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Extase avec une nympho – Chapitre 2

Extase avec une nympho - Chapitre 2



Je la suis donc, elle nous entraîne au sous-sol, à la blanchisserie, c’est une pièce assez grande avec du linge blanc de partout, plein de draps et de serviettes. On va se cacher derrière une pile de draps, au cas ou quelqu’un entrerait. Martine me baisse le pantalon et mon slip d’un seul coup.

-Martine : Tout à l’heure tu m’as bien léché, maintenant je vais te sucer, tu me diras ce que tu en pense.

Et elle embouche immédiatement mon sexe encore tout mou. Le mouvement rapide de sa langue enrobant mon gland me déclenche immédiatement une érection. Elle me suce et me lèche jusqu’au testicules, elle me pompe la bitte tellement fort que j’ai l’impression qu’elle va me faire sortir le sperme comme quand on aspire un liquide avec une paille. Je suis tout d’un coup très déçu, car elle se décide à arrêter la pipe avant que j’ai pu lui éjaculer en pleine face. Mais à mon plus grand bonheur, elle m’annonce que j’allais faire l’expérience d’une chose qui m’était encore inconnue.

-Martine : Je pari que t’a encore jamais pris une femme par derrière, tu va voir. Après m’avoir enfiler un préservatif rose elle me lubrifie la bitte pour que je la pénètre plus facilement. Elle quitte carrément son tailleur, et se met à quatre pattes le cul bien dressé. Je trouve un peu obscène mais tout de même très excitant de la voir dans cette position avec ses gros seins pendant qui touchent presque le sol, et son anus écarté pour que j’y pénètre.

-Martine : Alors, qu’est-ce que t’attends, encule moi, je le veux, n’ai pas peur je me suis déjà enculé avec des gods plus gros que ta bitte.

-Mike : Si tu penses que ma bitte est pas assez grosse, tu vas voir.

Et je l’encule d’un seul coup, ça l’a fait pousser un cri, mais malgré ca elle en redemande.

-Martine : Vas-y bourre-moi bien comme une bête, pendant que tu le peux encore, car je t’ai tellement pomper la bitte que tu va pas tarder à te décharger.

Je vais donc en avant et en arrière, je la bourre violemment, elle a les seins qui pendent, et ce mouvement lui fait les fait balancer comme de grosses masses molles. Je continue à la défoncer tant que je peux jusqu’à ce que je sente le jus arriver, je me retire alors vite, arrache la capote, et la retourne en la couchant au sol, cette fois c’est elle qui va en avoir plein la face. Je lui éjacule donc sur son mignon petit visage, et elle lèche pour ne pas en perdre une goutte. C’est à ce moment là, alors que je suis sur elle la bitte lui dégoulinant sur le menton qu’une jeune femme entre dans la blanchisserie et nous aperçoit dans cette position plus que gênante, sur le coup elle a un peu peur, mais surtout elle devient rouge comme une tomate. C’est à ce moment que Marine me dit que ce n’est pas à moi d’être gêné, qu’on avait décidé de repousser les lois de la morale puritaine, alors elle s’assoit les jambes écartées et se lèche le visage recouvert de mon sperme. Elle interpelle la jeune fille.

-Martine : Salut, toi comment tu t’appelle ?

-Sophie : Sophie madame, mais excusez moi je pars tout de suite, euhh, je suis désolée.

-Martine : Mais non, ne part pas, ne soit pas effrayée, t’a quel âge, tu dois plus être vierge quand même.

-Sophie : Non, je suis plus vierge, j’ai 25 ans mais j’ai jamais fait ce que je vous ai vu faire.

-Martine : Allons, ne me dit pas que tu es choquée, allé vient, je vais t’apprendre comment on fait jouir un homme.

Je suis éberlué car cette fille qui a l’air d’une sainte ni touche vient vers nous, s’assoit à coté, et prend le sein de Martine dans une main en lui disant.

-Sophie : Et bien vous en avez de la chance, j’aimerais bien avoir des seins comme les vôtres.

-Martine : Mais ne soit pas timide fait les nous voir tes petits seins.

Et Martine lui enlève délicatement sa robe de femme de ménage, elle retire le soutien gorge de la femme de ménage qui se laisse faire. Martine lui dit qu’en effet ses seins n’étaient pas très gros mais qu’elle allait l’aider et d’un coup elle lui tire dessus comme pour les arracher, la femme de ménage cri.

-Sophie : Aie, mais que faites-vous, vous êtes folle.

-Martine : Mais non regarde tes seins j’ai à peine tirer dessus, et ils sont déjà tout excités, ils pointent.

-Sophie : C’est vrai ils ont l’air un peu plus gros, tirez-les encore.

Martine ne se fit pas prier pour lui tripoter les seins, et les lui tirer. Sophie a l’air heureuse, elle a jamais été aussi excitée nous confit-elle. Après que Martine l’ai encore plus chauffée en lui caressant les fesses, elle l’a fait s’allonger, et lui dit de se laisser faire.

-Sophie : D’accord, allez-y faites tous les deux de moi ce que vous voulez, faites moi jouir.

Je tente de refaire avec Sophie ce que j’ai déjà fait avec Martine, en lui léchant la chatte, mais à peine ai-je approché ma langue que je me rends compte qu’elle n’a pas la vulve aussi humide qu’elle, elle ne mouille pas assez pour que ce sot suffisamment agréable. Je commence alors par la pénétrer avec mes doigts, et je remue à l’intérieur tant que je peux, j’enfonce jusqu’à la faire crier, mais elle me dit de ne surtout pas arrêter.

-Sophie : Encore, encore plus profond dans ma chatte je veux jouir.

Mais des que j’aperçois son doux liquide commencer à couler du bord des lèvres, je me précipite pour pénétrer ma langue au plus profond de son chaud vagin. Pendant que je la lèche Martine me caresse les fesses, et me lèche un peu de partout jusqu’à ce que je sois presque entièrement recouvert de salive. Quand Sophie atteint l’orgasme tant attendue, Martine ne lui sans la laisser souffler de me tailler une pipe du mieux qu’elle le pouvait, et pendant ce temps, on s’est livré avec Martine à la plus mouillée des séances de baisé, On se mélangeait nos deux langues avec une telle passion qu’on avait de la salive qui coulait partout le long de notre coup. . Une foi nos péripéties terminées, on se rhabille tous, puis on repart en laissant Sophie seule, mais en lui promettant de la revoir si elle souhaitait repasser un de ces bons moments. Avec Martine on retourne donc à notre chambre, car on à bien besoin de prendre une nouvelle douche, cette fois on a en au assez on se douche juste, et on va se coucher, avec Martine on se dit juste qu’on essayera de faire aussi bien le lendemain. Le lendemain on se réveille donc en forme vers 9 heures après une longue nuit de sommeil.

-Mike : Salut Martine, comment vas-tu ?

-Martine : Ca va bien, mais j’en ai encore mal au cul tellement tu me l’as défoncé hier.

-Mike : Alors, aujourd’hui je vais le laisser un peu se reposer, je vais m’occuper de ta chatte, et de ton clitoris, ou va-t-on ce matin.

-Martine : On va d’abord à la conférence sur les réseaux de neurone, appliqués à l’intelligence artificielle, alors prépare-toi, au lieu de regarder mes nichons.

Une fois parfaitement habillés, sauf Martine qui n’a encore pas mis de culotte sous la jupe de son tailleur, on se décide à sortir pour allé assister à la conférence, et on tombe nez à nez avec Sophie, qui apporte des draps propres dans les chambres, ils ne se disent rien car il y a beaucoup de client dans le couloir, mais notre regard en dit long sur leurs envies réciproques. Dans l’ascenseur on est seul avec un couple de retraité, et elle s’amuse à soulever sa jupe dès que les deux petits vieux sont retournés. Mais avant de sortir le retraité se retourna et il vit Martine la jupe en l’air, laissant ainsi voir son épaisse toison brune, il avait vraiment l’air ravi, ca devait faire longtemps qu’il n’avait pas vu un tel spectacle, si sa femme l’avait vu mater Martine comme ça, il est sur qu’il se serait prit un coup de sac à main. Lorsque j’allais sortir de l’ascenseur Martine me retint par le bras et une foi les portes fermées le bloqua à l’étage.

-Martine : Vas-y ! Assis toi de l’autre coté de l’ascenseur.

-Mike : Mais pourquoi t’as pas arrêté l’ascenseur pour qu’on attende que les dépanneurs arrivent.

-Martine : Non, mais j’ai envie de te regarder en train de te branler, alors on se met chacun de son coté et on se masturbe tout en regardant l’autre faire.

On s’assoit donc chacun de notre coté, je baisse mon pantalon et je commence à me masturber, pendant que Martine se fourre les doigts dans le vagin. Cette idée de se toucher chacun dans son coin me paraissait bizarre au début, mais m’excite vraiment beaucoup maintenant, et c’est d’autant plus agréable que les quatre parois de l’ascenseur sont recouvertes de miroirs. On se masturbe sans se toucher, sans se parler. On se donne du plaisir en regardant l’autre s’exciter, et on continu comme ça jusqu’à ce que je sente monter la semence en moi. A ce moment là Martine se rapproche de moi, et je lui éjacule dans la bouche. Elle prend plaisir à tout avaler, puis on se rhabille afin de remettre l’ascenseur en marche pour repartir.

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