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ce n'est que du rock and roll – Chapitre 1

ce n'est que du rock and roll - Chapitre 1



Encore une de ces soirées où la bière ne me saoule pas…

Ce qui n’est pas le cas des gens qui traînent dans ce rade. Faut dire qu’ils ont donné, ce soir, à danser sur du mauvais rock and roll 90’s. Et je ne risque pas d’être saoul avec ma pinte, vu qu’elle vient de

s’éclater sur le sol, m’arrosant copieusement les pieds, le bas du futal et celui de la fautive .

je devine juste un sourire derrière sa main, mais ses yeux me disent qu’elle a eu plus de chance que moi, avec l’alcool

« Allez, quoi, mec c’est que du rock and roll » me dit elle en me tendant son verre de vin blanc.

Les pieds trempés, j’en prends une grande lampée et le lui rends… C’est alors qu’elle force ma bouche et aspire carrément le vin avant même que j’ai le temps de l’avaler…

Je métrangle de vin et de rire pendant qu’elle ose me dire que j’en ai trop pris et qu’elle ne pouvait pas décemment laisser faire…

Encore une fille qui choisit. Ça fait des années que je ne n’en ai pas croisé d’autres. Que des filles qui choisissent. Mais celle là, je suis plutôt content, surtout que dans son mouvement pour se

réapproprier son pinard, son verre s’est renversé sur son t-shirt, au niveau de la poitrine.

Laissant deviner un soutien gorge tout ce qu’il y a de plus simple, et qui fait presque de la figuration tellement elle est menue. Scotché par ce moment, elle est déjà à deux doigts de filer quand je

la rattrape par la main… « Ce serait con que tu t’enrhume en sortant comme ça, tu devrais le sécher. » C’est une gamine maintenant. Elle me regarde comme si elle ne comprenait pas ce que j’attendais d’elle. D’ailleurs moi-même, je ne sais pas ce que j’attends d’elle, je veux juste… Qu’elle sèche… Qu’elle ne s’enrhume pas, qu’elle ne parte pas trop loin, même si ce n’est que du rock and roll…Je retiens sa main et lentraîne à ma suite vers les toilettes. Une fois arrivés, nous entrons dans une de ces cabines, et je commence à dérouler du papier pour éponger le vin, et elle se plaque contre la porte, la bloquant de son corps…Le papier ne sert à rien, et j’ai l’air un peu con à essayer d’essuyer… C’est là que je comprends que c’est moi qui mène le jeu depuis quelques minutes, elle ne bougera pas, pas tout de suite. Elle a déjà fermé les yeux. Sa respiration courte m’appelle, comme les mèches de cheveux collées à son front par la sueur de la danse. Je m’approche et quand mon souffle effleure sa bouche, elle avance ses lèvres. Je recule la tête de quelques millimètres tout en passant ma main sur sa hanche, elle soupire. C’est moi qui dirige. D’ailleurs, ma main qui se glisse

derrière elle, et lui effleure les fesses, coincée entre le jean et sa peau, qui la serre contre moi le lui rappelle fermement. Je la serre contre moi en la pressant contre mon sexe qui se dresse

dans mon pantalon. Elle appuie elle aussi, et je l’embrasse, profondément, pendant que ma main remonte à plat sur son ventre, se glisse sous son sein et caresse un téton dressé. Mon autre main

continue à lui caresser le haut des fesses. Nos souffles hoquettent. Elle dégrafe le bouton de son jean pour que ma main puisse se glisser entre ses jambes. Je voudrais avoir 5 mains, être partout sur elle,

Elle s’abandonne encore plus, caressant mon dos sa main sur mon cou. Alors qu’elle attire mon visage vers elle, je lui attrape la nuque et tire en arrière pour la regarder dans les yeux, c’est alors qu’elle se glisse au sol, les mains sur ma ceinture. Le moment que choisit un boulet pour frapper à la porte et beugler. D’un coup elle se rajuste et fonce dehors, mentraînant à sa suite. Elle fend la foule, attrape sa veste et nous voilà dehors, toujours enlacés comme nous pouvons. Le voyage ne dure pas bien longtemps, plusieurs paliers, puis une porte qui cède. Nous nous glissons dans le couloir et reprenons là où nous nous sommes arrêtés. Elle défait ma ceinture et glisse sa main dans mon caleçon pendant que je constate que la situation semble l’exciter au possible à la moiteur qui trempe son sous-vêtement. Elle se met alors à genoux

et glisse sa langue le long de mon sexe comme si elle voulait en éprouver la raideur de la bouche puis se redresse tout en sortant une jambe de son jean. Son dos contre le mur, elle ferme les yeux, les jambes légèrement écartées, son sexe et son léger duvet exposé. Il ne m’en faut pas plus, je me rapproche et positionne mon gland entre ses lèvres écartées lorsque que je lui soulève la cuisse que je maintiens fermement autour de mes hanches, et j’avance, je m’enfonce, et je la sens en fusion autour de moi, elle gémit d’abord doucement puis halète à mesure que jaccélère encouragé par les mouvements de son bassin, frénétique, qui cherche à provoquer un maximum de contact avec son

clitoris. Je la regarde serrer les dents et me retire. Elle cherche à me faire revenir, mais je la repousse et me laisse glisser à genoux. Je la goûte alors, d’abord son clitoris dressé, que je suce comme une petite bite et je glisse ma langue aussi loin que je peux dans sa fente, goûtant le sel de son excitation. Mes mains lui caressent les fesses, et un doigt humidifié par sa liqueur se glisse

vers sa rosette, la caresse, force un peu, et obéit à la main qui a quitté ma tête pour le retenir. Je sens ses jambes qui chavirent un peu, je me redresse alors et l’embrasse alors qu’elle me masturbe, puis je la pénètre à nouveau. Alors qu’elle gémit de plus en plus, la minuterie se met en marche et nous éclaire. Nous ne pensons qu’à notre plaisir, malgré le bruit des pas qui descendent l’escalier,

semblent s’arrêter. Et alors qu’elle avait gardé les yeux fermés tout au long de notre assaut, je sens son regard qui suit une silhouette qui passe derrière moi et je jouis alors que la porte claque.

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