Histoires de non consentement Histoires de sexe gratuites Histoires de sexe voisins

Christine en Niqab – Chapitre 1

Christine en Niqab - Chapitre 1



CHRISTINE EN NIQUAB

Épisode 1 de 6

Les retrouvailles.

Trainant ma grosse valise, poussé par le vent , je rejoignais mon appartement sur le bord du lac par la rue des Alpes qui descend depuis la gare de Genève, quand elle maperçue.

— Jean-Paul !

— Christine ! Quelle surprise ! Çà fait un bail

— Oui, Quelques annéesVous rentrez de voyage ?

— Oui, en fait je travaille au Moyen Orient. Je viens passer quelques semaines chez moi. Et vous, toujours chez pharma ?

— Non, je travaille à la Grande Librairie du centre. Et tu vas bien ?

La voilà qui me tutoie !

— Oui, ça va

Elle doit être la patronne me dis-je. Elle est toujours aussi belle Elle a lair contente de me voir. Je me lance.

— On peut prendre un verre, si vous avez un peu de temps  ? Après un instant dhésitation :

— Eh Jai quelques minutes. Pourquoi pas.

— Je dépose ma valise chez moi. Cest tout près.

En dévissant, nous marchons jusquau pied de mon immeuble. Je retrouve sa ligne magnifique et son parfait maintien qui a fait quelques victimes dans lentreprise où nous nous sommes croisées il y a quelques années. Elle a la trentaine, le bel âge des femmes.

— Mais vous nallez pas mattendre dans ce courant dair, montez un instant ?

Elle hésite. Cest là que tu habite ? Dis donc ! Pas mal limmeuble.

Dans lascenseur son parfum menivre un peu.

— On se tutoie ?

— Si vous voulez Si tu veux ! Lui dis-je un peu surpris. Je lai connu moins familière .

— Tu nas pas changé Et, cest un compliment.

Il faut bien meubler. Elle ne le prend pas mal. Elle a changée mais en mieux. Elle rosie un peu mais moctroie un sourire un peu pincé. Me reviennent une foule dimages et une aigreur que ma laissé un épisode cuisant où elle tenait le rôle titre: Jétais au département informatique dans cette entreprise de médicaments. Elle travaillait au service financier. Ils étaient nombreux à avoir repéré cette grande et belle fille, un peu coincée.

Après quelques semaines dune cour discrète, cest à loccasion dun incident quelle daigna sintéresser à moi. Lors de la soirée qui suivit un séminaire, elle samusa à échauffer le directeur commercial. Mais quand celui-ci un peu aviné devint plus quentreprenant, elle me lança un regard qui minvitait à un slow de secours. A la fin duquel, à ma grande stupéfaction, elle se colla ostensiblement à moi et, devant lassemblée médusée, elle me roula un patin incandescent ! Jeune stagiaire novice, je ne perçu pas à quel point jétais manipulé. Elle voulait humilier limportun. Elle laissa même mes mains inventorier délicatement sa magnifique chute de reins.

Léconduit, furieux, revint à la charge. Je du donc exfiltrer ma cavalière jusquau seuil de sa chambre. Elle me laissa prendre lempreinte dun sein, puis quand je voulu poser un baiser osé, elle me gratifia dun merci agacé et elle prit congé. Dans les jours qui suivirent, jessayais de pousser mon avantage mais la belle gardait son quant à soi. Cest à ce moment que le fils du patron fit son entrée dans la boite. Heureusement, que je navais pas eu le temps de tomber vraiment amoureux car elle ne maccorda plus le moindre regard. Au contraire ! Le beau et riche héritier succomba en quelques semaines. Une fois la place prise, la belle Christine devint froide, distante et condescendante avec « le petit personnel ».

Un soir alors que je quittais le bureau, elle me héla dans le couloir. « Jai un problème dimprimante, « venez » tout de suite arranger çà ! Désolé, je suis en retard, je vais manquer mon pendulaire (1) Je peux moccuper de toi dès huit heure demain matin. Ecoutez mon petit Jean-Paul si vous voulez conserver votre emploi, vous avez intérêt de me dépanner tout de suite ! Cest vous qui décidezOu vous maidez ce soir, ou vous pouvez rester chez vous, définitivement ! Suis-je claire ? » Je me suis donc rendu dans son bureau en marmonnant sur cette peste prétentieuse. Le dépannage était anodin, juste le temps de manquer mon train. Le pire, cest que le lendemain, le responsable informatique, désolé, me signifiait mon congé

— Donc tu nes plus à Pharma. Lui demandais-je dans lascenseur.

— Cest loin tout çà. Des années Me répondit-elle distraitement.

Nous pénétrons dans mon appartement quelle inventorie. Heureusement la femme de ménage a bien préparé mon retour au bercail. Je la débarrasse de son manteau. Dieu quelle est belle dans le contre jour de la baie vitrée. Grande, fine, les cheveux mi- longs aux reflets auburn, les pommettes saillantes, le nez droit – un rien trop grand – et ses yeux révolveret cette chute de reins sous le jeans serré !

— Et toi ? Quest ce que tu fais.

— Je travaille au soleil.

Je dépose ma valise.

— On peut prendre un verre sur la terrasse ici. Je suis un peut cuit, douze heure de voyage.

— Si tu veux Cest magnifique chez toi !

Je lai connue plus réservée mais bon

— Met toi à laise. Alcool, Porto, soda ?

— Un porto merciQuel appartement ! Et cette vue sur le lac. Mais tu travaille où ?

— Jai crée une société de service informatique au moyen orient. Et toi ?

— Oh, moi, cest échec sur toute la ligne. Jétais une tueuse, je suis comptable dans une librairie. Je passais pour une grande séductrice, jai séduit un fils de famille, il ma quitté après quelques années pour retrouver les siens aux USA. Après, je me suis marié avec un industriel alémanique impuissant qui me trompait avec son chauffeur ! Enfin, çà je ne lai su quaprès quil mai surpris avec un gigolo et quil mait viré sans un sous ! Depuis je rame

Ca ne lempêche pas dafficher une posture hautaine et un rien revêche.

— Lavantage quand on touche le fond cest quon ne peut que remonter

— Ou rester dedans.

— Cétait le fils du patron. Comment sappelait-il déjà ?

— Pierre. Je lai kidnappé à sa femme et à ses enfants. Mais le patriarche a réussi à saboter notre union. Jai tout perdu, mon homme, mon job et ma dignité. Jétais solide, prétentieuse, je vais déchecs en échecs. Je sors tout juste de dépression.

Elle porte un jeans et un petit pull fuchsia. Mais elle a conservé intact ses hanches de princesse et arbore des petits seins qui pointent hardiment sous la fine laine.

— A trente cinq ans je suis seule et obligé de vivre chez mes parents. Tu vois le bilan

Elle me ferait presque pitié !

— Et toi, tu es marié ? Cest ta femme sur la photo que je vois dans la bibliothèque ?

— Une amie, on a vécu ensemble au Canada. Elle a disparue dans une avalanche

— Désolée On a tous nos misères. Dit-elle dans une compassion contenue.

— Toute choses égales par ailleurs, ajoutais-je. Sans quelle soit troublée par ma boutade.

— Je peux sortir une pizza du congélateur, ou si tu préfère on va manger un morceau à lextérieur. Quand dis-tu.

— Cest que jai un train à sept heure, après cest compliqué. Je vis à près de Lausanne chez mes parents. .

— Cest drôle, je me souviens que tu ma fais rater un train Et virer de pharma…

— Moi ?… Je ne me souviens pas Tu dois te tromper. Cest loin tout çà

— Moi, je men souviens comme si cétais hier. Note que je devrai te remercier car Philipe le directeur informatique de Pharma était tellement désolé dêtre obligé de me virer quil ma fait rentrer dans une boite de logiciel pour laviation. Jai crée ma boite qui marche bien.

— Ce que tu me, dis là métonne. Tu es sur que cest moi qui tai fait virer. Je ne me souviens pas.

— Jai vu le mail que tu as fait à ton chéri. « Jean-Paul me harcèle. Cest lui ou moi et quelques autres amabilités » Même si on avait flirté un soir, je ne méritais « ni cet excès dhonneur ni cette indignité ».

Elle se lève.

— Tu mas invité pour me reprocher le passé ? Je préfère partir. Jen ai assez en ce moment.

— Ni pensons plus, il y a prescription. Je te raccompagnerai en voiture.

— Cest vrai que jétais garce à lépoque. Je lavoue. Réplique-t-elle. Mais comme si elle en avait déjà top concédé, elle ajoute aussitôt avec le sourire carnassier qui ravagea le bureau de Pharma.

— Jen ai fait bavé à certains mais je lai bien payé. A notre santé ! Ajoute-elle en me posant un baiser sur le coin des lèvres. Cest pardonné, non ? On est tous un peu pareil ?

Ah, ces yeux Je change de sujet. Lui raconte les immensités glacées du Québec. Les mystères de lOrient. La fraicheur des oasis. Elle va sétirer dans le canapé. Retire ses chaussures avec un rictus de douleur.

— Jai des nouvelles chaussures

Il nen faut pas plus pour, quà genoux, je lui prodigue un massage bienfaisant. Les yeux clos. Se mordant la langue pour ne pas trop se découvrir, elle ne peut réprimer des soupirs et des frissons.

Mes mains empêchées par le pantalon ne peuvent saventurer au delà des mollets. Jy pose un baiser. Cest un début. . En réponse, elle me tend ses lèvres. Elle retire mon pull. Jépluche le sien comme une pêche. Son chemisier le rejoint sur le tapis suivi par le jeans qui entraine la petite culotte rose. Délaissant le soutien-gorge de midinette, je hume la magnifique chatte débène.

– Non ! Me murmure-t-elle. Ce qui, quand il est accompagné dun soupir, signifie chez une fille : oui !

Je me déshabille et lentraine dans la salle de bain pour effacer les stigmates de mon long voyage. Je libère ses seins magnifiquement proportionnés, et, ce qui est rare, parfaitement symétriques. Je suis séduis par ses tétines qui se dressent majestueuses et fières. De la belle ouvrage, rien à jeter !

Pourtant, il me faut bien me rendre à lévidence, en dépit de ses adorables atours, Christine nest pas une grande baiseuse Les loisirs aquatiques ne sont pas son fort, elle me fuit comme une truite pour aller senrouler dans un immense peignoir et minviter sur le lit.

— Tu as un préservatif ? Alors, prend-moi. Me susurre-t-elle presque distraite- en écartant les cuisses comme une grenouille.

Quelle belle chatte ! Sombre mais luisante; frisée mais soyeuse dissimulant une longue fente. Mes lèvres sy perdent un moment. Malgré une technique que mes compagnes ont jusque là jugé à leur goût mais peut-on savoir avec les femmes ? Christine ne manifeste aucune envolée lyrique. Le petit bouton ou le mystérieux point G restent amorphes. Elle est plus que coincée, frigide peut-être ? Elle minvite à occuper sans tarder létage supérieur. En fait, seules les caresses et les suçons sur ses glandes mammaires semblent la transporter. Enfin, elle parvient péniblement à se hisser jusquau septième. Si ce navait été quelques effluves humides et ses tétines érigées, jaurai juré que tout cela nétait la que comédie et simulacre. Ma pinne trouve enfin son chemin et là, peut-être par simple atavisme, elle se met à geindre. Jaccélère le rythme et je finis par obtenir un simili orgasme. Elle se retire sans égard pour ma modeste personne en émettant un soupir laconique : « Toi alors ! » Elle retombe à mes côté, puis sempare de ma bite orpheline. Elle suçote le gland avec une conviction forcée, puis, me finit à la main !. Il ne lui reste plus qua se précipiter dans la salle de bain Fin de lépisode.

— Viens prendre une douche. Tu dois me ramener.

— Il est une heure du matin Tu peux rester dormir avec moi.

— Non, mes parents vont sinquiéter.

— A ton âge !

— Toi t u es en vacances Je nai rien à mettre pour aller au travail demain Dépêches-toi ! Vais-je lui dire que jai douze heure davion et une soirée un peu agitée dans les jambes

— Allez fainéant ! Cest de vivre au soleil qui te fatigue ?

Là, elle commence à me faire suer.

— Non, cest le jetlag, je suis en route depuis plus de vingt heure. Je ne me sens pas la force de rouler encore trois heure pour te raccompagner. Tu dors là. Demain nous irons tacheter des fringues. Tu appelleras tes parents au réveil !

— Oh, mon amour, excuse-moi, mais comment vais-je mhabiller ?

— Il te suffira dacheter un jeans et un pull à louverture de Placette.

— Tu as raisonmon amour et je nai pas le choix.

Et, selon la formule elle plonge dans les bras de Morphée ! Le lendemain, loiseau cétait envolé !

Dans les jours qui suivirent je retrouvais Christine le midi et certaines nuits quelle voulut bien partager avec moi. Jessayais bien de linitier à mes velléités érotiques mais le succès fut mitigé.

Au bout de deux semaines, je lui proposais de passer un long week-end dans la somptueuse résidence prêtée par mon ami Ali sur la côte dazur.

Irrité par son comportement capricieux et coincé, je décidais de forcer le destin. Je lui préparais un tour à ma façon : Profitant de la douceur estivale, elle sallongea sur le bord de la piscine pour se dorer au soleil. Jentrepris de lui retirer son maillot de bain Elle rechigna un peu.

– Nous sommes seul, il fait beau, tu as besoin de soleil.

— Je te vois venir ! Voyou ! Soupira-t-elle en moffrant ses lèvres.

Je voulu lentreprendre mais elle me repoussa.

— Ah, non, pas à lextérieur. Tu me dis de profiter du soleil et tu me le cache ! Passe-moi donc la crème ! Tu ne serai pas un peu obsédé ?

Je du me contenter détaler largement longuent protecteur mais elle accepta que jinsiste un peu sur certains endroits.

— Cest bon ! Soupira-t-elle dans un orgasme de pucelle. Et elle sendormit.

A son réveil, tous ses vêtements avaient disparus ainsi que les serviettes de bains.

— Quest ce que ca veut dire ? Mapostropha-t-elle.

— Que tu resteras nue tout le reste du week-end.

— Mais, tu es fou ! Quest ce que je vais faire ?

— Te montrer à moi telle Venus et te mettre à la disposition de ton amant les trois jours qui reste.

— Tu es un salop! Rend-moi mes vêtements.

— Tu es trop belle, nue et en colère.

Elle se mit à pleurnicher et à taper ses poings sur ma poitrine. Alors, je la pris sur mes genoux, et, je lui administrais une magistrale fessée : Mes mains sabattent méthodiquement sur ses magnifiques hémisphères qui se colorent dun rouge vermillon. Elle tempêta de rage et de souffrance agitant les jambes en vain. Enfin, je laisse mes doigts aller et venir dans labricot épargné. Je du bien constater que sa fourrure suintait comme une fontaine. La demoiselle aime la trique ! Alors, je la dépose sur le transat, et je la pilonne sans retenue. Miracle, les pleurs se muèrent en gémissements et la belle soublia dans un orgasme dont lintensité métait inconnue jusque là. Mais bravache, elle ne pu sempêcher dajouter.

— Cest la première fois quon me donne la fessée. Je ne suis pas une petite fille. Je fais mon sac et je rentre à Genève !

— Peut-être que si tu en avais reçu quelques unes tu serai moins insupportable. Tu peux partir. Tu auras beaucoup de succès chez les routiers, nue, les fesses rougies.

— Salop !

Elle couru bouder dans la chambre. Une heure après elle vint se couler dans la piscine comme si rien ne cétait passé. Gagné !

Le reste du week-end se déroula sur le même registre mais je neu plus à sévir. Elle resta nue, jour et nuit, encore que le soir, je lui permis une légère liquette de coton qui lui protégeait les épaules tout en révélant outrageusement ses appâts.

Je pris lhabitude de la prendre sans préliminaires. Par exemple un soir alors que nous préparions le repas, je plaquais brusquement son visage sur la table de la cuisine, rabattais sa chemise sur ses reins et lenfournait brutalement. Elle était trempée ! Après quelques protestations de principe, elle entama un crescendo de vocalises qui se conclurent par un long cri de biche. Le ventre sur la table, je la laissais reprendre ses esprits, dans cette position si apprécié par les mâles moyens orientaux.

Dans un reste de rébellion elle menvoie.

— Ca te plait de me traiter comme une pute !

— Les putes ne jouissent pas ma douce et tu es si émouvante, les fesses exposées et la chatte ruisselante de stupre. Va donc la tremper dans leau !

Elle rabattit rageusement sa combinette et senfuie au premier étage. Elle redescendit un peu plus tard se réfugier dans mes bras.

— Cest bien ce que tu me fais faire. Que je sois punie. Je tai fait du mal !

— Attention Christine, la soumission cest comme lopium, ça intoxique !

La nuit suivante, je lui fis lamour avec une délicatesse et une douceur particulière. Passer du dur au doux fait parti de la formation. Elle jouit avec sincérité. Enfin, je crois

Tout naturellement, Christine sinstalla chez moi sépargnant de longues heures de train. Elle vivait largement à mes crochets. Loin de men être redevable, elle poursuit ses vilaines habitudes denfant gâtée, indocile et guindée. Mon départ vers le moyen orient approchait mais je neu pas le courage de la chasser. Je lui laissais lappartement et un viatique. Un soir elle me dit quelle aimerai quitter son travail pour maccompagner. .

— Tu veux venir vivre dans un pays musulman ? Sans être marié, cest compliqué. Tu sais ce que ça signifie pour les femmes ? Ce nest pas lenfer quon décrit quelque fois mais là-bas, les femmes obéissent ! Les occidentales on du mal à sy faire.

— Je pourrai y passer quelques temps pour voir

— Pourquoi pas !

La nuit qui précéda mon départ fut particulièrement déplaisante. Comme madame était indisposée, je la crue suffisamment domestiquée pour moffrir une compensation de lautre coté.

Javais plusieurs fois laissé trainer un doigt sur son petit illet. Je navais essuyé que refus indignés. Lultime nuit, je memparais dun lubrifiant et je poussais lintroduction de mon petit doigt. Ma maîtresse ne sembla pas sen offusquer. Pourtant, lorsque je présentais mon gland à sur la corole fripée, elle se mit à pousser des cris dorfraies.

— Retire-toi sale pervers ! Personne, tu mentends, personne ne passe par là. Cest sale !

Puis se radoucissant, elle me promit une absolue fidélité. Je lui proposais de nous retrouver au moyen de Skype.

Je neu pas trop à attendre pour être édifié : Elle moffrit à son corps défendant un spectacle haut en couleur. Un samedi soir, alors que nous nous téléphonions sur skip, je cru déceler quelques chuchotements. A pêne lui en avais-je fais lobservation que limage fut coupée. Elle fit mine de sen désoler. Ce nest pas grave, on se rappelle demain. Lui affirmais-je.

Mais, grâce à ma formation dinformaticien javais piégé mon ordinateur. Je pouvais à son insu, minformer de ses activités. Javais disséminé des mini caméras, lappartement que je pouvais à loisir visionner sur des écrans multiples. Cest ainsi quune fille de son âge apparut sur lécran. A ma grande surprise, elle engagea devant son hôtesse un striptease torride digne des boites de Pigalle. Il fut clair que ma maîtresse dominait les débats. Affublée dune tenue de cavalière, et armée dune cravache déquitation, elle conduisait le show avec une impitoyable fermeté.

Je reconnu, une de ses collègue de travail. Une blonde replète et soumise, qui, à genoux devant sa concubine, finissait de se débarrasser de ses vêtements. Le sifflement de la cravache, suivi dun gémissement arguait du mécontentement de sa « tendre » amie ! La jeune fille dégrafa son soutien et présenta ses mamelles pour les offrir à sa tortionnaire.

— Tu as encore engraissé ma poule. A poil, dépêche-toi.

La cravache siffla à nouveau. Ses seins opulents arborèrent une longue marque rouge.

Voilà un jour nouveau chez ma concubine. Dure, ça je le savais mais gouine auquel elle y ajoutait vulgarité et perversion. Jen était abasourdi. .

La blonde se débarrassa de sa jupe et de sa culotte. Christine parcourait les tétines de la pointe de la baguette. On lisait dans les yeux de sa victime de lanxiété et de la volupté mélangée. Sous les indications de son bourreau, elle écarta les cuisses et inclina le dos au point de toucher le tapis avec ses épaules. Son corps courbé comme un arc exposait une vulve obscène lisse comme un balafre. La cravache sabattit entre les cuisses quelle referma dans un reflex protecteur. Alors, Christine attrapa son amie par les cheveux, elle la retourna et sacharna sur le dos de la malheureuse qui mugissait mais qui jamais nesquiva la volée.

Ces connes vont ameuter les voisins, me dis-je. Enfin Christine la fit mettre à genoux, puis elle seffondra dans le canapé. Sa partenaire se précipita pour lui retirer ses bottes, elle fit glisser le pantalon comme une peau de banane, enfin elle releva le pull et la débarrassa de ses sous-vêtements. Alors, la blonde enveloppa de ses bras sa compagne pour la consoler comme si cétait elle qui avait donné la raclée !

— Cest ton nouveau copain qui te rend si dure.

— Pardonnes-moi mon amour mais je suis énervée. il veut absolument que je laccompagne dans son bledCest pour ça que je suis en colère.

Oh la menteuse !

— Et tu las envoyé paitre.

— Comment faire ? Il me tient. Je nai plus de travail. ( A bon) Il me prête son appart, il paye tout Mais ne tinquiète pas, amour, Il est plein aux as et il me dit quil lui tarde de me passer la bague au doigt. Quelle menteuse !

— Et alors que deviendrons-nous ?

— Mais ma Domi, fais-moi confiance. Réfléchit, cest le mari idéal, il passe neuf mois sur douze en Afrique et il me laisse tout le fric que je veux. Je vais lessorer comme Pierre mais lui, il na pas une sainte famille pour menmerder. Je te garantie que son appartement et ses meubles seront à moi avant peu !

— Je taime murmura Domi qui se couche sur sa gouinette et les deux filles plongent dans la vulve à leur portée.

Me voilà édifié. Jais affaire à une garce de la pire espèce. Gouine, perverse, menteuse ! La totale !

Ah, elle veut venir visiter le Moyen-Orients, elle ne sera pas déçue.

Dès le lendemain, jen parlais à mon ami Ali qui est le responsable de la sureté de laéroport où je réside. Il me doit une compensation. A sa demande, jai piégé son épouse qui senvoyait en lair en son absence. Il la faîte enlevé. Il la vendu sur un marché desclave. Maintenant elle anime un bouge du coté dAden. Quand au chevalier servant, il sest réveillé un matin avec quelque chose en moins. Il sert dénuque dans le harem secret dun prince local.

— Tu veux que je lexpédie à Aden ou en Somalie ? Je peux la vendre dans un harem ?

— On verra. Je suis affreusement sentimental. Je veux tout dabord en profiter puis la soumettre définitivement. Tu comprends ?

— Cinq sur cinq ! On va planquer un truc dans sa valise. Vous serez arrêtés ensemble ! On fera semblant de te secouer. Puis vous serez séparés. Elle va culpabiliser. On la séquestra dans une villa. Un interrogatoire musclé puis le dressage pourra commencer. Quand elle sera à point, tu décideras soit de la vendre soit de jouer les Zorro, alors tu la délivreras. Elle te mangera dans la main.

Christine va partager la dure condition des prostituées nubiennes de mon ami Ali. Elle devra servir ses maîtres, nue sous une burqa et niqab, à genoux à leurs pieds, ne laissant paraitre que de grands yeux noirs aux sourcils maquillés. Son bourreau relèvera la tunique, il découvrira dans un miroir les magnifiques fesses callipyges et en leurs milieu une petite rosace frémissante et un abricot luisant de lattente dêtre violenté. Il remontera doucement la voilette de dentelle qui masque la bouche fardée. Les lèvres entrouvertes se pencheront sur le pieu à vénérer. Ses mains gantées dégageront la djellaba, elles découvriront le vit. Enfin, les lèvres effleureront le gland. Alors, le maître agrippera les oreilles et senfoncera jusquà la glotte. Si le maître nest pas satisfait, les fesses offertes seront impitoyablement fustigées. Je gage que la leçon portera rapidement ses fruits.

Ce nest que quand son niveau de soumission atteindra la perfection quelle sera, peut-être, élargie.

— Il faudra la casser, tu comprends ? En plus elle aime les filles.

Ali en frétille dexcitation.

— Les coups de schlague la soumettront. Nous lui mettrons une fille qui la consolera. Le doux et le dur. Elle baissera les yeux devant son seigneur.

— Peut-être deviendra-t-elle définitivement gouine. Cest le risque !

— Je connais une épouse de prince qui paye très bien pour renouveler son cheptel de fille. .

— Jai hâte dy être.

— Mais elle ne devra pas me reconnaître. Je la baiserai uniquement par derrière, dans le cul. Jaimerai en avoir lexclusivité ? Tu es daccord.

Ali acquiesce avec enthousiasme.

— Aucun problème. Nous lui mettrons un plug. Son petit trou sera réservé à ton usage exclusif et élargis. Double profit ! Je monte un plan. On va bien se marrer. Quand arrive-t-elle ?

— Elle vient avec moi à la fin de mon congé dans deux semaines.

Ali et moi trinquons aux moments délicieux que la fière Christine va déguster.

A suivre

(1) Nom que les suisses donnent aux trains de banlieue.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire