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deux filles – Chapitre 1

deux filles - Chapitre 1



Quand la reverrai-je ?. Je la revois, cette première fois, debout dans la salle d’attente surbookée. Sa chevelure débordait de ses épaules, elle descendait presque jusqu’à la taille, avec ses cheveux blonds paille. Je pouvais voir sa poitrine dont une bonne partie dépassait de son décolleté. Quelques fois, en bougeant, elle montrait ses fesses.

J’étais le seul homme au milieu d’un groupe de femmes de tous âges. Aussi, nous nous regardions quelques fois, surtout en souriant. Je devais passer avant elle chez le médecin pour un vague certificat. Je sortis très vite. Mon instinct me disait de l’attendre . Je suis resté contre le mur d’en face.

J’avais raison: elle sortit très vite, un certificat, aussi, sans doute. En me voyant, elle souriait encore. Nous avons fait comme si nous nous connaissions depuis longtemps. J’ai pris son bras. Nous avons parlé comme ça, naturellement. Nous avons marché longuement, sans nous préoccuper de ce qui se passait autour de nous. Arrivés devant un jardin public, elle m’y a fait passer. Nous y avons fait une courte halte.

— Je m’appelle Salomé. Comme la reine !

— C’est plus simple : je suis Pierre !

Ces quatre mots voulaient tout dire : nous nous sommes embrassés. Nous avons recommencé, comme faisaient les amoureux de Peynet. Trop peut-être, assez pour nous donner des envies de fauter. Surtout à moi. C’est paraît-il normal : les hommes poussent toujours les femmes pour faire l’amour. Je n’en sais rien, elle non plus. Nous en avions tout simplement envie tous les deux.

L’avantage de ces « aventures » est que nous ne savons rien de l’autre. Nous pouvons inventer un passé quelconque sans même en parler à l’autre. Pour moi Salomé devenait une princesse du Moyen-Orient, échappée d’un harem. Je ne sais ce que j’étais pour elle. Qui sait, Super man en civil ?

Nous sommes allés chez elle. Une part du mystère sévanouissait. Par contre, il revint quand je commençai à la déshabiller. Je navais non plus une princesse. C’était une déesse antique, sans doute une déesse de l’amour de je ne sais trop quelle mythologie. J’étais en admiration devant sa poitrine. Je regardais en détail son ventre, son pubis heureusement intact. Pendant qu’elle défaisait ma ceinture et tandis que je commençai à bander, je pris un peu d’avance sur elle : je caressai sa poitrine. Quel paire de seins, nom d’un chien. Je me serais jeté dessus pour ne rien en perdre . Je perdis mon pantalon, grâce à elle. Je perdis également mon caleçon.

Elle aussi, me regardait : elle fit monter encore un peu ma queue qu’elle tenait dans une main. Je n’hésitai pas à mettre ma main dans sa chatte. Que ses poils étaient doux. Je pensai aussitôt que tout à l’heure. j’allais masser ma bouche sur eux, que mon nez allait respirer à travers. Pour l’heure je caressais son minou.

Sa respiration saccéléra légèrement. Je me collai contre elle, la forçant du même coup à lâcher ma bite : elle était contre son ventre, elle put me caresser comme elle le voulait ainsi. Nous ne pouvions rien dire puisque nos bouches étaient closes par celle de l’autre. Nos gestes étaient éloquents, surtout les siens quand elle appuya son pubis contre ma bite. Elle me voulait rapidement. J’avais envie d’elle, pas au point de gâcher une séance d’amour. Je la ferais jouir autrement, avec la langue par exemple.

Elle arriva à me faire toucher son clitoris, le bout dans un rapide sursaut. Alors je la poussai sur un fauteuil, mis là par le hasard. Elle resta comme si elle était tombée, les jambes ouvertes. Juste ce qu’il me fallait, outre la vue sur toute sa chatte, je pus venir très près pour l’examiner. Mon examen était spécialement fait pour les femmes en manque. J’écartai ses lèvres avec les deux pouces, ma langue fouilla entre les deux doigts. Bien-sûr, elle trouva très vite ce bouton que je cherchais. Deux constatations, la première : elle avait bon goût, avec juste ce qu’il fallait de reste d’urine pour le parfum, la seconde, avec la douceur de son ventre. Ma langue fit des ravages à l’entendre gémir. Les douleurs que je lui donnais la firent jouir bien vite.

Elle voulut me rendre la caresse. Je lui donnai ma queue raide. Elle la prit à pleine main, par la base, la porta lentement dans sa bouche, avec l’arrêt obligatoire sur sa langue. Elle lécha la petite goutte de pré sperme qui était sur la bout de la bite.

Pour ce qu’elle fit ensuite, je ne peux que décrire ce que je ressentis : je fermai les yeux. Ses lèvres devaient entourer mon sexe, le faire aller et venir dans sa bouche. Je sentis que je n’allai par tarder à jouir.

Elle savait ce que ressentaient les hommes ! Juste avant, elle arrêta pour que je ne tombe pas en panne, au moment décisif.

Elle prit ma pine pour la mettre entre ses jambes. Je me mis bien à genoux : pour contempler une déesse, c’était nécessaire. Ses lèvres revinrent sur les miennes : je sentis l’odeur et le goût de mon sexe. Elle a dû s’en régaler.

Maintenant, elle reposait son dos à l’arrière du fauteuil, poussait son ventre vers moi. Je ne forçai même pas pour entrer dans son ventre : elle était plus que mouillée. Je glissais totalement. J’allai au tréfonds de son ventre. D’une voix rauque, elle me demanda de bien la lui mettre au fond. Lancé comme je l’étais, je ne risquais pas de la rater. Je sentis, autour de ma queue, la chaleur de son vagin, du puits qu’elle me prêtait pour le moment. Je m’y sentais bien, comme rarement. Plus j’allais au fond, plus elle poussait, et plus c’était bon.

Je ne sus comment j’ai réussi ce prodige, je l’avais faire jouir avant moi. Elle me fit sortir de cet endroit chaud. Je n’allai pas loin, elle me guida vers son petit trou.

— N’aies pas peur, encules-moi !

— Comme tu veux mon chou !

— Tu me la mets bien au fond !

Bien-sûr que j’allai la lui mettre bien au fond. Pas tout de suite quand-même ; j’aimais respecter certaines de mes règles : enculer, oui, caresser avant toujours. Je mouillai mon doigt avant, rien que pour caresser le tour de son anus. Elle ne me contraria pas. Elle devait même approuver puisqu’elle jouit. Ensuite, je mis le gland bien affamé sur le cul. J’entrai lentement : je sentis les chairs s’écarter devant mon pieu. Elle murmura des oui, oui, encore.

Elle arrivait à se masturber en même temps. Que les femmes ont de la chance de jouir ainsi de plusieurs endroits à la fois. Elle était en train de jouir quand jentendis un bruit de porte : une jeune femme entra sans frapper. Je me demandai qui elle pouvait bien être.

Elle vint vers nous, alors que je débandais : elle se pencha sur ma maîtresse pour l’embrasser sur la bouche :

— Tu as bien joui ?

— Oui, où étais tu passée ?

— En ville, pour des courses !

J’étais gêné d’être entre deux femmes, une que je baisais et l’autre toute pimpante, habillée, élégante.

Les présentations sont vite faites.

— Ma maîtresse, mon amant !

Il valait mieux ainsi. J’étais décrit comme un bon baiseur. L’autre était aussi une bonne baiseuse avec les femmes. Je pouvais l’essayer. Et puis zut pourquoi pas la baiser elle aussi.

Elle en avait l’intention puisqu’elle fut vite nue. Elle donna un sein à son amante pour un baiser, vint vers moi pour me donner l’autre. Je fis plus que ça, je passai une main entre ses jambes : j’y trouvai un sexe très humide. Ce fut facile pour entrer dans son ventre, d’autant plus que je bandais comme un âne quand je pouvais voir les deux bouches féminines, échangeant de longs baisers profonds. Pour une fois je n’eus presque pas à bouger, c’est elle qui assura le service de navigation. Ma bite n’était là que pour la remplir. Je devais bien le faire, puisque je la sentis jouir deux ou trois fois. J’étais décidé à rester chez la fille un après midi ; nous finîmes nos jeux au petit matin.

Il était trop tard pour que je parte. Je passai une journée de plus chez elles. Je n’en partis plus, je servais de troisième dans cette maison dédiée aux baises entre filles !

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