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Découverte du SM – Chapitre 5

Découverte du SM - Chapitre 5



Chapitre 5 où mes fesses seront bien occupées

Résumé du chapitre précédent : Maîtresse Cathy a commencé à soccuper de mon cul et ma fait subir une nouvelle humiliation en présence de Florence.

« Bon maintenant quon est plus que tous les deux, on va pouvoir continuer à nous amuser. (Pause) Je suppose que nas rien manqué de notre conversation et que tu sais ce qui tattend ? »

« Oui Maitresse Cathy. »

« Je ne lui ai quand même pas tout dit, il y aura un petit supplément au programme. »

Décidemment elle avait le don pour toujours faire planer un doute et ainsi augmenter mon angoisse. Je déglutis sans rien dire, nosant même pas essayer de penser au dit supplément et concluant finalement que ce qui devait arriver arriverait. Je respirai profondément et retrouvai mon calme.

« Commence par retirer cette tenue de soubrette, tu es ridicule comme ça. »

« Oui Maitresse Cathy ! Cependant, si je peux me permettre, cest vous qui avez exigé que je la porte. »

« Bien sûr que cest moi ! Ce nétait que pour voir jusquoù tu accepterais daller pour me faire plaisir. A partir de maintenant tu ne devras plus la porter que lors des visites de Florence, elle taime beaucoup comme ça. »

Je me déshabille donc.

« Va chercher ton collier de chien et attache le, mets ces affaires à la lessive, tu les laveras demain et les rangeras dans ton tiroir de sous-vêtements. »

Quand je reviens, elle est déjà devant la porte du sous-sol et mordonne de la suivre. Nous rentrons dans le donjon, me demande de me positionner sous les crochets. Elle mattache les pieds au sol, me noue les mains ensemble et les lève au-dessus de la tête.

« Penche toi en avant et tend tes fesses. »

Elle saisit le plug à sa base, fit quelques va et vient et me le retira. Bien que sa présence ait été discrète, je fus soulagé de ne plus lavoir dans lanus.

« Reste bien penché comme ça ! »

Elle alla chercher le martinet, fit quelques moulinets et labattit sur mes fesses une première fois.

« On va faire rougir un peu tout ça ! »

Une volée de coups sen suivit, portés tantôt en travers, tantôt dans la raie des fesses frappant ainsi également mon sexe et mes couilles. Vu la largeur des lanières, les coups ne faisaient pas très mal mais je sentais mes fesses me bruler de plus en plus. A chaque nouveau coup, je devais serrer les dents pour ne pas crier.

Quand la couleur eut lair de la satisfaire, elle reposa le martinet et prit quelques photos au polaroid.

« Florence va aimer tes petites fesses rouges. » Rire.

« Je pense que comme ça tu vas être beaucoup plus réceptif pour la suite. »

Elle me prit les fesses à pleine main, les malaxa, me tira sur les couilles et me donna une violente claque sur la fesse droite. Comme je ne my attendais pas, je lâchai un cri.

« Cest le dernier que je veux entendre, sinon tu auras droit à ta baballe dans la bouche. Compris ? »

« Oui Maitresse Cathy. »

Elle mappliqua une autre claque sur la fesse gauche, toujours aussi violente.

« Tu as la peau sensible mon chéri, on voit bien la marque de mes doigts sur tes fesses. »

Un nouveau polaroïd.

Jeus droit à encore deux claques sur chaque fesse.

« Tu as de la chance, jai déjà mal à la main. Je vais être obligée darrêter. »

Je poussai un soupir de soulagement. Javais vraiment les fesses en feu mais le répit fut de courte durée.

« Heureusement, jai pensé à faire venir un accessoire qui remplacera avantageusement ma main. »

Je lentendis fouiller dans le carton et elle me présenta un paddle en cuir en forme de main.

« Jai hésité entre celui-là et un autre qui ressemblait à une raquette de ping-pong. Je crois que jai bien fait de prendre celui, jaime vraiment les marques de doigt sur ton petit cul. »

Elle recommença à me fesser, passant de temps en temps par devant pour men donner un coup sur la bite. Javais de plus en plus de mal à supporter les coups et je tortillai mes fesses pour essayer, sans succès réel de les éviter. Quand elle sentit que jarrivais à la limite de ce que je pouvais supporter, elle sarrêta, prit de nouveau une photo, me détacha les pieds et me fit tourner dos face à son fauteuil. Elle alla sy assoir.

« Jai bien mérité une petite pause. Je vais en profiter pour admirer tes petites fesses bien rouges. Je les adore comme ça. Je dois même dire que ça me fait mouiller. »

Jentendis alors le bruit du frottement de sa main sur la combinaison en lycra et les petits gémissements quelle émettait en se caressant. Sa masturbation nalla pas jusquà la jouissance. Elle se leva, vint me caresser les fesses, me tripoter le sexe. La sensation de chaleur était un peu tombée et son contact me fit retrouver un peu de vigueur.

« On dirait que ça va mieux ! On va pouvoir passer à la suite. Le temps de retirer ma combinaison et je suis toute à toi mon chéri. »

Elle vint se planter nue devant moi, se caressa les seins, fit mine de se masturber, me présenta ses fesses et vint les coller sur ma bite de plus en plus raide. Elle se frotta un peu à moi et jugeant ma bandaison suffisante elle alla de nouveau fouiller dans le carton et revint avec une grosse bougie dans une main et un briquet dans lautre.

« Il parait que cest aussi un très bon moyen de chauffer des fesses et que les sensations des gouttes qui tombent sur la peau sont très existantes. Enfin, cest ce qui était marqué dans le catalogue. Il disait aussi quon pouvait sen servir sur la bite et les couilles mais pour ça, je vais peut-être attendre un peu. »

Je navais pas vraiment de souvenir impérissable et en tout cas pas de leffet érotisant de la cire chaude sur la peau, plutôt de brulure assez douloureuse. Ce que jexpliquai respectueusement à Maitresse Cathy.

Elle alluma la bougie et la posa par terre et sapprocha de moi.

« En attendant que ça fonde un peu, je vais faire une petite gâterie à mon petit mari. »

Elle sagenouilla devant moi et commença à me lécher la bite en me caressant les couilles. Elle prit ensuite mon sexe dans la bouche et me suça avec ardeur. Quand je lui signalai que jallai bientôt jouir, elle se retira vivement.

« Ça serait dommage de perdre une excitation pareille. Tu vas en avoir besoin pour supporter la suite. »

La bougie avait eu le temps de fondre. Elle sen saisit et me la passa devant les yeux puis devant mes tétons et mon sexe, suffisamment près pour que je sente la chaleur.

« Tu es prêt ? »

« Oui, Maîtresse Cathy. »

Elle remit la bougie à hauteur de mon visage et la souffla.

« Ça sera pour une autre fois mon chéri, je crois que tes fesses en ont assez enduré pour aujourdhui. Jespère que tu nes pas trop déçu ? »

Je savais que cette question nattendait pas de réponse, je pris un air contrit et je baissai la tête tout en poussant un petit soupir de soulagement, trop content davoir échappé à un nouveau tourment.

« Allez, ne fait pas cette tête là, je sais très bien que tu nen avais pas vraiment envie. On le fera une autre fois. »

« Maintenant, tu vas avoir le plaisir de satisfaire tes bas instincts de petit pédé avec ce que je vais aller chercher dans le carton. Je suppose que tu sais ce que cest ? »

« Oui Maîtresse Cathy, un god ? »

« Bonne réponse ! Et de quelle taille, un petit, un normal, un gros, comparé à ta petite bite bien sûr ?»

« Un normal ? »

« Encore une bonne réponse ! Tu vas avoir le plaisir de faire sa connaissance. »

Elle me mit le god sous le nez. Il avait à peu près la taille de mon sexe, légèrement plus long mais pas plus gros et des couilles à la base. Je fus soulagé.

« Voilà ton nouveau petit copain, je suis sûre que tu vas laimer. »

Elle me détacha les mains, me demanda de me détacher les pieds moi-même et alla sassoir dans le fauteuil, les fesses au bord et les jambes écartées. Elle plaça la base du god contre son pubis.

« Viens sucer ta Maîtresse mon chéri.

Je mavançai à quatre pattes, me plaçai entre ses jambes et commençai à lécher le god des couilles au gland avant de le prendre dans ma bouche et tentreprendre ma fellation.

« Oui mon chéri, tu me suces bien, continue, cest bon. On dirait que tu as fait ça toute ta vie. Dis-moi que tu aimes sucer ma bite.»

« Jaime vous sucer Maîtresse. »

« Alors continue mon petit pédé ! »

Je repris ma fellation. Elle continuait de mencourager avec des « Cest bon !!!! » et des « Oui !!! » en mappuyant sur la tête pour que je prenne sa fausse bite bien au fond de la gorge. Javais maintenant un peu mal aux mâchoires et je ralentis mon rythme.

« Déjà fatigué ? Mais je nai pas encore joui dans ta petite bouche ! » Eclat de rire.

« Tu peux arrêter de sucer. »

Je lâchai donc le god et massis sur mes talons. Elle avança ses fesses bien au bord du fauteuil et écarta grand les jambes.

« Broute moi le minou, ça te fera quand même un peu de jus dans la bouche. »

Jenfonçai ma tête dans la fourche de ses cuisses, lui écartai les lèvres avec le nez et lui léchai la chatte avec ardeur. Elle haletait et donnait des coups de reins de plus en plus rapides appréciant manifestement mes coups de langue. Soudain elle enserra ma tête de ses cuisses, me plaquant contre son sexe.

« Stop ! Tu me finiras tout à lheure. Jai trop envie de te baiser. »

« Mais avant, une petite photo souvenir. A genoux, le god dans la bouche ! Bien ! Maintenant, juste le gland ! Voilà ! Parfait ! »

« Mets-toi à plat ventre sur laccoudoir de lautre fauteuil, jambes écartées et tend bien les fesses.»

Je sentis du gel se déposer sur ma rondelle puis le glissement du god dans ma raie. Elle devait enduire le god avant de me pénétrer. Je sentis le gland se poser à lentrée de mon anus avec une légère pression.

« Alors, tu es prêt ? »

Sans attendre ma réponse, elle enfonça le gland qui rentra sans trop deffort, puis après une courte pause entreprit le mouvement de va et vient, enfonçant progressivement le god jusquà ce que les couilles de latex touchent mes fesses.

« Tu aimes ça pédé, te faire prendre ! Dis à ta maîtresse que tu aimes te faire enculer ! »

« Oui Maîtresse Cathy, jaime quand vous menculez. »

« Bien ! Mais tu ne timagines pas que je vais faire tout le boulot ! Tu vas finir ta sodo tout seul comme le cochon que tu es ! Je te laisse choisir la position ! Mais avant un petite photo »

Je me redressai en serrant les fesses pour ne pas laisser échapper le god et allai magenouiller devant son fauteuil, les fesses tournées de son côté. Jécartai les jambes et massit entre mes talons. Dune main, je maintins le god au sol par les couilles et débutai mon enculage sous le regard amusé de ma maîtresse. La position favorisant le contact avec ma prostate, je finis par ressentir une onde de bien être dans tout le corps et massis sur le god sans plus bouger.

« Je vois quen plus tu y as pris du plaisir mon chéri. Je pense que tu es daccord pour que ce soit à mon tour. »

Elle se mit à genou dans le fauteuil, les fesses offertes.

« Je vais pouvoir gouter aux plaisirs de la double pénétration vu que nous avons un plug désormais. Vas-y, mets le moi et prends moi sauvagement, je veux que tu me défonces la chatte. »

Je la pénétrai donc dun seul coup, donnant de violents coups de rein, claquant mes hanches sur ses fesses. Elle se caressait le clito pendant que je la baisais et son orgasme arriva très vite mais elle me demanda de rester en elle sans bouger. Quand elle eut repris ses esprits, elle me demanda de me retirer.

« Tu as rarement été aussi bon ! Tu as mérité de jouir. Retire-moi le plug. Tu as le droit de te branler sur mes fesses et de lécher le résultat. »

Ma branlette fut rapide et jenvoyai rapidement mon sperme sur ses fesses et dans sa raie. Je nettoyai le tout à grands coups de langue avec délectation. Quand jeus fini, Maîtresse Cathy se leva, ma demanda den faire autant et se colla à moi. Elle prit ma tête entre ses mains et me roula une pelle. Je répondis à sa langue avec la mienne et ce baiser fut long et intense.

« Merci pour ce week-end mon chéri. Retire ton collier, je crois que nous avons bien mérité un peu de réconfort, surtout toi ! »

« Je crois quil reste un bocal de foie gras, avant de monter passe au cellier prendre une bonne bouteille, on va se faire une petite dinette. »

Quand nous fumes restaurés, Cathy se colla contre moi sur le canapé.

« Tu as été très courageux. Je suis contente de toi. Je voulais savoir jusquoù tu pourrais aller dans la soumission et je ne suis pas déçue. Jespère que tu as apprécié ? »

« A part les moments où tu mas fait vraiment mal, jai trouvé ça assez excitant et jai beaucoup aimé être ta chose obéissante. »

« Cest ce que je voulais entendre. Maintenant que je suis sure que tu es bien mon esclave, jai décidé de taffranchir sous condition. Tu continueras de toccuper des tâches domestiques mais je te dispense de te raser et je tautorise à jouir quand nous ferons lamour. Par contre tu devras accepter de redevenir ma chose dans le donjon à chaque fois que jen aurai envie. Tu devras également porter ta tenue de soubrette quand jinviterai Florence. Cela te convient-il ? »

« Oui mon amour ! Cest parfait ! »

Pendant quelle me parlait elle promenait ses mains entre mon ventre et mes cuisses.

« On dirait que je sens quelque chose de dur !

Je passai un doigt sur sa fente.

« On dirait que tu es mouillée ! »

Elle me prit la main.

« Montons nous coucher et jai encore envie de toi. »

Epilogue : Après cette période dinitiation, nos jeux SM senrichirent, en partie grâce à limagination de ma maîtresse mais aussi des suggestions de cette peste de Florence.

Nous vécûmes heureux ainsi quelques années et neûmes pas denfants.

Fin

Je remercie les lecteurs qui ont eu la gentillesse de lire cette histoire jusquà son dernier chapitre. Je tiens à préciser que si tous les faits rapportés ont bien été vécus, ils se sont en fait déroulés sur une période denviron trois mois. Je les ai regroupés sur un seul week-end pour les besoins du récit.

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