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Folies en rut majeur – Chapitre 8

Folies en rut majeur - Chapitre 8



Cependant le retour à la maison ne se fit pas immédiatement. Gaby voulait que son copain profite aussi des Vosges et de ses attraits. Il les emmena donc tous les deux vers une boite un peu spéciale. Perdue à la limite d’une quatre voies il lui fallut un peu de temps pour trouver le chemin de cet « Effeuillage » dont tous parlaient. C’était devenu la boite à la mode et chacun se devait d’y passer au moins une soirée. Aline eut tout d’abord un mal fou à s’habituer à cette obscurité quasi-permanente, seulement zébrée par des éclairs de spots lumineux. Ceux-ci distillés par un DJ branché, mettaient le feu à une piste de danse aussi grande qu’un confetti. Mais des couples partout s’enlaçaient, se relâchaient et pour certains les vêtements étaient également réduits à leur plus simple expression.

La jeune femme se trouvait entre les deux hommes. Son mari la faisant tourner sur ce parquet minuscule, Elias n’eut pas d’autres ressources que de se coller dans son dos. Ils l’avaient enlacés les deux et tournaient lentement au rythme d’un slow langoureux. Les rayons de lumière bizarre, de temps à autre accrochaient un corps de femme, le suivaient doucement, laissant apparaître par transparence les sous-vêtements, d’une couleur bleutée. Aline eut droit au même traitement durant quelques secondes. Elle avait l’impression que des dizaines de regards de mâles parcouraient ces marques tellement visibles. Mais dans le brouhaha de cette boite, elle devenait un instrument de musique où deux joueurs fous débutaient une partition incroyable. D’abord ce fut Elias qui tâtait au travers de ses habits ses deux seins et puis Gaby qui pour ne pas être en reste remontait l’ourlet de sa jupe.

Elle avait très chaud et se laissait bercer par le tempo doux d’un air connu. Un autre couple les bousculait. Elle crut apercevoir le clin d’il que le mec qui cramponnait une belle poupée faisait à son mari. Elle se sentit rougir, heureuse de cette nuit partielle. Personne ne verrait qu’elle avait honte. Pourtant les mains d’Elias avaient déjà ouvert le corsage et serraient les nichons sur le soutien-gorge maintenant. Gaby, lui aussi fouillait dans sa culotte et il avait remonté la jupe jusqu’aux hanches. L’ami de son mari s’était simplement écarté le temps que la jupe passe au-dessus du bassin et il s’était de nouveau collé à elle, empêchant ainsi la corole de retomber. Elle sentait contre ses fesses la bite bandée d’Elias. Et sur sa chatte, celle toute tendue de Gabriel. Aline se demandait jusqu’où les deux-là iraient. Mais elle n’avait surtout plus aucune envie qu’ils cessent ce qu’ils avaient si bien commencé.

Puis le premier à l’entrainer dans un petit racoin où se trouvait un immense canapé d’une impressionnante longueur fut Gaby. La dans ce n’était pas son fort. Il ne l’avait accompagné que pour chauffer l’ambiance. Sur le sofa, il lui dévorait la bouche et son pote s’attaquait à la culotte. Elle sentait que ses fesses étaient à l’air et n’osait même plus ouvrir les yeux. D’autres regardaient-ils le spectacle ? Les doigts qui plongeaient en elle à qui appartenaient ils ? Gaby ? Elias ? Un autre ? Elle s’efforça de reprendre pied en ouvrant un quinquet. À deux mètres de là une femme se faisait saillir par un jeune noir qui reluquait dans leur direction. Un homme seul aussi astiquait sa queue à quelques encablures du lieu où elle allait être troussée. Comme par magie la bite d’Elias se trouvait nue à portée de ses lèvres. Et si d’une main il la masturbait, de l’autre il lui présentait son mat.

Gaby, lui était maintenant assis et surveillait tous les faits et gestes de son ami. Aline, folle de désir, ne regardait plus de nouveau. Elle laissa ses lèvres s’entrouvrir et le vit s’engouffra dans la faille à sa portée. Elle se sentait bercée par la musique, les cris venus de partout la transportaient. Elle était bien, elle avait envie de faire l’amour et elle serait sans doute satisfaite pas le monsieur qui s’évertuait à lui masser le clitoris autant qu’elle le suçait. Ses doigts entraient en elle, ils étiraient les muscles, ouvraient des portes, et s’assuraient de la bonne élasticité de tout cela. Puis, alors que la bite allait et venait entre ses lèvres, elle se sentit soudain remplie. Sans doute que son mari, trop excité par cette vision des choses avait changé d’avis et venait de s’introduire en elle, d’un coup de rein énergique. Les paumes de ce dernier s’amusaient également sur son dos. Les premiers frissons lui parcouraient déjà l’échine. Tout concourait à la mettre en transe.

La queue dans sa bouche trouvait un bon rythme et elle passait sa langue sur le dôme bien lisse, savourant aussi la possession qui lui écartait les chairs. Elle gloussait doucement en adorant finalement cette prise en main par ces deux lascars. Quand elle sentit que la hampe avait des soubresauts annonciateurs d’une éjaculation imminente, elle cessa ses mouvements, ne gardant pas en bouche la bête. Elle rouvrait les yeux pour muettement remercier son mari quand elle réalisa que celui qui la pénétrait avait une belle couleur ébène. Au lieu de s’en offusquer, cette perception soudaine de la véritable identité de son baiseur la stimulait encore plus. Gaby lui, était toujours assis, comprenant la scène sans dire un mot.

Ce fut au tour du noir de venir présenter son mandrin à la dame complément déchainée. Elias pour sa part, se servait de l’illet délicat pour une sodomie toute en tendresse. Aline prit un pied d’enfer à subir les assauts de deux partenaires bien montés, mais sans exagération douloureuse. La soirée devenait torride. Partout des femmes étaient prises par des hommes, parfois aussi par des groupes d’hommes. Un autre fit irruption devant elle. Jeune aussi la queue à la main il la présentait aux lippes d’une Aline qui en signe de refus tournait la tête. Ce qui amenait son regard dans celui de son mari. Il semblait lui faire signe d’y aller, de sucer cet inconnu. Alors vaincue sans un mot, elle se retournait vers la bite qui attendait. Le jeune inconnu faisait trois allers et retours et il lâchait un long jet de sperme, qu’elle dut avaler.

Quand il eut fini de se vider, un autre surgit ! En deux temps et trois mouvements, elle recevait encore l’offrande de ce dernier. Celui-là se baissait vers elle et lui murmurait des mots qu’elle comprit, malgré le bruit ambiant.

Je le savais je savais que tu devais être bonne. Tu as un joli cul de salope et une bouche de pute merci ! Tu es trop bonne. Il a de la chance ton mec d’avoir une pareille bombasse dans son pieu.

Elle devait encore satisfaire Elias qui complètement affolé par les scènes qu’il vivait en direct, gardait une queue raisonnablement gonflée. Il la prit lentement, et ce fut seulement à ce moment-là que Gabriel vint les rejoindre. Il porta à ses lèvres sa bite enflée et il lui maintenait les jambes largement écartées. Tout autour d’eux, tout un groupe de voyeurs s’était formé. Tous se branlaient devant cet hallucinant accouplement en trio. Au moment où enfin Gaby se libérait sur le visage de son épouse, son ami Elias aussi se soulageait à nouveau sur sa vulve. Et de partout sur son corps fusaient des spermes d’hommes parfaitement inconnus. Elle était maculée sur toute la hauteur de sa poitrine.

Les seins d’Aline luisaient de cette manne blanchâtre qui giclait de partout. Le reste de la semence de son mari disparut dans sa gorge avec un dernier passage de la queue de celui-ci. Ensuite les hommes présents se dispersaient sans dire un mot. Seule une grande blonde restait debout près d’elle et de ses deux complices. Elle se penchait vers Elias, lui parlait un court instant ! Du menton, il désignait Gaby et la grande bringue avançait vers lui, sa tête à nouveau se courbait vers l’oreille de son mari. Bien sûr, elle ne savait pas ce qui se tramait. Mais elle voyait nettement les yeux de son homme qui brillait d’une étrange lueur et un sourire qui fleurissait sur ses lippes. Elle se doutait que la femme voulait quelque chose qui plaisait à Gabriel.

Alors la femme se mettait à genoux et sa langue douce léchait les traces de son visage. Elle passait partout sur les coulées de spermes que la queue avait déposés là. Puis quand elle estimait avoir bien nettoyé, elle entreprenait de la même façon une longue purification de toutes les souillures des voyeurs. Cette opération se faisait sans qu’autre chose que la langue de la femme touche le corps d’Aline. Les deux compagnons de la brune ne perdaient pas une miette de ce que tramait la nouvelle venue. C’était agréable, pour ne pas dire plus. Les coulures blanches disparaissaient l’une après l’autre dans cette bouche étrangère. Quand la lécheuse estimait avoir bien tout récupéré, elle avança le visage vers celui de celle qu’elle venait de laper. Sa bouche se posait comme une fleur sur les lèvres de la brune.

Incapable de résister, Aline se laissa rouler une pelle par la femme. Leurs langues se mélangeaient et l’épouse de Gaby avait la sensation que cette langue renfermait mille saveurs délicates de tous ces spermes mélangés. Les deux femmes s’embrassaient à bouches que veux-tu, mais la brune prolongeait presque avec délectation ce baiser inouï ! Une nouvelle vague de spasmes lui torturait le ventre. C’était l’instant choisi par l’inconnue pour passer un doigt pas sage sur la fente poisseuse de cette déesse couchée. Le majeur complètement trempé par son lissage de la chatte venait ensuite s’enfoncer entre les deux langues toujours mêlées et un orgasme sans fin semblait emballer le corps de la jolie salope qui remuait de nouveau ses hanches.

Ensuite Elias avait payé un pot à la blonde à Gabriel et à Aline. Une douche rapide, mais trop perturbée par des hommes seuls qui espéraient encore que la brune qui se rafraichissait se donnerait encore à eux, une douche avant de se revêtir et le trio quittait le club. Les trois-là rentraient chez le couple. Dans la voiture, pas un mot n’était échangé. Tous gardaient d’étranges images en tête, et chacun avait des souvenirs différents. Pourtant tous avaient vécu la même soirée. Perception divergente pour tous et personne ne voulait parler de ce qui venait d’arriver. Gabriel, pourtant fou de jalousie au début de cette affaire, se sentait presque heureux d’avoir laissé les choses se faire. Elias, quant à lui, se disait que son ami avait de la chance. Sa femme était exceptionnelle et avait accepté vraiment beaucoup de choses que peu de femmes auraient voulu.

Le reste du week-end, les deux hommes l’avaient passé à monter la jeune femme. Il n’y avait guère eu de moment où l’un d’entre eux, voire les deux ensemble ne l’avaient caressée. Aline avait trouvé cela plutôt sympathique. Si elle avait joui avec les deux, elle s’était efforcée de les contenter également. Gabriel devenait finalement friand de ce genre de situation. Il usait de tous les orifices de son épouse, sans trop se formaliser du fait que les mêmes pouvaient ou venaient d’être utilisés par Elias. Du reste ce dernier en partant n’avait pas omis de rouler une dernière pelle à cette jolie salope brune. Son ami lui avait fait promettre de revenir et c’était vrai qu’il le ferait. Du moins se le jurait il, alors qu’il faisait le parcours de retour en solitaire. Cette femme avait un tempérament de feu, et un cul de déesse alors il savait bien qu’il la reverrait.

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Les jours reprenaient un cours plus normal. Les deux époux s’étaient retrouvés. Mais plus question de rester dans cette position des amants sans flamme. L’automne aussi avec la chute des feuilles, avec ses temps un peu pourris. Le lac avait pris son habit d’hiver et le vent glacé balayait la surface grisonnante de ses eaux moins calmes. La routine risquait fort de rattraper les deux tourtereaux qui filaient à nouveau le parfait amour. Gabriel avait jugé l’alerte suffisamment chaude pour prendre soin de sa dulcinée. Elle savait, que lui l’emmènerait, sans trop de risque sur des chemins que son corps rêvait d’explorer. Alors elle le poussait gentiment vers un monde de débauche et de sexe auquel il devrait s’habituer. Plus elle faisait l’amour, plus elle en avait envie. Le système des vases communicants, rapporté au niveau du lit en quelque sorte.

Aline passait de longues heures à attendre son loup. Parfois elle se préparait même à l’avance et dès qu’il rentrait, il la trouvait sans culotte prête à la saillie. Il ne s’en plaignait plus. Il avait enfin compris que c’était son démon de minuit à elle, il lui fallait du cul et que s’il n’était pas à la hauteur, un jour ou l’autre, le nid serait vide encore une fois. Par contre, la grande crainte de Gabriel était de ne pas toujours pouvoir fournir. Un vieux proverbe qui disait qu’avoir la bouche ouverte resterait toujours plus aisé que d’avoir le bras tendu, lui paraissait de plus en plus vrai. Il se devait donc de pallier à ce manque éventuel, de manière à ce que la belle ne s’envole pas. Il se creusait les méninges à trouver des solutions de rechange pour le jour ou il aurait une défaillance ou tout bêtement un manque d’énergie. La possible érection en demi-teinte serait immédiatement détectée par sa brune et elle filerait de nouveau comme le vent, dans le premier plumard venu.

Il découvrait un soir, en s’arrêtant au bord d’une sorte de parking en bordure de forêt, un endroit ou des types épiaient tous les faits et gestes de ceux qui comme lui avaient un besoin naturel à satisfaire. Il notait que si les arbres étaient encore touffus et verts, c’était parce qu’ils s’agissaient de petits sapins et que les mecs s’y dissimulaient de manière quasi invisible. Il se promettait d’y amener sa belle et il verrait bien ce qui se passerait. Si l’hiver était tout proche, quelques belles journées ensoleillées pouvaient leur apporter encore un peu de joie et il organiserait rapidement une balade en forêt. Le prétexte de la cueillette de champignon serait sans doute suffisant pour appâter Aline. Il lui suffisait donc d’attendre l’instant le plus propice.

-Un tour en forêt, ça te dit ? Il devrait y avoir encore quelques cèpes en cette saison !

-Tiens ! C’est une bonne idée oh ! Oui, ça fait longtemps que nous ne sommes pas allés nous balader tous les deux dans les bois

-J’ai repéré une sapinière en rentrant de mon travail un endroit parfait pour que les champignons soient au rendez-vous.

-Eh bien demain dans la journée si tu veux nous irons voir si le loup

Aline chantonnait ! Elle adorait ce genre de sortie. Fille de la campagne, elle aimait ces immenses étendues plus vraiment vertes, pas encore totalement décharnées et si la bise ne mordait pas trop ce serait une belle sortie. Le lendemain était un samedi. Avant le lever, ils firent l’amour. Quand elle le sentait trop tendu, trop fatigué, c’était elle qui prenait les commandes. Elle se mettait sur le côté, se calait contre lui avec les fesses et remuait doucement contre son sexe. Puis quand ce dernier avait une certaine consistance, elle écartait prestement les jambes. Ensuite d’une main passée entre ses deux cuisses, elle amenait l’engin là où elle le voulait. C’était un jeu d’enfant ensuite de l’introduire dans le sillon mouillé, et elle bougeait sa croupe au rythme lent de ses envies. Il aimait aussi cette forme d’amour tendre.

Mais ce matin, elle lui était carrément montée dessus. Lui bien à plat dans leur lit avait eu droit à une fellation, faite avec tout son cur. Quand sa queue s’était raidie au contact de la bouche, qu’elle avait jugé que cette trique était assez raide pour servir, elle avait enfourché son destrier. Les mains posées sur le torse de son mari, elle se faisait monter et descendre, se laissant aller à gémir. Sa tête se dandinait de droite à gauche, les yeux mi-clos, elle vivait vraiment la partie de sexe quotidienne qu’elle s’offrait. Lui n’était encore une fois qu’un moyen de parvenir à la jouissance. Il n’était finalement qu’un gode vivant. Mais bon, elle adorait aussi, elle se voulait être franche, elle aimait qu’il soit passif. Lentement son corps se mettait à réagir. Elle n’atteindrait sans doute pas des sommets de cette façon, mais son orgasme pouvait quand même être honorable.

Après ces folies matinales, elle s’était préparée et le repas de midi à peine terminé, ils partaient tous les deux vers la promenade promise. Gabriel n’avait parlé de rien et surtout pas des voyeurs potentiels peuplant ce petit coin de nature. Il n’avait aucune certitude qu’il s’agissait bien de mecs qui aimaient regarder. Il improviserait le moment venu. Tout ce qu’il avait pensé à faire c’était de mettre une poignée, on était jamais trop prudent, une poignée de préservatifs dans sa poche et son appareil photo dans une autre. Dès leur arrivée, quelques ombres furtives s’étaient déplacées, de manière très discrète dans les fourrés. Il avait donc le sentiment que suer le sentier ou Aline et lui se baladaient, des yeux suivaient tous leurs mouvements. Ils firent ainsi un long détour puis quand il s’installa au milieu d’une clairière, la jeune femme, s’assit près de lui.

C’était encore elle qui allait au-devant des désirs de son mari. Elle avait compris sans doute que cette halte en pleine forêt pouvait être propice à des élans plus tumultueux. Elle posait donc sa petite main sur la cuisse de son mâle. Il ne faisait bien entendu pas un mouvement pour l’en empêcher. Puis il se dévergondait également. Sa braguette avait enflé d’une manière conséquente et le zip qu’elle manuvrait habilement mit à l’air une bite prête à l’emploi. Curieusement, rien ne bronchait autour et malgré ses fréquents regards il ne décelait aucune présence anormale. Pendant que son homme lui caressait les seins bien fermes sous les tissus du corsage et du soutien-gorge, elle avait déjà la bouche qui astiquait le manche. Gourmande, elle s’était baissée et s’empressait sur cette trique pas entièrement découverte.

Alors, pour ne pas être en reste, il dégrafait les boutons du corsage, et les voiles se levaient sur une poitrine accessible et alléchante. La situation le mettait en alerte, il bandait de plus en plus fort, mais cherchait toujours du regard les éventuels voyeurs. Gabriel se courbait également et ses lèvres attrapaient les bourgeons qui gonflés, n’attendaient que leur visite. Il se mettait à les aspirer, les maltraitant presque entre ses dents serrées. Aline gémissait, mais laissait son mari mordiller les fraises tout en persistant sur la liposuccion de sa bite. Les deux amants s’apprêtaient à faire l’amour, là, au milieu de nulle part, entourés d’une végétation à l’agonie. Les hautes herbes ne cachaient plus rien des formes de la belle.

Si des types les regardaient, ils se montraient fort discrets et l’homme n’en demandait pas plus. Il s’apercevait que cette exhibition lui donnait sacrément envie. Ce n’était pas Aline qui s’en plaindrait. Le pantalon qu’elle avait mis pour cette flânerie venait aussi de rejoindre les vêtements de son mari, à quelques mètres du lieu de leur péché. Ni l’un ni l’autre ne pouvaient deviner que plusieurs paires d’yeux suivaient avec attention tous les gestes de leurs amours champêtres. Bien sûr que deux ou trois gaillards avaient sorti leurs chibres à bonne distance du couple, mais ils restaient à l’abri, sous le couvert des fourrés environnants. Mais l’interruption des ébats ne venaient pas de ces voyeurs discrets, non c’était une armée de fourmis rouges qui obligeât les acteurs de la scène à se replier rapidement vers un endroit moins peuplé.

Ils riaient comme deux fous, mais n’était-ce pas cela en fait ? Deux dingues qui comme des gamins voulaient s’envoyer en l’air dans un endroit où les insectes étaient rois ? Ils se précipitaient vers la forêt toute proche avec à la main leurs nippes. Et leurs pas les amenèrent vers un chalet destiné aux chasseurs. Celui-ci n’était pas non plus visible et la porte restée ouverte les incitait à y pénétrer. Comme deux gosses, ils se caressaient de nouveau, mais cette fois abrités et loin de ces sales bestioles qui avaient piqué leur derrière. Gabriel allongeait sa belle sur la table qui occupait les trois quarts de l’espace de la seule et unique pièce. Aline fermait ses yeux et se laissait aller. Un long massage s’en suivait. Elle adorait cette nouvelle forme de caresse et se gardait bien de dire un mot. La peur de briser le charme la retenait de faire le moindre geste, d’esquisser la moindre plainte.

Les préliminaires duraient depuis quelques minutes déjà et l’homme, lentement, attirait les fesses de son épouse au bord du tablier de bois. Elle sentait ses talons soulever par les mains de son mari et quand il la pénétra, elle soufflait juste un peu. Il débutait alors un long rodéo s’acharnant sur ce sexe largement dilaté par la taille de la bite qu’il y avait introduit. Elle commençait à hurler de plaisir quand soudain, une tête apparut derrière le carreau de l’unique fenêtre du chalet. Le voyeur audacieux rezieutait avait un large sourire et il faisait un clin d’il à Gabriel. Pourtant ce dernier, absorbé par sa tâche ne montrait aucun signe d’inquiétude. Quant à Aline, sa position et ses paupières closes l’empêchaient de savourer cette vision d’un type qui les chouffait maintenant.

Gaby ne s’en offusquait absolument pas. Il était presque soulagé de savoir que l’autre les avait suivis. Il répondait au signe de l’autre par un mouvement du menton. Cette impulsion lui indiquait la porte restée largement béante. Il n’allait pas non plus se faire prier pour arriver en courant. Étendue sur la table, Aline jusqu’à la dernière minute ne comprit pas. Ce n’était que lorsque cette bite soudain lui frôlait les lèvres alors que son mari la pistonnait rudement, qu’elle s’apercevait qu’un autre était entré dans le jeu. Comment ne pas ouvrir la bouche devant cette chose si joliment présentée ? Du reste, si elle avait voulu refuser, les coups de reins de Gaby la rendaient si follement dépendante qu’elle n’aurait pas pu prononcer le mot lui-même ! Elle gobait donc l’engin qui s’engouffrait dans la cavité ainsi prête à l’accueillir.

Cet homme avait aussi du coup, les mêmes prérogatives que son mari. Un droit de cuissage donné de manière tacite, un droit de la baiser qu’elle ne songeait pas vraiment à lui contester. Il y prenait un tel plaisir qu’elle s’arrêta au milieu de l’acte, simplement pour écouter l’autre gémir comme un gosse à qui on retirait sa totosse. Elle se remettait ensuite à l’ouvrage, écartant les mâchoires démesurément sous la chose qui entrait dans son gosier. Plusieurs fois elle faillit s’étouffer avec une gaule pareille. Et l’autre se servait comme de la bouche féminine comme d’une seconde chatte. Gabriel lui, ne cessait plus ses allers et retours dans un vagin tellement trempé qu’un clapotis se répétait sans arrêt à chaque avancée du bassin masculin. Il la baisait si violemment, qu’à chacune des rencontres entre le ventre de son mari et son entrecuisse, elle était secouée comme un prunier.

Tout ce qui arrivait, elle l’avait appelé de toutes ses forces si longtemps. Gabriel devenait son meilleur allié, il savourait ou faisait semblant d’aimer la voir prise comme cela. Quand il quitta la place entre les cuisses bien ouvertes, l’inconnu avança pour s’y mettre. Aline vit le geste discret, la main qui tendait un petit carré brillant. Elle le remerciait muettement de penser aussi à sa santé. Entre ses dents, le type déchirait l’emballage de la capote. Nerveusement il s’évertuait à placer ce chapeau sur sa bite. Un court instant la brune crut que l’autre allait débander. Mais il n’en était rien. Le soupir qu’elle poussait quand d’un coup de queue vigoureux il l’empalait, aurait pu ameutera moitié de la forêt. Alors l’autre joua doucement avec sa bite. Tout d’abord, il se b ornait à ne faire pénétrer que le gland. Jouant longuement entre les lèvres, à peine entré qu’il ressortait immédiatement.

C’était pour mieux revenir, et le manège dura de longues minutes. Elle devenait folle, d’attendre, folle de cette incroyable envie qu’il lui transmettait. Alors quand Gaby lui mordilla les seins elle se mit à hurler, à crier des mots insensés, des mots incompréhensibles. Sans doute que le gars qui la besognait se trouvait lui aussi pris dans cette tourmente de l’envie, car d’un seul et violent coup de reins, il s’enfonçait soudain en elle le plus profondément possible. L’intromission était si forte qu’elle sentit les couilles de l’homme claquer sur ses fesses. Et il restait comme cela, dans plus bouger, s’appuyant des deux mains que ses hanches. Elle ne se souvenait plus du reste. L’orgasme qui la secouait balayant tout sur son passage. Les deux gaillards la prirent jusqu’à ce soit elle qui demande grâce. Son corps devenait une boule de nerf intouchable.

Pour le retour à la maison, elle se collait à lui. Elle aurait été bien incapable de décrire le type qui l’avait fait monter au plafond. Elle ne gardait comme souvenirs que les fabuleuses jouissances que les deux lui avaient données. Une sorte de sourire flottait sur les lèvres d’Aline, mais également sur celle de Gabriel. Elle se jurait que plus jamais elle ne le quitterait, s’il persistait dans cette voie. Lui se traitait mentalement de crétin de n’avoir pas su, pas vu plus tôt qu’elle était faite pour cela et il se sentait, rien qu’à l’idée de recommencer, repousser des envies et son sexe à nouveau se gonflait dans son caleçon. Tous les deux se contrebalançaient de la morale bafouée des gens bien-pensants ! L’avenir leur appartenait maintenant !

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Fin

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