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Candice, sublime, perverse, trois fois plus jeune que moi… – Chapitre 4

Candice, sublime, perverse, trois fois plus jeune que moi... - Chapitre 4



(je vous conseille de prendre l’histoire au début…)

Au vu de tout ce qui s’était passé jusqu’ici, les contours de notre site prenaient corps, même s’il restait des inconnues de taille : les jeunes Matilda et Shelly accepteraient-elles de participer à un projet porno, assez radical qui plus est ? Mais en tout cas, s’il fallait résumer ce que serait Perverstar.com (le nom de code que j’utilisais avec Candice), c’aurait sans doute été cela : trois coquines perverses et très jeunes faisaient des saletés avec des hommes mûrs. Avec, en plus, une sorte de mystère à dévoiler petit à petit : qui se cache derrière les masques des filles ?

Tandis que Candice réfléchissait au moyen de parler du site à ses deux amies – et, aussi, de mettre Matilda au bout de ma queue, mais ça ne lui semblait pas le plus compliqué, je songeais de mon côté à assouvir le désir de ma chérie : trouver un mec d’une cinquantaine d’années pour nous baiser ensemble, elle et moi, et qui accepterait d’être filmé à visage découvert… et aussi de nous céder ses droits à l’image. Le site n’étant pas lancé, je ne pouvais l’utiliser comme vecteur. Il restait les sites de rencontres, et j’avais de toute façon dans l’idée de créer une fiche couple pour Candice et moi. Ce fut chose faite sur le site sur lequel je l’avais rencontré, Netpartouze, qui venait d’ailleurs de changer de nom pour s’appeler Diirty.com. Je trouvais ça plutôt de bon augure, même si ça me faisait penser à un célèbre magasin d’électroménager. Je me demandais s’il y aurait un contrat de confiance.

Notre fiche faisait la part belle aux orifices de Candice. J’avais un certain goût pour les choses crues et voulais éviter d’être contacté par de belles âmes voulant faire du David Hamilton. Nos albums étaient donc constellés de la chatte de Candice très mouillée et écartelée, de son cul présentant une coulée de sperme, et j’y montrais également ma bite en action dans sa chatte aussi bien que mon propre cul bien ouvert par les jolies mains de la coquine. De toute façon, avec "18 ans" comme âge pour la petite poupée et les photos de son corps, les propositions ont déboulé comme à grave-lotte. Notre annonce était ainsi rédigée :

"Couple 18 / 55, elle jeune poupée perverse sans aucun tabou, lui distingué mais aux vices assumés, cherche leurs alter-ego, en couple ou en solo, mais de profils parallèles. Mademoiselle, vous serez vous aussi une très jeune fille ravissante prête à toutes les dépravations avec nous deux. Monsieur, vous aurez au moins 45 ans, de belle prestance, aux goûts sexuels peu avouables avec hommes et femmes. Pour vous, il y aura quelques conditions pour accéder à la petite chatte de mademoiselle, mais rien de pécunier. Mademoiselle, Monsieur, nous vous souhaitons aussi obsédés que nous le sommes et attendons vos mots crus. Nous recevons dans notre studio photo et vidéo : attention, ceci est un indice…".

J’avais déjà eu des fiches sur des sites de rencontres, mais les photos de Candice – entre sa plastique phénoménale, son allure de lolita et mon taf de photographe – créaient une véritable émeute. J’avais rencontré ma chérie sur ce même site, mais elle n’avait mis que quelques photos un peu floues de son téléphone, son inscription n’avait pour objet que de trouver un photographe. D’ailleurs, elle avait supprimé sa fiche peu après s’être installée à la maison. Là nous recevions des coeurs, des propositions, des abonnés par dizaines chaque jour. Faire le tri était un travail à plein temps, si bien que nous avons fait quelques modifications à notre fiche. Il était possible de filtrer les candidats selon la quantité de commentaires déposés par leurs partenaires. Les fiches trop récentes, les fiches sans avis, sans photos passaient à la trappe, tout comme celles dont les annonces ou les messages étaient rédigées dans un français approximatif ou plein de fautes. Tant qu’à pouvoir choisir, autant se faire baiser par des gens un peu cultivés. Se pisser dessus, ok, mais entre gens civilisés ! C’est toute la différence entre le cochon et le glauque.

Après quelque jours, nous avions plusieurs candidats qui pouvaient faire l’affaire, dont certains semblaient prometteurs. Il y avait deux couples de la trentaine, deux hommes seuls d’un certain âge, une jeune femme de 21 ans et une femme de 40. On était finalement un peu sortis de nos critères, mais il n’y avait pas de jeunes hommes, comme prévu. Candice avait craqué sur la jeune femme : si ma chérie ressemblait à Daenerys, de la série Game of Thrones, comme deux gouttes d’eau, Violette, elle, avait un petit côté Lisbeth Salander, l’autiste Asperger de Millenium. Un peu vénéneuse, un peu garçonne, menue mais au regard d’acier. C’est son message plus encore que son physique qui a emporté le morceau :

"Salut. Si vous cherchez deux trous avec un QI de 170, pensez à moi".

Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle avait piqué notre curiosité. Elle nous avait ouvert son album privé; il était constitué d’un mélange de gravures pornographiques très perverses, qui semblaient assez anciennes, et de photos en très gros plan de son vagin et de son anus, extrêmement dilatés et écartés avec les doigts. Sur une des photos, on voyait la ficelle de son tampon sortir de sa chatte. Rendez-vous fut pris pour le mercredi soir qui venait.

Les deux couples avaient été retenus car ils correspondaient bien à notre propre profil. Homme cadre sup, cérébral, accompagné d’une nymphette bien gaulée et dont les photos attestaient d’un goût immodéré pour l’exhibition. Tous les quatre étaient bi. Notre idée était de les réunir, mais il fallait déjà les rencontrer et valider leur participation. Nous allions les voir les jeudi et vendredi. Candice demanda à ce qu’on ne prenne pas de rendez-vous pour le samedi : pour te reposer ? lui demandai-je naïvement.

— Non non, mais si on voit tous ces gens du mercredi au vendredi, je vais avoir des plaintes de Shelly et Matilda. Ce samedi serait une bonne occasion pour une partie à quatre : toi, moi, et elles deux. Et puis qui sait, on pourrait parler du projet ce soir là. Si je le sens.

J’acceptai la proposition. Je me proposai de rencontrer les deux mecs de mon côté pendant la semaine, en journée, et de ne lui présenter que si je les sentais. Candice était ok, et je donnai donc rendez-vous aux deux beau mâles alpha que nous avions sélectionnés dans la journée de mardi. Nous étions lundi, et la semaine allait donc être sportive. Il restait "VicieuseBi", la femme de 40 ans qui était un peu ma sélection personnelle. Candice semblait vaguement inquiète pour celle-là – une pointe de jalousie, me semblait-il. Cette VicieuseBi nous avait écrit un mot assez troublant qui m’avait donné envie de la rencontrer :

"Bonjour. Vous semblez très beaux tous les deux. J’aime le vice lorsqu’il se pare des atours de l’élégance. Je rêve qu’on m’emmène sur des rivages immoraux et je désire savoir ce qui est inavouable pour vous; peut-être pourrai-je ainsi me libérer enfin de mes propres chaînes".

La fiche de VicieuseBi ne comprenait que deux photos, l’une en mode public, l’autre en mode privé. La première montrait son corps, très beau, dépourvu de tout piercing ou tatouage apparents, seins naturels, jolis pieds dans des chaussures Céline hors de prix, chatte poilue mais entretenue. L’autre, cachée, montrait simplement un WC. Nous donnâmes rendez-vous à VicieuseBi le dimanche à 11h.

Sur mon agenda, le planning commençait à ressembler à celui d’un ministre (du sexe) :

Mardi : Charles à 11h du matin, Matthew à 17h, les deux mâles bisex.

Mercredi : Violette, l’Asperger perverse.

Jeudi : Kara et Philippe, le premier couple.

Vendredi : Emilie et Alexandre, le second couple.

Samedi : peut-être Shelly et Matilda à la maison.

Dimanche : VicieuseBi.

Ce lundi soit, nous avons eu un peu de mal à nous endormir. Candice me fit une petite pipe, je la pris tranquillement sur le côté, et vers une heure du matin, je la vis s’endormir, tellement jolie, avec un peu de sperme qui coulait doucement de son orifice. J’ai dû m’endormir après avoir fait cette constatation car ensuite je ne me souviens plus que de mon réveil en fanfare autour de 9h. Candice était déjà partie pour l’école – parfois je la trouvais courageuse de suivre ses cours avec assiduité et sérieux alors que notre vie était si trépidante sur d’autres plans. J’avais moi-même un peu de mal à me concentrer sur mes clients, mon esprit tournait à 100 à l’heure du côté de nos projets cul. Il me fallait aller rencontrer le fameux Charles pour voir si nous allions pouvoir en faire quelque chose. Autour de 11h, je me présentai au point de rendez-vous, une librairie érotique de la ville. Après une bonne demi-heure à faire le planton, je lui envoyai un message sur le site, m’inquiétant de son absence. Il n’a jamais redonné signe de vie. Je maugréais contre les poseurs de lapins, si fréquents dans le milieu libertin : encore un qui s’est monté le bourrichon et s’est dégonflé – pourtant, plusieurs témoignages attestaient de son sérieux. Tant pis : il me restait Matthew, qui avait ma préférence au départ. Anglais, il semblait avoir un petit côté distingué un peu cliché mais pas désagréable. Lui s’est bien présenté au rendez-vous, pile à l’heure devant la FNAC. Je lui avais demandé comment je le reconnaîtrai – il m’avait répondu "ne vous en faites pas pour ça". Il avait raison : de la petite dizaine de personnes qui zonaient sur les marches du magasin, il était le seul qui semblait débarquer de l’Eurostar à l’instant. Il n’avait pourtant ni chapeau melon, ni Church’s aux pieds, mais un petit quelque chose de British évident. Nous décidâmes d’aller discuter au Comptoir de la Bourse, un bar à cocktail confortable, avec assez de musique pour couvrir nos paroles vis à vis des voisins mais pas trop pour pouvoir parler tranquillement.

Matthew était un candidat parfait pour un trio avec Candie et moi. Il était chic mais drôle. Beau dans le genre anglais, et porté sur toutes les fantaisies sexuelles : "j’aime être choqué", m’a t’il avoué. J’avais vu sa queue sur le site de rencontres, mais il a tenu à me la montrer dans le bar. Il a attendu un petit moment tranquille et a sorti une magnifique bite en érection sous la table. Il était très excité, moi aussi, et je lui ai donc proposé, perfidement, de passer à la maison pour lui montrer le petit studio de tournage : a priori, il était d’accord pour être filmé pendant nos ébats, aussi bien avec elle qu’avec moi, et ça lui était égal d’apparaître sur internet. Il était venu en France parce que sa famille avait découvert ses relations bisexuelles et qu’il s’en était suivi divorce et rejet par ses propres enfants. Dégoutté, il avait quitté son pays et entrepris un voyage à travers l’Europe. Il ne manquait pas de moyens financiers, avait finalement résolu de s’installer à Lyon et y menait une vie libertine loin des regards pesants de l’aristocratie londonienne qu’il fréquentait alors. En fait, je sentais que tourner du porno et s’exhiber sur la toile pouvait éventuellement constituer pour Matthew un beau pied de nez au passé.

Après avoir rejoint notre maison et le studio, j’offrais à boire à mon invité et lui montrai quelques-uns des films que nous avions déjà tournés. Dans un premier temps, j’évitai de lui montrer les scènes les plus crades, mais je constatai qu’il se touchait l’entrejambe de façon assez prononcée dès qu’il voyait Candice faire pipi où me lécher l’anus. Alors que je lui montrais une scène avec Shelly, que j’enculais, je posai ma main sur la queue de Matthew, à travers son pantalon. Il bandait comme un fou. Je massai quelques instants l’outil, puis je me relevai, baissai mon propre pantalon, mon caleçon et mis mon sexe à hauteur de sa bouche. Je sentis sa langue se promener sur mon gland; il aspira le liquide déjà sorti de mon orifice et me caressait les fesses avec ses mains. Je suis allé allumer quelques lumières du studio, j’ai enclenché les trois caméras toujours prêtes à filmer et judicieusement placées pour multiplier les angles. Je me suis déshabillé et suis allé attendre Matthew sur le lit, qui m’y a rejoint. Je n’ai pas eu beaucoup de rapports avec un mec en dehors de situation de trios, mais il y avait quelque chose chez lui que j’avais envie de tester. Ce jour là, nous n’avons rien fait de bizarre ou de sale. Nous avons juste baisé paisiblement – avec protection cette fois-ci car il n’avait pas de test récent, chacun a enculé l’autre, on s’est copieusement léché l’anus, mais sans autre débordement. J’ai joui très fort. Lorsque nous sommes quittés, c’est avec la certitude que Matthew serait un partenaire de choix pour nos ébats à plusieurs, et je lui promis un rendez-vous rapide pour qu’il puisse baiser Candice. J’avais hâte de voir sa bite dans la chatte de mon amour, et si possible, de boire le sperme qui en ressortirait s’il consent à l’inonder.

Le soir même, j’ai raconté ma séance avec Matthew à Candice. Je lui ai indiqué que l’anglais avait été tout à fait d’accord pour être filmé, sans masque (alors que j’en portais un !), et pour que le film soit exploité sur notre site. Film que j’ai bien sûr montré à Candice, qui n’avait de cesse que de voir son homme baiser avec un autre mâle. En me voyait me faire enculer, ma belle s’est immédiatement retiré la culotte, s’est calée au fond du fauteuil qu’elle occupait, a mis ses deux pattes de grenouilles bien écartées et s’est furieusement branlée. J’ai aussi enlevé mon pantalon et mon slip, et me suis masturbé en regardant ce beau spectacle.

— C’était bien ? me demanda la grenouille.

— Oui mais j’ai du mal à me faire du bien avec une capote. Vivement qu’il ait fait son test. Par contre, j’ai adoré qu’on se lêche le cul ! J’ai mis ma langue bien au fond, il avait un bon goût de cul londonien !

Candice éclata de rire. En lui racontant ça, mon esprit revint sur cette question de préservatif et de tests. Je me disais que notre histoires de tournages, sans capotes et bien crades, avec des partenaires différents, présentait des risques côté MST, tests ou pas. Avec Candice, nous nous mimes d’accord sur plusieurs règles : ne baiser personne en dehors des gens que nous aurions validés ensemble, limiter le nombre des participants, et ne pas accepter la pénétration lorsque nous inviterions des "extras", hors du cercle restreint des complices récurrents. Au moins, nous limiterions au mieux les risques, sans jamais les écarter totalement, contrairement aux chattes des filles !

Nous nous sommes endormis avec une seule chose en tête : notre rencontre, le lendemain soir, avec la prometteuse Violette, notre surdouée avec deux trous. Après avoir vaqué à nos occupations du mercredi, le soir est finalement arrivé. Nous avions proposé à Violette de venir directement au studio, et elle est arrivée à 19h tapantes. Elle état jolie comme un coeur malgré son côté garçonne prononcé et son regard un peu dur. Un petit air de Jean Seberg, finalement. Elle portait un perfecto et un jean troué, des petites bottines à talon plat, et un sac à dos. Elle faisait tellement jeune que je lui ai demandé sa carte d’identité, on est jamais trop prudent. Elle avait bien ses 21 ans. Je lui en aurais donné 17. Elle accepta une bière – nous avions une tireuse qui faisait de beau bocks bien mousseux et elle ne tarda pas à descendre sa chope et à en réclamer une seconde. Bois, ma fille, pensai-je, remplis-toi bien la vessie petite salope. Nous avons expliqué le projet à Violette, sans rien omettre. C’est le genre de fille à qui on ne cache rien : si tout n’est pas en vitrine, elle se barre aussi sec et vous retire sa confiance aussi vite qu’elle vous l’a donné.

Elle a réfléchi un peu. On croyait volontiers son histoire de QI. Ça pédalait vite la haut, pas de doute, et je me demandais, par son attitude finalement assez cérébrale, si cette histoire d’Asperger n’était pas une réalité. Je lui poserai la question plus tard. Et puis, elle a livré son verdict.

— Je veux en être.

— Tu peux expliquer ?

— Je veux rejoindre Candice, Matilda et … Shelley, c’est ça ?

— Shelly, corrigea Candice.

— Shelly. Si je leur plait, si je vous plait, j’ai envie d’être dans le truc. Je finis une thèse de maths, ça ne m’amuse pas beaucoup. Les autres matheux sont tous complètement débiles et tous puceaux. J’ai de gros besoins de cul, et quand je trouve un mec qui n’a pas peur de baiser une intello, pas moyen de lui faire faire autre chose que l’aller retour bouche minou, ils n’ont aucune imagination. Les filles, je n’ai rien à leur raconter alors que j’adore me faire bouffer la chatte par une meuf. Alors votre projet, ça me dit bien, mais si je dois montrer ma tête et mon cul à des pervers en train de se branler derrière leur écran, je veux être dans le truc quoi.

— Tu veux dire, gagner des sous.

— Ouais.

Nous avions un peu réfléchi au cas de Shelly et Matilda pour ça. Si elles devaient être le coeur du dispositif avec Candice, il faudrait bien les intéresser aussi. On avait projeté de conserver les deux tiers des recettes (après retrait des frais d’hébergement et de gestion du site) et de reverser le tiers restant à nos "invitées". On s’est un peu éloignés de Violette pour réfléchir et avons décidé de passer à 60% pour nous, 40% pour les filles. Matthew, lui, serait payé en nature. C’est la dure lui du porno amateur pour les mecs…

— Tu dois savoir que Shelly et Matilda ne sont pas encore au courant du projet de site. On va les y amener doucement. L’idée était de leur reverser une partie des bénéfices du site. On ne sait pas encore si elles seront ok, mais celles qui le sont toucheront 10% des rentrées, une fois les frais retirés. Je peux pas te promettre que ca te fera croûter, on a aucune idée de ce que ca va générer.

— Ca me va. On rédigera quelque chose ?

— Bien entendu. Je peux te poser une question ?

— Oui ?

— On t’a déjà dit que tu avais un petit côté Lisbeth Salander ?

— Super original… je l’entends tout le temps en fait. Bon, je peux pas t’en vouloir… j’y met un peu du mien aussi, j’ai dévoré les bouquins. Et si tu te poses la question que tout le monde me pose tout le temps, oui, je suis Asperger.

Bingo… Violette m’expliqua que son autisme restait peu handicapant, mais que c’était sa difficulté à éprouver des émotions qui la poussait à avoir un comportement de nymphomane. Le cul, expliquait-elle, c’est le seul truc qui me remue. Plus c’est extrême, plus j’ai l’impression de vivre. Voilà qui promettait. Et son "extraordinaire talent" (comme on dit sur M6) d’Asperger, c’est de voir les maths comme si c’était un paysage. Toute représentation numérique prend pour elle des allures topographiques – c’est comme si elle pouvait toucher les propriétés mathématiques ou les théorèmes. Ca ne nous servirait pas à grand chose pour notre affaire, mais il restait ses trous, que nous allions pouvoir mettre à profit.

Sans prévenir, Violette vida sa chope, et enleva en quelques secondes ses vêtements – non sans avoir extrait de son perfecto une petite feuille à entête de labo : elle avait fait une batterie de tests une semaine auparavant, à la demande de sa banque pour pouvoir emprunter et acheter un appart. Elle devait avoir un peu de sous de côté, la petite nympho. Je lui indiquai que les notres étaient sur la commode mais elle parut nous faire confiance. Son corps était dans la lignée de ceux de Candice et Matilda – plus comme Matilda d’ailleurs, avec ce côté juvénile lié à de tout petits seins et une chatte toute lisse. Elle portait deux tatouages : le premier, derrière le cou, qui représentait une simple flèche vers le haut – vers son cerveau ? Le second à un endroit surprenant : entre le vagin et l’anus. Il représentait le symbole infini, disposé de manière à ce que chaque boucle du symbole soit à proximité d’un de ses trous.

Violette s’approcha de Candice, qui s’était aussi promptement déshabillée, l’enjamba, se mit à califourchon sur ses cuisses et l’embrassa à pleine bouche. Ma moitié semblait parfaitement disposée à cette étreinte et lui rendit son baiser avec fougue. Violette sentait bon – malgré ses allures de punkette, elle dégageait un parfum sensuel et délicat, avec une pointe de patchouli. Je vérifiai d’un oeil l’état des petites caméras disposées dans le studio, que j’avais réglées pour qu’elles se déclenchent au moindre mouvement. D’une pression sur une petite télécommande, je montai le niveau général de l’ambiance lumineuse, puis je retirai mes vêtements.

J’avais tourné le dos l’espace d’un instant et les deux gamines étaient déjà en 69. Je me postai derrière le cul de Violette qui était dessus. Pendant que Candice lui bouffait la vulve, lui arrachant des soupirs de bonheur, je lui écartai largement les fesses, y appliquait un peu de salive en la léchant, puis j’entrepris de lui doigter le cul. J’étais très excité et Candice avait trouvé le moyen de me branler avec sa main droite. Je glissai mes doigts le plus profondément possible dans son cul et j’entendis Candice dire : "oh oui elle me met aussi les doigts dans le cul…"…

— Mmh, ton amie est bien pleine, dirait-on, dis-ja à Candice après avoir senti une belle crotte au bout de mon doigt. Je demandai à Violette de pousser un peu. C’était un bon test pour savoir si elle était prête à ce genre de jeu.

— Si je pousse je vais pisser avec toute cette bière…

— Des promesses, toujours des promesses, tenta Candice.

Le résultat ne se fit pas attendre. Candice reçut une belle giclée d’urine dans la bouche tandis que je sentais l’étron de Violette progresser le long de mon doigt. Je commentai cette progression :

— Oui ma belle, je sens que tu pousses, ça vient le long de mon doigt…

— Tu veux que je pousse aussi, demanda Candice à Violette.

— Oh putain vous me faites déjà jouir, fut sa réponse, et Violette décida que c’était un oui.

La merde de Violette était presque au bord de son cul tandis que des jets de pisse continuaient à inonder Candice par saccades. De son côté, Violette dans un souffle nous dit qu’elle sentait le caca de Candice sur ses doigts et qu’elle était excitée comme une folle.

— Vas y Violette, lui dis-je, fais sur nous, chie, s’il te plait.

— D’accord si Candice fait caca aussi, répondit-elle.

Les deux demoiselles poussèrent, et presque simultanément, leur caca sortit de leur trou distendu. Je pris immédiatement la crotte de Violette dont je m’enduis le sexe; c’était chaud et doux. Après avoir bien réparti l’étron le long de ma queue et sur les boules, je fis lécher le tout à Candice. Violette s’était redressée et nous rejoint, si l’on peut dire, avec la belle merde de Candice dans la main, et un grand sourire. Elle s’assit près de nous, et se mit le caca de ma chérie dans la bouche. Sa chatte était près de moi, aussi, entrepris-je de la doigter avec ma main pleine de sa propre merde. Violette se pencha vers moi pour que nous partagions le caca de Candice avec le bouche. Je m’approchai et suça le colombin en la regardant droit dans les yeux. Je vis que Candice se masturbait avec une main pleine d’excréments mais je ne savais même plus à qui ils étaient. Après quelques instants dans cette position, Violette se redressa et se mit à quatre pattes et s’écartant l’anus. J’avais compris le message. Mais avant de l’enculer, je me mis au dessus du visage de Candice et poussa à mon tour. Je fis d’abord un bon jet de pisse biéreuse qui alla pour partie sur le corps de Candice, et pour l’autre dans la bouche de Violette, qui s’était étalé le caca de ma chérie sur le corps et surtout le vagin. Puis, je fis un beau caca assez moulé sur Candice. J’en récupérai une partie, et en tartina l’anus de Violette pour bien le lubrifier. J’approchai ma bite de la belle autiste, et l’enculai.

J’avais encore pas mal de pisse dans la vessie, aussi déchargeait toute mon urine à l’intérieur du colon de la petite punkette. Rapidement je jouis en elle, mélangeant à l’intérieur de son ampoule rectale mon sperme, mon urine, sa merde et la mienne qui était également entrée par son anus. Le cocktail était merveilleux.

— Accroupis-toi au dessus de ma bouche, demanda Candice.

Violette se mit dans la position demandée et poussa de toute ses forces. Un fulgurant lavement de pisse, de merde et de sperme vint tout éclabousser autour de nous, et Violette se vida aussi de ce qui attendait plus loin dans ses boyaux, plusieurs grosses crottes de consistances différentes.

Nous avions tous bien joui, et sommes restés un bon moment allongés les uns contre les autres, baignant dans nos déjections sous le regard goguenard des caméras qui n’en n’avaient pas perdu une miette.

C’est à ce moment là que Violette a eu le mot de la fin :

— Je veux 15%.

La suite bientôt…

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