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Ce que l'on peut faire par amour – Chapitre 16

Ce que l'on peut faire par amour - Chapitre 16



Déçue de trouver sa famille endormie à son retour, Manon s’était résignée à aller se coucher et attendre le lendemain matin pour faire part de son aventure. Elle s’endormit péniblement en repensant au moment qu’elle avait tant espéré. Elle se rappela les mains de Johann en train de lui retirer ses vêtements l’un après l’autre avant de parcourir son corps dénudé. Dans sa bouche, subsistaient encore quelques relents olfactifs du sperme de Johann. Son sexe et son arrière-train témoignaient également de la force et de la fougue avec lesquelles son amoureux l’avait prise. La jeune femme finit ensuite par repenser à leur conversation et au fait qu’il souhaitait être avec elle.

Ses paroles étaient-elles sincères ? Lui avait-il dit cela juste parce que c’était ce qu’elle voulait entendre ? Manon voulait croire en sa relation avec Johann et ne pouvait imaginer un seul instant que tout ce qu’elle avait fait durant les semaines précédentes ne pût avoir été inutile. Vaincue par la fatigue, elle finit par sombrer dans un profond sommeil. En se réveillant le lendemain matin, Manon consulta son réveil. Il était neuf heures quarante-cinq. Au vu de l’heure tardive à laquelle elle était rentrée la veille et le temps qu’elle avait mis à s’endormir, la jeune femme comprit qu’elle avait très peu dormi. Dans un premier temps, elle fut tentée de se rendormir mais, dans un second temps, elle fut rattrapée par son impatience de raconter les évènements de la soirée à Florent et à ses parents. Elle se leva donc de son lit pour prendre son petit-déjeuner. Dans la cuisine, elle trouva les trois autres en grande conversation.

— Ah, te voilà, ma chérie ! Nous étions justement en train de parler de toi.

— De moi ?

— Oui, nous nous interrogions sur ce qu’il s’est passé hier soir et sur la façon d’organiser votre anniversaire, à ton frère et toi.

— D’accord. Dans ce cas, on fait quoi en premier ? On organise la fête ou je vous raconte ce qu’il s’est passé hier ?

— Raconte-nous ce qu’il s’est passé hier. Pour votre anniversaire, j’ai déjà une idée mais il y a juste un détail dont je dois vous informer.

— Très bien.

Sous les regards curieux de Florent, Solange et Roger, Manon commença le récit de sa soirée.

— Pour commencer, je tiens à vous informer que Johann et moi avons couché ensemble.

Cette phrase suscita la joie des trois autres.

— Magnifique ! Et donc ? Où en est votre relation ?

— Il m’a dit qu’il fallait qu’on se revoie et qu’il voulait être avec moi.

— C’est plutôt, ça, frangine, mais tu es sûre qu’il était sincère ? Je ne veux pas jouer les oiseaux de mauvaise augure mais, connaissant son passé, j’ai quelques doutes.

— Je me suis aussi posé la question mais je veux croire qu’il a changé et qu’il cherche une relation stable.

— Nous admirons ton optimisme, Manon, mais il est vrai qu’au vu de ce que nous savons, ton père et moi avons également des doutes. C’est pourquoi, afin de nous assurer que ce jeune homme est bel et bien fait pour toi, nous comptons lui faire passer un test.

— Un test ?

— Nous t’expliquerons en temps voulu. Tout ce que je peux te dire pour le moment, c’est que ton père, ton frère, Rosalie et moi allons chacun lancer un défi à Johann. S’il les réussit, lui et toi aurez notre bénédiction. Sinon, il te faudra changer de petit copain.

— D’accord, si vous y tenez, mais pourquoi Rosalie devrait s’impliquer là-dedans ?

— Tout simplement parce que c’est la copine de ton frère et qu’elle a déjà gagné notre confiance.

— Mais Papa ne l’a jamais rencontrée !

Solange voulut répondre mais elle fut devancée par Roger.

— Je n’ai pas encore eu la chance de la rencontrer mais, au vu de ce que ta mère et ton frère m’ont dit à son sujet, je ne peux que lui accorder ma confiance. Quant à Johann, il lui faudra faire ses preuves s’il veut espérer faire un jour partie de notre famille.

— Oui, Papa. Je devrai donc lui dire que vous voulez le tester ?

— Oui, mais pas de façon trop brusque. Nous lui expliquerons nous-mêmes lorsqu’il sera là.

— D’accord.

Manon finit son petit-déjeuner, un sentiment d’injustice s’emparant de son cur. Ses parents avaient facilement accepté Rosalie mais ils émettaient des réserves sur Johann qu’elle jugeait trop sévères et insuffisamment justifiées. Peu à peu, ce sentiment se transforma en une détermination résolue. Elle était convaincue d’avoir raison au sujet de son amoureux. Si ses parents doutaient de son jugement, ils allaient être surpris. La conversation dévia ensuite sur l’organisation de la journée. Roger informa ses enfants qu’il ne pouvait être présent durant la soirée en raison d’un souper organisé par son entreprise. Il proposa cependant de faire une sortie avec eux pendant la journée. Florent et Manon acceptèrent sa proposition puis Solange finit par établir le programme de la soirée.

— Comme votre père ne sera pas là ce soir, j’ai pensé vous réserver une petite surprise ce soir. Rosalie sera là. Elle est dans la confidence mais vous ne saurez que ce soir ce que j’ai prévu.

Les deux jumeaux hochèrent la tête en signe de compréhension puis allèrent se préparer pour la sortie en compagnie de leur père. Lorsqu’ils furent prêts, Roger les fit monter dans la voiture et ils commencèrent à rouler vers le nord. Cette trajectoire suscita les premières interrogations de Florent et Manon.

— Papa, où est-ce qu’on va ?

— J’ai pensé vous emmener aux fêtes de Genève.

— Il y a quoi là-bas ?

— Des attractions, des jeux, des stands de boissons et de nourriture Tout ce qu’il faut pour une fête foraine.

— Cool. J’ai hâte d’y être.

Roger conduisit pendant environ quatre heures avant d’arriver à destination. Après avoir trouvé une place de parking, ils décidèrent tous trois de prendre un rafraîchissement dans l’un des stands de la manifestation. Le père prit un mojito tandis que Florent et Manon optaient pour un jus d’orange. Leurs boissons consommées, ils firent quelques tours de manège puis jouèrent à quelques jeux sans gagner quoi que ce soit. En regardant sa montre, Roger s’aperçut que l’heure était assez avancée.

— Ouh la la C’est fou ce que le temps passe vite ! Il faudrait qu’on rentre si vous voulez profiter au maximum de votre fête ce soir.

À contrecur, Florent et Manon hochèrent la tête et suivirent leur père jusqu’à la voiture. Sur le chemin du retour, la curiosité de la jeune femme fut éveillée. En effet, Solange leur avait dit que Rosalie était au courant de la surprise qu’elle leur réservait mais elle n’avait rien dit au sujet de Roger. Elle décida donc de l’interroger.

— Papa, tu as une idée de ce que Maman compte faire avec nous ce soir ?

— Elle m’en a parlé mais je ne peux rien vous dire.

En observant les gestes de son père, Manon remarqua que ce dernier avait lâché le volant de sa main droite pour frotter une bosse qui s’était formée au niveau de son entrejambe.

— Hum Au vu de tes gestes, j’en conclus qu’il s’agit de quelque chose de sexuel.

— On ne peut rien te cacher, Manon. Oui, mais je n’en dirai pas plus.

— Allez, Papa ! Donne-nous au moins un indice. Tu bandes comme je ne sais pas quoi en y pensant. Fais-nous aussi ressentir un peu d’excitation.

— Tu ne peux vraiment pas attendre jusqu’à ce soir ?

— Non ! Maintenant que je sais que je vais baiser, je commence à mouiller.

Roger éclata de rire.

— Et toi, Florent, tu peux attendre ?

— Non plus. L’idée d’avoir les trois femmes que j’aime le plus au monde avec moi ce soir me fait bander comme pas possible.

Roger fut embarrassé. Il avait promis à son épouse de ne rien divulguer de ses projets mais il en avait déjà trop dit. D’une part, il souhaitait garder le secret intact. D’autre part, il savait que l’impatience de ses enfants grandirait au fil des kilomètres parcourus. En prenant en compte tous les éléments de la situation, il finit par trouver une idée.

— Bon, comme je vous l’ai dit, je ne peux rien vous dire. Sinon, votre mère m’en voudra. Par contre, je ne peux pas vous amener dans cet état. Vous seriez certainement frustrés et, de ce fait, de mauvaise humeur pour la soirée. Étant donné que je ne veux pas gâcher la surprise de votre mère, je propose de nous arrêter pour nous alléger un petit peu. Ça vous va ?

Florent et Manon se regardèrent quelques instants. Ils comprenaient tous deux ce que les mots de Roger signifiaient mais le jeune homme était moins emballé que sa sur par cette idée. En effet, bien qu’il eut entendu parler des relations entre sa jumelle et son père, Florent trouvait bizarre de les voir tous les deux en action, même s’il y participait. Manon fut la première à répondre.

— Moi, ça me va.

— Et toi, Florent ?

Toujours dans la réflexion à cause de son sentiment, le jeune homme hésitait. D’une part, cela lui faisait plaisir de partager un nouveau moment intime avec Manon mais, d’autre part, le fait de voir son père s’occuper d’elle le révulsait quelque peu. En pesant le pour et le contre, il se dit que cela pouvait être une expérience à tenter.

— Oui, moi aussi.

— Parfait. Je connais un endroit pas très loin où nous pourrons être tranquilles. Et puis, petite confidence : je tenterai avec vous quelque chose que je n’ai jamais fait avec votre mère.

Sur ces mots, Roger roula jusqu’à une aire de repos. Il y gara la voiture et tous trois en descendirent pour se diriger vers un bois situé à quelques mètres de là. Lorsqu’ils se furent suffisamment enfoncés parmi les arbres, en dehors des sentiers pédestres, Roger décida que le moment était venu.

— Nous voici arrivés là où je comptais vous emmener.

— Plutôt sympa. Comment ça se fait que tu connaisses cet endroit.

— On s’y arrêtait assez souvent avec votre mère durant nos jeunes années.

— Et vous n’avez jamais rien fait ici ?

— Nous avions un peu peur, à l’époque, mais j’ai toujours eu ce fantasme de le faire en plein air. Je vais pouvoir l’assouvir avec vous si vous êtes toujours partants.

Une nouvelle fois, Manon fut la première à répondre.

— Oui !

Sachant qu’il ne pouvait plus vraiment reculer, Florent donna à son tour son assentiment. Roger sourit et se mit à se déshabiller, aussitôt imité par Manon. De son côté, le jeune homme trouvait toujours étrange de donner du plaisir à sa sur aux côtés de son père. Il fut donc le plus lent à se dévêtir. Dès qu’ils furent nus tous les trois, Manon s’agenouilla aux pieds des deux autres et entreprit de les masturber, un sexe dans chaque main. Si Roger paraissait au comble du bonheur, Florent, lui, ressentait de la gêne à l’idée de se trouver nu si près de son père et, de surcroît, dans un lieu public. De ce fait, sa verge avait quelques difficultés à demeurer rigide. Ce détail n’échappa pas à Manon et Roger.

— Détends-toi, frangin : on est au beau milieu des bois. Personne ne risque de nous voir.

— Ta sur a raison, fiston. Arrête de t’angoisser et savoure plutôt ses talents.

En sentant la main de Manon caresser sa verge avec davantage de force, Florent reprit peu à peu confiance et oublia son trouble. La jeune femme, de son côté, après s’être assurée que ses deux partenaires fussent bien durs, commença par prendre le sexe de son père en bouche tout en continuant de masturber son frère. Roger tomba rapidement dans l’extase suite à la fellation que sa fille lui prodiguait.

— Oh Oui ! Oh oui, continue comme ça, ma chérie !

Souhaitant faire durer ce plaisir, Roger se saisit du crâne de Manon et le maintint fermement afin de lui imposer un rythme. Sa sur ayant dû lâcher sa verge suite à ce contact, Florent sentit son impatience grimper en flèche. Lui aussi voulait profiter de ses talents buccaux.

— Ça va, Papa ! Laisse-m’en un petit peu.

— Ah, cette jeunesse Ils veulent toujours tout tout de suite.

En souriant à son fils, Roger relâcha la tête de Manon et celle-ci entreprit de réserver le même traitement à la verge de son jumeau. Tandis que ses lèvres coulissaient lentement le long de la hampe de Florent, la jeune femme se saisit de celle de son père et la masturba de toutes ses forces, ce qui fit beaucoup rire ce dernier.

— Je sais que tu aimes ma semence, ma chérie, mais ne sois pas trop pressée.

Manon ralentit le rythme de son mouvement de poignet et s’appliqua à lécher le sexe de Florent sur toute sa longueur avant de déposer un baiser sur son gland. Elle fit ensuite de même avec celui de Roger et s’allongea au sol pour signifier à ses partenaires qu’elle souhaitait aller plus loin. En voyant l’intimité de la jeune femme dégouliner de cyprine, père et fils s’accordèrent sur une autre idée d’un regard tacite.

— Ne sois pas pressée de prendre nos queues, frangine. Ta chatte dégouline de bon jus. Il y en a bien assez pour Papa et moi.

À la fois excitée à l’idée de se faire lécher par deux hommes en même temps et frustrée de ne pas être prise de suite, Manon écarta les cuisses autant qu’elle le put et sentit très rapidement les langues de Florent et Roger agacer son clitoris et caresser ses lèvres. Plus les coups de langue se faisaient intensifs, plus la jeune femme peinait à réprimer sa jouissance. Tout en se caressant les seins avec frénésie, elle encouragea les deux hommes à la lécher jusqu’à ce que son plaisir l’emportât. Amateurs de son nectar intime, Florent et Roger ne se firent pas prier pour accéder à cette requête et Manon s’avoua rapidement vaincue dans un flot de cyprine qui finit de désaltérer ses partenaires.  

Florent et Roger laissèrent Manon récupérer de son orgasme puis la jeune femme passa ses bras autour d’un arbre tout en se cambrant le plus possible, de manière à rendre ses deux orifices accessibles aux deux hommes. Excités par le fait d’être parvenus à l’ « étape finale », père et fils se masturbaient légèrement tout en caressant le corps de la jeune femme.

— Alors, fiston ? Tu prends en bas ou en haut ?

— Je vais commencer par en haut.

Le jeune homme enfonça sa verge dans le petit trou de sa jumelle tandis que son père s’occupait de son intimité. Dès les premiers coups de queue, ils furent encouragés par Manon qui leur communiquait son plaisir par des cris et des mouvements du bassin pour faciliter leurs pénétrations.

— Oh oui, mes chéris ! Je sens vos belles queues en moi ! Oh oui ! Remplissez-moi bien les trous !

Père et fils poursuivirent leurs efforts durant quelques minutes puis, d’un accord tacite, échangèrent leurs positions. Florent pénétra lentement l’intimité de Manon afin d’en savourer le plaisir retiré tout en se rappelant de leur premier ébat complet au motel. Tandis que Roger labourait l’arrière-train de la jeune femme, il crispa ses mains sur ses hanches pour la pénétrer à un rythme progressif. À nouveau, Manon encouragea son père et son frère.

— Oh oui, j’adore ! Baisez-moi bien fort ! Oh oui !

Roger et Florent accélérèrent leurs mouvements puis le père se retira pour chuchoter à l’oreille de son fils.

— Prêt pour la touche finale, fiston ?

Le jeune homme hocha la tête sans trop comprendre où son père voulait en venir. Alors que Florent continuer à s’occuper de l’intimité de Manon, Roger y inséra sa verge à son tour et donna de grands coups de reins. Surpris par l’initiative de Roger, Florent demeura quelques instants au fond de la grotte de sa jumelle sans bouger puis finit par imiter son père. De son côté, Manon savoura la sensation étrange qu’elle éprouvait suite à cette double pénétration. Jamais, dans ses fantasmes, elle n’avait songé à cette pratique. Elle pensait que cela ne se passait que dans les films de l’industrie X.  Cependant, loin de lui déplaire, ce remplissage à deux verges de son intimité lui faisait comprendre qu’elle n’avait encore pas tout appris des plaisirs de la chair.

Sous les gémissements de Manon, Florent et Roger poursuivirent leur besogne durant quelques minutes avant de se sentir envahis par la jouissance. L’un après l’autre, les deux hommes se retirèrent de leur fourreau puis firent signe à la jeune femme de s’agenouiller devant eux en ouvrant la bouche.

— À ton tour de nous goûter, surette.

En lui lançant un regard malicieux, Florent fit entrer son sexe dans la bouche de sa jumelle pour y répandre sa semence. Roger l’imita aussitôt après avoir laissé Manon avaler puis, après avoir ingéré le sperme paternel, la jeune femme déposa un baiser sur les lèvres de ses partenaires puis tous trois se rhabillèrent pour reprendre la route.

Ils parcoururent la distance restante tout en bavardant de choses diverses puis, une fois arrivés à destination, prirent une douche à tour de rôle. Roger laissa ses cadeaux dans les chambres de ses enfants puis s’en alla après avoir embrassé Solange qui s’affairait dans la cuisine.

Florent et Manon dînèrent ensuite en compagnie de leur mère et rangèrent la vaisselle. Vers vingt heures, on sonna à la porte. Solange se dirigea prestement vers la porte.

— Ce doit être Rosalie. Restez ici. N’entrez pas encore dans le salon. Je dois encore y finir quelque chose.

Les deux jumeaux obtempérèrent et essayèrent d’écouter la conversation entre Solange et Rosalie afin d’avoir une idée de ce qu’ils allaient faire dans la soirée.

— Tu as amené ce que je t’ai demandé. Parfait. Pose-le sur la table basse du salon. On verra si on en a besoin selon comment ça se passe.

— Très bien, Solange. J’ai hâte que ça commence.

— Tout comme mes enfants, je pense.

Florent jeta un regard interrogatif à Manon.

— Qu’est-ce que tu penses que Rosalie a amené ?

— Aucune idée. Je pense que nous le saurons assez vite.

Les deux jumeaux attendirent quelques instants dans ce climat d’incertitude puis Solange les appela. Lorsqu’ils entrèrent dans le salon, ils virent Solange et Rosalie séparer un jeu de cartes en cinq paquets. En jetant un coup d’il à la table basse, Florent remarqua la présence de trois godes-ceintures. Ce tableau ne l’enchantait guère, surtout après la journée qu’il avait passée en compagnie de sa sur et de son père. Sur un signe de leur mère, Florent et Manon s’assirent en face de Rosalie.

— Bon, maintenant que tout est prêt, je vais vous expliquer le déroulement de la soirée. Nous allons jouer à un jeu que j’ai appelé « la strip battle ». C’est comme le strip poker, à la différence près que nous allons jouer à la bataille. Celui ou celle qui présentera la carte la plus basse devra enlever un vêtement. En cas d’égalité entre deux ou plusieurs joueurs pour la carte la plus basse, les personnes concernées devront rejouer entre elles pour déterminer le perdant ou la perdante. Le jeu s’arrêtera dès que l’un de nous finit entièrement nu. Si Rosalie ou moi perdons la partie, vous pourrez choisir ce qu’il va se passer ensuite. En revanche, si c’est l’un de vous deux qui perd, c’est l’autre qui décidera de la suite des évènements. Avant de commencer, il faudrait que nous retirions nos soutiens-gorges, les filles, pour que nous commencions tous avec le même nombre de vêtements.

Les trois femmes ôtèrent leurs sous-vêtements superflus puis chaque joueur mélangea le deck qu’il avait reçu.

— Des questions avant que nous ne commencions ?

Tous secouèrent la tête en signe de négation. Suite aux explications de sa mère, Florent comprit qu’il valait mieux pour lui qu’il ne perdît pas la partie s’il ne souhaitait pas se faire prendre par ses adversaires. La première manche débuta. Solange abattit un roi, Rosalie un quatre, Manon un trois. En tirant la première carte de son deck, le jeune homme pria de toutes ses forces en son for intérieur que celle-ci ne fût pas un deux. Par chance, il tomba sur un cinq. Solange remportait la manche mais c’était à Manon d’enlever son T-shirt. En songeant aux évènements survenus plus tôt dans la journée, il jeta un regard carnassier sur la poitrine dénudée de sa jumelle.

La chance étant avec lui, il remporta la seconde manche grâce à un as et ce fut au tour de Solange de retirer un vêtement. En admirant les seins des deux femmes de sa famille, le jeune homme sentit les effets de l’excitation sur son sexe, ce qui causa la formation d’une bosse sur son short. La troisième manche sourit à Manon qui la remporta grâce à une reine. À cause du trois qu’elle avait posé, Rosalie fut contrainte d’ôter son T-shirt. En voyant les trois poitrines dénudées, Florent ressentit une dose supplémentaire d’excitation et s’imaginait déjà jouir sur elles à la fin de la partie. Cette pensée lui donna, durant une fraction de seconde, l’envie de sortir sa verge de son boxer et de se masturber mais il se résigna à l’abstention, pensant que ce geste aurait équivalu à un abandon, donc à une défaite.

À la manche suivante, la chance changea de camp. Ayant abattu un dix, Rosalie eut la carte la plus élevée. Florent, en revanche, pénalisé par son deux, retira son T-shirt. Les quatre joueurs furent ainsi tous torse nu. Au bout de cinq autres manches, Florent et Rosalie s’étaient vus obligés de retirer short et chaussettes, ne leur laissant que leur culotte et boxer comme dernière chance. Manon, de son côté, avait perdu une autre manche et avait dû ôter son pantalon. Seule Solange possédait encore trois pièces sur elle.

L’excitation avait progressivement fait place à l’adrénaline dans l’esprit de Florent. Il ne devait pas perdre la moindre manche s’il voulait espérer décider de la suite de la soirée. Heureusement pour lui, Solange fut malchanceuse sur deux manches d’affilée et se retrouva à son tour en petite culotte. Tout allait se jouer sur la manche qui allait suivre.

Manon abattit un neuf. Avec soulagement, la jeune femme constata que Rosalie avait posé une carte inférieure. Solange sauva également sa culotte en opposant un valet. Anxieux, Florent retira la première carte de son deck et constata avec horreur qu’il s’agissait d’un quatre. La carte la plus basse avec celle de Rosalie. Ils allaient tous les deux devoir rejouer afin de déterminer le perdant ou la perdante. Cette situation sembla ravir Solange et Manon.

— Eh bien, on dirait qu’on va finir cette partie en beauté, Manon.

— Oui, Maman. Si c’est Florent qui perd, je sais déjà ce que je vais lui réserver.

Florent et Rosalie posèrent une carte de leur paquet sur la première qu’ils avaient jouée puis en replacèrent une autre, face découverte, sur leurs tas respectifs. Dans cette ultime manche, la chance fut à nouveau du côté du jeune homme. Grâce à un roi, il put battre la reine que Rosalie avait posée. Solange ne laissa rien paraître de ses émotions. Manon, en revanche, émit un léger soupir de dépit. En effet, la vue des godes-ceintures posés sur la table basse du salon lui avait donné l’idée de prendre son frère en compagnie de sa mère et de Rosalie.

— C’est Rosalie qui a perdu. Les enfants, vous aurez donc l’honneur de décider de ce qu’il va se passer maintenant.

Les deux jumeaux se retranchèrent dans la cuisine pour délibérer, laissant Solange et Rosalie dans l’attente de ce qui allait advenir de la jeune femme.

— Alors, frangine ? Qu’est-ce qu’on fait ?

— Tu sais très bien que j’ai envie de t’enculer, comme l’ont fait Maman et Rosalie, mais, comme je ne peux pas décider toute seule, je suppose que tu n’accepteras pas.

— Non, effectivement.

— Au fait, maintenant que j’y pense, tu as dit à Maman que ça te plairait bien de remettre ça avec moi. Alors, pourquoi ne pas le faire maintenant ?

— J’ai dit ça dans l’excitation du moment. Me faire prendre par Rosalie et Maman, c’est une chose. Elles sont toutes les deux plus âgées que moi donc ça passe mais, toi, tu as le même âge que moi. Je trouve que ce serait un peu humiliant, du coup.

— Je vois. Donc, c’est quoi ton idée ?

— Étant donné nos situations amoureuses actuelles, je voudrais que toi et moi, on puisse profiter l’un de l’autre une dernière fois. Dès que tu auras officialisé ta relation avec Johann et si elle se passe bien, tu n’auras plus aucune raison de coucher avec moi ou Papa. Et moi, de mon côté, j’ai Rosalie et je ne veux pas la perdre.

— Dans ce cas, ce serait peut-être mieux que ce soit toi qui la prennes. Comme ça, elle comprendra que tu l’aimes vraiment et qu’elle n’est pas qu’une femme en plus dans ta liste. Et puis, tu as déjà profité de mon corps cet après-midi.

— Oui, mais c’était avec Papa. Là, je veux t’avoir pour moi tout seul une dernière fois.

— Une dernière fois

Les deux jumeaux finirent par approuver ce pacte et le scellèrent dans un baiser à la fois tendre et langoureux.

— Bon, allons-y.

Florent et Manon reparurent dans le salon pour faire part de leur décision.

— Maman, Rosalie, Manon et moi aimerions finir comme nous avons commencé. C’est pour cette raison que nous aimerions nous aimer une dernière fois.

Rosalie et Solange accueillirent l’annonce avec bienveillance.

— Dans ce cas, c’est à moi que revient le plaisir de m’occuper de la copine de mon fils.

Tandis que ses enfants prenaient place sur le canapé pour se caresser mutuellement, Solange retira sa culotte et fit à Rosalie de s’allonger sur le sol. Elle se plaça au-dessus d’elle et les deux femmes commencèrent à se prodiguer mutuellement un cunnilingus. De son côté, Florent caressait les seins de sa sur tout en l’embrassant avec passion. Il la fit ensuite allonger sur le canapé et entreprit de la stimuler en s’occupant de son clitoris. En sachant que ces agréables coups de langue seraient les derniers de son frère, Manon ressentit un mélange étrange de tristesse et de plaisir. Florent avait en effet bien amélioré sa technique et le plaisir ressenti n’en était que plus grand mais la jeune femme ne put s’empêcher de verser une larme entre deux cris de jouissance en songeant qu’elle et son jumeau n’auraient plus jamais ce genre de rapports. Elle finit pourtant par jouir dans la bouche de Florent qui but avidement sa cyprine. La jeune femme fit asseoir son frère sur le canapé et s’agenouilla face à lui.

— À mon tour de te faire du bien, frangin.

Manon lécha la hampe de son jumeau sur toute sa longueur avant de la prendre en bouche. Tandis que sa jumelle le suçait, Florent admira la scène qui se jouait entre Rosalie et Solange. Les deux femmes avaient abandonné leur soixante-neuf pour se retrouver à quatre pattes l’une derrière l’autre. Sa mère s’appliquait à lécher le petit trou de sa copine. À la vue de ce tableau, le jeune homme comprit de suite qu’au moins un des godes-ceintures n’allait pas s’avérer inutile. Quelques minutes plus tard, cette intuition fut confirmée lorsqu’il vit Solange s’équiper de son sextoy pour sodomiser Rosalie qui lui montrait son plaisir avec des ronronnements et des mouvements de bassin.

Florent fit signe à Manon d’arrêter sa fellation et l’invita à se coucher devant lui, sur le côté. La jeune femme adopta la posture exigée et sentit de suite la verge de son jumeau pénétrer ses chairs intimes. Sans transition, le jeune homme se saisit des seins de sa sur qu’il malaxa passionnément tout en lui donnant de grands coups de reins pour l’amener rapidement vers la jouissance. Cette stratégie ne tarda pas à lui valoir quelques encouragements de la part de Manon.

— Hum ! Oh oui ! Oh oui, comme ça, j’adore ! Hum Prends-moi bien fort.

Florent mit ses dernières forces dans ses mouvements et finit par sentir son éjaculation se rapprocher inexorablement. Il fournit encore quelques efforts puis, sentant qu’il n’y arriverait plus, il se retira du ventre de sa jumelle.

— Manon ! Je vais jouir !

— Oui, vas-y. Jouis où tu veux.

Le jeune homme se masturba quelques instants et finit par répandre sa semence sur la poitrine et le ventre de Manon. Une fois apaisés, les deux jumeaux échangèrent un ultime baiser.

— Je t’aime, Manon.

— Je t’aime aussi, frangin.

De leur côté, Solange et Rosalie, qui avaient temporairement interrompu leurs ébats pour assister à ceux de Florent et Manon, eurent l’air quelque peu déçues de ce final.

— Je dois dire que je suis un peu déçue. Je m’attendais à recevoir un petit quelque chose de lui. Je suis sa copine, quand même.

— Et ce cochon a tout donné à sa sur. Je crois que nous allons devoir aller chercher notre dû, ma chère Rosalie.

En entendant ces phrases, Florent comprit qu’il allait à son tour goûter aux sextoys. Résigné, il laissa sa mère s’asseoir sur son torse pour le maintenir couché sur le canapé, sous les yeux à la fois excités et surpris de Manon. Rosalie s’équipa de son gode-ceinture et alla rejoindre les autres. En croisant le regard interrogatif de sa fille, Solange hocha la tête en lui adressant un clin d’il. Cette fois toute excitée, Manon mit à son tour son gode-ceinture.

— Mesdemoiselles, je vous laisse voir entre vous laquelle aura l’honneur de prendre ce jeune homme la première.

Rosalie et Manon se regardèrent durant quelques instants.

— Honneur à celle qui ne l’a encore jamais pris.

Rosalie donna sa verge factice à sucer à Florent tandis que Manon lui relevait les jambes pour se faciliter le passage. La jeune femme prit tout son temps pour s’enfoncer dans le petit trou de son jumeau. Depuis qu’elle savait que Solange et Rosalie l’avaient pris, elle attendait impatiemment le jour où elle en ferait de même. Florent, de son côté, se sentait un peu honteux à l’idée de se faire prendre par sa sur. S’il avait pu se faire une autre idée de la pratique grâce à sa mère et à Rosalie, il n’en était pas pour autant devenu fan et le fait que ce fût Manon qui s’y adonnât avec lui lui faisait ressentir un sentiment d’humiliation. Il prit cependant sur lui pour ne rien laisser paraître.

Dès la première poussée, Manon se promit de sodomiser son frère comme il l’avait avec elle jusque là. C’est-à-dire plus ou moins sauvagement. Lorsqu’elle fut totalement prise dans le sombre conduit de Florent, la jeune femme crispa ses mains sur ses hanches et donna de violents coups de reins, ses cuisses butant brutalement sur le fessier du jeune homme dont elle ne sut comment interpréter les gémissements étouffés par le gode-ceinture de Rosalie. Était-ce du plaisir ? De la souffrance ? Elle n’en avait pas la moindre idée et n’en avait cure. En ce moment précis, la seule chose qu’elle souhaitait était de réaliser son fantasme de sodomiser son jumeau.

Manon fit de puissants va-et-vient dans le rectum de son jumeau pendant plusieurs minutes avant que Solange ne décidât de changer les rôles. Presque à contrecur, Manon alla s’asseoir sur son frère tandis que Rosalie sodomisait ce dernier pendant qu’il suçait le gode-ceinture de sa mère. Dans cette configuration, Florent se sentit un peu plus à l’aise et, malgré la situation de quasi soumission dans laquelle il se trouvait, se permit de faire glisser ses mains sur le corps de Manon qui accueillit le geste en souriant. Les trois femmes changèrent une dernière fois les rôles. Tandis qu’il se coltinait le sextoy de sa sur en bouche, Florent se faisait désormais prendre par sa mère et Rosalie était assise sur lui.

Après quelques allées et venues dans le petit trou de son fils, Solange remarqua que ce dernier était de nouveau tendu au niveau de son sexe, ce qui la fit sourire.

— Pas trop tôt Rosalie, nous allons enfin pouvoir prendre ce que nous sommes venues chercher.

Sous les yeux excités de Manon qui l’embrassait langoureusement, Solange et Rosalie masturbèrent le jeune homme à l’aide de leurs seins et celui-ci finit par éjaculer sur leurs poitrines et leurs visages. Les deux femmes s’empressèrent d’avaler autant de semence qu’elles le pouvaient puis ils se rhabillèrent tous les quatre avant de raccompagner Rosalie à la porte.

Épuisés par la journée qu’ils venaient de vivre, Florent et Manon allèrent se coucher sans même ouvrir le cadeau de Roger. Ils avaient décidé de l’ouvrir demain, à tête reposée. D’autant plus que les vacances d’été touchaient à leur fin.

[ à suivre ]

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