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Des vacances et des épreuves – Chapitre 6

Des vacances et des épreuves - Chapitre 6



Où il était question de tenue pour femme et où il sera question de mon dévouement pour mon Mâle.

David et moi sommes douchés ensemble, comme un couple normal. Je lui ai savonné son corps de Mâle comme une femme l’aurait fait pour moi. D’ailleurs des flashs avec Karole me revinrent à l’esprit et je souris à l’idée si elle savait que j’étais en ce moment avec un homme. Je ne crois pas qu’elle ait deviné en moi une attirance pour les Mâles et ma vie de lopette. Je racontai à David mon passé hétéro et il en rit de bon cur tout en me lavant ma rondelle dilatée par sa sauvage sodomie : « Tu devras un jour ou l’autre lui avouer que tu es une lopette, cela marquera définitivement ton orientation et Karole saura au moins pourquoi tu ne pouvais pas vivre avec elle ».

— Tu crois que c’est nécessaire ?

— Convaincu même ! Ce sera bénéfique pour vous deux. Et tu dois t’assumer en tant que lopette. D’ailleurs je vais t’épiler le corps pour que tu puisses te sentir plus féminine. Une lopette digne de ce nom doit être lisse et agréable au toucher pour son Homme !

— C’est vrai que mes poils sont un peu vulgaires, mais

— Il n’y a pas de, mais ! Sache que je n’aime pas que ma lopette contredise mes convictions.

— Bien David Je veux que nous soyons un couple harmonieux.

— Bien sûr chérie ! Il m’embrassa langoureusement en me glissant un doigt dans le cul. Désormais ta petite rondelle m’appartient et tu la considéreras comme ta chatte. Je veux que tu comprennes que tu n’es plus un vrai homme, mais une petite gonzesse avec un reste de ton passé entre tes jambes.

Je lui souris tendrement et me blottis dans ses bras, comme une gentille petite copine.

Muni de crème à raser, il m’épila le corps entier ; aisselles, torse, jambes, tout y passa. David finit le travail en rasant toute ma virilité restante avec grands soins avant que je me rince à l’eau tiède. Il me sécha puis me passa une crème hydratante en insistant sur ma nouvelle chatte, mes fesses et mes parties intimes : « Voilà, comme cela tu es plus présentable, chérie. Quel effet cela te fait ? ».

— Je me sens pluslégère. C’est très agréable en tout cas.

— Oui, ta nudité totale te rend plus attirante et séduisante. On va aller te montrer à tes amis, habille-toi Pascaline.

— Tout de suite chéri !

Quand il me vit enfiler mon string et ma chemise, David me rétorqua que dorénavant je n’oserais plus porter de culotte ou de string, et me demanda d’enfiler les bas qu’il m’avait offert et de me chausser des sandalettes ainsi que de la chemise longue : « Mais, David, je ne vais tout de même pas sortir ainsi vêtue ? Que vont penser les gens, dehors ? »

— Les gens, comme tu dis, doivent savoir qui tu es, Pascaline, et tu verras que tu seras très bien ainsi. En plus tu dois apprendre à marcher en talons, alors mieux vaut commencer de suite ! Et tu seras à mes côtés, tu n’as rien à craindre ma petite lopette !

— Bien Je suis d’accord.

— Même si tu ne l’étais pas, il en serait ainsi !

Je rougis tout en enfilant mes jolis bas roses et mes sandalettes puis ma chemise. J’étais prête à sortir au grand jour aux bras de mon nouveau « mari ».

La sensation de l’air sur mon corps lisse me donna l’impression d’être nue. Mes tétons se durcirent et j’avais peur que ma nouille se dresse. David me tenant par la main, nous traversâmes la terrasse au vu et au su de tous. Je me sentais bien dans ma peau de lopette et quand Stéphane et Daniel me virent ainsi, de leur véranda, ils me sifflèrent d’admiration.

« En voilà une jolie lopette ! » s’écria Daniel.

— En plus elle ne porte pas de culotte, dit David en me demandant de soulever ma chemise.

Ce que je fis devant mes amis, toute ravie de leur montrer ma nouillette fraîchement épilée, ce qui ravit mes deux amis. Je m’approchai plus près, toujours la chemise relevée, pour qu’ils puissent me tripoter et apprécier ce petit paquet lisse et soyeux. Daniel inspecta ma rondelle, lisse elle aussi, remarqua qu’elle avait bien été dilatée par le phallus de David : « Pascaline a trouvé son Mâle, il me semble, hi hi hi ! ».

— Oui, c’est vrai. David m’a prise comme femme et je vais être sa lopette.

— Nous allons fêter cela alors ! Il alla chercher une bouteille de vin et des verres.

Mon Homme me demanda d’ôter cette chemise qui ne servait plus à rien et je me retrouvai assise à la table, entre deux hommes, le cul à l’air avec mes petits bas nylon : « Tu es à croquer petite coquine ! » me complimenta Stéphane, en me caressant la cuisse, comme à son habitude.

— Merci. C’est grâce à vous que j’ai pu découvrir ma vraie nature.

— C’est vrai, dit David, et pour cela tu devrais faire une petite gâterie à Stéphane, je crois bien qu’il le mérite.

C’est ainsi que je me glissai sous la table et, à genoux comme une bonne et serviable lopette, je m’occupai du phallus de Stéphane pendant qu’ils discutaient ensemble. Il éjacula dans ma bouche, nettoyai comme il faut sa queue avant de la remettre dans son slip de bain.

— Et que dit-on à un Mâle pour l’attention qu’il a eu de te prêter son membre ?

— Je.. Merci ?

— Mais encore ?

— Merci Stéphane.

— De rien Pascaline. Tu es une bonne suceuse. David a de la chance de t’avoir comme lopette. N’est-ce pas Daniel ?

— Oh oui ! Elle a encore beaucoup à apprendre, mais elle est bien partie.

Tous les 3 rirent de bon cur et moi, là au milieu d’eux, je me sentis touchée par leurs compliments. Une petite érection leur signifia ma joie et David me permit de me masturber devant eux, ce que je fis avec plaisir, assise par terre, les jambes écartées. Je me sentais vraiment femme en me tripotant la nouille, impudique et obscène, mais je prenais énormément de plaisir à cela. En un petit couinement de gonzesse, je jouis devant tous, fière et épanouie.

A suivre

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