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Echanges virtuels avec ma coiffeuse – Chapitre 5

Echanges virtuels avec ma coiffeuse - Chapitre 5



MOI:

………………..des baisers! c’est plus que des bises! merci., je les reçois avec bonheur………………

Salope, ton cul n’a pas eu ce qu’il souhaitait, à l’inverse de ta chatte qui en a eu au delà de toute espérance. Tu nous a chauffé putasse, à te faire tringler la chatte par un chien et à nous la refuser. On ne va la violer ta putain d’huître, on ne va la prendre de force, quoiqu’on est sûr que ça te plairait. Par contre, et puisque tu nous offres ton cul, et qu’il doit être en manque, on va te le démolir.

Francis vient derrière toi et t’embroche sans sommation. Tu gueules, mais il s’en fout:

— Tu peut crier salope, personne ne t’entend. C’est bon de t’enculer, et je sais que tu aimes ça. Maintenant si tu préfères me sentir dans ta chatte, dis le moi.

— Va te faire voir connard, je préfère ton chien à ta petite bite.

— En attendant elle te fait gueuler ma petite bite, tu sens comme elle te ramone bien le cul?

— Oui, salaud, elle me fait du bien ta queue.

— Tu la veux dans ta chatounette?

— Même pas en rêve, fumier.

Il cesse de parler pour garder son souffle, te saisit par les hanches et te fait coulisser sur sa colonne. Il y va de toutes ses forces, puis se retire, épuisé. Je prends le relais sans perdre une seconde, te matraque comme il l’a fait, tandis qu’il vient dans ta bouche. On te baise tous les deux, lui ta gueule, moi ton cul. On s’attend pour jouir en même temps, et on éjacule dans tes deux orifices. Tu avales son offrande, et j’aspire ton cul remplit de mon foutre avant de te rouler une pelle goulue.

On est ravi de cette partie à quatre, et on programme nos prochaines rencontres.

…………………..et puisque tu m’en a offert, je te rends tes baisers, au centuple, baisers ma puce…………..

Eric

ELLE:

………..ne vous emballez pas avec vos baisers, on reste sage………………..

On se retrouve un soir au salon, séance classique, puis nous voici à nouveau chez Francis. Cette fois ci c’est toi qui profite du chien. Je te vois le sucer, j’étais à ta place il y a huit jours, et je me dis que l’on est vraiment des pervers; mais on s’en fout, c’est trop bon. Tandis que tu le pompes et engloutis ses éjaculations sans cesse renouvelées, je suce notre hôte et il me lèche, alternativement. Tu ne nous vois pas, mais nous entend:

— Humm, c’est bon les jeunes putes qui aiment pomper les vieux. Tu sais que l’on est plus vicieux que tes jeunes copains, et c’est ce que tu aimes, salope……………

ou encore

— Quand je pense que je te t’offre mon joli petit abricot à bouffer, c’est donner de la confiture à un cochon. Je suis sûr que tu te régalerais autant avec une vielle choune poilue et bien en chair, une choune qui pue, gros porc…….

Tu termines ta fellation animale et Francis se vide les couilles dans ma bouche. Humm, il est bon son sperme à ce salaud.

On se fait ensuite un long plan pisse, on se repose, et on reprends les activités. On est à la chambre et tu te fais monter par le chien. Sa grosse queue est ancrée dans ton cul et je l’imagine se déverser dedans comme il l’a fait dans ma chatte la semaine passée. Je me fais enculer moi aussi par un Francis au mieux de sa forme. Il me fout une courte mais sévère ramonée puis se retire pour fouiller dans son armoire.

Il en sort un plug, et un gode ceinture impressionnant:

— Tu as déjà enculé un homme?

— Non, mais je ne peux pas te mettre un engin pareil, je vais te déchirer.

— T’inquiètes, je l’ai déjà essayé, ça passe.

Il est à genou devant moi et m’équipe de son joujou. Il me demande de me branler comme un mec, tandis qu’il prépare son cul. J’astique mon faux sexe, et je suce le gros gland tellement le manche est long. Il s’est mis du lubrifiant dans la raie et sur le plug, aussi large que mon gode. Il serre les dents et se l’enfonce jusqu’au socle. Il le retire et recommence plusieurs fois. Il a son toy enfoui entre ses fesses et il s’accroupit pour sucer, saliver sur ma bite pour la lubrifier elle aussi. Il est maintenant à quatre pattes sur le lit et m’ordonne de l’enculer.

Je retire le plug et hésite à lui obéir. Il est doux le truc que j’ai entre les cuisses, il est souple, mais surtout il est démesuré, dans les 30×6, un truc qui n’existe pas en réel.

……………….je vous laisse décider de la suite……………………………….baiser (un seul)………….

Anne-laure

MOI:

…………………………………on va lui faire plaisir…………………………

— Encule le, encule ce salaud puisqu’il te le demande. Mets lui avant que son trou ne se referme.

Je t’encourage à le défoncer , il en remet une couche lui aussi, et tu finis par nous écouter. Tu t’enfonces lentement et il insiste pour lui mette en entier. Tu n’y crois pas, moi non plus, mais son cul a réussit à engloutir cette énorme queue en totalité. Le chien s’active toujours entre mes reins et ne cesse de me remplir de son jus. Comme pour toi il se dégage et me lèche le cul.

Francis se met debout tout en te faisant rester en lui, et vient derrière moi. On s’enfile à trois, lui au milieu, sa queue dans mon cul, et ton gode dans le sien. Il jouit rapidement, trop excité par ce que tu lui mets, puis me nettoie le fion. Il propose ensuite que tu me sodomises, mais je refuse vu le calibre de l’engin. Il te propose de te goder avec, et tu refuses aussi. La séance est finie.

On planifie nos prochaines rencontres par roulement toutes les trois semaines, à quatre avec le chien pour toi, à quatre avec le chien pour moi, et à trois sans le chien. On se voit tous les deux régulièrement, Francis baise tous les jours avec son clébard, et une partie à quatre ou je serais avec toi, et lui avec son animal n’a pas d’intérêt. A la place on décide d’une partie à trois ou chacun sera à tour de rôle la pute des deux autres.

On continue ainsi en apportant des petites nouveautés: ce n’est plus le chien qui bouffe son sperme mais les deux autres, on a acheté un gode ceinture plus petit pour mon petit trou, et dans nos plans uro on se pisse dans le cul.

…………………on tourne un peu en rond et je manque d’idées……………..si tu es inspirée……………………….

Bisous ma puce

Eric

ELLE

………………j’ai bien un idée, mais je ne sais pas si ça va vous plaire…………………………..

On se retrouve au salon de coiffure, seuls tous les deux, et on a pris nos habitudes. On se défringue sans tarder, on se colle l’un à l’autre, on s’embrasse, on se caresse. Puis tu me repousses et scrutes mon entre cuisses. Tu ouvres de grands yeux effarés en voyant la ficelle d’un tampon sortir de ma fente.

……………….je ne vous oblige pas, mais il ne nous reste plus grand chose à essayer………………Bises

Anne-laure

MOI:

……………effectivement c’est un peu rebutant, mais si ça te plait je veux bien faire un effort pour toi…………et puis ca reste du virtuel………………..

Je reste hébété quelques secondes et me ressaisis:

— Mais tu as tes règles, tu aurais pu me prévenir.

— C’est arrivé plus tôt que prévu, mais cochon comme tu es ça ne doit pas te gêner.

— Ca dépend de ce qu’on fait.

— Mais on fait tout, normalement, et tu auras un bonus.

— Tu plaisante ou tu es sérieuse.

— Je suis très sérieuse, je te suce, tu me lèches, et on se fait un plan pisse. Et en prime tu pourras me baiser, depuis le temps que tu la veux ma chatte je vais te l’offrir.

— Salope, mais tu es encore plus vicieuse que moi.

— Ne te sous-estimes pas. Tu es même plus cochon que Francis. J’ai voulu essayé avec lui mais quand il a compris il a débandé illico et il est parti , alors que toi tu restes, tu restes et tu bandes comme un âne.

— Je crois que tu gagné, j’ai trop envie de ta chatte.

— Tu ne vas le regretter, je suis chaude comme une baraque à frites.

Tu t’agenouilles et me fais une pipe éclair pour me faire rapidement décharger dans ta bouche et tout avaler. C’est maintenant à mon tour de la lécher. J’évite d’enfouir ma langue dans ta fente, lèche juste tes lèvres et me concentre au maximum sur ton clitoris. Je n’ai jamais eu autant d’intérêt pour ton petit bouton, et il en est ravi, vu la façon dont il éclot et s’épanouit. Tu m’offres quelques orgasmes que je savoure.

On va maintenant passer au plan pisse. Tu retires ton tampon, le dépose au fonds d’un grand verre, et tu pisses dedans. Je te regarde stupéfait:

— Ca ne va pas! Tu ne comptes pas me faire boire ça.

— Mais si, regarde, on dirait un tango, une bonne bière grenadine, faite maison.

— Ok, je bois, mais ensuite c’est moi qui pisse dans le verre, et toi qui bois.

— J’allais te le proposer.

On fait comme on a dit, et finalement ça ne change pas grand chose de nos plans pisse habituels.

Lors de nos précédentes rencontres on terminait par une sodomie, mais cette fois-ci j’ai un bonus, un cadeau, ta chatte que tu m’as toujours refusée.

Tu as tout prévu, salope, et tu étales deux vielles serviettes sur le sol pour t’allonger dessus, les cuisses ouvertes. Je ne pense plus à tes règles, je ne pense qu’à ta chatte, ta chatte, ta chatte, et à ma grosse queue qui va la défoncer. je viens sur toi, prend ma trique à pleine main, frotte mon gland entre tes lèvres, de plus à plus loin. Je suis en toi, tout en toi. Tu m’as dit que tu étais chaude, et je confirme, tu es brulante. Je t’enfile, je te lime, je te ramone, je t’embroche de toutes mes forces.

Je suis comme un mâle en rut, et je râle, je grogne, j’ahane, je te balance les pires insultes et obscénités. Tu n’es pas en reste de ton côté et te lâches comme la dernière des putains de trainées de salopes de chiennes en chaleur. Tu m’assènes des mots qui me feraient rougir si je n’étais pas aussi pervers, tu cries, tu gueules, tu hurles, tu te tortilles comme un ver, tu m’insultes, mais surtout tu m’encourages à te la mettre plus loin, plus vite, plus fort.

J’essaie de te satisfaire mais sens mes forces m’abandonner. Ma queue est au top, mais mes bras et mes jambes n’assurent plus.

………………à toi ma puce, j’espère t’avoir fait plaisir……………………….bisous, tendres bisous……………..

Eric

ELLE:

…………ouah, heureusement que ça vous rebutait, qu’est ce que ça aurait été sinon………….merci……………….

Tu m’as super bien baisée, et j’ai encore envie. Tu es sur le dos, ta bite bien érigée. Je viens sur toi, j’empoigne ta bite pour la fourrer dans ma chatte affamée; je vais lui donner à bouffer à cette salope. Je te chevauche, je te monte, je me déchaine sur ton pieu. J’y vais de toute mes forces, avec la ferme intention de te faire jouir une deuxième fois. Je sais que tu en as pour un moment avant de venir, mais je suis sportive, j’ai surtout des pulsions irrésistibles, et je vais tenir la distance. Je suis en sueur, et je continue jusqu’en enfin faire cracher ton jus de couilles dans mon vagin torride.

Je sens ton manche se ramollir et je viens m’accroupir sur ta gueule:

— Lèche moi salaud, mais n’avale pas. Oui, c’est bon, ça te plait toutes ces liqueurs mélangées. Applique toi, nettoie moi, et ensuite tu pourras me rouler une pelle comme tu aimes.

Tu t’exécutes et je me dégage. On se fait le plus vorace de tous nos bouffes gueules, et on se partage cette potion magique. La séance est finie, on se lave, on nettoie et on s’en va.

……………….merci encore pour avoir accepté ce thème………….j’espère que vous avez retrouvé l’inspiration pour continuer notre jeu………………………..baisersssss

Anne-laure

A SUIVRE………………

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