois ; à chaque fois, c’étaient des râles rauques et puissants qui s’échappaient de ma gorge.

S’il vous plaît, matez-moi ! Regardez la soumise de Dame Alexa qui se gode comme une salope en manque de bite. C’est très gros et, putain, ce que ça me plaît ! Oh, la vache, mais quelle bite extraordinaire J’en veux une autre ! râlai-je.

Je ne me reconnaissais plus du tout, et ça m’était bien égal. En fait, tout m’était égal désormais, le monde normal n’existait plus : je voulais me faire enfiler par des queues ou des objets tous plus imposants les uns que les autres. Les vagues de l’extase me frappaient de plein fouet alors que je chavirais dans cet océan de plaisir.

Je découvris une sensation forte qui s’était emparée de moi. Je fus prise de violentes convulsions ; tout mon corps trembla, mes yeux roulèrent. Je me tendis comme un arc, et j’émis un puissant jet qui arrosa tout ce qu’il y avait en face de moi lorsque j’atteignis dans un terrible hurlement un orgasme à peine imaginable. Je m’écroulai en tremblant, la batte encore profondément fichée en moi.

Je crevais de soif, je tremblais encore, je n’arrivais pas à m’en remettre, j’entendais encore les gloussements moqueurs des filles. Elles ne s’attendaient certainement pas à voir ce genre de phénomène se produire, ou alors pas de cette façon. Moi-même, je l’ignorais.

C’est Deb qui me retira la batte avec beaucoup de douceur. Devant moi, tout était trempé : j’avais arrosé partout. J’ignorais ce qui s’était passé, mais je m’en fichais. Zoé m’enjamba et releva un peu sa minijupe. À sa toison claire, je pus voir qu’elle n’avait pas de culotte.

T’es pas la seule à savoir arroser partout, sale petite conne ! Moi aussi, je sais le faire : regarde-moi un peu ça se moqua-t-elle en lâchant un jet d’urine chaud et odorant directement sur ma poitrine, puis sur mon visage qui se crispa aussitôt.

Toutes, à tour de rôle, vinrent se soulager la vessie sur moi en se moquant ouvertement de moi. Elles gloussaient de plus belle ; je trouvais ça agaçant. Elles mont souillée. Mais comparé au pied que je venais de prendre avec l’immense gode métallique, ce n’était absolument rien. Alexa s’amena avec un nécessaire de ménage.

T’as vu le merdier ? Nettoie-moi ça, et en vitesse, avant que père et mère ne reviennent ! gronda-t-elle.

Oui, Dame Alexa.

En sa présence, je passai un bon coup de serpillère et d’éponge afin de tout nettoyer et désinfecter. Une fois que ce fut fini, j’ai été autorisée à prendre une douche puis à m’en aller. Une fois rentrée chez moi, je constatai, en voyant une valise dans le salon, que maman était de retour. Ni une ni deux, le cur rempli de joie, je suis entrée dans sa chambre et je me suis précipitée dans ses bras pour lui dire bonjour.

T’es enfin de retour, maman ! Tes vacances se sont bien passées ?

Bonjour, chérie. Eh oui, mes vacances se sont passées à merveille ! Et toi, tu t’es pas trop ennuyée pendant mon absence ?

« Alors voyons ; faisons un peu le bilan : j’ai pas mal étudié, combattu des voyous. Alexa a été témoin d’une de mes transformations en Black Angel, parce que oui, maman, je suis Black Angel, mais tu l’ignores et c’est pas plus mal. Elle se sert de ça pour me soumettre. Je dois l’appeler "Dame Alexa" ; je lui ai fait des cunnis, elle m’a fait baiser son chauffeur dans une tenue de fille facile, j’ai participé à une fantastique partouze sous les traits de la justicière avec Béné comme partenaire, cette dernière m’a initiée à la sodomie, je me suis fait doublement pénétrer, fister, puis je me suis godée avec une batte de base-ball en alu qui m’a rendue folle, je me suis fait pisser dessus… Non, non, rassure-toi : j’ai pas eu le temps de m’ennuyer une seconde ! » pensai-je.

Oh que si, maman, et je peux te dire que c’était atroce, sans toi ! mentis-je avec un grand sourire en ronronnant, toujours blottie contre elle.

Je ne te crois qu’à moitié, chérie, mais t’es adorable… rit-elle en me serrant dans ses bras comme si j’étais encore une petite fille.

Une suite ?

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